» [Bien sûr…] Et maintenant l’Éducation Nationale recommande le Décodex !

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  • Bourrage de crâne de nos enfants, Najat Belkacem, et l’état ont décidé d’éduquer nos enfants aux théories du complot, par le biais du Decodex, et les médias appartenant aux quelques milliardaires :
    http://www.les-crises.fr/bien-sur-et-maintenant-leducation-nationale-recommande-le-decodex/#comment-429198
    https://prezi.com/yemc9jtk4v9t/lenseignant-face-aux-theories-du-complot

    le « benêt » du blog de « Conspiracy Watch » est fier de décider qui est sur la ligne politique et qui ne l’est pas. Nous sommes parents et devons alerter les autres de ce qui se trame. Un accord avec l’Education Nationale et les lobbyistes médiatiques veulant censurer l’opinion.en décidant a la place des enfants, parents ce qui est juste ou pas. ..

  • Le jour où la #France s’est divisée sur le foulard
    http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2017/02/03/le-jour-ou-la-france-s-est-divisee-sur-le-foulard_5074145_4497186.html

    C’était il y a vingt-huit ans. Fatima Achahboun avait 14 ans. Le 18 septembre 1989, Ernest Chénière, le principal du collège Gabriel-Havez de Creil, petite ville déshéritée de l’Oise, décide « au nom du respect de la laïcité » d’exclure l’adolescente d’origine marocaine, sa sœur Leïla et leur camarade Samira Saïdani, toutes deux âgées de 13 ans, car elles refusent de retirer le #foulard qu’elles portent depuis quelques mois.

    C’est le premier épisode de ce qui deviendra l’« affaire du foulard », une longue controverse qui divise le pays et déchire la gauche. L’acte fondateur d’un affrontement sur la #laïcité au sein du #PS, où deux conceptions de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État s’affrontent. Ceux qui réclament une « laïcité ouverte » face à ceux qui la défendent comme la gardienne de l’« identité française » et de l’égalité entre les hommes et les femmes.

    #paywall

    • C’est le premier épisode de ce qui deviendra l’« affaire du foulard », une longue controverse qui divise le pays et déchire la gauche. L’acte fondateur d’un affrontement sur la laïcité au sein du PS, où deux conceptions de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État s’affrontent. Ceux qui réclament une « laïcité ouverte » face à ceux qui la défendent comme la gardienne de l’« identité française » et de l’égalité entre les hommes et les femmes.

      Ces deux positions ont évolué mais restent aujourd’hui séparées par une ligne de démarcation vivace. Elles ont encore divisé les candidats de la primaire à gauche, Manuel Valls plaidant pour une laïcité plus stricte « réaffirmée partout » et Benoît Hamon, jugeant que, conformément à la loi de 1905, la laïcité impose à l’État un devoir de neutralité, non de combat.

      Ce qui serait bien @baroug si tu es abonné, comme le dit si bien @mad_meg, à l’-e-mmonde c’est de mettre l’article, sous mur de paye, en ligne dans sa totalité, sans citer le lien juste en mettant la source : Le Monde du 3 février 2017.

    • J’ignorais cette généalogie :

      Au retour des vacances, le débat s’enflamme naturellement. Gisèle Halimi claque la porte de SOS Racisme, qui, comme le MRAP, juge que l’école doit accueillir tous les enfants. La tribune la plus fracassante est publiée dans Le Nouvel Observateur le 2 novembre.

      C’est une lettre ouverte à Lionel Jospin, signée par cinq intellectuels (Régis Debray, Élisabeth Badinter, Alain Finkielkraut, Élisabeth de Fontenay et Catherine Kintzler), intitulée « Profs, ne capitulons pas ! ».

      Elle débute par ces lignes : « L’avenir dira si l’année du Bicentenaire aura vu le Munich de l’école républicaine. » L’hebdomadaire Politis publie la réplique de Joëlle Kauffmann, Harlem Désir, René Dumont, Gilles Renault et Alain Tournaux qui parle d’« un Vichy de l’intégration des immigrés ».

      Le débat s’embourbe. Désormais, les nuances ne sont plus audibles. Elles ne le seront jamais plus. Les périphrases « les laïcards qui ont peur des musulmans » et, en face, « les laïcards complaisants » augurent les qualificatifs d’islamophobes et d’islamo-gauchistes qui n’existaient pas alors et qui continuent en 2017 d’empoisonner le débat public. Les deux camps de l’époque perdurent aujourd’hui : ceux qui pensent que ce déchaînement de violence intolérable contre des adolescentes a braqué durablement la communauté musulmane et ceux qui jugent que l’État, en manquant de fermeté, a laissé s’épanouir l’intégrisme islamiste.

    • Merci @thibnton pour cet extrait et pour l’éventuelle prise de risque encourue. Il faut savoir vivre dangeureusement :) Au moins cela pourra donner des éléments à celles ou ceux qui souhaitent entamer un nième débat sur la laïcité en étant non abonné à ce journal récemment introduit dans l’éducation national par le biais du décodex « le guide pour savoir à qui faire confiance sur internet »

      http://www.les-crises.fr/bien-sur-et-maintenant-leducation-nationale-recommande-le-decodex/#comment-429198