En laissant entendre, vendredi 31 mars, que l’#Espagne pourrait avoir un droit de veto sur le futur post-Brexit de la colonie britannique de #Gibraltar, le président du Conseil européen Donald Tusk a fait sortir Boris Johnson de ses gonds. « Gibraltar n’est pas à vendre. Gibraltar ne peut pas se marchander. Gibraltar ne sera pas soldé », a répliqué le ministre des affaires étrangères du #Royaume-Uni dans le Sunday Times. La première ministre Theresa May a confirmé qu’elle ne conclurait « jamais d’accord qui laisserait passer les habitants de Gibraltar sous une autre souveraineté sans leur volonté librement et démocratiquement exprimée » — en 2002, rappelait récemment Lola Parra Craviotto dans nos colonnes, près de 99 % de la population avaient déjà refusé par référendum son rattachement à l’Espagne.
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