Le maudit bic de Dylan
►https://towardgrace.blogspot.fr/2017/06/le-maudit-bic-de-dylan.html
Le maudit bic de Dylan
►https://towardgrace.blogspot.fr/2017/06/le-maudit-bic-de-dylan.html
S’il fallait une preuve de plus du foutage de gueule dylanien ( ►http://towardgrace.blogspot.fr/2017/06/le-maudit-bic-de-dylan.html ), et naturellement les fans de cette chèvre bêlante trouveront la chose so Dylan (il étranglerait une vielle dame dans une rue obscure, on continuerait de lui trouver des odeurs de beurre frais). Quand je pense à tous les véritables écrivains qui de par le monde ont écrit des oeuvres courageuses et admirables, ils n’ont pas fait la moitié d’une connerie l’année dernière les jurés du Nobel.
Non @fil le plagiat c’est pour les élèves qui ont encore quelques compétences pour masquer leurs méfaits, là c’est juste de la copie, et sur quelle source !
Aussi dans les Inrocks :
Bob Dylan a-t-il plagié son discours au Prix Nobel ?
Ariane Bernard, Les Inrocks, le 16 juin 2017
►https://seenthis.net/messages/608412
▻http://towardgrace.blogspot.fr/2017/04/ponctuer-labsence.html
Car ici, le point-virgule est pluriel, il ne dit pas toujours la même chose, il est différence et répétition, c’est une variable, mais c’est aussi tantôt une coupure, tantôt une suture. Certes, sa fonction première dans Une fuite en Egypte semble évidente à première vue : éviter le point et, dans le même temps, refuser la virgule. Empêcher la finitude, affirmer la fragmentation. Continuer en trébuchant. Dès lors, le point-virgule devient une balise flottante, capable de trancher, de retarder, de déséquilibrer, etc. Une notation musicale inédite, contrainte d’assumer à elle seule le rôle de toutes les notes, toutes les nuances
:
Bon c’est pas tous les jours non plus que je reçois les traces d’une lecture tellement attentive et tellement fine. Claro, plus connu pour son maniement du lance-flammes, a lu Une Fuite en Egypte et il en pense apparemment du bien. Je serais carbonisé une autre fois sans doute
À notre bienfaiteur ;
les points-virgule reconnaissants !
Ce qui est pas cool, c’est quand on s’arrête, de reprendre la lecture plus tard…
@monolecte Faut corner les pages ! Utiliser un ticket de métro comme marque-page, un post-it, our tout lie d’un coup !
J’ai un marque-page, bien sûr, mais j’ai l’habitude de m’arrêter à la fin d’un paragraphe ou d’un chapitre… C’est retrouver le fil dans la page…
@monolecte Si j’osais je te dirais que cela fait de toi une drôle de révolutionnaire militante qui veut, à raison, changer, de fond en comble, la société, tout en préservant de minuscules habitudes, comme d’interrompre sa lecture à la fin d’un paragraphe. Just kiddin’
@monolecte, tant mieux, je m’en serais voulu. J’ai juste pas pu résister à faire un « bon » mot.
J’ai un marque-page, bien sûr, mais j’ai l’habitude de m’arrêter à la fin d’un paragraphe ou d’un chapitre… C’est retrouver le fil dans la page…
Grâce à mon marque-page « Imadiez », je peux retrouver la page instantanément mais pas le fil des idées. Je reviens systématiquement en arrière pour me remettre dans le contexte. C’est sûr, ça retarde. Sinon, il paraît que @reka aurait acheté le livre et je ne sais plus à qui le transmettre maintenant. Une idée ?
@philippe_de_jonckheere Je viens d’aller chez Wikipédia pour me rencarder un peu sur le #bookcrossing
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Bookcrossing (je ne connaissais pas le concept). Quel(s) site(s) me recommandes-tu ?
@sombre En fait c’est un peu en fonction de là où tu habites. Moi j’aurais surtout tendance à laisser le bouquin à un arrêt de bus ou tout autre endroit où peut commencer une lecture. au Méliès à Montreuil, il y a carrément une bibliothèque dans la salle d’attente, j’y ai souvent un livre en cours de lecture sur place, donc tu l’auras compris je suis plutôt pour une pratique sauvage.
Ah mais là cela devient de la prolifération sauvage, je ne peux plus rien faire pour contenir un tel enthousiasme, si ce n’est encourager @sandburg à ajouter du désordre au Désordre et donc là aussi ouvrir une nouvelle branche de bookcrossing (à Lille en plus) et du coup, si ej peux me permettre de conseiller l’endroit d’un tel échange de prisonniers, à la gare Saint-Sauveur, haut lieu de mon histoire familiale.
Eh @odilon raconte nous aussi le chemin de la fuite que tu as eu entre les mains, vu que je te l’ai envoyé avec un bisou si bien caché dedans qu’apparemment tu ne l’as pas trouvé
La mienne a suivi ce chemin-ci
▻https://seenthis.net/messages/581624
J’ai bien vu le petit commentaire sur ta lecture mais pas de bisou caché qui m’était destiné (zut alors). Il faut demander si @simplicissimus l’a trouvé ! Cela pourrait alors donner lieu à un joli quiproquo :))
@philippe_de_jonckheere qui dit :
donc tu l’auras compris je suis plutôt pour une pratique sauvage.
Certes. Disons que l’intérêt de le référencer sur un site comme
▻http://www.bookcrossing.com permet de suivre le livre si les lecteurs éventuels veulent bien jouer le jeu. Mais ça oblige de laisser ses identifiants sur une nouvelle plate-forme et ça me gave.
Je vais quand même prendre le temps de réfléchir au devenir de ce livre et agrémenter sa lecture (et ses relectures) en me perdant sur ▻https://www.desordre.net/blog
@sombre, oui fais bien comme tu veux, tu peux même le garder je crois, si toutefois il t’a plu.
@aude_v Oui ! Garle-le (surtout s’il t’a plu). A part les livres de bibliothèques publiques, je pense pas que ce soit si courant que les livres soient lus par autant de monde, c’est dire si cela me réjouit et si cela m’encourage pour le prochain à faire pareil, voire à amplifier le mouvement.
@aude_v La prochaine fois on cartographie la chose!
@philippe_de_jonckheere : Et bien voilà, n’arrivant pas à abandonner cet exemplaire à un-e lecteur-rice hypothétique , j’ai transmis mon exemplaire à @reka (comme il me l’a proposé) afin de ne pas rompre la chaîne et pour que d’autres Seenthisien-nes puissent en profiter.
Dire que le bouquin m’a plu serait exagéré. Disons que ça m’a parlé sur le mode « gros méchant blues de 12 t » à propos du regret de tous les possibles qui ne sont pas advenus et du sentiment de trahison à l’encontre d’un être aimé qui disparaît (d’une façon ou d’une autre). Un truc m’a franchement fait rire, c’est quand le narrateur parle de son « travail de deuil ». Oups ! J’ai déjà un peu « spoilé », là, non ?