L’Arbre Parachutiste on Vimeo
▻https://vimeo.com/506163124
Critique : La fête est finie, de Nicolas Burlaud - Critikat
▻https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/la-fete-est-finie
Le label « Capitale européenne de la culture » fait partie de ces dispositifs qui ont tendance à susciter l’unanimité : création d’emploi, prestige accru de la ville, investissements, grands travaux, stimulation du tourisme… autant d’arguments imparables pour mettre tout le monde d’accord. Alors qu’il s’intéresse à cette fameuse année 2013 à Marseille, le jeune réalisateur Nicolas Burlaud choisit justement de s’intéresser au processus visant à créer cette impression d’unanimité. Plus que la ville, plus que la fête, le documentariste filme une mise en scène. Cette idée pertinente va ainsi nourrir un regard qui vise avant tout autre chose à repolitiser la question de la ville comme espace de lutte, dans lequel une culture cherche purement et simplement à effacer les traces de celles qui l’ont précédée.
Disponible ici
▻https://vimeo.com/141637856
Ministro de Gobierno, Eduardo Del Castillo, brinda conferencia de prensa acerca de intentos de magnicidio al presidente, Luis Arce.
▻https://vimeo.com/635706019
▻https://tradfem.wordpress.com/2021/10/08/la-nouvelle-zelande-cedera-t-elle-au-lobby-transgenriste-geneviev
La Nouvelle-Zélande est un pays où le lobby transactiviste tente de créer une « tête de pont », c.-à-d. un territoire ou les prérogatives réclamées pourront être citées en exemple au monde entier. GENEVIEVE GLUCK explique en comité parlementaire plusieurs problèmes liés à ces propositions qui souhaitent institutionnaliser le critère de « l’identité sexuelle » en remplacement du « sexe ».
Soumission au Parlement de la Nouvelle-Zélande concernant l’auto-identification sexuelle
Vidéo : ▻https://vimeo.com/626211433#=
La legisladora de Morena, Antares Vázquez Alatorre, asegura que Lilly Téllez es una “traidora” al pueblo de Sonora, a sus electores y a la 4T
▻https://vimeo.com/624858934
It’s rainig rain...
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/51543373770
ValK. a posté une photo :
pluie sans discontinuer depuis la matinée : le département est en alerte rouge inondations ! . [description alternative : Photo N&B très contrastée et sombre depuis la fenêtre de mon bureau-chambre. Au premier plan un gros escargot decoratif posé sur dormant. En arrière plan petite maison, toits, immeuble et grand sapin... et la pluie, la pluie, la pluie ! ] . ¤ autres photos : vu.fr/valkphotos . (i) infos : twitter.com/valkphotos ¿ audios : frama.link/karacole ☆ oripeaux : frama.link/kolavalk ◇ rdv locaux : 44.demosphere.net ♤ me soutenir : liberapay.com/ValK
Tom Waits - Rain Dogs
▻https://www.youtube.com/watch?v=DyjbEsWpzYU
Here is our latest Tom Waits playlist. This one is called “A Little Rain” and features many of Tom’s most beloved lyrical ballads from throughout his career.
▻https://www.youtube.com/playlist?list=PLTMN6OMDTnKlOoyjkFSIMq6_VP1_NGCEE
Place des femmes dans la société assyrienne de l’#antiquité : en #Mésopotamie s’est développée une société dont les fondements reposent sur les #échanges_marchands, la #capitalisation, et l’apparition de l’#usure pratiquée par des banquiers. Pour assurer leurs prospérités et surtout celle de leurs proches, certaines femmes sont devenues des #femmes_d'affaires.
#Archéologie : à la rencontre des premières femmes d’affaires, en Mésopotamie
▻https://theconversation.com/archeologie-a-la-rencontre-des-premieres-femmes-daffaires-en-mesopo
« Kulumaya t’apporte 9 étoffes, Iddin-Suen t’apporte 3 étoffes […] Pourquoi m’écris-tu à chaque fois : “ Les étoffes que tu m’envoies ne sont pas bonnes ? ” Qui donc vit dans ta maison et déprécie mes étoffes lorsqu’elles arrivent ? Pourtant, je fais de mon mieux pour fabriquer et t’envoyer régulièrement des étoffes afin qu’à chaque voyage, en retour, je dispose d’au moins 10 sicles (82,5 g) d’argent pour gérer ta maison. »
Cette lettre, envoyée par Lamassî à son époux Pûshu-kên, a été découverte dans la maison de ce dernier lors des fouilles du site de Kültepe (non loin de Kayseri, Turquie), l’antique Kanesh, une ville prospère au XIXe siècle av. J.-C.
No sabemos el paradero de los normalistas de Ayotzinapa por lo que EPN decidió en Los Pinos
▻https://vimeo.com/618401193
Motorville
▻http://carfree.fr/index.php/2021/09/23/motorville
Motorville est un film coup de poing. En moins de trois minutes, Patrick Jean, son réalisateur, parvient à nous faire ressentir l’addiction de nos sociétés au #pétrole en utilisant l’anthropomorphisme sur Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #Fin_du_pétrole #dépendance #énergie #films #los_angeles #usa #vidéo
J’avais jamais vu ce court
►https://vimeo.com/62468031
Ah tiens il avait été signalé là par @reka en 2013 (pfiou, le temps…). Et du coup #cartographie_radicale (ça va avec l’actualité huhu).
▻https://seenthis.net/messages/128669
Lisbonne (Portugal) : feira anarchiste du livre, les 25 et 26 septembre 2021
▻https://infokiosques.net/spip.php?article1856
Viva ! Depuis ce point du globe toujours plus proche de la catastrophe totale, fruit du tsunami touristique, de l’appareil pharmaco-sécuritaire et de la normalisation de tout, nous vous invitons encore une fois toutes et tous à un week-end de rencontre entre résistants, insoumis et iconoclastes. Les 25 et 26 septembre 2021, la Foire Anarchiste du Livre revient à Lisbonne, à la Quinta do Ferro, rua C, nº70 (parallèle à la rua Leite Vasconcelos). Si vous voulez vous joindre à nous dans la (...) #ailleurs
▻https://feiranarquistadolivro.noblogs.org/onde
▻https://feiranarquistadolivro.noblogs.org/programa
▻https://malacoda.noblogs.org/post/2021/04/02/e-stato-pubblicato-il-libro-quale-internazionale-di-alfredo-cospit
▻https://tigrepapel.pt/product/quando-ninguem-podia-ficar-racismo-habitacao-e-territorio
▻https://vimeo.com/denisestk
▻https://feiranarquistadolivro.noblogs.org/domingo
▻https://www.revistalegerin.com
▻https://feiranarquistadolivro.noblogs.org
Un muerto y dos desaparecidos por deslave en Unión Juárez, Chiapas
Protección Civil de Chiapas indicó que este 12 de septiembre, a las 17:30 horas, el Comité Comunitario realizó el reporte de la afectación de dos casas.
Emiliano Velázquez de León de 22 años no pudo salir de su hogar y quedó atrapado entre la tierra en el Cantón Chiquihuite, Unión Juárez, Chiapas.
La dependencia aseveró que el Cantón, ubicado a unos 20 minutos de Unión Juárez en camino de terracería con vehículo, está dentro de la región del volcán Tacaná y por tanto es considerado zona de alto riesgo por las pendientes del terreno.
▻https://vimeo.com/605041106
Quel appareil photo pour un gaucher ?
▻https://pyrros.fr/tutoriel/appareil-photo-gaucher
Pierrick a bien essayé des appareils photos « normaux » mais cela n’est pas confortable. La position pour tenir le boîtier avec la main gauche n’est pas la plus pratique. Il a essayé de tenir son appareil dans le sens normal, mais l’appareil n’est pas stable, il a aussi essayé de retourner l’appareil et dans ce cas il est impossible d’utiliser l’écran dont les inscriptions se retrouvent inversées. Les boutons de commande prévus pour les droitiers ou ceux capables d’utiliser leur main droite ne sont pas pratiques à utiliser pour un gaucher et lui imposent de « jongler ».
Je ne suis pas gaucher, donc je n’ai pas ce souci. En revanche, si je tiens bien l’appareil avec la main droite, je vise avec l’œil gauche (je suis droitier de la main, et gaucher de l’œil).
Appareil à visée pour gaucher !?
▻https://www.chassimages.com/forum/index.php?topic=269026.0
Mon oeil directeur est le gauche et non droit comme la plupart des gens.
Résultat, utiliser un appareil photo à visée est souvent problématique. Utiliser le second oeil pour visualiser le monde alentour est impossible. J’ai le boitier collé sur mon nez. C’est peut-être pas grand chose pour vous mais j’ai toujours l’impression d’utiliser l’appareil à l’envers !?
C’est pourquoi je me demande si une marque aurai sorti un appareil à visée pour gaucher ?!
En pratique ce n’est tout de même pas une grosse gêne (à moins d’avoir le nez de Cyrano). Mais petit détail : mon nouvel appareil a une fonction paraît-il très sympa qui permet, lorsqu’on vise dans le viseur optique (en fait numérique), de déplacer le point d’autofocus en utilisant l’écran tactile du dos en glissant avec le pouce, façon trackpad. Mais j’ai dû désactiver ça, parce que quand je visais via le viseur optique, je déplaçais le point d’autofocus avec… mon pif.
Pareil, j’ai un gros souci de vision qui fait que seul mon oeil gauche est fonctionnel, et par ailleurs je suis droitier. Pas de souci particulier avec les appareils quels qu’ils soient... Sauf quand ils ont un écran tactile effectivement, à cause du pif !
Tu as déjà essayé le tir à l’arc ? Bon sang c’est d’un chiant quand on tient l’arc en droitier et qu’on vise avec l’œil gauche… :-)
Ah, tiens, ça me rappelle une anecdote mignonne avec ma petite et du lancer de hache…
Comme c’était avant le Covid, elle devait avoir 7 ans, et j’ai emmené les enfants à un festival médiéval dans un petit village. Un des stands, c’était du lancer de haches (des petites haches, à peine plus grandes que des couteaux) sur une cible. La plupart des gens avaient un mal fou, n’arrivant généralement même pas à planter la hache dans le bois de la cible ; mais ma gamine dès son premier jet, a planté les haches dans la cible, avec un geste ample et assuré assez impressionnant. Après ses trois lancers (dont deux plantés dans la cible), le type qui tenait le stand la fait « oh là, elle fait du sport, cette petite ! ». Et ma gamine a expliqué : « ah ben oui : je fais du ballet classique ! ».
Ceci expliquant donc cela… :-)
Ça doit donc être pour ça que je suis une quiche au tir à l’arc : je devrais faire du ballet classique !
(et donc de fait : en tenant l’arc comme un droitier mais en visant de l’oeil gauche c’est juste la merde).
Je voudrais commencer à faire des belles photos mais j’avoue que je n’arrive pas du tout à m’y retrouver dans la jungle des appareils photos de qualité :(
Le seul qui m’attire c’est le X100F de Fuji parce qu’il est beau (oui je sais c’est nul comme critère) et qu’il a de bonnes critiques...mais est ce que ça suffit comme critères ou je passe à côté de plein de choses ?
Vous auriez des conseils à me donner ?
Merci d’avance !
@fonkisifou Si ce n’est pas pour un usage ultra-spécifique (et professionnel), n’importe quel appareil de ces dix dernières années fera parfaitement l’affaire. Tous les appareils sont bons et dotés de bons capteurs désormais.
Si tu as des sous à mettre dans la photo, il vaut mieux te concentrer sur le choix des objectifs : ce sont les objectifs qui ont un impact franchement visible sur tes photos, et ça, ça coûte toujours un peu cher (surtout si tu as déjà mis tous le budget dans l’appareil nu).
Là tu parles d’acheter un appareil avec objectif non interchangeable, et qui coûte un bras, c’est vraiment un usage ultra-spécifique et ultra-pro (genre : street photo de compétition, et avec un grand angle pas génial pour le portrait). Du coup si tu vas par là, c’est plus l’usage qui va déterminer ton achat, pas la versatilité de l’appareil « en général ». Sinon, si tu cherches la versatilité : appareil moins cher, mais à objectifs interchangeables.
Sinon n’hésite pas à te tourner vers l’occasion. Moi je suis passé par mpb.com pour acheter un appareil sorti en 2016, qui était encore le haut de gamme de sa marque en 2020, et je réutilise la collection d’objectifs que j’ai depuis 15 ans pour la même marque.
Le 5DMIV ? :-)) Il est sorti en 2016. Mais il a un viseur optique. J’avoue ne pas encore avoir envie de me passer d’un viseur optique. Ni de mes objectifs.
Non, je suis chez Olympus (capteur 4/3) depuis 2007. Du coup j’ai pris un E-M1 Mark II, compatible avec mes objectifs. Et je suis vraiment bluffé par les progrès réalisés de ce côté. Et oui, pas de miroir, donc viseur électronique (moi j’aime beaucoup, et de toute façon avec ces appareils modernes tu peux utiliser assez largement l’écran à l’arrière de l’appareil, notamment pour les portraits, ça permet les positions plus acrobatiques, et aussi tu restes en contact avec les gens que tu photographies).
Avantage aussi : Olympus fait du mirrorless depuis 2009, alors tu as beaucoup d’appareils de ce genre en occasion. Alors que chez Canon le mirrorless en full frame ça date de 2018 et donc même en occasion ça coûte encore un bras (je vois le Canon R à 1400€ en occasion, c’est plus de deux fois plus cher que ce que j’ai payé le mien).
Super sympa vos réponses :)
Ces quelques phrases m’ont déjà beaucoup plus éclairées que ce que j’ai pu trouver jusque là.
Effectivement je serais plutôt sur la versatilité.
Du coup j’ai plusieurs questions @arno :
– t’as l’air d’avoir une belle collection d’objectifs, c’est pas trop encombrant à transporter pour les vacances ? Pas trop compliqué pour faire le choix de l’objectif à utiliser en fonction des photos ?
– c’est les progrès au niveau des objectifs dont tu parles ? Ils ont plus petit, plus précis, autre ?
– c’est quoi du mirrorless en fullframe ?
– Pourquoi l’écran te permet d’être en contact avec les gens (ce qui me semble pas mal comme truc)
(désole pour toutes ces questions :( )
– t’as l’air d’avoir une belle collection de photo, c’est pas trop encombrant à transporter pour les vacances ? Pas trop compliqué pour faire le choix de l’objectif à utiliser en fonction des photos ?
L’avantage du système 4/3 (capteur moitié plus petit que le 35mm, qu’on appelle désormais full frame), c’est que les objectifs sont plus petits et un peu plus légers.
Pour les vacances (généralement plutôt en ville et en famille), j’ai un zoom de très bonne qualité (équivalent 24-80mm, ouverture f2.8), qui me fait couteau suisse (ça va de la photo d’ambiance au portrait sans problème). Et j’emmène un objectif fixe (j’ai un équivalent 60mm, ouverture f1.4) notamment pour les portraits (un objectif fixe de qualité, je pense que c’est plus important que le zoom – en vacances le zoom est pratique pour l’aspect « documentaire » , mais pour les images qui font « whoah ! », c’est le fixe qui va les faire). Sur le nouveau système, j’ai un petit objectif fixe équivalent 50mm qui ouvre à f1.7, pas cher du tout, et extrêmement léger, mais je suis pas très convaincu par les photos que j’obtiens : comme je te dis plus haut, les objectifs, malheureusement, le prix que tu mets dedans se voit, il faut vraiment prévoir de mettre les sous là-dedans.
Après, là aussi ça dépend de tes vacances. Si tu fais de la randonnées et des photos de paysage, tu peux choisir un zoom du genre 16-50mm. Si tu fais de la photo d’animaux, tu emmènes un zoom beaucoup plus long.
Et aussi, ça dépend de ce que tu es prêt à casser/te faire voler. J’apprécie d’avoir du matériel acheté d’occase, ou qui a déjà servit 15 ans, très bonne qualité et solide, mais qui aujourd’hui ne vaut pas si cher. Si je casse quelque chose c’est pas un drame, et j’ai moins de chances de me faire dévaliser qu’avec un appareil qui coûte 3 Smics (si tu te promènes le soir sur les Ramblas de Barcelone avec un Canon haut de gamme, bon ben le lendemain tu te promèneras au parc Güell sans appareil photo).
– c’est les progrès au niveau des objectifs dont tu parles ? Ils ont plus petit, plus précis, autre ?
Non, pour le coup ce sont les progrès des capteurs. Mon précédent appareil datait de 2009, c’était une belle bête, mais le capteur du nouveau (sorti donc en 2016), pourtant du même format, pfiou. Les photos « normales », pas de souci c’était déjà très bien. Mais maintenant je peux faire ressortir les zones sombres, retraiter les fichiers RAW, avec beaucoup plus de latitude qu’avant.
– c’est quoi du mirrorless en fullframe ?
Les appareils photo, traditionnellement, te permettaient de visualiser la scène que tu photographie directement au travers de l’objectif. Pour cela, tu avais un miroir basculant entre l’objectif et la pellicule, qui te permettait d’envoyer l’image plus haut, au niveau de ton viseur. Et quand tu prends ta photo, le capteur bascule, pour laisser passer la lumière vers le capteur qui est derrière lui (et c’est noir dans ton viseur pendant cette fraction de seconde). C’est ce qu’on appelle un appareil reflex. Quand on est passé au numérique, on a conservé exactement le même système, simplement on a remplacé la pellicule par un capteur. Toujours avec ce miroir. (Ce qu’on appelle DSLR.)
Depuis les années 2010, les fabricants ont développé des systèmes où l’image qui sort de l’objectif arrive directement sur le capteur, donc sans miroir (mirrorless). Donc tu n’as plus de viseur optique, puisque l’image n’est plus redirigée ailleurs que sur le capteur. À la place, le capteur est toujours actif, et c’est donc l’image numérique captée en permanence par le capteur qui est affichée dans un tout petit écran dans ton viseur. On parle alors de viseur électronique (electronic viewfinder). Inconvénient : il y a des gens qui n’aiment pas, l’image est généralement moins définie, les vieux modèles pouvaient avoir un peu de délai, etc. Avantage : c’est une image informatique, donc sur laquelle on peut surajouter en direct tout plein d’informations (dans mon viseur, j’ai un histogramme, j’ai les zones trop claires ou trop sombres qui clignotent pour l’avertir… Ça te permet aussi de voir les photos déjà prises dans le viseur, et pas seulement sur l’écran au dos de l’appareil, ce qui est pratique quand tu es dehors avec beaucoup de lumière. Comme il n’y a pas de miroir pivotant, on peut rapprocher la sortie de l’obectif du capteur, et on gagne alors en taille. Et on profite de différents progrès liés à l’absence de miroir pivotant (très grande vitesse d’enchaînement des photos, absence de bruit, absence de vibrations dues au clic…).
Quand au fullframe, c’est la dimension du capteur qui correspond au format de la pellicule 35mm. C’est un peu le format « royal » des professionnels, le grand capteur de meilleure qualité… (Il y a un format plus grand, le moyen-format, qui existe aussi en numérique, mais c’est nettement plus cher à tous les étages).
Traditionnellement, en numérique, pour économiser le prix des capteurs, les marques comme Canon et Nikon ont en plus de leurs reflex numériques plein format, vendu des appareils avec des capteurs plus petits, dont la principale est le format APS-C.
Ça permet d’avoir des appareils plus petits, des objectifs plus petits et moins lourds, le tout généralement moins cher que le plein format.
De mon côté, avec Olympus, je suis sur un format encore plus petit, le 4/3, ce qui permet des dimensions encore plus petites (pour les prix, non, ça n’est pas vraiment moins cher que l’APS-C, notamment parce que c’est moins répandu – mais on est largement moins cher que le fullframe). Du coup, puisqu’une priorité de ce format c’était déjà de réduire les dimensions, Olympus et Panasonic ont été les pionniers pour lancer des appareils mirrorless, qui permettent de gagner encore en taille. Ils te sortent des appareils qui ont des dimensions de compact (ces petits appareils photo simples et de petite taille qui ont plus ou moins disparu au profit des smartphones), mais avec la qualité d’image d’un appareil « sérieux ».
Par contre, évidemment, capteur deux fois plus petit que le fullframe, ça a des avantages mais aussi des inconvénients sur la qualité des images (je ne peux pas prendre des photos dans des situations aussi sombres, j’ai une profondeur de champ plus grande…).
Bref, du « mirrorless en fullframe », c’est une gamme nettement plus récente d’appareils, située en haut de gamme, avec un grand capteur (fullframe) et pas de miroir (mirrorless). Ce sont de superbes machines, mais ça coûte un bras (le Canon R6 coûte 2500 euros sans objectif - c’est deux fois plus cher que le haut de gamme Olympus, qui est du mirrorless avec capteur deux fois plus petit). Et comme c’est récent, les modèles les plus anciens sont très récents (2018), donc encore très chers en occasion (le premier Canon R est à 1400 euros d’occase, là où des mirrorless 4/3 de bonne facture commencent à moins de 300 euros).
Après, je ne donne pas de conseils d’achat, j’ai une tendance à toujours choisir le système minoritaire qui va finir par se casser la gueule (pour te dire le genre : j’ai acheté une Dreamcast quand tout le monde avait une Playstation 2).
M’enfin là où je veux en venir depuis le début, c’est que je vois souvent des gens avec un reflex Canon d’entrée de gamme, qui serait capable de faire de très très belles images, mais qui sont restés avec l’objectif livré en kit avec l’appareil, qui ne permet pas du tout de profiter de la qualité des capteurs d’aujourd’hui. Alors qu’en mettant un peu de sous dans l’objectif (je sais pas trop, mais en Canon je suppose qu’on trouve un très bon 50mm bien lumineux pour pas bien cher), ils feraient vraiment des photos qui épateraient leur famille.
– Pourquoi l’écran te permet d’être en contact avec les gens (ce qui me semble pas mal comme truc)
C’est un peu comme quand tu fais un portrait avec ton smartphone : tu n’as pas l’oeil collé à un viseur et le visage cachée derrière l’appareil, tu n’es pas en train de bouger dans tous les sens pour trouver le bon angle ou soigner l’arrière-plan : tu tiens juste l’appareil à bout de bras, et pendant ce temps tu peux continuer à parler et sourire aux gens, les gens voient tes yeux, c’est pas impressionnant pour la personne que tu photographies… Je trouve notamment qu’avec les enfants c’est beaucoup plus agréable.
L’appareil parfait pour les gauchers et ambidextres est le Rolleicord de 1955. La mise au point et l’avancement de la pellicule se font avec la main droite, la main gauche contrôle l’obturateur. Je m"en sers toujours.
Merci @arno pour toutes ces explications et ta patience 🙇🏿
Je pense que je vais relire ça 2 ou 3 fois voir plus pour mûrir ma réflexion (et pour être sûr d’avoir bien tout compris 😅)
Ghosts of Amistad – In the footsteps of the rebels
▻https://www.ghostsofamistad.com
▻https://vimeo.com/474806814
Ghosts of Amistad chronicles a trip to Sierra Leone to visit the home villages of the people who seized the slave schooner Amistad in 1839, to interview elders about local memory of the case, and to search for the long-lost ruins of Lomboko, the slave trading factory where their cruel transatlantic voyage began.
“This film is an ambitious and imaginative attempt to explore the impact of the Amistad Mutiny and the repatriation of the brave -Africans to their homes in Sierra Leone. It is of great interest to any student of slavery and the slave trade.”
Voyage zapatiste - La « extemporanea » et une Iniciative Nationale - Communiqué du Sous-commandant insurgé de l’EZLN, Moisés - Juillet 2021 - CSIA-Nitassinan
▻http://www.csia-nitassinan.org/spip.php?article1199
▻https://vimeo.com/575913768
Après la disparition de Marc Tomsin, l’équipe de Quilombo perd l’une de ses figures historiques.
▻https://librairie-quilombo.org/hasta-luego-querido-companero
Le peuple du livre perd l’un de ses ardents défenseurs ; l’équipe de Quilombo l’une de ses figures historiques ; et beaucoup un ami. Nous ne t’oublierons pas Bastien. Compte sur nous pour poursuivre les nombreux combats auxquels tu as participé à nos côtés. ¡ Hasta luego, querido compañero !
▻https://lavoiedujaguar.net/-liens-30-
Rassemblement jeudi 22 juillet, 17h30 Place St-Augustin, Paris 8eme pour exiger l’ouverture des frontières aux zapatistes.
▻http://www.csia-nitassinan.org/spip.php?article1200
En Ariège, des bergers déplacent des montagnes - Le site du journal L’âge de faire
▻https://lagedefaire-lejournal.fr/en-ariege-des-bergers-deplacent-des-montagnes
RAPPORT NATIONAL 2020 SUR LES CENTRES ET LOCAUX DE RÉTENTION : LA RÉTENTION EN PÉRIODE DE COVID-19
Dans le rapport 2020, les associations Forum réfugiés-Cosi, France Terre d’Asile, Groupe SOS Solidarités – Assfam, La Cimade, et Solidarité Mayotte mettent en avant les problématiques habituelles rencontrées en rétention et exacerbées par la crise sanitaire. Publié le 6 juillet 2021, le rapport, qui embrasse la situation dans les CRA et LRA de métropole et d’outre-mer, offre deux angles d’approche : national et local.
Malgré la crise sanitaire et les confinements, les centres de rétention administrative n’ont pas cessé de fonctionner en 2020, témoignant de la volonté de l’État de poursuivre la politique d’éloignement en privilégiant le recours à la rétention, y compris en contexte épidémique et en l’absence d’éloignement possible.
Dès le 19 mars 2020, dans une lettre ouverte adressée au ministre de l’Intérieur, nos associations, constatant l’absence puis l’insuffisance des protocoles sanitaires, ont demandé la fermeture temporaire des centres et locaux de rétention administrative, la suspension des décisions de placement en rétention et la libération des personnes retenues. Par la suite, les juridictions ont été saisies en ce sens.
Ces demandes n’ont pas été entendues, si bien que des personnes retenues se sont retrouvées exposées au virus, les foyers de contamination se multipliant dans ces lieux de privation de liberté. De plus, des personnes atteintes de pathologies graves, physiques et psychiques, ont continué d’être enfermées, malgré le risque de développer une forme grave de la Covid-19.
Des placements sans perspective d’éloignement
En 2019, avec l’allongement de la durée maximale de rétention à 90 jours, les associations faisaient le constat d’un allongement de la durée moyenne d’enfermement, pourtant peu efficace et disproportionné au regard du but poursuivi. En 2020, cette durée moyenne s’est encore allongée, alors même que la fermeture des frontières limitait fortement, voire rendait impossible pour certaines destinations, l’éloignement des personnes enfermées.
Sanctionnant ces privations de liberté illégales, uniquement lors du premier confinement, les juges ont massivement libéré les personnes placées en CRA. Ces décisions n’ont néanmoins pas infléchi la politique du gouvernement, qui a enfermé plus de 27 000 personnes en rétention malgré le contexte sanitaire.
Un quart des placements en rétention en 2020 concernaient des personnes sortant de prison à l’issue de leur peine, ce qui revêt un caractère abusif dès lors que l’éloignement à bref délai n’est pas possible. En plus de l’absence de perspectives d’éloignement et d’une incertitude encore plus prononcée que les années précédentes quant à l’issue de la rétention, le contexte sanitaire a engendré des atteintes et des restrictions de droits de la part de l’administration, telles que la limitation ou l’interdiction des visites aux personnes enfermées, ou le recours systématique au mode dégradé d’accès à la justice que constituent les visioaudiences.
Les conséquences parfois graves sur la santé physique et mentale des personnes enfermées se sont trouvées amplifiées en 2020 avec des angoisses et un sentiment d’incompréhension provoqués par ce contexte sanitaire et juridique particulier. Par suite, on a constaté davantage de mouvements de contestation tels que les grèves de la faim, ou de gestes désespérés comme les tentatives de suicide ou les actes d’automutilation.
▻https://www.lacimade.org/rapport-national-2020-sur-les-centres-et-locaux-de-retention-la-retention-
Pour télécharger le rapport :
▻https://www.lacimade.org/wp-content/uploads/2021/07/RA_CRA_2020_web.pdf
#France #rétention #asile #migrations #réfugiés #détention_administrative #CRA #2020
#rapport #La_Cimade
Votez pour moi 2017 film de Jean-Pierre Mocky
Le film complet : ▻https://ok.ru/video/1979983596282
#satire #humour #démocracie_locale #élections #Jean-Pierre_Mocky
Picture a scientist
SYNOPSIS
PICTURE A SCIENTIST chronicles the groundswell of researchers who are writing a new chapter for women scientists. Biologist Nancy Hopkins, chemist Raychelle Burks, and geologist Jane Willenbring lead viewers on a journey deep into their own experiences in the sciences, ranging from brutal harassment to years of subtle slights. Along the way, from cramped laboratories to spectacular field stations, we encounter scientific luminaries - including social scientists, neuroscientists, and psychologists - who provide new perspectives on how to make science itself more diverse, equitable, and open to all.
▻https://www.pictureascientist.com
#documentary #film #science #academia #women #US #harassment
ping @cdb_77
Picture a Scientist
Le #harcèlement_sexuel et les #inégalités femmes-hommes n’épargnent pas le monde des #sciences. Cette enquête édifiante ouvre les portes des laboratoires et donne la parole à plusieurs scientifiques qui brisent l’omerta en se confiant sur leur #parcours_professionnel, gangréné par le harcèlement et les #discriminations.
▻http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/60365_1
Podiumsdiskussion & Streaming-Event –
Eine Veranstaltung des Gleichstellungsbüros
Der Film
Picture a Scientist wirft Fragen zur Rolle von Frauen in der Wissenschaft auf. Wer macht eigentlich Wissenschaft? Und weshalb ist es in unserer Vorstellung immer noch „der Wissenschaftler“?
Im Film nehmen sich eine Biologin, eine Chemikerin und eine Geologin dieser Fragen an und führen das Publikum auf eine Reise durch die Erfahrungen ihrer akademischen Laufbahn – als Frauen der Wissenschaft.
In ihren Karrieren sind sie von Beginn an Diskriminierungen ausgesetzt. Wissenschaftlerinnen müssen einen stetigen Kampf um Anerkennung, Respekt und Gleichberechtigung führen.
Informationsmaterial zum Film
Trailer: PICTURE A SCIENTIST - Frauen der Wissenschaft online ansehen | Vimeo On Demand auf Vimeo
Interview mit den Filmmacher*innen (englisch): ▻https://www.youtube.com/watch?v=62qVQPe1sVc
E-Flyer zum FilmDie Veranstaltung
Das Gleichstellungsbüro lädt am 21.07.2021 zu einer Podiumsdiskussion im Rahmen eines Online-Lunchtalks von 12–14 Uhr zum Thema ’Aktuelle Situation von Frauen in der Wissenschaft’ ein. Diskussionsgrundlage und Anlass bildet der Film Picture a Scientist.
Der Stream des Films steht nach Anmeldung für die Podiumsdiskussion kostenfrei vom 16.–18.07.2021 zur Verfügung. Die darin aufgeworfenen Themen und Fragestellungen sollen im Rahmen der anschließenden Podiumsdiskussion reflektiert sowie kritisch diskutiert werden. Die Teilnehmer*innen der Veranstaltung sind eingeladen, bereits im Vorfeld der Podiumsdiskussion über die Homepage des Gleichstellungsbüros Fragen und Diskussionsanreize zu senden, die vom Podium aufgegriffen werden können.
Die Veranstaltung wird moderiert von Anneliese Niehoff, Mitglied im Vorstand der Bundeskonferenz der Frauen- und Gleichstellungsbeauftragten an Hochschulen e.V. (bukof) und Leiterin des Referates Chancengleichheit/Antidiskriminierung, Arbeitsstelle Chancengleichheit der Universität Bremen. Die Diskussionssprache ist deutsch.
Podium
Prof. Dr. #Diana_Imhof (Professorin für Pharmazeutische Biochemie und Bioanalytik)
Dr. #Amma_Yeboah (Psychodynamische Supervisorin, Fachärztin für Psychiatrie & Psychotherapie)
Dr. #Sinah_Kloß (Forschungsgruppenleiterin im Bonn Center for Dependency and Slavery Studies)
Dr. #Nina_Steinweg (Mitarbeiterin am Center of Excellence Women and Science)
PD Dr. #Eva_Youkhana (Stellvertretende Direktorin im Center for Development Research, ZEF)
Prof. Dr. #Heike_Kahlert (Professorin für Soziologie/Soziale Ungleichheit und Geschlecht)
Organisatorisches
Die Veranstaltung findet in Zoom statt. Der Veranstaltungslink sowie die Registrierung für das Filmstreaming wird Ihnen nach der finalen Platzvergabe per E-Mail zugestellt. Da nur eine begrenzte Anzahl von Tickets für den Film zur Verfügung steht, kann es sein, dass nicht alle Interessierten teilnehmen können. Wenn Sie den Film bereits kennen oder auch ohne den Stream in Anspruch zu nehmen gerne bei der Podiumsdiskussion dabei sein möchten, können Sie diese Option bei der Registrierung wählen.
Termine
Der Stream des Films wird im Zeitraum von
Freitag 16.07.2021 um 18:00 Uhr
bis Sonntag dem 18.07.2021 um 23.59 Uhr
verfügbar sein.
Die Podiumsdiskussion findet am 21.07.2021 von 12–14 Uhr statt.
Anmeldung
Hier können Sie sich bis zum 11.07.2021 anmelden.
Diskussionsfragen können Sie hier bis zum 19.07.2021 einreichen.
Stand 12.07.2021: Es sind noch Plätze bzw. Tickets verfügbar! Hier
Weitere Informationen zu Technik und Format:
Aufgrund der großen Personenzahl wird die Zoomveranstaltung im Webinarformat durchgeführt.
Eine Diskusssionsbeteiligung kann über die Chatfunktion erfolgen.
Wenn Sie eine*n Gebärdendolmetscher*in, eine*n Schriftsprachdolmetscher*in oder andere Unterstützungsmaßnahmen benötigen, melden Sie dies bitte bereits bei der Anmeldung an, damit wir rechtzeitig Vorkehrungen treffen können. Wir bemühen uns, die Veranstaltung so barrierefrei wie möglich zu gestalten.
▻https://www.gleichstellung.uni-bonn.de/de/universitaetskultur/picture-a-scientist
#Gender_Equity_Office #Bonn #Bonn_University #panel_discussion #interview
Never Aired: Profile on #James_Baldwin ABC’s 20/20, 1979 on Vimeo
Never Aired: Profile on James Baldwin ABC’s 20/20, 1979
▻https://www.nts.live/shows/guests/episodes/mubi-presents-juneteenth-18th-june-2021
A soundscape broadcast in celebration of Juneteenth, freedom day, featuring music from James Baldwin’s record collection interwoven with clips from the 1970s documentary Meeting the Man: James Baldwin in Paris.