/articles

  • Compter le coût neurologique du COVID-19
    Counting the neurological cost of COVID-19

    The neurological deficits caused by COVID-19, which were first reported in the early months of 2020, continue to intrigue neurologists and health-care professionals worldwide. As two new studies highlight, these manifestations are frequent and are expected to increase the burden of morbidity and mortality in the acute and chronic phases of COVID-19.

    vo [en] https://www.nature.com/articles/s41582-021-00593-7
    vf (traduction automatique google) : https://www-nature-com.translate.goog/articles/s41582-021-00593-7?error=cookies_not_supported&code=308d9

    Commentaires :

    #SARSCoV2 induit la mort cellulaire par apoptose dans des neurones. Une perte lente de neurones par ce mécanisme pourrait être à l’origine des caractéristiques neurologiques du #COVIDLong Cela peut provoquer d’énormes handicaps.

    https://twitter.com/Cote_Science/status/1474833784591818759

    Pour ceux qui n’ont toujours pas compris pourquoi il fallait éviter le virus, même si l’on ne finit pas à l’hôpital.
    Et rappel : la politique criminelle du laissez-circuler consiste basiquement à programmer, chez un individu moyen, 20 ? 30 ? 40 infections tout au long de sa vie.

    https://twitter.com/Panda31808732/status/1474867794252607493

    #covid #covid19

  • Covid-19 : on vous explique pourquoi le nouveau variant détecté en Afrique du Sud est considéré comme « une menace majeure » - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2021/11/25/covid-19-on-vous-explique-pourquoi-pour-le-nouveau-variant-detecte-en-afri

    Le variant B.1.1.529 présente un nombre « extrêmement élevé » de mutations et « nous pouvons voir qu’il a un potentiel de propagation très rapide », a déclaré le virologue Tulio de Oliveira, lors d’une conférence de presse en ligne chapeautée par le ministère de la Santé. Son équipe de l’institut de recherche KRISP, adossé à l’Université du Kwazulu-Natal, avait déjà découvert l’année dernière le variant Beta, très contagieux.

    #SARS-CoV2 #variants

    • C’est vraiment pas d’chance s’il y a des variants et si ça casse toute la dynamique positive mise en place par nos zélites. Comme dit l’autre, en même temps, c’est pas que c’est un échec, c’est que ça n’a pas marché.

      Le coup de la 3ème dose pour continuer à avoir le pass, j’avoue, hier soir, ça m’a rendu grognon. Parce que pour le coup, je voyais arriver la 4ème et 5ème dose... alors même que le monde de la recherche semble s’être totalement désintéressé du sujet.

    • Nouvelle souche virale. Thread by Pr_Logos
      https://threadreaderapp.com/thread/1463620077643829256.html

      1/ Nouvelle souche virale. Thread.
      Le mutant du Botswana, B.1.1.529, a 32 points de mutation à la protéine Spike. C’est beaucoup, et ça ouvre la possibilité qu’il soit mal reconnu par le système immunitaire…

      C’est le scenario redouté pour cet hiver.

      3/ Si le graphique du Financial Times est correct, c’est un monstre. Une transmissibilité accrue d’un facteur gigantesque.

      etc...

    • C’est pas pour se faire peur. C’est juste pour dire qu’on en parle depuis des mois. Comme l’aérosolisation dont la première étude explicite sur le sujet date du printemps 2020. Ou le Delta, dont la Grande Bretagne parle depuis Mars-Avril 2021.

      Notre super-équipe de vainqueurs, ils ont décidé que le pire de cette crise, c’était de porter le masque. Et que la meilleure récompense qu’ils pouvaient nous faire, c’était de ne plus nous « obliger » à le porter. Et le pire, c’est qu’ils y croient eux même. Heureux de pouvoir recevoir du monde dans les palais, sans masques ni distanciation.

      Ils ne se rendent pas compte de la violence du contre-choc que cela représente, d’avoir décidé de faire croire que c’était terminé cet été, d’avoir décidé que tout le monde pouvait faire comme si on pouvait tout refaire comme avant... et là, au bout d’un petit mois de vie « quasi-normale », constater que rien n’est résolu, et que même, d’ailleurs, ça va être encore pire, parce que « business as usual », on n’a toujours pas investi dans la santé, car c’est aux copains du privé de le faire et qu’en fait, on a continué à désinvestir, comme dans l’enseignement, d’ailleurs. On radote. Je radote. On ne cesse de répéter la même chose. Et il faut faire la 3ème dose, sinon couic, plus de vie sociale. J’ai envie de dire « pourritures ». J’ai des envies de batte de baseball et de pétage de genoux. Mais faut pas le dire. Faut juste le faire. Comme les flics qu’on envoie dans les Caraïbes, pour faire comprendre qu’il n’y a pas d’alternatives, faut laisser l’eau ne pas couler, faut laisser le chlordécone tuer les gens sans punir les coupables, faut laisser la misère, parce que. On radote. Et ils se serrent les coudes. Autour de Hulot, autour de Darmanin, autour de DSK. Jusqu’à ce qu’ils puent trop, et alors on les envoie à Cnews, où le patron nous emmerdent tous de très haut, nous les puritains qui ne supportons plus les prédateurs, à la Ma*, à la Mo*, à la Ze*. Où le patron les héberge et les met au boulot, protégé par des cordons de CRS, comme hier à la Guillotière à Lyon, provocation obscène sous protection policière. On radote. Et on s’y complait. On continue à faire comme s’il n’y avait pas de solution. Voter ? Non. Ils sont tous pareils. Ils sont trop. Pas assez. On radote.

    • Apparemment, on parlait aussi de reprise épidémique depuis 2 mois. Mais là encore, les épidémiologistes auto-proclamés se sont fait surprendre par l’effet de surprise. Fulgurant (qu’ils disaient) ...

      https://threadreaderapp.com/thread/1439939177357975558.html

      1/21
      Pourquoi le rebond épidémique automnal 2021 va être plus long à percevoir que l’an dernier ?
      Petit thread pour éviter les mauvaises surprises dans les semaines à venir...
      2/21
      Tout d’abord pourquoi s’attendre à un rebond !?
      A] Rentrée scolaire sans vaccination des enfants et sans sécurisation sanitaire des établissements
      B] Rentrée « socio-économique » avec densité+++ dans les transports, entreprises, commerces...
      3/21
      C] ↘ des activités de plein air et retour dans les espaces clos à une période de l’année où leur aération tend à ↘
      D] Persistance du variant Delta hautement transmissible au sein d’une pop majoritairement immunisée via vaccination donc sans immunité mucosale...
      4/21
      Alors pourquoi un rebond plus long à percevoir que l’an dernier ?
      A] Vaccination et ↘↘ des formes symptomatiques d’infection.
      En moyenne, les études récentes montrent une ↘ de 78% des formes symptomatiques d’infection induites par Delta
      cdc.gov/coronavirus/20…
      Coronavirus Disease 2019 (COVID-19)
      CDC provides credible COVID-19 health information to the U.S.
      https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/science/science-briefs/fully-vaccinated-people.html
      5/21
      Cela signifie que la fréquence des formes d’infection conduisant le plus souvent à un dépistage, est ~4,5x plus faible que l’an dernier à la même période (avant vaccination).
      Ce n’est qu’un ordre de grandeur car Delta est plus virulent que les variants antérieurs...
      6/21
      Cette estimation ne tient pas compte non plus de l’atténuation immunitaire au cours du temps.
      C’est donc simplement un ordre de grandeur grossièrement estimé sur la seule efficacité vaccinale issues des données en « vie réelle ».
      7/21
      B] Vaccination et ↘↘ du dépistage
      Les motivations d’un dépistage sont triples :
      – infection symptomatique (maladie)
      – obligation réglementaire (pass, voyage...)
      – enquête de contact tracing
      8/21
      Avec désormais 64% de la population complètement vaccinée, nous avons au moins 64% de la population chez qui le dépistage s’est effondré :
      avec 4,5x moins de maladie chez les vaccinés, le recours au dépistage est au moins 4,5x faible...
      9/21
      L’obligation réglementaire de dépistage est levée du fait de la vaccination, ce qui réduit encore le recours au dépistage.
      Enfin, même si les vaccinés sont censés être inclus dans le contact tracing, l’ampleur du dépistage y est anecdotique (tracing déficient en France)...
      10/21
      Ainsi, on observe un fort ralentissement de l’activité de dépistage, malgré le pass sanitaire et les millions d’éligibles tjs pas vaccinés (ce qui interroge d’ailleurs sur l’application réelle de ce pass sanitaire)
      11/21
      On ne peut donc plus percevoir un rebond épidémique précocement via les indicateurs virologiques car l’activité de « testing » est désormais monopolisée par les asymptomatiques non-vaccinés qui valident leur pass sanitaire via des tests réguliers (cf. BEH)
      12/21
      Il va donc falloir attendre un impact de ce rebond sur la morbi-mortalité (↗ des formes symptomatiques, ↗ de la tension hospitalière...).
      Et pour cela il va au moins falloir attendre une circulation virale ~4,5x plus forte que celle qui « sonnait l’alerte » avant 💉
      13/21
      En reprenant le Re observé avec la vague estivale 2021 (Delta), on peut estimer ce retard à la détection.
      Cet été le Re a atteint 1,68.
      Avec une telle dynamique, le nombre de cas DÉTECTÉS double tous les ~7 à 10j...
      14/21
      Pour avoir une ↗ de ~4,5x sur le nombre de cas détectés, il faut donc un délai de ~19 jours.
      Ceci nous permet d’estimer grossièrement le « retard » à l’alerte...
      15/21
      Si avant la vaccination il fallait environ 3 semaines pour commencer à percevoir l’effet d’un évènement sur la progression épidémique, il faudrait désormais au moins 21+19 = 40 jours pour avoir la même perception !...
      16/21
      Tout ceci sous réserve que le Re soit au moins aussi fort que cet été, et que le recours au dépistage en cas d’infection symptomatique reste au même niveau (ce qui n’est pas garanti avec le déremboursement prochain des tests)...
      17/21
      Donc pour percevoir le rebond induit par la rentrée du 01/09/2021, il faudrait au moins attendre jusqu’au 12/10/2021...
      C’est ballot, on dérembourse les tests à partir du 15/10 ! 😅
      18/21
      L’allègement des mesures sanitaires est annoncé pour mercredi (décisions du Conseil de Défense), alors qu’on n’est même pas à la moitié de la période « critique » de surveillance épidémiologique post-rentrée !
      19/21
      Après >20 mois de pandémie, et la répétition inlassable des mêmes erreurs de relâchement quand il faut au contraire renforcer la prévention pour maintenir les bons résultats, et quand revient sans cesse le discours du « retour des jours heureux », il y a de quoi être agacé+++
      20/21
      Nous avons les tests, nous avons 4 vaccins efficaces+++, nous avons l’expérience de 20 mois décuplée par autant de pays qui ont été concernés, nous avons « l’habituation » aux mesures barrières, nous avons la connaissance des modes de transmission...
      21/21
      Avec tout ça, il serait légitime d’espérer ne pas avoir de nouveau rebond...
      Encore faut-il tenir compte de ces données et les exploiter à bon escient.

    • #B.1.1.529 : c’est la désignation scientifique du nouveau variant. Pour le grand public, il a été baptisé variant « nu » (de la lettre ν de l’alphabet grec correspondant au n de l’alphabet latin)

      Sur Twitter, il est qualifié d’horreur, de cauchemar absolu : 5 fois plus transmissible que « delta » et surtout possibilité d’échappement immunitaire.
      Les états membres de l’UE (dont la France) ferment leurs aéroports aux vols en provenance d’Afrique australe.
      Les indices boursiers plongent, tout comme le prix du baril de brent ...

      https://www.boursorama.com/bourse/actualites/vendredi-noir-les-investisseurs-saisis-par-la-peur-d-un-nouveau-variant-

      https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/nouveau-variant-du-covid-19-les-cours-du-petrole-s-effondrent-48d66897f3

      C’est la #panique ...

      A une échelle proche : 4 cas détecté en Israël (dont un en provenance du Malawi), et un cas détecté en Belgique.
      On n’ose imaginer combien sont passés sous les radars ...

      La constellation des mutations de B.1.1.529 (il y en a plus d’une trentaine sur le spicule) est une galerie des horreurs, avec de multiples mutations associées à des gains en transmissibilité ou en échappement immunitaire.

      https://twitter.com/Panda31808732/status/1464197382221012993

      Took a look at the spike mutations in B.1.1.529 this evening, and colour coded them (details below)...there is...not much green.🧵 Image
      First the obviously bad stuff (red): nine mutations seen in previous VOCs. There’s a lot of overlap already among VOCs (convergent evolution), but this variant has an unprecedented sampling from mutations previously seen in Alpha, Beta, Gamma and Delta separately.
      In orange are three mutations that are probably meaningful biological changes for the virus, but not previously seen in VOCs. Two from VUI level lineages that likely had modest advantages over original virus, and E484A which is at a key site in the receptor binding domain.
      Next eleven things seen rarely or never before (blue) that may be functional and just new to us, or may be a side-effect of whatever process led to so many mutations in this lineage (i.e. either neutral or mildly deleterious). Need more data on these.
      In green is just D614G, which has been fixed in all SARS-CoV-2 since early 2020.
      Finally, three shades of purple which are new (not in previous VOCs) but have some other data to suggest they may be functional. First is a deletion/substitution/insertion hotspot in the N terminal domain, that may be further remodelling the protein structure there.
      Then there’s a group of 4 nearby substitutions (3 in the space of 5 amino acids) that have not been seen before, but are so close together that I doubt its coincidence. They are also very close to the (previously conserved) binding site of sotrovimab, a therapeutic antibody. Image
      Finally S477N and Q498R, predicted in an experimental evolution paper to substantially increase ACE2 binding together with N501Y, but only seen in the wild separately or rarely. Seeing this full combination now (along with everything else) is grim.
      SARS-CoV-2 variant prediction and antiviral drug design are enabled by RBD in vitro evolution - Nature Microbiology
      Evolution of the SARS-CoV-2 spike protein receptor-binding domain in vitro recapitulates SARS-CoV-2 variant emergence and produces an effective antiviral spike receptor-binding domain variant.
      https://www.nature.com/articles/s41564-021-00954-4
      There are also multiple (possibly funcitonal) mutations in genes other than spike: notably R203K and G204R in nucleocapsid, which were recently shown to be key in increasing transmissibility, and are present in all VOCs to date.
      AAAS
      https://www.science.org/doi/10.1126/science.abl6184
      So the mutation profile is bad (as @PeacockFlu and others have already pointed out). We don’t yet know how they act together, or how a virus with so many changes will behave.
      We need to learn more, fast. To end on a hopeful note, it’s mind-blowing how quickly we’ve got this far. Kudos to @Tuliodna et al for getting this out, and setting the global scientific community onto experiments to answer more of these questions. Let’s get to work.

      https://pbs.twimg.com/media/FFETuhlXsAQKKHe?format=jpg&name=large

      https://twitter.com/jcbarret/status/1463975708770897923

    • D’après ce que j’ai entendu, l’Afrique du Sud est LE réservoir à variant planétaire en raison de la quantité d’immuno-déprimés en mesure de pratiquer un affinage longue durée du virus. Ils ont en particulier le plus haut taux de malades du VIH sans traitement.

      On peut toujours essayer de couper les ponts [aériens] directs avec eux, mais les voyages business ou tourisme indirects vont continuer à transporter du variant frais à travers le monde, j’imagine.

    • De toute façon, je pense que le mal est fait. Ce nouveau variant s’est déjà diffusé au niveau mondial. Perso, ça fait une semaine que j’ai vu passer l’info. Une semaine à mon humble niveau d’information. Combien de semaines précédentes se sont écoulées avant que l’alerte soit lancée ?

    • Quand est-ce que l’Union Européenne va cesser de s’opposer à la levée de la propriété industrielle sur les brevets des vaccins ? (cela peut être limité aux pays pauvres, sur lesquels les labos ne feront de toute façon jamais les profits qu’ils font dans les pays riches).
      Les dons de vaccins ne seront jamais suffisants, et l’Afrique du Sud a les usines pour fabriquer ces vaccins.

      Biden a demandé cette levée de la propriété industrielle sur les brevets des vaccins :

      https://www.reuters.com/article/sante-coronavirus-vaccins-derogations-idFRKBN2CN0BQ

      Actes criminels sur les populations migrantes, accaparement des vaccins, et refus de céder la propriété industrielle des vaccins aux pays pauvres : UNION EUROPÉENNE = UNION BARBARE.

  • Do vaccines protect against #long_COVID? What the data say
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-03495-2

    Vaccines reduce the risk of developing #COVID-19 — but studies disagree on their protective effect against long COVID.

    […]

    And while the data trickle in, Alwan worries that countries with high vaccine coverage will put COVID-19 testing on the back burner as concerns about hospitalizations and deaths decrease and as more people receive boosters. That not only hurts efforts to determine the influence of vaccination on long COVID, but also means that those with long COVID after a mild or asymptomatic infection might not have the documentation they need for treatment. “It’s important to get that lab confirmation for care,” she says. “Otherwise, people struggle a lot.”

    #vaccins #vaccination #covid_long #post_covid

  • Dismantling the anti-vaxx industry

    Investigations show that those spreading misinformation that undermines the rollout of vaccines against COVID-19 are well financed, determined and disciplined. To counter their activities, we need to understand them as an industry actively working to sow doubts about the deadliness of COVID-19, vaccines and medical professionals’ integrity.

    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01260-6
    #anti-vax #vaccins #anti-vaxx #désinformation #covid-19 #coronavirus #industrie #industrie_anti-vaxx #lobby #campagne #propagande #réseaux_sociaux

    • What also became clear was the sophistication of the means they employ on social media. They have been able to develop these tactics only because social-media companies have been happy for the key players in this anti-vaxx industry to use their services to recruit new followers and spread their lies further than ever before. As a result, there is an online infrastructure of anti-vaccine websites, Facebook groups, YouTube channels, Instagram pages and Twitter accounts with a combined audience of 59 million3. In the UK alone, there are 5.35 million followers of anti-vaxxers across social media.

  • #COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y

    “There’s a step-change with Alpha versus Delta, but then there’s also a change over time,” says co-author David Eyre, an epidemiologist at the University of Oxford, UK. The results “possibly explain why we’ve seen so much onward transmission of Delta despite widespread vaccination”.

    But the results also offer the “intriguing possibility that if you do run a booster campaign because you want to protect individuals, it may also have this effect of reducing transmission,” says Eyre.

    Booster campaigns raise a new uncertainty, says Stephen Riley, an infectious-diseases researcher at Imperial College London: “whether the same waning of protection from infectiousness will occur after the third dose”.

    The study has not yet been peer reviewed.

    #vaccination

  • Burden and characteristics of #COVID-19 in the United States during 2020 | Nature
    https://www.nature.com/articles/s41586-021-03914-4

    Population susceptibility at year’s end was 69.0% (63.6 – 75.4%), indicating that roughly one third of the US population had been infected.

    Le fait qu’il y ait de plus en plus de non vaccinés immunisés est une explication potentielle de la réduction de l’écart entre vaccinés et non vaccinés quant au nombre d’infectés.

  • A ‘mix and match’ approach to #SARS-CoV-2 #vaccination | Nature Medicine
    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01463-x

    Although triggered by the unfortunate interruption in the use of adenovirus-based vaccines, cross-platform mixed-dosing strategies have demonstrated advantageous immunogenicity outcomes, as measured by both humoral responses and cellular responses to the original SARS-CoV-2 and its #variants. These innovative vaccine-dosing schedules may be required both as proof against vaccine supply interruptions and for maximizing immune responses, which in turn will help to reduce the transmission of emerging variants and protect immunocompromised people.

  • Questions sur l’immunisation et la transmission de SARS-CoV-2 par Marc Whatelet
     https://www.asymptomatique.be/le-dr-marc-wathelet-a-front-renverse/?shared=email&msg=fail

    
Depuis la mi-juin, le « Pass sanitaire européen » facilite les voyages en Europe.
À compter du 13 août, le « Covid Safe Ticket » entrera en vigueur en Belgique pour les événements extérieurs rassemblant plus de 1500 personnes et, à partir du 1er septembre, il sera utilisé en intérieur également.

    Le « Covid Safe Ticket » sera réservé aux personnes qui présentent un test PCR négatif de maximum 48 heures, ou qui sont vaccinées tout à fait depuis deux semaines, ou qui ont un certificat établissant qu’elles ont eu la Covid, ce dernier étant limité à 180 jours après le dernier test PCR positif.
L’ASBL « Notre Bon Droit » est une alliance de professionnels de la santé, de scientifiques, de juristes et de citoyens belges qui estiment que la réponse du Gouvernement belge à la COVID-19 est malavisée et ne repose pas sur les preuves scientifiques les plus rigoureuses disponibles.
Les interrogations légitimes sur la pertinence d’instaurer ce « Ticket » n’ayant pas été entendues par le Gouvernement, cette association a décidé de lancer une action en référé pour en empêcher l’instauration.

    Dans ce contexte, « Notre Bon Droit » m’a demandé d’analyser les bases scientifiques qui justifieraient la position défendue par le Gouvernement belge, alors que celle-ci se trouve en contradiction avec l’esprit du « Règlement général sur la protection des données » (RGPD), et induit une discrimination manifeste à l’égard d’une partie de la population. Cette analyse technique à laquelle je me suis donc attelé relativement à l’effet de l’immunisation naturelle ou vaccinale sur la susceptibilité d’un individu à l’infection et sur sa capacité à ensuite transmettre le virus est détaillée dans le document en annexe.
De cette analyse, il ressort, en conformité avec les données fournies par le GEMS, que la capacité des individus vaccinés à être infectés par le SARS-CoV-2 et de le transmettre à autrui n’est pas suffisamment amoindrie par rapport à celle des non-vaccinés pour distinguer en pratique ces deux populations pour contrôler la situation épidémique (voir annexe E&F).

    
Par ailleurs, la confrontation entre l’immunité contre SARS-CoV-2 acquise à la suite de la vaccination et celle consécutive à une infection naturelle indique que cette dernière est plus robuste, plus large, plus équilibrée entre la production d’anticorps et de cellules T, et dure plus longtemps que l’immunité vaccinale, ce qui se traduit par une meilleure et plus durable protection contre l’infection pour les individus convalescents comparativement aux vaccinés (voir annexe G).

    Pour ces raisons, l’action « Covid Safe Ticket » proposée par le Gouvernement, qui consisterait à discriminer les individus non-vaccinés en limitant leur accès à certains endroits et certaines activités, n’est pas justifiée d’un point de vue scientifique et de santé publique, car elle ne permettra pas de contrôler la propagation du virus en Belgique dans le contexte d’un variant de SARS-CoV-2 aussi contagieux que le sont les variants alpha et delta. De même, la période de 180 jours pour le certificat de guérison n’est pas adéquate puisque tout indique que l’immunité naturelle est supérieure et plus persistante que l’immunité vaccinale.
L’action « Covid Safe Ticket » s’inscrit dans l’approche particulièrement malavisée que le Gouvernement belge, à l’instar de nombreux autres gouvernements européens, suit pour gérer la COVID-19 depuis le début de cette crise. Il est illusoire d’espérer contrôler la diffusion du virus par la seule vaccination quand cette dernière ne bloque ni l’infection par le virus, ni sa transmission à autrui, ce qui est manifestement le cas pour tous les vaccins anti-COVID déployés à ce jour en raison des choix effectués lors de leur conception.

    
De fait, ces vaccins sont administrés par injection intramusculaire, alors que pour avoir un effet stérilisant, c’est-à-dire pour bloquer complètement l’infection et la transmission d’un virus respiratoire, il est nécessaire de stimuler l’immunité mucosale des voies respiratoires supérieures. Cet effet pourrait être obtenu en administrant un vaccin sous forme de spray dans la cavité nasale, mais pas par voie intramusculaire.
La stratégie du Gouvernement équivaut à mettre tous ses œufs dans le même panier en envisageant la vaccination comme la solution principale au contrôle de l’épidémie, en espérant ainsi obtenir une immunité collective dans le pays.

    Or, dans l’article référencé ci-après, C. Aschwanden identifie 5 raisons pour lesquelles l’immunité collective est probablement impossible : https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2.

    De surcroît, selon les manuels classiques d’épidémiologie, le contrôle d’une pandémie repose sur quatre piliers bien définis :

    1) la prévention & le contrôle de la transmission ;

    2) le traitement précoce des malades ;

    3) le traitement des cas graves ;
4) et la vaccination.


    Entre ces 4 piliers, le dernier est en pratique le moins utile, car il faut du temps pour développer et valider un vaccin sûr et efficace (au minimum 3 ans), et du temps pour vacciner une population. Surtout, ce pilier ne peut pas être suffisamment efficace sans les 3 premiers, qui sont eux indispensables.
Comment, dès lors, ne pas être plongé dans la plus grande perplexité face à une stratégie gouvernementale qui s’obstine encore et toujours à largement les ignorer !

    1) Pour la prévention, une revue systématique de l’effet de la vitamine D indique que son niveau dans le sang peut déterminer le risque d’être infecté par SARS-CoV-2, la sévérité de la COVID-19 ainsi que sa mortalité :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7800698.


    Malgré l’appel de scientifiques à ce que le Gouvernement recommande à la population carencée en vitamine D de se “supplémenter”, cette approche a été rejetée sous prétexte que la vitamine D ne permet pas de traiter la COVID, ce qui est correct mais non pertinent puisqu’il s’agit de la prévenir, et qu’il y aurait un risque d’hypervitaminose. C’est une position absurde puisqu’il s’agit ici, répétons-le, de prévention et non de traitement et que les hypervitaminoses D sont très rares. Si l’on devait généraliser pareille « logique » en médecine, en fait, plus aucun médicament ne devrait être utilisé puisqu’un surdosage en est toujours possible !

    2) Le Gouvernement n’a toujours pas développé un dépistage/traçage suffisamment performant, alors que c’est essentiel pour contrôler la transmission (pilier 1). Le 8 octobre 2020, le virologue japonais Hitoshi Oshitani expliquait pourquoi le tracing en Belgique n’est pas efficace. Ainsi l’important n’est-il pas tant de connaître les contacts d’une personne que de découvrir l’endroit où elle a été infectée : https://tinyurl.com/23dhm953.

    Malgré cet avertissement, ce manquement n’a toujours pas été corrigé. Sept mois plus tard, ce 1er juillet 2021, Emmanuel André le reconnaissait encore : « Le tendon d’Achille de notre système de contrôle des infections en Belgique réside encore et toujours dans le fait que le concept de “backward contact tracing” n’a pas été intégré dans le système de tracing. » (https://tinyurl.com/jcta8s6c).

    3) Il existe un médicament très efficace en prophylaxie (pilier 1, 88% d’efficacité, selon la littérature publiée dans des revues à comité de lecture
https://ivmmeta.com, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8088823, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34145166).
Il s’agit de l’ivermectine , dont l’usage a été proposé au Gouvernement en décembre 2020 (https://tinyurl.com/99presz6), mais ignoré par lui.
Certes, il ne s’agit pas d’un médicament miracle, en ce sens qu’il réduit mais ne supprime pas le risque de développer la COVID-19. En revanche, il permet d’écraser le nombre de reproduction du virus et, partant, de contrôler l’épidémie de manière très efficace. Dans cette perspective, l’approche préconisée consiste à traiter toute personne positive avec l’ivermectine, ainsi que tous leurs contacts quotidiens, au domicile, à l’école et au travail.
Dans « le monde réel », son utilisation a permis à l’Inde de contrôler la propagation du virus plus rapidement que des pays comme Israël et le Royaume-Uni qui ont misé sur l’approche vaccinale. De même, en Europe, la Slovaquie, la Bulgarie et la Macédoine du Nord ont complètement contrôlé l’épidémie depuis l’introduction de l’ivermectine, contrairement au Royaume-Uni où l’épidémie reprend. Par exemple : en Slovaquie, ce n’est pas la vaccination qui explique la décrue épidémique, car seulement 5,88% de sa population avait reçu une dose de vaccin au moment où l’ivermectine a été déployée le 1er mars, pour atteindre 20,34% le 1er mai : c’est donc bien là l’effet du recours à l’ivermectine.

    4) De même, la Belgique a ignoré les traitements précoces (pilier 2). Outre l’ivermectine, efficace à 74% dans cet usage (références ci-dessus), la liste des médicaments efficaces en traitement précoce ne cesse de s’allonger : il y a la fluvoxamine (https://c19fluvoxamine.com), la proxalutamide (https://c19proxalutamide.com), etc., ainsi que certaines combinaisons, comme la fameuse hydroxychloroquine couplée au zinc et à l’azithromycine. Leur utilisation permettrait de réduire considérablement les hospitalisations et les décès.

    5) Pour les formes sévères de la COVID-19 (pilier 3), le seul traitement actuellement approuvé est la dexamethasone, efficace à 30% seulement, en partie parce que la dose recommandée est trop faible, 6 mg. Ici aussi, pourtant, l’ivermectine se révèle plus efficace (références ci-dessus) et c’est pourquoi elle est d’ailleurs utilisée discrètement dans certains hôpitaux belges.

    6) La vaccination seule (pilier 4) ne peut pas suffire par elle-même, car l’apparition de nouveaux variants est favorisée par les campagnes de vaccination, comme un certain nombre de scientifiques l’avaient anticipé et comme le reconnaît maintenant le groupe SAGE au Royaume-Uni (https://www.gov.uk/government/publications/sage-93-minutes-coronavirus-covid-19-response-7-july-2021)
Ces nouveaux variants diminuent substantiellement l’efficacité des vaccins (E&F). Vacciner avec la forme mutante de Spike correspondant au dernier variant a tout d’une course-poursuite futile, car ces variants évoluent et se propagent beaucoup plus rapidement qu’il n’est possible de déployer de nouveaux vaccins.

    Rappelons, de surcroît, que cette campagne massive de vaccination, avec un produit qui reste expérimental, s’effectue dans une atmosphère de coercition , directe ou indirecte selon les pays, malmenant le principe du consentement éclairé pourtant indispensable et en vertu duquel il doit être apporté une information complète sur les risques encourus lors de la vaccination et sur l’existence de traitements alternatifs à celle-ci.
Cette campagne vaccinale se poursuit alors même que les signaux dans les divers systèmes de pharmacovigilance ne peuvent qu’inquiéter : les réactions adverses indésirables consécutives à la vaccination anti-COVID sont beaucoup plus importantes que pour d’autres vaccins. Si ces réactions ne sont sans doute pas toutes dues aux vaccins anti-COVID, leur temporalité implique tout de même une forte présomption. Par ailleurs, il faut savoir que ces systèmes ne capturent qu’une petite fraction d’entre elles. Normalement, le nombre déjà très élevé de réactions indésirables et de décès identifiables dans ces bases de données devrait suffire à justifier l’interruption de cette campagne sans délai.


    Au demeurant, les moyens de prévention et les traitements alternatifs existent, avec des produits dont l’efficacité et l’innocuité sont démontrées et impliquant donc un rapport bénéfice/risque favorable. Cette réalité devrait en principe conduire à la suspension de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché délivrée à ces vaccins anti-COVID, si la loi était respectée. C’est donc manifestement pour éviter cette conséquence juridique que les autorités de santé publique s’acharnent à ne reconnaître aucun des traitements alternatifs existants.

    En conclusion, la stratégie du « tout à la vaccination » choisie par le Gouvernement belge ne permettra pas de contrôler l’épidémie. Face aux rebonds inévitables de celle-ci tant qu’il s’arc-boutera sur sa politique actuelle, le Gouvernement sera en toute probabilité enclin à la tentation perverse de chercher à imputer la responsabilité de la poursuite de la crise sanitaire aux seules personnes non-vaccinées, et du fait de leur non-vaccination exclusivement, ce qui conduira à la diabolisation et à la discrimination, injustes et injustifiées scientifiquement, de cette partie de la population.
Par conséquent, il est urgent que le Gouvernement belge recoure enfin aux 3 premiers piliers de contrôle épidémique s’il souhaite réellement la reprise d’une vie sociale et économique décente.
    Par Marc Wathelet pour l’ASBL “Notre bon droit”

    ANNEXE
    Questions sur l’immunisation et la transmission de SARS-CoV-2 : analyse scientifique. Dans la fiche technique qui suit, les données scientifiques disponibles sont évaluées concernant :

    A) Les modes de transmission de SARS-CoV-2, à savoir le contact avec des surfaces contaminées, les gouttelettes, les microgouttelettes (aérosols) et la voie fécale-orale ;

    B) La transmission par les individus asymptomatiques et symptomatiques ;

    C) La probabilité de la transmission de SARS-CoV-2 entre deux individus ;

    D) Les facteurs individuels affectant la probabilité de transmission au sein d’une communauté, notamment :

    – 1) Le paramètre de surdispersion, k

    – 2) La charge virale

    – 3) L’effet de la charge virale sur la transmission
    
– 4) L’effet de la vaccination sur la charge virale

    E) L’effet de la vaccination sur l’infection :

    – 1) Une étude rétrospective en Israël
    
– 2) Une étude prospective de la CDC sur des soignants

    – 3) Une étude prospective au Royaume-Uni
    
– 4) Les données de Santé Publique Angleterre
    
– 5) Les données du Ministère de la Santé israélien

    F) L’effet de la vaccination sur la transmission :

    – 1) Les études observationnelles

    – 2) Le suivi des contacts en Belgique
    
– 3) Les données du Ministère de la Santé de Singapour & « Nos Tayons »

    – 4) Le porte-avions HMS Queen Elizabeth
    
– 5) Les grands foyers de contamination aux Pays-Bas

    G) L’effet de l’immunité naturelle sur l’infection et la transmission.
    Retrouvez les Sources considérées jusqu’au 20 juillet 2021 ici : https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet ?

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

    • 31 Juil Saint-Pasteur, priez pour nous ! LE Dr MARC WATHELET À FRONT RENVERSÉ
      https://www.asymptomatique.be/le-dr-marc-wathelet-a-front-renverse/?shared=email&msg=fail

      Quand un des pionniers de la lutte contre le coronavirus s’en prend aujourd’hui ouvertement à la politique du “tout-au-vaccin”, c’est peut-être que la “résistance vaccinale” ne se résume pas à un conte pour enfant mordu par un chien enragé ou au refus stupide de la ceinture de sécurité. Saint-Pasteur, priez pour nous !

      On peut peut-être reprocher beaucoup de choses à Marc Wathelet, mais certainement pas d’être un covido-sceptique.
      
Quand les autorités sanitaires belges, Maggy De Block en tête, parlaient encore chez nous de “grippette” et de “drama queen”, ce spécialiste mondial des coronavirus fut le premier à sonner le tocsin dans la presse belge pour annoncer la catastrophe sanitaire qui nous arrivait de Wuhan.
Or on le retrouve pourtant aujourd’hui aux premiers rangs de ceux qui critiquent (ou)vertement la politique gouvernementale ou européenne du “tout-au-vaccin”.
A l’heure où il est de bon ton, dans les réseaux sociaux, de présenter la résistance vaccinale comme le délire abscons de crétins décérébrés, à coup de petites blagues sur les ceintures de sécurité, les sauts en parachute ou les chiens enragés mordus par Pasteur, ce texte de Marc Wathelet vient rappeler que ces doutes trouvent d’abord leur origine à l’intérieur même du champ scientifique, chez ceux et celles qui connaissent le mieux le sujet, et non chez ceux et celles qui se contentent de docilement recopier les notices prophylactiques de BigPharma.

      A ce sujet, et en contrepoint à la contribution de Marc Wathelet, on lira avec intérêt l’article de “Libération” du jour, qui annonce que Pfizer et Moderna, profitant de leur situation de monopole, auraient gonflé artificiellement le coût de leurs vaccins. Non, sans blague ? La France aurait ainsi payé au moins 4,6 milliards d’euros de surcoût aux firmes pharmaceutiques, et l’Europe, 31 milliards. Grand dieu… C’est nin possiiiip’ !?


      Cette situation handicaperait particulièrement la vaccination dans les pays pauvres, au point qu’Oxfam parle carrément aujourd’hui de « pénurie organisée ». Jésus Marie Joseph ! Il n’y a donc pas que notre santé qui les intéresse ? 
(Arthur Quentin, dans “Libération”, le 29 juillet 2021, sauf les questions idiotes, qui sont hélas ! de moi).
      
Toute relation entre ces deux informations relevant forcément du “complotisme”, je vous invite donc à immédiatement oublier tout ce dernier paragraphe avant de lire ci-dessous les questions, remarques et propositions de Marc Wathelet, docteur en biochimie.

      Claude Semal le 30 juillet 2021

  • #COVID-19 : Les #anticorps durent au moins 9 mois [chez les personnes infectées par le #sars-cov2]| santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-les-anticorps-durent-au-moins-9-mois

    Étude d’une « équipe de virologues de l’Université de Padoue et de l’Imperial College London, » publiée dans « Nature Communications »

    À Vo’ en Italie, un PCR « de masse » est effectué en Février et mars 2020, puis en mai 2020 sont pratiqués chez 86% de la population une sérologie à l’aide de 3 tests différents + 1 PCR.

    Les personnes PCR positif en février et mars et celles avec au moins une sérologie positive en mai ont eu une nouvelle sérologie (3 tests différents toujours) en novembre.

    Tous les types d’anticorps ont baissé avec le temps écoulé depuis l’infection, ici, entre mai et novembre, cependant l’analyse constate que :
     
    – 98,8% des personnes infectées en février/mars présentent toujours des niveaux détectables d’anticorps en novembre ;

    aucune différence de niveaux d’anticorps n’est constatée entre les personnes qui avaient présenté des symptômes de COVID-19 et celles qui avaient développé une forme asymptomatique

    – il existe des cas d’augmentation des niveaux d’anticorps chez certaines personnes, suggérant des réinfections possibles ayant stimulé le système immunitaire ;

    [...]

    les niveaux d’anticorps varient cependant et parfois de manière marquée, selon le test utilisé . Cela signifie qu’il faut être prudent lorsque l’on compare les estimations des niveaux d’infection dans une population obtenues dans différentes parties du monde avec différents tests et à différents moments.

    Source : SARS-CoV-2 antibody dynamics and transmission from community-wide serological testing in the Italian municipality of Vo’ | Nature Communications
    https://www.nature.com/articles/s41467-021-24622-7

    #immunité

  • La #Nasa prévoit des #inondations records liées à l’oscillation de la #Lune
    https://www.rtl.fr/actu/international/la-nasa-prevoit-des-inondations-records-liees-a-l-oscillation-de-la-lune-7900054

    La Nasa s’attend à un désastre naturel pour la prochaine décennie. Dans un étude conjoint avec l’Université d’Hawaï, l’agence spatiale américaine prédit la catastrophe que pourrait causer le futur changement d’orbite de la Lune. L’étude conclut qu’une « oscillation de la Lune » provoquera des inondations records dans « les années 2030 », selon les résultats publiés dans la revue Nature.

    Cette oscillation de notre astre, mêlé au dérèglement climatique, aura un impact particulièrement important pour les villes côtières. « La combinaison de la force gravitationnelle de la Lune, de l’élévation du #niveau_de_la_mer et du changement climatique va entraîner des inondations sur les côtes du monde entier », avertit le chercheur Bill Nelson, dans un communiqué de la NASA, relayé par nos confrères de Ouest-France. « Les plaines proches du niveau de la mer sont de plus en plus menacées à cause de l’augmentation des inondations, et cela ne fera qu’empirer », poursuit-il.

    Rapid increases and extreme months in projections of United States high-tide flooding | Nature Climate Change
    https://www.nature.com/articles/s41558-021-01077-8

    #climat #mer #élévation_du_niveau_marin

  • A correlate of protection for #SARS-CoV-2 vaccines is urgently needed | Nature Medicine
    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01432-4

    À propos de deux études qui ont cherché s’il y avait une corrélation entre #anticorps, notamment neutralisant, et #protection.

    L’utilité d’un titre seuil est discuté.

    The results from both teams showed a significant correlation between vaccine efficacy and vaccine-induced neutralizing antibody activity. Even titers of binding antibody (e.g., as measured by enzyme-linked immunosorbent assays, which are much easier to perform at large scale than neutralization assays are) seemed to correlate well with efficacy4.

    These findings suggest that antibodies may provide a correlate of protection, with further support for this coming from animal studies12 and natural-infection cohorts13.

    Relying on a correlate of protection— although extremely helpful in many ways— also comes with certain risks. Although certain correlates can be non-mechanistic , meaning an immune marker that indicates protection but does not cause it, antibodies are often mechanistic correlates of protection, especially if they are capable of neutralizing the pathogen in question.

    Correlates may be specific to a vaccine platform or even specific to a vaccine. Some vaccines may be highly protective but may not induce the type of immunity established as a correlate and, vice versa, a vaccine may induce the immune response used as correlate but may still not provide protection, especially when a non-mechanistic correlate of protection is used. Nevertheless, robust preclinical and clinical studies make these scenarios unlikely; vaccine developers understand the type of immunity their vaccines induce, and animal experiments12 (and monoclonal antibody therapeutics in humans) show that antibodies do directly participate in protection (and therefore are probably a mechanistic correlate of protection)

    A more robust threshold of protection, based on data from individual people instead of pooled efficacy data, can be derived from breakthrough cases in phase 3 studies and observational studies. Therefore, swift data sharing and collaboration to establish an absolute correlate of protection should be the number one priority for vaccine producers, academic researchers and regulatory agencies. Although it is unlikely that such an effort will arrive at a flawless absolute correlate that can be applied to all vaccine candidates, all viral variants and all patient populations, it would certainly be extremely helpful in catalyzing the licensure of more vaccines, guiding patient management and informing public-health decisions.

    #sérologie #vaccination #vaccins

  • Impact of #vaccination on new #SARS-CoV-2 infections in the United Kingdom
    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01410-w

    Étude communautaire évaluant les vaccins Astra-Zeneca et Pfizer : efficacité élevée sans différence entre les 2 #vaccins ; surtout efficaces contre les formes symptomatiques et celles à charge virale élevée ; intervalle de confiance trop large pour savoir si les #variants non alpha sont aussi sensibles que le variant alpha.

    Conséquence de ce qui est mis en gras :

    Overall, approximately one-fifth of infections with Ct < 30 were in individuals not reporting symptoms during their episode. These infections could be particularly relevant for #transmission as these individuals may not be aware of their infection status despite having a relatively high viral load. Maintaining measures such as social distancing may therefore still be needed to control the virus spread until enough of the population is vaccinated.

    #distanciation

  • The four most urgent questions about long COVID
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-01511-z

    It seems unlikely that the virus itself is still at work, says Evans. “Most of the studies have shown that after a few weeks you’ve pretty much cleared it, so I very much doubt it’s an infective consequence.”

    However, there is evidence that fragments of the virus, such as protein molecules, can persist for months7, in which case they might disrupt the body in some way even if they cannot infect cells.

    A further possibility is that long COVID is caused by the immune system going haywire and attacking the rest of the body. In other words, long COVID could be an autoimmune disease. “#SARS-CoV-2 is like a nuclear bomb in terms of the immune system,” says Steven Deeks, a physician and infectious-disease researcher at the University of California, San Francisco. “It just blows everything up.” Some of those changes might linger — as has been seen in the aftermath of other viral infections (see ‘What is the relationship between long COVID and other #post-infection syndromes?’).

    Still, it is too early to say which hypothesis is correct, and it might be that each is true in different people: preliminary data suggest that #long_COVID could be several disorders lumped into one

    #post_covid #auto-immunité

  • Does vaccinating adults stop kids from spreading COVID too?
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-01549-z

    La question sous-jacente : est-il nécessaire de vacciner les enfants ?

    In the United States […] cases in children (generally those under the age of 18) fell by 84% between January and May. Just over half of the US population — predominantly adults — has received at least one vaccine dose.

    Donc…

    … children are most often infected by adults, says Eric Haas, a paediatric infectious-diseases physician and epidemiologist at the Israel Ministry of Health in Jerusalem. “Otherwise, you would expect that if children go back to school, they would just infect each other en masse.”

    Mais

    But recent data also suggest that unvaccinated children might still be important spreaders of the virus. During May, almost 100 outbreaks — defined as two or more cases — occurred in primary and secondary schools in England.

    That number is small, however, representing just a “tiny proportion” of England’s 25,000 schools, says Shamez Ladhani, a paediatric infectious-diseases physician with Public Health England. He also notes that overall infection rates in school-aged children changed little in the six weeks after schools reopened.

    Nonetheless, Tang says that transmission in schools shouldn’t be ignored. Britain’s vaccine roll-out has been slower than Israel’s, he argues, and school reopenings have coincided with the increased spread of B.1.617.2 — also known as the Delta variant — in UK communities. As a result, the virus might continue to circulate in children.

    This is an important point, he says, because the longer the pandemic continues, the greater the chance that new #variants with some resistance to vaccines will emerge.

    #vaccins #enfants #covid-19 #sars-cov2

  • “Excellence R Us”: university research and the fetishisation of excellence

    The rhetoric of “excellence” is pervasive across the academy. It is used to refer to research outputs as well as researchers, theory and education, individuals and organizations, from art history to zoology. But does “excellence” actually mean anything? Does this pervasive narrative of “excellence” do any good? Drawing on a range of sources we interrogate “excellence” as a concept and find that it has no intrinsic meaning in academia. Rather it functions as a linguistic interchange mechanism. To investigate whether this linguistic function is useful we examine how the rhetoric of excellence combines with narratives of scarcity and competition to show that the hyper-competition that arises from the performance of “excellence” is completely at odds with the qualities of good research. We trace the roots of issues in reproducibility, fraud, and homophily to this rhetoric. But we also show that this rhetoric is an internal, and not primarily an external, imposition. We conclude by proposing an alternative rhetoric based on soundness and capacity-building. In the final analysis, it turns out that that “excellence” is not excellent. Used in its current unqualified form it is a pernicious and dangerous rhetoric that undermines the very foundations of good research and scholarship. This article is published as part of a collection on the future of research assessment.

    https://www.nature.com/articles/palcomms2016105

    #excellence #rhétorique #recherche #université #science #facs #capacity-building #compétition #pénurie #rareté

    ping @_kg_

  • How many people has climate change killed already? | Grist
    https://grist.org/climate/how-many-people-has-climate-change-killed-already

    Every year heat kills tens of thousands of people. Their breathing grows shallow, their heart rates flutter, their muscles spasm, and then they die. Heat killed over 100,000 people in 2018, when high temperatures broiled the European Union.

    A new study suggests that climate change was responsible for many of those deaths.

    Source:
    The burden of heat-related mortality attributable to recent human-induced climate change | Nature Climate Change
    https://www.nature.com/articles/s41558-021-01058-x

    #climat #mortalité