Même si, ajoute-t-il, « on peut discuter de la définition de la forêt retenue par la FAO, qui recouvre des réalités très différentes en ne distinguant pas couverture forestière continue ou fragmentée ». Cette définition est à ses yeux « plus politique qu’écologique » : elle vise à souligner les enjeux du secteur forestier pour les pays en développement.