Les lanceurs d’alerte de l’HP du Rouvray visés par une plainte au pénal
▻https://blogs.mediapart.fr/solidarite-rouvray/blog/170621/arret-immediat-de-toutes-les-poursuites-engagees-contre-les-3-du-rou
Les lanceurs d’alerte de l’HP du Rouvray visés par une plainte au pénal
▻https://blogs.mediapart.fr/solidarite-rouvray/blog/170621/arret-immediat-de-toutes-les-poursuites-engagees-contre-les-3-du-rou
Soigner, Manifeste pour une reconquête de l’hôpital public et du soin | Le Club de Mediapart
▻https://blogs.mediapart.fr/julien-vernaudon/blog/150621/soigner-manifeste-pour-une-reconquete-de-lhopital-public-et-du-soin
Issu d’une réflexion collective, dans le contexte du Covid, cet ouvrage regroupe un manifeste, un glossaire critique et des témoignages sur le soin à l’hôpital et hors de ses murs. Il exprime un refus de voir périr l’hôpital public et se déliter le soin sous la pression de spécialistes financiers, d’experts en management et de cabinets de conseil, enfermés dans un langage qui nous échappe.
Une aire d’accueil pas très accueillante | Ben Art Core
▻https://blogs.mediapart.fr/1115730/blog/140621/une-aire-daccueil-pas-tres-accueillante
Le genre du capital à Bercy. Plongée en apnée dans l’entre-soi masculin du pouvoir économique | Céline Bessière et Sibylle Gollac
▻https://blogs.mediapart.fr/le-genre-du-capital/blog/080621/le-genre-du-capital-bercy-plongee-en-apnee-dans-l-entre-soi-masculin
Nous – Céline Bessière et Sibylle Gollac – avons reçu une « mention d’honneur » pour notre livre Le genre du capital, lors de la remise du 34e prix Turgot d’économie financière. Le grand jury de ce prix, décerné dans les locaux du Ministère de l’économie et des finances, est composé de 19 hommes et une femme. Plongée en apnée dans l’entre-soi masculin du pouvoir économique. Mais aussi l’entre-soi des idées : haro sur la culture « woke », cette hypersensibilité maladives aux inégalités, sur la tyrannie des minorités, éloge décomplexé de la croissance économique... Source : Le genre du capital
Pourquoi je suis avec « La Vigie de la Laïcité » | Jean-Marc Schiappa
▻https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-schiappa/blog/100621/pourquoi-je-suis-avec-la-vigie-de-la-laicite
La liberté de conscience est-elle absolue ou est-elle limitée par des circulaires administratives ? On voit naitre sous nos yeux la notion effrayante de liberté contrôlée. Oh, les raisons, pour ne pas dire les prétextes, ne manquent pas. Mais la liberté n’est pas une sorte d’éventail que l’on peut ouvrir ou fermer suivant les saisons. Il n’est pas certain, au passage, que l’éventail fermé puisse être rouvert facilement. Source : via Mediapart
Pour comprendre pourquoi « arabe de service » n’est pas une injure raciste :
Qu’est-ce que le racisme ? La définition en procès
▻https://blogs.mediapart.fr/eric-fassin/blog/090621/qu-est-ce-que-le-racisme-la-definition-en-proces
Une lutte est engagée pour redéfinir le racisme. Reconnaître le racisme systémique amène l’antiracisme dit politique à pointer la responsabilité d’institutions comme la police. Peut-on inverser le sens du racisme ? Les personnes racisées en seraient coupables plus que victimes. Le journaliste Taha Bouhafs est ainsi poursuivi aujourd’hui pour avoir traité une policière d’ « Arabe de service ».
Coup de blues, tristesse : Marc Tomsin est décédé...
Marc, de @la_voie_du ►https://lavoiedujaguar.net , était l’un des animateurs du Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte (CSPCL), militant CGT, correcteur.
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/51234742309/in/album-72157719382042046
Hommage de la CGT correcteurs : ▻https://twitter.com/CorrecteursCGT/status/1402206761696833540
Hommage des éditions La Libertalia : ▻https://twitter.com/LibertaliaLivre/status/1402199512869900290
Hommage de Dans l’Herbe Tendre : ▻https://radioherbetendre.blogspot.com/2021/06/lundi-de-merde.html
Bé mince, nos condoléances à @la_voie_du du coup :(
Bel hommage sur la page du CIRA de Marseille (Centre International de Recherche sur l’Anarchisme)
▻https://www.cira-marseille.info/2021/06/marc-tomsin-un-ami-qui-disparait-trop-tot
En 2011, Guillaume Goutte s’était entretenu avec Marc Tomsin, pour « Le Monde libertaire », au sujet de ses activités d’éditeur. Voici l’entretien, tel qu’il a été publié.
▻https://blogs.mediapart.fr/guillaume-goutte/blog/080621/m-tomsin-composer-mettre-en-page-imprimer-et-editer-de-merveilleux-l
Deux Hommages touchants. Marc Tomsin est mort comme il a vécu, en aidant à la ré-ouverture du squat Rosa Negra en Crête. Il n’a pas survécu à une mauvaise chute sur le chemin du retour.
▻https://twitter.com/vicking_/status/1402331637766045696
▻https://m.facebook.com/story/graphql_permalink/?graphql_id=UzpfSTE4OTc4MDQyNzY5ODY0MzM6MzYwNDc0NjUyNjI5MjE5MQ%3D%3D
Peut-etre le connaissiez-vous, peut-etre pas.
Marc était un des fondateurs du Comité de Solidarité avec les Peuples du Chiapas en Lutte (CSPCL), un soixante-huitard, une encyclopédie, un compagnon de route, quelqu’un par lequel nous sommes beaucoup à avoir appris, à avoir découvert d’autres horizons, d’autres luttes, et une certaine manière de penser et de voir les choses aussi.
Il fait partie de ces personnes qui ont tissé depuis toujours la solidarité avec les zapatistes et avec de nombreuses luttes, de personne à personne, de rencontre à rencontre, avec interet, ouverture et gentillesse, sans bruit.
Marc est décédé suite à une chute accidentelle en Crête, durant une fete suivant la reprise du squat cretois Rosa Nera. Il ne verra donc pas les zapatistes débarquer en Crête ni en Europe, ce qui l’aurait fait longuement sourire. Il part, et toute une mémoire, et toutes ces histoires qu’il aimait raconter se voilent avec lui aussi.
En esperant que sa mémoire continue à nous accompagner, et que continuent à germer toutes ces graines qu’il semait autour de lui.
Une forte pensée pour lui
▻https://www.rue-des-livres.com/editeurs/633/rue_des_cascades.html
►https://lavoiedujaguar.net
Reçu par mel
Superbe hommage du chat noir de chez nato :
Durruti avait ouvert les portes... il le fallait. Année 90, fin de siècle, sans papiers, chômeurs... Une bande de musiciens, de musiciennes et bien sûr Violeta, Diego[1] et François, sens de toutes les sentes ... le studio et la rue font bon ménage. Spectateurs actifs, expectatifs acteurs : « Étrangers, ne nous laissez pas seuls avec les Français » dit un tract de Frédéric Goldbronn et Jean-Louis Comolli. Beaucoup de rencontres... Parmi elles, Marc Tomsin, silhouette marquante, présence inaccoutumée, intrigante, tellement vive. Vive les correcteurs, vive le Chiapas ! Marc Tomsin, alors, c’est déjà toute une histoire. Comité Vietnam en 1967, Comités d’action lycéens et JAC (Jeunesse anarchiste communiste) en 1968 etc. La lecture de Raoul Vaneigem l’inspire. Amitié durable. Mille autres activités, incessantes, d’intelligence active. Barcelone, 1977, il rencontre Abel Paz, naissance d’une autre amitié. En 1985, avec Agnès Soyaux, il fonde les éditions Ludd : Les Vagabonds n’ont pas perdu le goût de la chose chantée de Carlos Semprun Maura, Journal d’un chien de Oskar Panizza, Thomas Munzer ou la Guerre des paysans de Maurice Pianzola, l’indispensable Grève des électeurs d’Octave Mirbeau ou encore, entre autres, Banalités de base de Raoul Vaneigem. La suite dans les idées. Ne jamais oublier les luddites combattant le travail mécanique il y a deux siècles (ou devrions-nous dire : depuis deux siècles ?). Marc Tomsin participe à la fondation du Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte (CSPCL) en janvier 1995. Poésie constante, arme véritable, imbattable. Se défendre et savoir lire. Partager. Marc Tomsin, regard d’oiseau, scrute tous les recoins du lointain en appréhendant l’immédiat, dégaine panachée, élégance avivée. On se rencontre de loin en loin, de loin en près, telle manifestation, tel salon du Livre Libertaire. Qui a rendu visite aux Mayas, Tseltal ouTzotzil de nos jours, nos beaux jours, l’aura aussi vu là-bas. Le 28 mai 2009, salut à Abel Paz qui vient de disparaître ; Violeta Ferrer dit « Le Pirate », Frédéric Goldbronn projette son film Diego et Marc Tomsin lit l’adieu de Valeria Giacomoni[2]. Ombre habile et généreuse. En 2007, il fonde une nouvelle maison d’Édition : Rue des Cascades. Aussi humaine que le film du même titre de Maurice Delbez. Guiomar Rovira, Métie Navajo, Sous Commandant Marcos, Georges Bataille, Georges Lapierre, Alèssi Dell’Umbria, et Abel Paz bien sûr. Des Livres de la jungle à La voix du Jaguar, incessants compléments. Ces derniers temps il résidait à Exarchia. Logique ! En Crête, le 8 juin dernier, Marc Tomsin soudain disparaît. Depuis Thésée, on ne croyait pas ça possible. Une vie de cascades pour nous autres.
2 causeries du CIRA-Marseille avec Marc Tomsin, en lien avec le message de la feuille et le blog de Claude Guillon.
▻https://lignesdeforce.wordpress.com/2021/06/08/deces-de-marc-tomsin
▻https://archive.org/details/chiapas-tomsin
et l’hommage de ses camarades de casse
Pour toi, Marc, querido amigo...
▻https://twitter.com/LeMonde_correct/status/1403266136007974920
▻https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2021/06/11/pour-marc
avec des liens vers Exarchia, le quartier #anarchiste et rebelle d’Athènes et ce film qui m’a l’air bien sympathique : RUE DES CASCADES (Un gosse de la butte) de Maurice Delbez
Sortie le 19 septembre 2018
▻http://www.malavidafilms.com/cinema/ruedescascades
Avec : Madeleine Robinson, Serge Nubret, René Lefèvre, Lucienne Bogaert Musique : André Hodeir et Henri Salvador
A partir de 9 ans
Belleville, 1963. Alain, petit garçon d’une dizaine d’années, vit seul avec sa mère, qui tient une épicerie café de la rue des Cascades. L’arrivée de Vincent, l’amant noir de sa mère, vient bouleverser son existence. Autant par racisme ordinaire que par jalousie, l’enfant commence par rejeter le nouveau venu. Par sa grande gentillesse, son humour et son imagination, Vincent désarme les a prioris du petit garçon qui devient son meilleur allié. Mais ses copains de jeu n’ont pas forcément le même avis…
▻https://www.dailymotion.com/video/x6m8vl8
Un hommage de Raoul Vaneigem à son ami Marc Tomsin
▻https://editionslibertalia.com/blog/raoul-vaneigem-a-marc-tomsin-210609
Cher Marc,
Tu n’as jamais fait partie, tu ne feras jamais partie des morts-vivants qui perpétuent la longue agonie du vieux monde. C’est pourquoi je m’adresse à toi au nom de cette vivacité qui ne t’a jamais quittée et qui continuera d’être présente parmi nous. Car légataires des insurgées et des insurgés du passé, nous jetons les bases d’une véritable internationale du genre humain. Choisir le parti pris de la vie est désormais le seul recours contre ceux qui sèment la mort sur la terre entière. C’est le combat que tu as choisi de mener et ton amitié rayonnante avait souvent plus d’efficacité que bien des diatribes. L’érudition et la vigilance de l’éditeur nous ont donné des écrits rares et percutants. L’infatigable responsable de la Voie du jaguar a préparé la venue imminente des zapatistes qui débarquent porteurs d’un monde nouveau dans la vieille Europe si acharnée à les réduire en esclavage. Dans toutes les festivités à venir il sera l’ombre du personnage absent.
Mais je ne veux pas verser dans l’oraison funèbre.
Marc était avant tout un ami. Cette magie intime que sont les affinités électives nous avait fait proches. J’ai beau savoir que la mort t’a cueilli dans l’exaltation de Rosa Nera redevenue libre, je n’en reste pas moins convaincu qu’aucune mort n’est heureuse.
Néanmoins, nous étions pour ainsi dire en conversation lors de cet étincellement de l’enthousiasme qui t’a frappé. J’aime à voir dans cette fulgurance – funèbre pour nous, joyeuse pour toi – un appel à ne jamais désespérer ni de sa propre existence ni du monde, si délabré qu’il nous paraisse.
Tu as toujours eu l’art de persuader sans donner de leçons. Merci Marc.
Raoul Vaneigem, 9 juin 2021
▻https://actualitte.com/article/100819/vie-litteraire/l-editeur-et-correcteur-libertaire-marc-tomsin-est-mort
Où l’on apprend qu’un documentaire est consacré à Marc :
▻http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/4975_1
Un portrait, celui de Marc dont la vie sociale se partage entre son travail de correcteur au journal « L’Humanité », son activité au sein du syndicat des correcteurs et des pratiques de solidarité liées à sa sensibilité anarchiste. « Mais si être anarchiste ce n’est qu’une question d’idées, si ce n’est pas un mélange entre une pensée, une pratique individuelle, une pratique sociale, » quel sens cela a-t-il ? Et si faire un portrait, ce n’est pas tenter de rendre compte d’une subjectivité, quel sens cela a-t-il ?
L’anarchiste aux semelles de vent
http://acontretemps.org/spip.php?article854
Ludd & Rue des Cascades
https://cgecaf.ficedl.info/mot45.html
https://cgecaf.ficedl.info/mot4101.html
#FICEDL Fédération internationale des centres d’études et de documentation libertaires
#livres
Une BD évoquant Darmanin censurée par les Éditions des Équateurs
▻https://actualitte.com/article/100626/edition/une-bd-evoquant-darmanin-censuree-par-les-editions-des-equateurs
Cas de force majeure, le huitième livre de Remedium, était prêt pour la publication : l’auteur avait même reçu le Bon À Tirer (BAT), le document final, envoyé à l’imprimeur. « C’est juste avant le départ pour l’impression qu’il y a eu ce retard, non expliqué par l’éditeur », nous explique Remedium par téléphone.
Cherchant à obtenir une explication de ce délai, l’auteur-illustrateur découvre qu’un portrait de Gérald Darmanin, dans Cas de force majeure, pose problème.
« On me transmet un ensemble de raisons complètement vaseuses avancées par Olivier Frébourg [directeur des Équateurs et éditeur, NdR] : d’abord, que Darmanin a sorti un livre aux éditions de l’Observatoire [Le séparatisme islamiste. Manifeste pour la laïcité, NdR], qui fait partie du groupe Humensis, ce qui serait problématique, puis qu’une autrice publiera aux Équateurs un livre sur le terrorisme à la rentrée, et que sa protection policière pourrait être remise en cause si le ministre est attaqué. »
« Au final, on m’a indiqué que le récit tombait sous le coup de la diffamation. Or, je me suis basé sur plusieurs articles de presse, je fais usage du conditionnel et je cite même Mediapart pour un élément », précise Remedium, qui n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai en matière d’enquête et de portrait.
Finalement, Olivier Frébourg a, selon l’auteur, demandé de modifier le récit consacré à Darmanin, « en modifiant pratiquement toutes les cases », à moins de renoncer à publier le livre. Choqué par le procédé, Remedium n’a pourtant pas hésité longtemps, et a choisi de résilier le contrat d’édition, pour récupérer ses droits sur Cas de force majeure.
▻https://threadreaderapp.com/thread/1396776348824358912.html
Gérald #Darmanin cumule bon nombre de tares et est au croisement de l’impunité politique et policière. Il méritait bien que l’on raconte son histoire dans un thread, à lire ici et sur @Mediapart. ⬇
#ViolencesPolicieres #DarmaninDemission
@edwyplenel @davduf @AmalBentounsi
ce qui serait problématique, puis qu’une autrice publiera aux Équateurs un livre sur le terrorisme à la rentrée, et que sa protection policière pourrait être remise en cause si le ministre est attaqué.
Les ouvriers agricoles martiniquais, premières victimes des inégalités néocoloniales | Cannelle Fourdrinier
▻https://blogs.mediapart.fr/canoubis/blog/120220/les-ouvriers-agricoles-martiniquais-premieres-victimes-des-inegalite
Des vétérant.e.s, bien que malades ou mourant.e.s, sont encore là pour témoigner des rouages inhumains du « salariat » dans les plantations. Armés de chlordécone en 1968, ils ont été envoyés au front par les békés et l’Etat français, pour lutter contre le charançon du bananier. Ils meurent dans une misère épouvantable. Pourtant, seule une poignée de Martiniquais se lève à leurs côtés… Source : Le Club de Mediapart
Opérateurs contre Gafam : pourquoi la 5G doit tuer le WIFI :
▻https://blogs.mediapart.fr/dominique-g-boullier/blog/310521/operateurs-contre-gafam-pourquoi-la-5g-doit-tuer-le-wifi
Le WiFi, un bien commun à faire disparaitre
En effet, la fibre n’assure guère de marges nouvelles, et le complément de la fibre, le WiFi, ne fournit aucune occasion de monétisation. Car, bien au-delà des domiciles, le WiFi se répand dans l’espace public et est même soutenu par les collectivités locales ou par des associations militantes qui le considèrent comme un bien commun, hors du système marchand.
Chose totalement inadmissible pour des opérateurs puisque malgré tout le WiFi bénéficie à un moment d’un raccordement au réseau filaire, à savoir la fibre désormais. Bref, les opérateurs sont prêts à avoir la peau du WiFi et pour cela déploieront un autre maillon de la chaine technique dite de la 5G qui n’est jamais évoquée dans les débats actuels.
Comment pénétrer l’intérieur des bâtiments ? Avec des box 5G…. dont on ne parle jamais !
Les fréquences élevées du spectre hertzien ont en effet un défaut majeur, elles pénètrent très mal à l’intérieur des bâtiments, ce qui fait un peu désordre pour une technologie censée représenter le progrès.
Qu’à cela ne tienne, il suffit d’équiper d’antennes 5G toutes les boxes, désormais peu rentables pour les opérateurs et jusqu’ici équipées d’antennes WiFi !
Mais qui nous a parlé de cette inéluctable modification de tout le réseau ?
Personne car cela évite d’entrer dans un débat sur ces antennes à domicile qui nous encourageront à rester connectés à domicile en permanence à la 5G devenue plus performante que fibre et WiFi ensemble. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que ces antennes permettront aux opérateurs de monétiser tous les services évoqués plus haut en fournissant des services beaucoup plus fins et personnalisés. La compagnie Salt commercialise déjà ces box 5G en Suisse depuis 2021, mais pour suppléer les domiciles qui n’ont pas accès à la fibre pour l’instant.
Voici donc comment la construction longue et coûteuse d’un réseau (fibre + WiFi) se trouve tout d’un coup disqualifiée parce qu’elle génère avant tout des revenus pour les plateformes GAFAM et trop peu pour les opérateurs. On comprend mieux l’insistance à vanter des applications improbables telles que la voiture autonome et la chirurgie à distance pour persuader du caractère inéluctable et quasi vital de cette nouvelle infrastructure, quitte à oublier tous les enjeux d’assurance pour gérer la responsabilité ou les enjeux organisationnels.
Cas de force majeure - L’histoire de #Gérald | Le Club de Mediapart
►https://blogs.mediapart.fr/158568/blog/240521/cas-de-force-majeure-lhistoire-de-gerald
Gérald cumule à lui seul bon nombre de tares expliquant chez beaucoup le dégoût de la vie politique moderne. Son parcours singulier nous éclaire sur ce qu’il est, sur sa vision du pouvoir et sur celle des gens qui l’ont placé là. Mais il est également au croisement de l’impunité politique et policière. Pour tout cela, Gérald est un triste symbole qui méritait bien que l’on raconte son histoire.
One more time, we need to talk about Gérald :
Cas de force majeure - L’histoire de Gérald | Le Club de Mediapart
►https://blogs.mediapart.fr/158568/blog/240521/cas-de-force-majeure-lhistoire-de-gerald
Gérald cumule à lui seul bon nombre de tares expliquant chez beaucoup le dégoût de la vie politique moderne. Son parcours singulier nous éclaire sur ce qu’il est, sur sa vision du pouvoir et sur celle des gens qui l’ont placé là. Mais il est également au croisement de l’impunité politique et policière. Pour tout cela, Gérald est un triste symbole qui méritait bien que l’on raconte son histoire.
« darmanin c’est le QI d’un grille pain dans le corps de sarkozy »
soutien à darmanin par Guillaume Meurice
▻https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-25-mai-2021
▻https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/18153-25.05.2021-ITEMA_22679281-2021F23173S0145.mp3
Guillaume Meurice revient sur le litige opposant notre cher Gérald Darmanin et Audrey Pulvar. Un titre certifié 100% premier degré.
#Debbie_Hayton : Comment la propagande transgenre détruit de jeunes adolescentes
▻https://tradfem.wordpress.com/2021/05/24/comment-la-propagande-transgenre-detruit-de-jeunes-adolescentes
Dans un superbe effort de journalisme d’investigation, Abigail Shrier se concentre sur des adolescentes, la plupart sans antécédents de dysphorie de genre, qui deviennent captivées par la conviction qu’elles sont transgenres. Derrière l’extérieur alléchant et glamour dépeint dans les médias, elle rencontre des enfants traumatisés, dont beaucoup sont éloignés de leur famille, en mauvaise santé mentale et confrontés à la perspective de l’infertilité et de la prise de médicaments à vie.
Shrier, journaliste du Wall Street Journal, ne cache aucun détail sordide dans la description de la phalloplastie, la construction d’un pénis artificiel. Les complications peuvent être horribles. Elle rapporte l’expérience d’un adolescent de 19 ans « dont la phalloplastie a entraîné une gangrène et la perte de l’appendice. » À l’aube de l’âge adulte, ce jeune s’est retrouvé sans organes génitaux normaux, que ce soit de l’un ou l’autre sexe, et branché à un cathéter.
Je suis une personne transgenre, mais j’ai fait la transition en tant qu’adulte, lorsque j’ai pu comprendre les implications sur mon corps et ma relation avec la société. De plus, j’avais déjà eu mes propres enfants. Pourtant, des enfants que la loi juge trop jeunes pour donner leur consentement à un tatouage se retrouvent enfermés dans un processus qui les amène à prendre des décisions qui bouleverseront réellement leur vie.
publié initialement sur ►https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples
LECRI DES PEUPLES a traduit un article de la transgenre DEBBIE HAYTON à propos du livre-choc IRREPARABLE DAMAGE d’Abigail Shrier. Repris sur leur blog de MEDIAPART. ►https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples
▻https://lecridespeuples.fr/2020/11/22/comment-la-descolarisation-a-sauve-une-fille-de-12-ans-de-la-folie-t
Marine Le Pen : l’autre candidate des riches21 MAI 2021 PAR RUFFIN FRANÇOIS BLOG : FRANÇOIS RUFFIN
▻https://blogs.mediapart.fr/ruffin-francois/blog/210521/marine-le-pen-l-autre-candidate-des-riches
Les hommes qui frappent contre les murs
▻https://blogs.mediapart.fr/jeanfluflu/blog/210521/les-hommes-qui-frappent-contre-les-murs
21 mai 2021 Par Jeanfluflu Blog
On ne frappe pas les murs pour soi, parce que ça fait mal. On ne frappe pas les murs seuls, ça ne se voit pas. On frappe les murs pour montrer quelque chose, c’est un spectacle, une mise en scène. Frapper un mur ce n’est pas « décharger » un coup de force et sentir en soi-même la douleur de l’impact, c’est l’imposer aux autres. C’est montrer en creux « regarde ce que je peux faire », c’est une menace à peine voilée ou en tout cas, c’est une promesse. TW violence familiale.
Il y a quelques jours je suis allé voir un ami, un ami qui souffre parce qu’il a subi un burn out.
Durant sa descente dans la crevasse de l’épuisement professionnel, la colère a été sa béquille, sa manière de dire stop quand toutes les limites ont été dépassées.
Il aura pleuré, mais de rage bien sûr et donc il a frappé les murs.
Ce témoignage de mon ami m’a heurté, parce que je croyais naïvement m’être éloigné de tout ça.
C’est à l’adolescence de mon frère que j’ai connu les joies du spectacle des cloisons qu’on maltraite.
En échec scolaire, c’était sa manière à lui de reprendre de la place dans la maison. En frappant dans les murs, toute l’attention venait sur lui et il affirmait ainsi quelque chose : j’existe et je suis fort.
Malgré tout et puisque sa situation ne s’était pas arrangée, alors il s’est battu contre mon père. J’aurai toute ma vie cette image de leurs deux corps contre le sol du couloir qui menait à ma chambre : mon père dessous et mon frère dessus, avec mon père qui l’étranglait « pour qu’il se calme ».
Des années après, alors que nos parents avaient déménagé, nous sommes allés vivre chez le nouveau compagnon de ma mère, un homme drôle mais manipulateur, quelqu’un que je détestais mais qui avait cette aura qui impressionnait la personne que j’étais alors.
Nous n’étions plus chez nous, alors quand mon frère frappait contre les murs, l’impact était encore plus fort. Jusqu’au jour ou il a passé sa tête à travers une vitre.
J’aurai toute ma vie cette image de son crâne ensanglanté assis dehors sur la terrasse.
Puis il s’est en allé, et ma mère est partie avec lui marcher dans la rue. En revenant quelques minutes plus tard, elle avait des croûtes aux mains, les yeux humides et les genoux écorchés.
Alors j’ai su qu’il venait de frapper ma mère.
Mon frère est ensuite retourné vivre chez mon père, puis chez ma grand mère. Les murs de la maison de mon père se creusait de cratères, ici et là, toujours plus nombreux à mesure que je revenais les week-end.
Je ne voyais plus mon frère aussi souvent mais je voyais les trous apparaître aussi sur les murs de ma grand-mère. Puis un jour elle m’a avoué, elle aussi, il s’est mis en colère et il l’a frappée, elle aussi.
Comme un écho à tout cela, c’est mon beau père qui a lui aussi pris cette habitude, entre les travaux dans sa maison et son travail qu’il détestait. J’ai ré-entendu les battements lourds d’un poing qui s’écrase sur une poutre, un mur de placo ou encore une bordure de fenêtre.
Puis c’est les tournevis qui passaient à travers la pièce, et les hurlements.
Quand j’y repense encore il y avait cet ami d’enfance, lui aussi en échec scolaire à qui il ne restait que la violence pour exister et qui frappait contre les murs de chez lui. Puis il a frappé ses amis, puis sa copine...
Des histoires comme ça, j’ai l’impression d’en avoir toujours été témoin, des hommes à qui la société prend des parts d’eux-mêmes se réfugient dans ce que la masculinité fait de pire.
« Il me reste mon corps d’homme », ce corps violent, ce corps qui s’impose aux autres.
On ne frappe pas les murs pour soi, parce que ça fait mal. On ne frappe pas les murs seuls, ça ne se voit pas. On frappe les murs pour montrer quelque chose, c’est un spectacle, une mise en scène.
C’est un coup de tonnerre et puis la foudre. Ce sont des cris et des portes fermées. C’est un goût de fer au fond de la bouche et le cœur qui bat. Ça doit faire du bruit et si possible laisser des traces, un trou dans le placo ou si possible des rougeurs ou des croûtes sur les phalanges.
Ça en a laissé. Sur les parois de la maison de mon père, de mon beau-père et de ma grand-mère.
Ça en a laissé en moi et à toutes celles et ceux qui ont eu à subir ça.
Frapper un mur ce n’est pas « décharger » un coup de force et sentir en soi-même la douleur de l’impact, c’est l’imposer aux autres.
C’est montrer en creux « regarde ce que je peux faire », c’est une menace à peine voilée ou en tout cas, c’est une promesse. C’est affirmer à nos proches que l’on est dangereux, qu’on se servira de la violence.
Petit à petit, c’est franchir des barrières, parce qu’on ne frappe pas sa famille comme cela du jour au lendemain. Alors on teste et on ira chaque jour un peu plus loin.
Il est à noter que ceux qui tapaient contre les murs dans mon histoire ont presque tous fini par taper sur une femme.
Enfin, frapper contre les murs c’est aussi faire un choix, devant la blessure qui nous a été faite, de nier une part de notre humanité.
C’est nier qu’on a été blessé, que nous sommes vulnérables et que nous avons parfois besoin des autres pour nous aider.
C’est choisir la force, l’écrasement et l’isolement.
J’en veux encore aujourd’hui à mon frère et toute ma vie je sais que nous n’aurons plus jamais la même proximité, parce que ces épisodes ont brisé quelque chose en moi et entre nous.
Je m’en veux aussi, pour toutes les fois ou j’ai été présent mais ou je n’ai rien su faire. Enfin si, j’ai fait des choses, j’ai fui.
J’ai fui ma famille à laquelle je ne parle plus que quelques fois par an, j’ai fui mon frère et ma ville pour aller vivre ailleurs, m’entourer d’autres gens.
Mais on ne fui pas le patriarcat, des hommes il y en a partout et le patriarcat est en chacun d’entre nous.
Aujourd’hui, face à ces témoignages de mon ami, je re-questionne ces épisodes, je suis plus vieux, c’était il y a des années mais ça m’a marqué au fer rouge.
Alors quoi faire, quoi faire face à ces hommes qui sont hommes dans la violence ?
Comment empêcher ce pote de faire du mal autour de lui ?
Comment lui dire ?
#violence_masculine #domination #famille #virilité #masculinité
Ces « hommes qui frappent sur les murs » intimident puis agressent surtout des conjointes, des enfants, des parents. La métonymie des « murs » enfoncés est un euphémisme, une façon de détourner le regard des victimes, de ne voir que l’Homme et sa soi-disant détresse à ne pouvoir contrôler tout ce qui l’entoure, de ramener ses proches à du mobilier qu’il rudoie. Quelle complaisance dans cette compassion sélective ! Le manteau de Noé jeté sur le mâle indigne pour en dissimuler la déréliction. Un bien mauvais service à lui rendre...
Réoccupation par Israël de la Mosquée Al Aqsa et du quartier Sheikh Jarrah, cette nuit du 22 au 23 mais et ce matin 23 mai.
Israël les occupe toujours, protégeant l’invasion par des colons religieux extrémistes.
►https://blogs.mediapart.fr/stephane-m/blog/230521/reoccupation-par-israel-de-la-mosquee-al-aqsa-et-du-quartier-sheikh-
Israël/Gaza : le Conseil de sécurité de l’ONU appelle au respect « complet » du cessez-le-feu
RFI Publié le : 23/05/2021 | Avec notre correspondante à New York, Carrie Nooten
▻https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20210523-isra%C3%ABl-gaza-le-conseil-de-s%C3%A9curit%C3%A9-de-l-onu-appelle-au-r
Samedi, le Conseil de sécurité de l’ONU a appelé à un respect « complet » du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Une position commune prise après plusieurs jours de blocage des États-Unis.
(...) Depuis le début des affrontements le 10 mai, au moins 248 Palestiniens, dont 66 enfants et des combattants du Hamas, ont péri dans les frappes israéliennes, tandis que 12 personnes, y compris un enfant, une adolescente et un soldat, ont été tués en Israël par les roquettes tirées depuis la bande de Gaza.
Par ailleurs, la déclaration a souligné le besoin immédiat d’une assistance humanitaire dans les territoires palestiniens et a rappelé la nécessité de déployer la solution à deux États. Il est « urgent de rétablir le calme et réaffirmer qu’il est important de parvenir une paix complète fondée sur la conception d’une région où deux Etats démocratiques, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, en paix avec des frontières sûres et reconnues », a plaidé le Conseil de sécurité.
En revanche, Washington a demandé de supprimer la mention condamnant les violences, restant sur sa lancée de vouloir épargner son allié Israël. Cette déclaration a minima, faite après l’obtention du cessez-le-feu et d’un débat à l’Assemblée générale, permet au Conseil de sécurité de sauver les apparences, momentanément.
#ONU
Réoccupation par Israël de la Mosquée Al Aqsa et du quartier Sheikh Jarrah ce matin et cette nuit. Cette occupation qui ouvre le passage pour les juifs religieux extrémistes semble partie pour durer.
►https://blogs.mediapart.fr/stephane-m/blog/230521/reoccupation-par-israel-de-la-mosquee-al-aqsa-et-du-quartier-sheikh-
[archives] 22 mai 2018, sur la #ZaD , Maxime P. a la main arrachée par une grenade GLI-F4
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/51196849635
ValK. a posté une photo :
photo : palet de grenade et digitale arrachée, Zone a Defendre de Notre-Dame-des-Landes, le 26 mai 2018.
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Ce 22 mai 2018, c’est grosse journée de grève de la fonction publique, manifestations un peu partout. Mais sur la zad, la guerre continue. Et dans une course poursuite, alors qu’il n’est absolument pas en danger, un gendarme lance une grenade sur quelques personnes qui courents vers la forêtre de Rohane. La grenade tombe aux pieds de Maxime P, il se penche, elle explose dans sa main.
Lire le suivi direct de la journée du 22 mai 2018 sur la zone à défendre de Notre-Dame-des-Landes : ▻https://web.archive.org/web/20201021184634/https://nantes.indymedia.org/articles/41521 et les principaux tweets ce jour là : ►https://twitter.com/search?q=zad%20OR%20zadiste%20OR%20NDDL%20since%3A2018-05-22%20until%3A2018 et suivi sur seenthis : ▻https://seenthis.net/recherche?recherche=grenade%20main%20zad%20maxime&follow=all&order=date
Article sur Reporterre qui décrypte ce qui s’est passé : ►https://reporterre.net/Main-arrachee-a-Notre-Dame-des-Landes-la-Zad-sous-le-coup-de-la-stupeur et qui donne la parole à ses amis sur place : ►https://reporterre.net/Ses-amis-racontent-comment-Maxime-a-eu-la-main-arrachee-sur-la-Zad
Communiqué de Desarmons-les sur les mutilations par les armes sub-létales : ▻https://desarmons.net/2018/05/24/combien-faudra-t-il-encore-de-membres-arrachees-par-la-gli-f4
Communiqué du Collectif 22 mai : « Les véritables questions à se poser face à la mutilation de Maxime » : ►https://blogs.mediapart.fr/collectif22mai/blog/250518/les-veritables-questions-se-poser-face-la-mutilation-de-maxime
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Retrouver le Bilan judiciaro-policier de la manif du 22 mai et de la rafle du lycée Arago à Paris : ▻https://paris-luttes.info/bilan-judiciaro-policier-de-la-10402
Témoignage d’une des perosnnes traumasisée par la garde-à-vue [TW viol, racisme, violences policières] : ►https://lundi.am/Arago-101-lyceens-et-grevistes-places-48h-en-garde-a-vue
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| A propos des cicatrices laissées par la ZAD : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49401140152
| Ensemble [habiter la ZAD] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157665873574077
| Ensemble [Notre-Dame-des-Luttes] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157632149210959
| Ensemble [fil-le-s de luttes] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157632096933304
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Témoignages importants sur la situation à Gaza
Interviews filmés de journalistes
La situation devient très difficile à Gaza en raison des destructions de maisons et d’immeubles d’habitation mais aussi d’infrastructures (Ministère de la santé, route principale Nord-Sud, centre commercial), du manque de fuel, et du nombre important de personnes qui ont fui leur maison.
▻https://blogs.mediapart.fr/stephane-m/blog/190521/temoignages-importants-sur-la-situation-gaza