• La ligne rouge de Trump
    http://www.entelekheia.fr/ligne-rouge-de-trump

    Le 6 avril, le président des USA Donald Trump a autorisé une frappe de missiles Tomahawk, à l’aube, sur la base aérienne de en Syrie centrale, en représailles contre ce qu’il a appelé un attaque avec un agent neurotoxique perpétrée par le gouvernement syrien deux jours plus tôt, dans la ville tenue pas des rebelles Khan Cheikhoun. Trump a donné cet ordre malgré les avertissements de la communauté des renseignements américains selon lesquels elle n’avait aucune preuve d’utilisation d’une arme chimique par les Syriens.

    Les renseignements disponibles clarifiaient que les Syriens avait ciblé un lieu de rencontre djihadiste, le 4 avril, en utilisant une bombe téléguidée fournie par les Russes, et équipée d’une tête conventionnelle. Les détails de l’attaque, y compris des informations sur leurs dénommée cibles de haute valeur, avaient été fournies par les Russes plusieurs jours plus tôt aux Américains et aux militaires alliés à Doha, dont la mission est de coordonner toutes les opérations aériennes américaines, alliées, russes et syriennes dans la région.

    traduction française de l’article repéré par @Kassem et @Nidal
    https://seenthis.net/messages/610604#message610745

    • Macron et Trump prêts à travailler à une « réponse commune » en cas d’attaque chimique en Syrie
      27 juin 2017, 18:35 - Avec AFP

      L’Elysée a annoncé que les présidents français et américain Emmanuel Macron et Donald Trump, qui se sont entretenus par téléphone le 27 juin, avaient souligné « la nécessité de travailler à une réponse commune en cas d’attaque chimique en Syrie ».

      Emmanuel Macron et Donald Trump se sont entretenus par téléphone le 27 juin selon un communiqué de l’Elysée qui précise qu’ils auraient ensemble évoqué la possibilité d’une action commune contre la Syrie en cas d’attaque chimique de l’armée.

      La veille, le 26 juin, les Etats-Unis avaient accusé le gouvernement syrien de préparer une nouvelle attaque chimique, et s’étaient dits prêts à intervenir militairement comme ils l’ont fait après l’attaque chimique présumée à Khan Sheikoun, au nord de la Syrie, qui a fait au moins 88 morts début avril.