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  • Fonds Marianne : Anne Hidalgo et LFI annoncent saisir le parquet
    https://www.20minutes.fr/societe/4032686-20230414-fonds-marianne-anne-hidalgo-lfi-annoncent-saisir-parquet

    Anne Hidalgo et la cheffe des députés LFI Mathilde Panot ont annoncé saisir la procureure de la République sur le « fonds Marianne » contre le séparatisme, après des révélations sur l’utilisation des subventions allouées. « Les faits relatés, s’ils sont avérés, sont d’une extrême gravité » car « susceptibles de caractériser l’infraction pénale de détournement de fonds publics mais également d’autres délits », écrit la maire de Paris dans une lettre envoyée jeudi à Matignon, et dont l’AFP a eu copie vendredi.

    […]

    Le parquet de Paris a indiqué vendredi qu’un signalement au titre de l’article 40 du code de procédure pénale de Christian Gravel, président du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), était analysé, avant une éventuelle ouverture d’enquête.

  • Etats-Unis : Un juge signe l’arrêt de mort de la pilule abortive, combat devant la Cour suprême en vue
    https://www.20minutes.fr/monde/4031803-20230408-etats-unis-juge-signe-arret-mort-pilule-abortive-combat-d

    La croisade de la droite chrétienne américaine contre l’avortement s’intensifie. Un juge fédéral a annoncé vendredi suspendre l’autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis de la mifépristone (RU 486), une des deux pilules nécessaires pour les avortements médicamenteux, ce qui empêche en pratique sa prescription. Son arrêt concerne tout le pays, y compris les Etats protégeant le droit à avorter, et affecte les quelque 500.000 femmes qui ont recours à la pilule abortive chaque année.

    Le magistrat a toutefois précisé qu’il donnait à l’administration Biden une semaine pour faire appel de cette décision, ce qu’elle a aussitôt fait. Dans le même temps, un juge dans l’Etat de Washington a donné ordre à l’Agence américaine du médicament (FDA) de continuer à prescrire la mifépristone. Face à ces deux décisions contradictoires, la Cour suprême, qui est revenue l’été dernier sur l’arrêt Roe v. Wade, ce qui a permis aux Etats conservateurs d’interdire ou de strictement limiter l’IVG, pourrait être amenée à jouer les arbitres.

  • « Terrorisme intellectuel », un concept d’extrême-droite dans la bouche de Gérald Darmanin
    https://www.20minutes.fr/societe/reforme_des_retraites/4030772-20230402-terrorisme-intellectuel-concept-extreme-droite-bouche-ger
    https://img.20mn.fr/7rjE2EqHTUGz3qqJVTlZIyk/1200x768_ga-rald-darmanin-minister-of-the-interior-of-france-in-his-office-

    Alors que les récentes manifestations contre la réforme des retraites et à Sainte-Soline ont été marquées par des violences policières dénoncées jusqu’au sein de l’ONU, Gérald Darmanin a accordé une interview au Journal du dimanche.
    Le ministre de l’Intérieur y dénonce le « terrorisme intellectuel » de l’extrême gauche, accusant Jean-Luc Mélenchon de vouloir une « révolution ».
    Le concept mobilisé par Gérald Darmanin est issu de l’extrême droite, et sert une rhétorique qui enchaîne contre-vérités, oublis et volonté de mettre la Nupes en marge du champ politique.

    • volonté de mettre la Nupes en marge du champ politique.

      ce qui aurait tendance à confirmer que Darmanin fait surtout de la comm, pour sa pomme et pour Macron, et aux frais du contribuable - et du militant Kmer Vert ou Gilet Jaune ; il mobilise les moyens de l’état, dont la répression, pour faire de la « comm » anti-Nupes, plus que pour faire de la politique ; c’est une forme d’abus de bien social et de la « comm » [très] chère payée ; son job, normalement, c’est de gérer son ministère, dont un certain nombre de fonctionnaires, et de faire de la politique concrète dans le champ dévolu audit ministère - et non dans les champs de maïs. Son vrai job, il le fait aussi, avec des lois qui ne passent pas - ou pas encore - mais dans quelle proportion, relativement à son auto-promo ou la propagande macroniste ?

    • Je sais bien que ça peut provoquer des aigreurs d’estomac mais je vous « linke » tout de même l’interview du « sinistre de l’inférieur » que, dans son infinie crapulerie, il a accordé au JDD. C’est du lourd ...
      Peut-être que dans deux siècles, nos descendants se demanderont encore comment nous avons pu tomber si bas (ou pas) ...
      https://justpaste.it/a4v9r

    • Le seul espoir que cette stratégie de mensonges ne soit pas suivie par toute une frange de la population lobotomisée pour x raisons (entre autres respect des valeurs du chef et paresse intellectuelle) est de pouvoir lire cette dénonciation dans 20 minutes. Il y a quelques choses de plaisant à voir les médias chiens de garde sortir du rôle assigné de journalistes de préfecture.

  • Volodymyr Zelensky promet au « Mal russe » un « nouveau Nuremberg »...
    https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4030679-20230401-guerre-ukraine-direct-volodymyr-zelensky-promet-mal-russe

    La Russie a délcaré la « guerre hybride » à l’Occident, une nouvelle stratégie qui entérine la rupture entre Moscou et les alliés de l’Ukraine. Vladimir Poutine a justifié cette nouvelle politique, désignant l’Occident comme « menace existentielle », par des « bouleversements sur la scène internationale ».

    La géopolitique du cécuikidikié

  • Retraites : dégâts importants sur le pont de Saint-Nazaire, les manifestants ont quitté les lieux
    https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/pont-de-saint-nazaire-les-manifestants-ont-quitte-les-lieux-5445811

    Une centaine d’opposants à la réforme des retraites ont bloqué le pont de Saint-Nazaire ce mercredi. Ils ont quitté les lieux vers 14h30. Mais la colère reste visible. Un portique routier en partie incendié doit être évacué avant la rouverture du pont à la circulation.

    L’hélicoptère de la gendarmerie a survolé la zone, quelques forces de l’ordre visibles au loin, mais pas de charge, pas d’affrontements ce mercredi matin sur le pont de Saint-Nazaire où une centaine de manifestants avaient érigé des barricades. Les grévistes ont quitté les lieux vers 14h30. Il faut à présent nettoyer et sécuriser la zone avant de pouvoir rouvrir le pont à la circulation. Les pompiers sont intervenus pour éteindre les feux et il s’agit à présent d’évacuer un portique de signalisation [et des radars], en partie incendié, et qui menace de s’écrouler.

    #ouvriers #blocage #sabotage

    "Que Macron vienne décharger les containers avec moi, il tient une semaine !", un docker en colère à France Bleu.

  • Libération d’Olivier Dubois : Le journaliste, ex-otage au Sahel, accueilli par Macron pour son retour à Paris
    https://www.20minutes.fr/monde/4028821-20230321-liberation-olivier-dubois-journaliste-ex-otage-sahel-accu

    Le président français Emmanuel Macron a exprimé lundi son « immense soulagement », et a témoigné de sa « grande reconnaissance au Niger pour cette libération », après s’être entretenu au téléphone avec le journaliste. Il accueillera le journaliste à la mi-journée à la base aérienne de Villacoublay, près de Paris, a annoncé mardi l’Elysée.

    Olivier Dubois à Macron : « Mes deux années d’otage, ça compte pour ma retraite, ou bien ? »

  • Paris : « S’il faut, on mettra quatre heures à démarrer le camion » préviennent les éboueurs face aux réquisitions
    https://www.20minutes.fr/paris/4028267-20230316-paris-faut-mettra-quatre-heures-demarrer-camion-previenne

    « 49.3 ou pas, on ne bougera pas. » Quelques heures avant qu’Élisabeth Borne, Premier ministre, ne dégaine une nouvelle fois l’article symbole de la mandature, les éboueurs du garage de la Direction de la propreté et de l’eau Mairie de Paris d’Ivry-sur-Seine n’en démordent pas.

    « Ce n’est pas une surprise de voir le gouvernement sortir son arme favorite », explique Didier Labruyère, délégué syndical Force ouvrière. Quelques heures plus tôt déjà, les rumeurs de réquisition d’éboueurs grévistes par la Préfecture de Police de Paris pour répondre à l’amoncellement des ordures dans la capitale enflaient.
    L’ombre des réquisitions

    « On sait que les CRS sont déjà à Pizzorno », commente une gréviste au sujet de l’intervention des forces de l’ordre à l’entrepôt de la société privée, chargée de récolter les déchets dans la partie sud-ouest de Paris.

    Pourtant, toutes les personnes présentes sur le piquet de grève ce jeudi matin semblent plutôt sereines. « On ne lâchera pas, quoiqu’il arrive », ajoute Farid, lui aussi délégué Force ouvrière sur ce site qui enregistre 98 % de grévistes. A l’arrêt depuis le 6 mars dernier, les agents du site qui abrite 80 camions de ramassage des ordures de la Ville de Paris restent déterminés.

    Peu importe la manière, ces salariés ne veulent pas de la réforme des retraites, et honnissent la manière dont cette nouvelle loi est amenée : « On nous a applaudis pendant le confinement. C’était la preuve de l’utilité de notre travail. Maintenant, on nous écrase. Nous sommes traités avec mépris par des personnes qui ne savent pas ce qu’est le travail », s’énerve Christian*.
    Des conditions de travail déjà difficiles

    Pour justifier leur mouvement, les arguments ne manquent pas : « La plupart des agents ici se lèvent à 3h30 tous les jours, pour être à 5h30 sur le pont. Qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il vente, on est là tous les jours », ajoute Farid. Tous relève la pénibilité de leur métier. Un « tue-bonhomme » comme le qualifie Yasmine, lui aussi gréviste : « Ils nous rabâchent que l’espérance de vie augmente. Pour eux, les élus en costard oui. Mais nous, on a eu encore sept morts en deux ans. »

    Crises cardiaques, cancers du tube digestif, ces collègues n’ont pas dépassé les 61 ans, comme le déplore Christian : « Vous imaginez ce que c’est de soulever des poubelles à 60 ans ? Et ils veulent nous en rajouter deux de plus. » Car si ces agents peuvent effectivement prendre leur retraite à 57 ans de par leur statut (59 ans avec la réforme), la très grande majorité pousse jusqu’à 62 ans comme le précise Didier Labruyère : « On peut partir plus tôt, mais avec une décote de 5 % par an environ. Avec des salaires qui tournent autour de 1.300 euros par mois en moyenne, après 40 ans de carrière, ils ne sont pas beaucoup à partir en avance. »

    D’autant qu’avec de tels salaires, la plupart ne peuvent se loger à proximité de Paris, ville dont ils débarrassent les habitants de leurs ordures. Il n’est pas rare pour eux de rouler plus de 60 kilomètres par jour pour venir travailler. Pour Didier, c’est 180 kilomètres aller-retour au quotidien. Alors ils sont déterminés.
    Des tournées au ralenti pour contourner la loi

    « On ne lâchera rien ! » 49.3 ou pas, réquisition ou pas, ils assurent qu’ils tiendront le mouvement. « On n’est pas des délinquants, précise Christian, si nous sommes réquisitionnés, nous n’irons pas fracasser les gens. Mais les salariés sont à bout, et on ne pourra pas tenir tout le monde. »

    Car le mouvement des réquisitions est déjà amorcé. Prévues dans le Code général des collectivités territoriales qui permet de « requérir toute personne nécessaire au fonctionnement de ce service », la préfecture de Police de Paris a obligé la Mairie de Paris, opposée au principe, a transmettre ce jeudi la liste des 4.000 noms et adresses des éboueurs qui travaillent pour elle.

    Mais les salariés ont déjà prévu la riposte. En cas de réquisition, ils respecteront la loi : « Mais s’il faut quatre heures pour démarrer ma benne le matin, et pour chauffer la cabine, condition indispensable pour de bonnes conditions de travail, et bien ce sera comme ça », indique Didier Labruyère. De la même manière, rien ne l’obligera à se presser lors des tournées de ramassage : « Si je veux la faire au ralenti, personne ne m’obligera à aller plus vite. »

    Idem pour des problèmes techniques exceptionnels qui pourraient arriver pendant les tournées : « Nous seuls sommes aptes à savoir comment opérer. Donc s’il faut la journée pour régler un problème, nous prendrons la journée. » Le responsable syndical ne masque pas les techniques envisagées pour continuer le mouvement. Entraver la bonne marche du travail sans la bloquer, une manière de contourner la réquisition sans risquer les pénalités.
    Les JO 2024 en ligne de mire ?

    « C’est pareil pour l’incinérateur. S’ils veulent le faire repartir par la force, les gars sauront mettre 96 heures ou plus pour le démarrer, au lieu des 24 à 48 heures nécessaires en temps normal. » Une technique que Farid résume par : « S’ils veulent jouer, nous aussi on sait faire. »
    Et les salariés insistent sur ce point : « Ce n’est que le début. Et le plus dur est latent. » « Macron fanfaronne avec ses Jeux olympiques en 2024. Mais ça peut très bien se transformer en catastrophe si on le décide. Le Gouvernement aurait tort de s’asseoir là-dessus. »

  • Journée de sensibilisation au Covid long : « Je ne suis plus autonome, ma vie est détruite, mais je ne lâche rien »
    https://www.20minutes.fr/sante/4027937-20230315-journee-sensibilisation-covid-long-plus-autonome-vie-detr
    https://img.20mn.fr/jICzJnV0S9CYuqvXkeLLqyk/1200x768_suite-a-une-hospitalisation-dans-un-milieu-a-risques-presence-du-c

    C’est en octobre 2020 que Matthieu, 42 ans à l’époque, contracte le Covid-19 : « Une primo-infection de trois semaines et demie qui a affecté mes poumons. J’ai failli y passer. » Mais jugé jeune et en bonne santé à ce moment de la pandémie où le chaos règne dans les hôpitaux, Matthieu, sans comorbidités ni antécédents, est renvoyé chez lui « le soir même », raconte-t-il. Quelques jours plus tard, déclaré officiellement guéri du Covid-19, le quadragénaire reste à bout de forces, et ses analyses révèlent un risque accru de thrombose, de phlébite et d’accident cardiovasculaire. « On m’a dit "dans votre état, vous pouvez simplement vous lever pour aller pisser. Là, c’est repos total et surveillance accrue". Ça a été un choc ! »

    Julia, elle, n’a contracté le Covid-19 qu’à l’été 2022. Vaccinée, la jeune femme de 34 ans est « K.-O., tousse beaucoup, respire avec difficulté et atterri [t] aux urgences ». Et développe un mois plus tard les premiers symptômes d’un Covid long. « Comme un état grippal qui revient en boucle, un brouillard cérébral et un épuisement d’une violente intensité. » Des symptômes également décrits par Matthieu, et qui se recoupent avec la définition posée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

  • La Seine-Saint-Denis se penche sur les violences sexuelles sur les enfants
    https://www.20minutes.fr/paris/4027191-20230309-seine-saint-denis-portrait-robot-violences-sexuelles-fait

    Les victimes sont très majoritairement des filles puisque sur les cent dossiers étudiés, 84 concernent des filles, contre 16 garçons. Si l’âge moyen des enfants au moment de la consultation par l’ASE est de 14 ans et 7 mois, l’étude de leurs dossiers révèle qu’en moyenne, les premières violences commencent à 9 ans et demi. Elles sont vécues plus précocement par les garçons, autour de leur sixième année, contre la dixième pour les filles.

    Sans surprise, c’est dans le cadre familial que les violences sexuelles sont le plus souvent perpétrées. Sur les cent dossiers étudiés, 72 concernent des enfants qui ont été victimes d’inceste. Dans plus d’un cas sur deux (58 %), c’est le père qui est l’un des agresseurs, devant le frère (25 %), le beau-père (15 %), l’oncle (9,5 %), la mère (4 %) et le grand-père (2,5 %).
    Les violences peuvent se poursuivre après le placement

    Et lorsqu’il ne s’agit pas directement d’un membre de la famille, l’agresseur est presque toujours d’une personne de l’entourage très proche de l’enfant puisqu’ils sont 92 à avoir été victime d’au moins une personne qu’ils connaissaient : un petit ami, un ami de la famille ou un camarade de classe. Au moins une personne, car au regard des dossiers, les enfants subissent des assauts de plusieurs personnes. Sur les cent enfants de l’étude, l’Observatoire recense 234 agresseurs, dont 98 % sont des hommes . Les 2 % restants sont trois femmes, dont deux ont agi en complicité avec un homme.

    • Alors ça c’est nouveau pour moi :

      les enfants subissent des assauts de plusieurs personnes

      J’en étais assez naïvement resté à l’idée que les gamins étaient violés largement par le père ou le beau-père, qu’éventuellement on avait une complicité sous forme de loi du silence dans la famille. Pas qu’en moyenne on avait 2,3 agresseurs par enfant, alors qu’on parle d’agressions qui se passent très très majoritairement dans un cadre familial.

      Après, dans un cadre familial, si je fais la somme de ce paragraphe :

      Dans plus d’un cas sur deux (58 %), c’est le père qui est l’un des agresseurs, devant le frère (25 %), le beau-père (15 %), l’oncle (9,5 %), la mère (4 %) et le grand-père (2,5 %).

      J’arrive à 114%, très loin de 234%.

    • Il manque les amis des parents, les cousins, camarades de classes, moniteurs de sports ou activité extra-scolaires, colonies de vacances, voyages scolaires, babysitter (j’en connais pas mal qui étaient agressés par le conjoint de la nourrice), voisins, le curé ou autre figure religieuse, le medecin, l’instit et d’autres auquels je pense pas. Si les enfants sont placés il y a aussi les agression dans les familles d’acceuils et les foyers.

      La stat m’a surprise aussi c’est pourquoi je l’avais mise en gras, mais mon experience valide ce resultat. En ce qui me concerne il y a eu mon parrain et mon beau-père et les moments ou j’était le plus perdu ca attirait des hommes et j’ai du me sortir d’autres agressions et tentatives de viol qui n’étaient pas des hommes de la famille.

  • Archives internet guerre en Ukraine
    https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4024949-20230226-guerre-ukraine-elles-choisi-battre-front-numerique

    A l’origine, l’équipe de Docudays, une ONG ukrainienne, organisait des festivals de cinéma. Le 24 février 2022 a tout changé.

    En mars 2022, Docudays s’est associé avec l’ONG Infoscope pour lancer le site. Près d’un an plus tard, alors que d’autres partenaires ont rejoint le projet, l’équipe a collecté plus d’1,2 million de fichiers multimédias et a mené 230 entretiens avec des témoins, confie Maria Buchelnikova, la cheffe de projet du site.

  • À #Saint-Brévin, la solidarité avec les réfugiés triomphe des fauteurs de haine

    L’#extrême_droite, qui souffle le vent raciste pour récolter la tempête identitaire, a échoué, samedi 25 février, à #Saint-Brévin-les-Pins. Sa tentative de rameuter contre un #centre_d’accueil pour demandeurs d’asile a fait #flop, face à la #mobilisation antifasciste.

    Nous voilà posté du mauvais côté, en ce samedi 25 février après-midi : derrière un cordon de CRS protégeant une centaine de manifestants d’extrême droite, plantés entre l’église et la mairie de Saint-Brévin, pour s’opposer, en toute turpitude tapageuse, à l’implantation d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile (#Cada) dans la ville.

    Semeurs de zizanie xénophobe, ils espèrent tirer profit de leur fait d’arme qui les galvanise : avoir obtenu, en janvier dernier, qu’un projet d’accueil de quelques familles de réfugiés fût abandonné, à Callac, village à une vingtaine de kilomètres de Guingamp, dans les Côtes d’Armor. Rebelote à Saint-Brévin ? Tel est leur fâcheux espoir.

    Face aux CRS, des protestataires antifascistes conspuent le rassemblement raciste ; tout en prônant le droit des exilés fuyant les guerres et les dictatures à trouver refuge en France. « Solidarité ! », s’époumone une voix féminine, devant nous. Derrière nous, un butor issu des rangs nazillons vocifère : « Parle plus fort, on t’entend pas, sale pute ! »

    Alors, les CRS se boyautent bruyamment. « J’ai cru que c’était un collègue », lâche avec une ingénuité confondante un jeune fonctionnaire des forces de l’ordre.

    Peu auparavant, de jeunes antifas confusionnistes, dissimulés par des masques sanitaires et des bonnets jusqu’aux sourcils, nous avaient fait passer un sale quart d’heure : au prétexte que nous sommes journaliste, donc forcément vendu à tous les pouvoirs – même, et pourquoi pas surtout, en travaillant à Mediapart.

    Un vieux paysan libertaire nous tira d’une telle agressivité inféconde, laissant ses camarades à leurs réflexes pavloviens, pour désigner, d’un geste large, la flicaille casquée, suréquipée, sur le pied de guerre civile : « Les CRS sont là d’abord et avant tout contre nous, plutôt que pour contenir les fachos. Ceux-ci ont droit à toute leur sympathie. »

    Le meeting identitaire bat son vide, en un concours fort riquiqui de quidams caricaturaux, ligués devant l’hôtel de ville de Saint-Brévin-les-Pins. Une voix s’élève du microphone : « Les forces de l’ordre font un travail exceptionnel pour qu’on puisse s’exprimer. Et on remercie aussi le service d’ordre de l’Action française ! »

    Un représentant local du parti de Marine Le Pen prend la parole : « Le Rassemblement national s’est désolidarisé de la manifestation mais pas de notre combat – la preuve c’est que je suis parmi vous. Le Cada auquel nous nous opposons, en plus d’être à côté d’une école, ne sera pas loin d’un camping où des grands-parents accueillent l’été leurs petits-enfants. Qu’arrivera-t-il aux jeunes filles qui déambulent en maillot de bain ? Pas besoin de faire un dessin. »

    Des cataractes de propos vipérins et anxiogènes submergent la place de la mairie tout l’après-midi : « L’Afrique, c’est ici et maintenant à Saint-Brévin. […] Implantation d’une boucherie halal, qui va vite se transformer en mosquée gérée par les Frères musulmans. […] L’insécurité tout court. […] Non-assistance à personnes en danger. »

    Un furieux de Reconquête, la faction factieuse d’Éric Zemmour, est venu d’Île-de-France : « Non à la répartition de l’immigration dans les campagnes françaises ! Les bonnes âmes gauchistes, la charité en bandoulière avec l’argent des autres, qu’ils [sic] les prennent chez eux dans leur maison, dans leur appartement, au lieu de les inciter à mourir en Méditerranée. Ce sont des irresponsables sans aucune humanité. Ils veulent déraciner les peuples africains – accueillis, régularisés, naturalisés. Et ce, pendant que les Français, de plus en plus pauvres, vivent dans leur voiture. Qui paie pour les migrants ? C’est vous ! »

    Le Monsieur Loyal du moment fustige « l’indécence des journalistes de gauche qui osent se plaindre au moindre coup de téléphone menaçant », puis passe le microphone à sa femme. Celle-ci, sous quelques sifflets, avoue avoir commencé à militer au Parti socialiste. Puis ce fut Chevènement. Puis enfin, là où elle est aujourd’hui : « Ce qu’on appelle l’extrême droite, c’est simplement le peuple français ! »

    La foule clairsemée s’époumonne : « On est chez nous ! Ensemble, ensemble, on va gagner ! » Le flot des propos se déverse : « Projet mondialiste de Macron, de Mélenchon et de toutes les ordures. […] Idéologie mortifère. Ils s’attaquent à nos clochers et même aux statues de l’île de Ré. […] Délinquance étrangère désaxée. […] La loi “Asile immigration” va accélérer la politique de peuplement de nos territoires par des populations subsahariennes. » Etc., etc.

    Ce matin-là, dans l’espoir d’être plus nombreux – et il l’aura été dix fois plus –, le peuple de gauche occupait le terrain à Saint-Brévin. Une minorité voulait donc en remontrer à l’extrême droite, au point de lui réserver un comité d’accueil d’une hostilité légitime et sérieuse en s’attardant sur place l’après-midi. L’immense majorité, obéissant à l’appel au calme et à la soif de tranquillité des vieilles troupes humanistes, décampa sur le coup de midi.

    Non sans avoir réussi, en rassemblant presque 900 personnes, une démonstration de force tranquille. Même si toutes les prises de parole transpirent l’inquiétude défensive, face à un fond de l’air bien plus brun que rouge.

    François Prochasson, conseiller municipal de Nantes, rappelle les récentes exactions commises par l’extrême droite dans sa ville contre un squat et contre une association d’aide aux migrants : « Les valeurs d’accueil et d’hospitalité sont menacées. »

    Jérôme Alemany, conseiller départemental de Loire-Atlantique chargé de l’insertion et de la lutte contre l’exclusion, rappelle que la « terre de rencontres, d’échanges et d’accueil » qu’il représente voit ses valeurs défendues « par une traduction juridique : la Convention de Genève, qui protège les réfugiés. C’est une obligation internationale mais il en va aussi de notre honneur et de notre humanité, à laquelle nous n’entendons pas renoncer. »

    Le député européen Damien Carême prône un « accueil inconditionnel » qui ne soit pas limité aux Ukrainiens, qui ne trie pas en fonction « de la couleur de peau ou de la religion », sur un Vieux Continent tenté de se faire forteresse.

    Andy Kerbrat, élu La France insoumise (LFI) de Nantes à l’Assemblée nationale, évoque la haine antimigrants des parlementaires d’extrême droite auxquels il se heurte, mais auxquels le gouvernement donne des gages avec la loi dite « Asile immigration » concoctée par Gérald Darmanin.

    Toutes les interventions antiracistes semblent graves et parfois sépulcrales. Elles appellent non seulement à se ressaisir mais à inventer de nouvelles formes de lutte, pour ne point laisser le terrain à l’ultradroite identitaire et raciste, qui croit pouvoir imprimer la cadence en toute impunité.

    L’espérance ne saurait être en berne plus que de raison. La manifestation montre qu’il est possible de porter un coup d’arrêt à l’extrême droite. Celle-ci fait un four aussi patent qu’humiliant. Et les jeunes pousses d’une gauche qui ne s’en laisse plus conter irradient, au bon sens du verbe, la confiance en l’avenir.

    Un couple de militants à peine trentenaires, membres de LFI tout en souhaitant ardemment la relève et l’après-Mélenchon, évoque la richesse des réseaux qui se nouent et fermentent, entre Nantes et Rennes. Entendez-vous dans nos campagnes…

    Laurence Goubet, de l’association Les Bouillonnantes, nous détaille les modalités du RFF (Refugee Food Festival), qui se tient dans une douzaine de villes de France autour du 20 juin, à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés.

    Antoine de Clerck, engagé au service des autres « depuis les scouts de France », nous parle de l’appel pour l’organisation d’une Convention citoyenne sur la migration, inspirée de la Convention sur le climat. Sa complice sur le sujet, Vanessa Krycève, aura du reste imposé, l’air de rien, l’une des interventions les plus émouvantes et revigorantes de cette matinée. Ainsi fut préempté, samedi 25 février 2023, le centre de #Saint-Brévin-les-Pins, au détriment d’une coalition des préjugés racistes heureusement réduite à la portion congrue.

    https://www.mediapart.fr/journal/france/260223/saint-brevin-la-solidarite-avec-les-refugies-triomphe-des-fauteurs-de-hain
    #réfugiés #anti-réfugiés #solidarité #asile #migrations #résistance #antifascisme #hébergement #France

    via @karine4

    • C’était en 2016 (signalé par @karine4)...
      Loire-Atlantique : Des coups de feu contre le futur centre d’accueil de migrants à Saint-Brévin

      La tension ne redescend pas. Alors que se divise sur le futur accueil de 70 migrants venus de Calais, des coups de feu ont été tirés mardi soir sur devant les accueillir. Une enquête a été ouverte, a-t-on appris mercredi auprès des gendarmes.

      Les tirs ont eu lieu vers 20h35 contre le centre de vacances EDF choisi par l’Etat pour héberger ces migrants, ont indiqué les gendarmes, sans donner plus de précision. Aucune interpellation n’avait été effectuée mercredi soir.
      Un réunion publique organisée par les opposants

      « Cet acte est inadmissible et irresponsable », s’est ému le maire divers droite de Saint-Brévin, Yannick Haury. Le 17 septembre, à l’arrivée de 70 migrants étaient descendus dans la rue et s’étaient lancé « quelques invectives », lors de deux manifestations qui s’étaient déroulées sans incident notable, avait alors indiqué la préfecture de Loire-Atlantique.

      « Il y a quelques personnes qui entretiennent ce climat, mais la majorité des Brévinois (...) souhaite que cet accueil de personnes réfugiées puisse se faire dans les meilleures conditions », a déclaré Yannick Haury.

      Le collectif des a décidé la semaine dernière d’organiser lui-même une « réunion publique d’information », ce samedi. Dans un communiqué, il condamne « fermement » les coups de feu. « L’imposition de migrants dans notre commune, sans aucune concertation, sans aucune information, sans demander l’avis des Brévinois est également une violence qu’il convient de condamner », ajoute la déclaration.
      Soutien de la CGT

      Dans un communiqué, la CGT a « condamné avec la plus grande fermeté cette lâche tentative d’intimidation », et apporté son « soutien total à la CCAS, à ses élus et aux salariés de la Caisse centrale des activités sociales des personnels des industries électriques et gazières ».

      https://www.20minutes.fr/nantes/1937239-20161006-loire-atlantique-coups-feu-contre-futur-centre-accueil-mi

    • Solidaires avec le maire de Saint-Brevin-les-Pins

      Nous, élu·es de l’ANVITA, membres d’ONG, d’associations et de syndicats, tenons à apporter notre soutien sans faille à M. Yannick Morez, maire de Saint-Brevin-les-Pins, suite à l’annonce de sa démission, poussée par les menaces et violences de l’extrême droite qui l’ont visé personnellement en mars dernier.

      Une situation intolérable

      La situation à Saint-Brevin est extrêmement grave : il est intolérable qu’un·e élu·e de la République soit menacé·e de mort, son intégrité physique mise en danger, et qu’il soit ainsi contraint de renoncer à son mandat et de quitter sa ville. Combien de temps le gouvernement va-t-il encore fermer les yeux sur les agissements des groupuscules d’extrême-droite radicaux passant à l’action ? Doit-on renoncer à une société ouverte et accueillante devant les mobilisations haineuses d’une minorité qui empoisonnent nos territoires ?

      Nous, élu·es de l’ANVITA, membres d’ONG, d’associations et de syndicats, refusons de nous laisser dicter par l’extrême droite les orientations politiques que nous devons suivre. Nous œuvrons pour l’intérêt général au sein du pays, de nos territoires. Accueillir et porter des projets d’hospitalité est non seulement une chance pour nos collectivités : c’est un devoir moral et une obligation légale. Nous ne céderons jamais sur cet engagement.

      La réaction de l’Etat

      Nous nous questionnons également sur le retard voire l’absence de réactions et de soutiens de la part des représentant·es de l’État et du gouvernement. Yannick Morez le dénonçait lui-même dans l’émission Envoyé Spécial en avril dernier. Face à Élise Lucet, il disait ressentir : « Un abandon, en quelque sorte ».

      En tant qu’élu·es de la République et membres d’ONG, d’associations et de syndicats, nous considérons intolérable que l’État et le gouvernement abandonnent des élu·es et porteur·ses de projet confronté·es à de telles violences ! L’État doit sortir de sa posture ambivalente qui impose des projets d’une main et refuse de les défendre de l’autre ; il a le devoir de réagir avec la plus grande rapidité et fermeté lorsqu’un·e élu·e est menacé·e. À Saint-Brevin-les-Pins, ce ne sont pas seulement l’accueil et la solidarité qui ont été attaqués : c’est la démocratie et la République !

      Les collectivités et élu·es membres de l’ANVITA, les ONG, les associations et les syndicats signataires renouvellent leur engagement de rester mobilisé·es et vigilant·es à toute situation similaire. Nous apporterons notre soutien systématique et indéfectible à tout·e élu·e, toute collectivité, tout porteur·se de projet d’hospitalité visé·e. Nous affirmons qu’il est indispensable de ne plus rien céder à l’extrême droite.

      M. le Maire, bravo et merci pour votre engagement. Votre combat en faveur de l’accueil, d’une société solidaire et ouverte est le nôtre.

      https://www.gisti.org/spip.php?article7017

  • « L’anxiété devient tellement ingérable qu’on trouve des parades », une Niçoise se confie sur son combat contre les toc
    https://www.20minutes.fr/sante/4024613-20230220-anxiete-devient-tellement-ingerable-trouve-parades-nicois

    INTERVIEW Stéfanie, 41 ans, souffre de troubles obsessionnels compulsifs depuis l’âge de 7 ans.

    Souffrir de troubles obsessionnels compulsifs, ça veut dire quoi ?

    L’anxiété est vraiment très forte, généralisée. Il y a une déficience de la sérotonine, une substance qui permet justement de combattre un petit peu cette anxiété et de reprendre le dessus. Chez nous, elle devient tellement ingérable qu’on trouve des parades, des techniques pour pouvoir la diminuer. Les tocs, ce n’est que pour retrouver du contrôle. Un contrôle permanent. Et une fois qu’on commence à rentrer là-dedans, surtout quand on est enfant, on croit dur comme fer que c’est la solution. Je compare cela à la religion. Si, quelqu’un qui prie depuis qu’il est enfant, vous lui dites à 40 ans d’arrêter de prier, il va se sentir mal, complètement perdu. Pour nous, arrêter les tocs, c’est pareil.

    Est-ce que vous vous parleriez de cette maladie comme d’un handicap ?

    Complètement. Ça ne peut être que handicapant. Le cerveau est malade. D’ailleurs, les personnes qui en souffrent ont droit à une allocation. Ça commence par le fait de pas pouvoir aller au lycée, de ne pas pouvoir faire d’études. Moi, j’ai même eu des tocs à l’écriture. J’ai redoublé une année. J’ai toujours essayé. Mais c’était dur. Et puis, il y a des tocs physiques, qui entraînent des douleurs. En fait, c’est éreintant. Et puis, les traitements médicamenteux ajoutent également de la fatigue.

    Une vie professionnelle est-elle possible ?

    On vit avec des tocs en permanence. Moi, ça commence dès que je me lève. J’ai des rituels. Et plus on est stressé et angoissé, plus les tocs s’accentuent. Si, un matin, je me retrouve à devoir me dépêcher, ça va être catastrophique. J’ai essayé des petits boulots. J’ai toujours voulu me pousser. A l’extrême. Au final, j’ai trop tiré sur la corde. Aujourd’hui, tout de suite, je ne pourrais pas. J’essaie de sortir de chez moi et c’est déjà c’est un énorme travail. Du coup, j’essaie de faire le maximum d’activités chez moi.

    La période du Covid a été très compliquée pour vous ?

    Depuis l’enfance, mes angoisses sont fixées sur la mort. Je vis avec ça en permanence, tout le temps. Alors quand le Covid est arrivé, bien évidemment, j’ai pris peur. Mais ce n’était pas vraiment une peur démesurée. Mon mari étant professeur des écoles, donc au contact des enfants, j’ai dû me faire à l’idée.

  • Guerre en Ukraine : Des livraisons chinoises d’armes aux Russes ? « Une ligne rouge » pour l’UE
    https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4024511-20230220-guerre-ukraine-livraisons-chinoises-armes-russes-ligne-ro

    Dimanche, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a averti que la Chine envisageait de fournir des armes à la Russie. Une accusation démentie ce lundi matin par Pékin

    Blinken représente l’UE désormais :-)

  • Meta : Mark Zuckerberg lance un abonnement payant pour authentifier son compte sur Instagram et Facebook
    https://www.20minutes.fr/societe/4024429-20230219-meta-mark-zuckerberg-lance-abonnement-payant-authentifier

    Meta : Mark Zuckerberg lance un abonnement payant pour authentifier son compte sur Instagram et Facebook

    Alors vous savez que pour seulement 1 999,99 € par mois, vous déjà pouvez faire authentifier votre compte Seenthis ? En échange de ce petit versement régulier, je m’engage à ce que si on me demande, je répondrai que oui oui c’est bien vous*.

    * Les termes du contrat peuvent changer unilatéralement sans préavis.

  • Etats-Unis : Joe Biden est « en bonne santé » et apte à remplir ses fonctions, selon son médecin
    https://www.20minutes.fr/monde/4024164-20230217-etats-unis-joe-biden-bonne-sante-apte-remplir-fonctions-s

    A 80 ans, Joe Biden songe très fortement à se représenter en 2024

    Plus c’est gros, plus ça passe. La Pravda, c’était bien ou c’était mal ? Je demande aux anciens qui se souviennent peut-être encore ?

    (on notera que pour Bruce Willis 67 ans, la famille ne fait pas autant de cachotteries).

  • Elisabeth Borne élue « personnalité politique de l’année », elle succède à Valérie Pécresse
    https://www.20minutes.fr/politique/4024005-20230216-elisabeth-borne-elue-personnalite-politique-annee-trombin

    Le prix de la « révélation politique de l’année 2022 » du Trombinoscope, qui fait autorité dans la sphère politique, est décerné au chef de file du PCF, Fabien Roussel

    #surréalisme #mépris

  • Affaire Magali Blandin : Mis en examen pour complicité de meurtre, les beaux-parents retrouvés morts
    https://www.20minutes.fr/societe/4022450-20230207-affaire-magali-blandin-mis-examen-complicite-meurtre-beau

    Ce mardi, les gendarmes ont découvert les corps sans vie de Monique et Jean Gaillard, beaux-parents de Magali Blandin, tuée par leur fils Jérôme Gaillard en février 2021 à Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine). Leurs corps sans vie ont été retrouvés dans leur maison de La Turballe, en Loire-Atlantique, a appris 20 Minutes, confirmant une information de Ouest-France. Leur fils, principal suspect du meurtre, s’était donné la mort en se pendant dans sa cellule de la prison de Rennes-Vezin en octobre 2021.

    D’après une source proche du dossier, le couple se serait pendu dans la maison qu’il occupait depuis sa remise en liberté à l’automne 2021. Selon la même source, Jean et Monique Gaillard auraient adressé un courrier à la famille de Magali Blandin expliquant qu’ils allaient mettre fin à leurs jours. L’alerte a été donnée ce mardi à la gendarmerie, qui a immédiatement envoyé des hommes sur place. On ignore pour l’heure à quand remonte la mort des deux agriculteurs à la retraite. Ces derniers avaient déjà perdu leur autre fils, qui s’était donné la mort après une séparation.