Maltraitance gynécologique, les gynécologues prennent la parole ▻http://www.marieclaire.fr/maltraitances-gynecologiques-gynecologues-prennent-la-parole,1237732.asp
#deni
#violences_gynecologique #violence_medicale #violence_obstetricale
Maltraitance gynécologique, les gynécologues prennent la parole ▻http://www.marieclaire.fr/maltraitances-gynecologiques-gynecologues-prennent-la-parole,1237732.asp
#deni
#violences_gynecologique #violence_medicale #violence_obstetricale
Ici une autre variante du déni par l’innenarrable Dr Nisand.
▻http://www.rue89strasbourg.com/israel-nisand-vaccins-pilule-pornographie-126289
Depuis 2010, un mouvement de défiance est observé chez les femmes face à la pilule. En sept ans, 10% d’entre elles ont arrêté de la prendre, explique Léa Salamé. Ce que confirme le Pr Nisand :
« On n’a eu en France une propension à utiliser essentiellement la contraception orale, à la distribuer pratiquement sous le comptoir. Or un médicament qui est efficace a des effets adverses et la pilule est remarquablement efficace, les pilules doivent être prescrites après une consultation médicale détaillée. Quand on utilise un médicament à des millions d’exemplaires, on voit apparaître des complications extrêmement rares. »
Toujours Le Dr Nisand qui fulmine contre les femmes
▻http://www.lavoixdunord.fr/234898/article/2017-10-05/un-bashing-generalise-fulmine-le-president-du-college-national-des-gyne
Comme le disait ya pas longtemps Martin Winckler, c’est pas juste du déni, c’est même totalement illogique comme réponse, comme si un porte-parole, ou un petit groupe pouvait parler au nom de TOU⋅TE⋅S les gynécos de France et assurer, prouver que tou⋅te⋅s travaillent exactement de la même manière, ça n’a aucun sens. C’est tellement ridicule.
Le déni c’est pas très logique et c’est s’acharné à nier même face à des preuves accablantes.
Le discours de Nisand est à l’image du systhème de violences qu’il entend faire perduré.
« Des personnes qui n’ont pas de compétences médicales nous donnent des leçons » Ici il explique que les patientes ne sont pas capable de savoir si elles ont subit des violences vu qu’elles ne sont pas médecins.
« Je sais que certains confrères ont de tels agissements, et j’en suis navré, si j’avais une baguette magique, je les truciderait. »
Ici on pourrai croire qu’on progresse car lors de ses interventions précendentes Nisand affirmait haut et fort qu’il y avait aucun medecin maltraitant sur toute la France. Mais en fait Nisand nous prend tellement pour des connes qu’ils nous parle de baguettes magique et fait comme si on lui demandait de trucider des gens.
Quant on lui dit que l’ordre des médecins protége les medecins violents l’autre Nisand leur répond « Qu’elles portent plaintes alors devant d’autres juridictions » Au lieu de saisir l’occasion pour « trucider » les médecins violents avec sa baguette magique du conseil de l’ordre, il n’est même pâs navré d’envoyer chier ouvertement les victimes qui ont porter pleinte sans voir été entendu.
Du coup Nisand est vraiment le représentant de cette medecine gynecologique qui te prend pour un trou et les gynecos ont très bien choisi leur représentant, reflet de leur corporation et de sa mentalité. Un représentant misogyne, violents, méprisant, corporatiste, sans aucune écoute, sans une once d’humanité et un mépris total de la parole des femmes surtout quant elle sont victimes.
Dr Nisand, un représentant maltraitant les femmes pour une corporation maltraitant les femmes, tout ceci est très cohérent.
Wincker est très clair dans son livre, au dernier chapitre il indique différentes situations à refuser catégoriquement ainsi que les droits des patient·es, comme porter plainte, non à l’ordre des médecins mais dans n’importe quel commissariat qui ne peut refuser. Sinon, directement auprès du procureur.
Et avertir ▻http://leciss.org
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Et de souligner, quant à la prescription de certaines méthodes de contraception, dont la pilule, elle aussi au centre d’un vif débat quant à ses effets secondaires, « nous n’inondons pas la planète de perturbateurs endocriniens ».
J’en profite pour rappeler 3 faits que ces gynécos maltraitants nient :
– que l’institut Curie se targue d’avoir découvert en 1932 que les œstrogènes étaient cancérigènes.
– Que la pilule est déclarée cancérigène (de par ces œtrogènes) par l’OMS depuis 2005.
– Que la baisse du nombre de traitements hormonaux de la ménopause a fait baisser le nombre de cancer du sein.
– Que la perte de confiance qu’ils ont eux-mêmes déclenchée empêche désormais des femmes de se faire soigner correctement
#assassins #sexisme_médical
►http://www.cancersdusein.curie.fr/sites/default/files/cancers-sein-institut-curie_0.pdf
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L’Institut Curie est le centre français le plus complet pour la prise en charge des cancers du sein. Il possède une expertise historique et internationalement reconnue : c’est à l’Institut Curie qu’a été découvert en 1932, le rôle des œstrogènes dans la cancérogénèse mammaire, et qu’ont eu lieu les premiers traitements du cancer du sein par radiothérapie exclusive en 1939.
►http://www.amessi.org/Cancer-la-pilule-contraceptive-officiellement-classee-cancerigene
2005 - La pilule contraceptive est officiellement classée cancérigène
▻http://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiques/sante/epidemiologie/cancersein/risq_cancer_sein/pilulcansein
▻http://rfi.fr/actufr/articles/068/article_37908.asp (07/08/2005)
"Le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), dépendant de l’OMS, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes du « groupe 1 », ceux dont l’action est « certaine »" d’après RFI actualités.
Un groupe de 21 chercheurs venant de 8 pays différents rendent publics les réésultats suivant : la pilule diminue le risque de cancer de l’ovaire et de l’endomètre, mais augmente celui du sein, du col de l’utérus et du foie.
Les hormones œstrogènes contenues dans chaque comprimé sont responsables de ce risque plus élevé. En effet elles sont plus concentrées dans la pilule contraceptive que lorsqu’elles sont libérées par les ovaires naturellement.
►http://www.amessi.org/Cancer-la-pilule-contraceptive-officiellement-classee-cancerigene
▻http://www.cancer.ca/fr-ca/prevention-and-screening/be-aware/artificial-hormones/birth-control-pill/?region=qc
Les femmes qui prennent la pilule ont un risque un peu plus élevé de cancers du sein, du col de l’utérus et du foie, ainsi qu’un risque accru de maladies cardiovasculaires (principalement chez les fumeuses).
Read more : ▻http://www.cancer.ca/fr-ca/prevention-and-screening/be-aware/artificial-hormones/birth-control-pill/?region=qc#ixzz4nyh2S8bK
En 2012 - 1 femme sur 11 a eu un cancer du sein
En 2017 - 1 femme sur 9 aura un cancer du sein
Pour la suite, il est prévu qu’une femme sur 8 aura un cancer du sein, en trente ans, ce cancer a augmenté de 130%
Les cancers du sein sont aussi plus fréquents chez les fumeuses, près des centrales nucléaires et chez des femmes ayant subi de nombreuses mammographies …
Ça se soigne très bien nous dit-on, mutiler les femmes après les avoir empoisonner, est le seul #protocole_médical au point.
« Les représentants du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), de la Fédération Nationale des Collèges de Gynécologie Médicale (FNCGM) et de la Société Française de Gynécologie (SFG) craignant une lecture caricaturale des données scientifiques rappelées par le CIRC, tiennent à faire la déclaration suivante :
Face à l’augmentation des cancers du sein sous pilule relevée par les travaux du CIRC, les responsables du CNGOF, de la FNCGM et de la SFG soulignent que celle-ci est faible et que ce risque disparaît dix ans après la fin de l’utilisation de cette contraception. »
Le traitement de la ménopause également considéré à risque
Jusqu’à présent, l’hormonothérapie oestro-progestative de la ménopause était considérée par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), comme peut-être cancérogène pour la femme. Aujourd’hui, ce traitement est classé dans la catégorie des cancérogènes, dans la mesure où il augmenterait les risques de cancer du sein et de celui de l’endomètre (la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus), mais seulement selon certains schémas de prescription.
Après réexamen des études les plus récentes sur les hormones de la ménopause, les auteurs soulignent que : « Les études épidémiologiques montrent de façon concordante l’accroissement du risque de cancer du sein chez les utilisatrices actuelles ou récentes. Ce risque augmente avec la durée d’utilisation et est supérieur à celui que courent les femmes utilisant une hormonothérapie basée sur les œstrogènes seuls. »
#gynécologie #ménopause #contraception #hormones #œstrogènes #progestérone
#1932
le rôle des œstrogènes dans la cancérogénèse mammaire est découvert à l’Institut Curie en 1932
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►http://www.cancersdusein.curie.fr/sites/default/files/cancers-sein-institut-curie_0.pdf
#Nisand président du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF)