• Voiture électrique : Renault-Nissan confirme son implantation en Chine
    https://www.crashdebug.fr/international/13924-voiture-electrique-renault-nissan-confirme-son-implantation-en-chin

    CHINE :...Renault va y produire ses voitures électriques low cost

    =... Et un référendum d’entreprise issu de la loi travail : délocalisation ou alignez-vous à 300€/mois ?

    http://www.lefigaro.fr/societes/2017/08/29/20005-20170829ARTFIG00046-voiture-electrique-renault-nissan-confirme-son-im

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/29/renault-nissan-va-lancer-une-voiture-electrique-a-petit-prix-en-chine_517797

    http://www.lepetitjournal.com/shanghai/economie/economie/278508-augmentation-smic-shanghai-ville-paye-mieux-chine

    1... Made in France..fonds stratégiques BPI..CICE/accords de compétivité etc..que des mesurettes

    2... Tous les usines en Chine et au Maroc (250-300€/mois) sont autant d’emplois en moins en France, reste à remercier les employés (...)

  • Avec le rachat de #Maersk_Oil & Gas, #Total se renforce en mer du Nord
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/21/total-se-renforce-en-mer-du-nord-en-acquerant-le-danois-maersk-oil-gas_51747

    C’est la plus grosse opération de Total depuis sa fusion avec Elf en 1999. Et la plus importante en mer du Nord depuis le mariage des norvégiens Statoil et Norsk Hydro en 2006. La compagnie pétrolière française a annoncé, lundi 21 août, l’acquisition pour 7,45 milliards de dollars (6,3 milliards d’euros) du Danois Maersk Oil & Gas, filiale du numéro un mondial du transport maritime A. P. Moller-Maersk.

    « L’opération s’est faite assez rapidement. Nous avons montré que nous étions très déterminés. Et elle s’est faite à un prix raisonnable situé entre 50 dollars et 55 dollars le baril », indique au Monde le PDG de Total, Patrick Pouyanné.

    Elle permettra au groupe tricolore d’accroître ses réserves prouvées et probables de 1 milliard de barils, s’ajoutant aux 11,5 milliards actuels, et de porter sa production à 3 millions de barils (équivalent pétrole) par jour à la fin de la décennie. « Entre 2014 et 2020, la production de Total sera passée de 2,1 millions à 3 millions de barils par jour », ajoute-t-il.
    […]
    Alors que la production d’or noir décline en mer du Nord depuis le pic de 2000, l’intégration des activités de Maersk fera passer le groupe français de la troisième à la deuxième place dans la région, derrière Statoil.
    […]
    Autre avantage pour une entreprise très exposée aux aléas géopolitiques, selon M. Pouyanné : « Cette opération équilibre nos risques. Il y a un mois, je signais avec l’Iran, aujourd’hui avec le danois Maersk, dont 85 % du portefeuille se trouvent dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques [OCDE] et 80 % en mer du Nord. » En juin 2016, il avait déjà signé un contrat majeur avec le Qatar.

  • Alerte à la bulle sur les Bourses mondiales

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/22/alerte-a-la-bulle-sur-les-bourses-mondiales_5174948_3234.html

    Les marchés actions, particulièrement aux Etats-Unis, n’ont dépassé leur actuel niveau de valorisation qu’en 1929 et en 2000. Bientôt la correction ?

    Dans l’histoire des marchés financiers américains, les valorisations boursières n’ont dépassé leur niveau actuel qu’à deux reprises : en 1929, avant la Grande Dépression, et en 2000, quand la bulle Internet était gonflée à son maximum. Deux précédents qui ne sont assurément pas faits pour rassurer…

    « Ça devient problématique », estime Paul Jackson, directeur de la recherche à Invesco PowerShares, une société de gestion d’actifs. « Les valorisations sont vraiment très élevées », renchérit Nicolas Simar, responsable de la stratégie actions à NN Investment Partners, une société de gestion néerlandaise.

    L’inquiétude des investisseurs vient en particulier d’un ratio, couramment utilisé sur les marchés financiers : la valorisation boursière divisée par les bénéfices des entreprises, corrigé du cycle économique (appelé « ratio Shiller », du nom de l’économiste Robert Shiller qui l’a mis au point). C’est cet indicateur qui dépasse désormais la barre des 30 points, un niveau atteint seulement à deux reprises, donc, depuis 1881.

    En Europe du Nord, le pic boursier est moins prononcé, mais le ratio dépasse également sa moyenne historique. L’indice britannique phare, le FTSE 100, a atteint un plus haut historique en juin, de même que la Bourse de Francfort. Plus étonnant encore, les traders semblent dormir au volant : la volatilité est, elle, proche de son plus bas historique. Un marché trop haut, qui ne connaît pas de secousses : voilà qui ressemble sérieusement à une bulle.

    « Une période imprévisible »

    Et c’est à cette lumière que la légère correction en cours depuis deux semaines peut paraître inquiétante. A la Bourse de New York, le S&P 500, premier indice américain, a reculé de presque 2 %, entraînant des baisses similaires sur le Vieux Continent.

    Le soap opera de la Maison Blanche, passant de la surchauffe sur la Corée du Nord aux condamnations du bout des lèvres des manifestants néonazis, semble avoir (un peu) échaudé les marchés. Est-on en train de vivre un retournement de tendance ?

    « Les deux dernières semaines l’ont montré, on est parti pour une période imprévisible sur les marchés actions », estime Joshua Mahony, analyste à IG, une plateforme de courtage en ligne. « Il serait sain de voir une correction de 10 % ou 15 % aux Etats-Unis », poursuit M. Simar.

    « Un choc qui briserait la confiance des marchés, mettant fin à l’exubérance irrationnelle, pourrait provoquer une forte baisse [des Bourses] », estime dans une note Gabriel Sterne, de la société Oxford Economics. Parmi les déclencheurs potentiels du crash, il cite une grosse erreur économique de Donald Trump, une chute du marché chinois ou un ralentissement de la croissance mondiale… La moindre excuse pourrait percer la bulle.

    La faute aux banques centrales

    Pour l’instant pourtant, la plupart des analystes ne prédisent pas une violente baisse imminente. « Le problème est que les investisseurs n’ont pas d’alternative », explique Emad Mostaque, de Capricorn Capital, un hedge fund britannique.

    Pour lui, la bulle des Bourses mondiales vient… des banques centrales. Depuis la crise de 2008, celles-ci ont injecté d’énormes quantités de liquidité sur les marchés, et elles ont abaissé leurs taux d’intérêt à presque zéro.

    Si cette action est venue sauver une économie mondiale en perdition, elle a des conséquences perverses. Ainsi, depuis 2015, quand l’Etat allemand émet un emprunt sur cinq ans, il le fait avec un taux d’intérêt négatif (actuellement, – 0,28 %). Les investisseurs paient pour y souscrire !

    Pour un fonds de pension, ou un gérant d’actifs qui doit faire fructifier son portefeuille, le secteur obligataire est donc devenu un repoussoir. Plus question d’y mettre son argent. Les investisseurs n’ont guère d’autre choix que de se rabattre sur le marché actions, cherchant désespérément un bon rendement.

    Face à cette équation impossible, certains trouvent des solutions sophistiquées. M. Mostaque pense que les Bourses des marchés émergents sont une bonne alternative, citant notamment le Pakistan et l’Arabie saoudite. M. Simar, de NN Investment Partners, évoque pour sa part certains sous-secteurs européens (banques, télécommunications, services aux collectivités…) qu’il juge sous-évalués.

    Les regards se tournent vers Jackson Hole

    Mais dans l’ensemble, ces niches sont trop petites pour fournir des solutions de masse. L’énorme liquidité injectée par les institutions monétaires se retrouve donc sur les principales Bourses occidentales, gonflant un peu plus les valorisations.

    Dans ces conditions, l’un des éléments clés de l’évolution des Bourses sera l’attitude des banques centrales, qui cherchent actuellement à « normaliser » leur politique monétaire.

    La Réserve fédérale américaine a ainsi commencé à relever ses taux, mais elle marche sur des œufs, pour ne pas effrayer les marchés. En zone euro, où le cycle économique est moins avancé, la Banque centrale européenne n’a pas encore entamé ce mouvement à la hausse, mais le moment se rapproche. La grande réunion annuelle des banquiers centraux à Jackson Hole, dans le Wyoming, jeudi 24 août, sera observée de très près.

    Combien de temps la bulle boursière peut-elle durer ? Comme toujours, ce n’est pas parce que les investisseurs sont conscients de la surévaluation d’un marché qu’ils vont s’en retirer. S’ils pensent que leurs confrères vont continuer à y mettre de l’argent, ils feront de même.

    « Pendant la bulle Internet, les valorisations ont continué à monter pendant un ou deux ans », rappelle M. Jackson, de Invesco Powershares, qui conclut par une boutade : « La seule chose dont je sois sûr, c’est que chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus de la prochaine récession. »

  • Streaming musical : SoundCloud évite la faillite mais change de patron
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/11/streaming-musical-soundcloud-evite-la-faillite-mais-change-de-patron_5171602

    Le sauvetage de #SoundCloud illustre cet étonnant paradoxe : les plates-formes musicales de #streaming constituent la planche de salut de l’#industrie_musicale puisqu’elles lui ont permis de retrouver des couleurs après une décennie de marasme. Mais aussi bien les plus grosses, comme Spotify, Apple Music, Deezer, Amazon… que les petits, comme Qobuz (spécialisé en musique classique) par exemple, toutes restent encore déficitaires. Le site Pandora a été obligé, lui aussi, comme SoundCloud, de tailler sévèrement dans ses effectifs.

    Coincées entre des #majors à qui elles reversent près des trois-quart de leur chiffre d’affaires et des artistes qui se plaignent des rémunérations qui leur sont octroyées, les plates-formes doivent investir lourdement pour asseoir leur expansion internationale. Et chercher des abonnés puisque ce sont bien eux qui contribuent à la croissance de leur chiffre d’affaires (à 90 % dans le cas de Spotify).

  • Entre précarité et insécurité, les livreurs londoniens de Deliveroo ne sortent plus le soir - Politique - Numerama
    http://www.numerama.com/politique/280453-entre-precarite-et-insecurite-les-livreurs-londoniens-de-deliveroo-

    Lorsque les secours arrivent sur la scène, des collègues se pressent autour des deux victimes — ou plutôt des camarades de galère, car aucun n’est employé — qui tentent de venir en aide aux défigurés.

    #startups #précarité

  • TRAFIC INTERROMPU AU DÉPART ET À L’ARRIVÉE DE PARIS-MONTPARNASSE

    http://www.sncf.com/fr/horaires-info-trafic#animation-1

    Le trafic est interrompu au départ et à l’arrivée de Paris-Montparnasse et Paris Vaugirard en raison d’un dérangement d’installations à Vanves-Malakoff (près de Paris).

    Vos TGV partent ou ont pour terminus exceptionnel Paris Austerlitz. Certains de vos TGV sont supprimés.

    Les Intercités partent ou ont pour terminus exceptionnel Dreux. Certains de vos Intercités sont supprimés.

    Vous êtes invités à reporter votre voyage toute cette journée de dimanche 30 juillet 2017.

    • Reprise progressive du trafic SNCF à la gare Montparnasse à Paris
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/30/trafic-sncf-interrompu-gare-montparnasse-a-paris-en-plein-week-end-de-chasse

      Le chaos régnait dimanche 30 juillet en gare Montparnasse, où le trafic SNCF reprenait « très progressivement » dans l’après-midi mais restait « très perturbé » après avoir été interrompu depuis le matin, en plein week-end de chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens.

      Le porte-parole de la SNCF, Matthieu Chabanel, a précisé que cinq trains TGV, soit un tiers des trains, ont été supprimés dimanche matin, touchant 3 000 voyageurs. « Mais 7 000 personnes ont pu voyager » grâce aux trains détournés sur la gare d’Austerlitz ou celle de Lyon, a-t-il ajouté, assurant que « les investigations reprendront d’arrache-pied cette nuit » pour déterminer les causes de l’incident.
      […]
      Si le trafic a repris à 14 h 23 avec le départ d’un TGV à destination de Toulouse initialement programmé à 11 h 52, « on ne sait pas exactement le nombre de trains qui rouleront » sur l’ensemble de la journée, a prévenu le directeur de crise.

      Peu après midi, la SNCF avait annoncé une reprise « très progressive » de la circulation autour de 13 heures, au rythme de trois TGV au départ et à l’arrivée par heure, contre « jusqu’à neuf » en temps normal. Mais celle-ci s’est longuement fait attendre au grand dam des voyageurs excédés par des sons de cloche très différents en gare de Montparnasse.

      Il est évident que les chiffres avancés relèvent de l’affabulation la plus pure. Ils sont même incohérents entre eux…

      Sachant qu’aucun train n’a pu circuler entre 6h et 14h, que les 9 maxi par heure étaient très probablement largement dépassés en ce jour sans doute le plus chargé de l’année, les 5 (CINQ !) trains annulés sur un total de 15 (même pas une heure et demie de trafic maxi), ça fait doucement rigoler (enfin, sans doute pas les intéressés). Alors, les 3000 touchés par le problème…

    • Dans le sens des retours, c’est presque autant le chaos : comme les trains n’ont pas pu partir, ils ne peuvent pas revenir. Au départ d’Auray en fin de journée, le TGV était tellement bondé qu’il a fallu faire descendre des « volontaires » pour qu’au bout du compte (et de plusieurs tentatives) il puisse démarrer…

    • Troisième version du titre de l’article (et chiffres « mis à jour ») : on gagne en cohérence, le pourcentage de voyageurs qui n’ont pu circuler correspond à celui des trains supprimés (qui double presque). Note aussi que le niveau du communicant augmente puisqu’on passe du porte-parole à la directrice de SNCF Voyages.

      Pagaille à la gare Montparnasse à Paris en plein chassé-croisé
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/30/trafic-sncf-interrompu-gare-montparnasse-a-paris-en-plein-week-end-de-chasse

      En fin d’après-midi, la directrice de SNCF Voyages Rachel Picard a assuré que « près de 32 000 voyageurs étaient arrivés à destination » dans les deux sens, soit près de « 85 % de ceux qui avaient prévu de voyager aujourd’hui ». En tout, 60 trains sont arrivés à destination et 9 ont été supprimés, a précisé la compagnie ferroviaire.

      En revanche, la SNCF ne connaît toujours pas les origines de la panne de signalisation : « La source du problème n’est pas complètement identifiée, mais circonscrite », a expliqué M. Chabanel, évoquant « un réseau vieillissant ».

      « Les investigations reprendront d’arrache-pied » dans la nuit de dimanche à lundi pour déterminer les causes de l’incident, a-t-il précisé.

      Le trafic risque ainsi d’être à nouveau perturbé lundi matin, comme l’a anticipé Mme Picard qui a d’ores et déjà prévenu qu’il y aurait « moins de trains » que prévu et conseillé « de voyager lundi plutôt dans l’après-midi ».

    • Montparnasse : trafic TGV toujours perturbé lundi, pagaille en gare - La Croix
      http://www.la-croix.com/France/Montparnasse-trafic-TGV-toujours-perturbe-lundi-pagaille-gare-2017-07-31-1

      Le trafic restait perturbé lundi à la gare Paris-Montparnasse, qui dessert l’ouest et le sud-ouest de la France, en raison d’une panne dont l’origine était toujours inconnue de la SNCF, provoquant la pagaille sur place.

      « On va annuler quelques trains, on va en regrouper d’autres. On va réussir à faire partir 3 trains sur 4 aujourd’hui (lundi) pour les TGV », a déclaré à franceinfo Rachel Picard, la directrice générale de SNCF Voyages.

      En ce qui concerne les autres trains (TER, Transilien, Intercités), « le trafic sera normal », a-t-elle assuré.

      Le site internet dédié aux Transilien indiquait toutefois que le trafic était perturbé sur certaines lignes, faisant état de ralentissements et de suppressions de trains.

      Mme Picard a ajouté qu’elle conseillait « plutôt de reporter » son voyage si possible, puisque les conditions en gare « ne vont pas être idéales ».

    • Gare Montparnasse : « on ne sait pas combien de temps ça peut durer » | L’interconnexion n’est plus assurée
      http://transports.blog.lemonde.fr/2017/07/31/gare-montparnasse-juillet-17

      17 armoires électriques. La panne, indique Rachel Picard, directrice générale de Voyages SNCF, est localisée au Poste relais à commande informatique (PCRI) de Vanves-Malakoff (Hauts-de-Seine), un « grand centre d’aiguillage » situé à moins de trois kilomètres de la gare. « Il y a 17 armoires avec des centaines de fils à l’intérieur qu’il faut vérifier un à un », explique-t-elle à France Info. Cette vérification ne peut en outre être « effectuée que la nuit, quand les trains ne roulent plus », précise le service de communication de la SNCF.
      […]
      Un précédent Gare de Lyon. Le week-end du 17 au 19 mars dernier, un poste d’aiguillage de la gare de Lyon, à Paris, avait été remplacé par une tour de contrôle entièrement informatisée. L’opération était programmée et annoncée longtemps à l’avance, les trains n’avaient pas été supprimés mais détournés vers les gares parisiennes de Montparnasse, Austerlitz et de l’Est. Au fond, c’est à une situation similaire que fait face la SNCF, mais dans la précipitation.

      A un détail près : Matthieu Chabanel, porte-parole de la SNCF, qualifie le système d’aiguillage de Montparnasse de « réseau vieillissant ». Les incidents se sont d’ailleurs multiplié ces derniers mois, comme le rappelle Le Monde. Mais le poste d’aiguillage de la gare de Lyon datait de 1933, alors que le réseau de la gare Montparnasse a été mis en place « dans les années 1990, avec le TGV Atlantique », indique M. Bussereau.

    • SNCF : la panne liée à « un défaut dans les travaux » de la LGV, selon Guillaume Pepy
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/01/gare-montparnasse-la-panne-localisee-trafic-encore-perturbe_5167279_3234.htm

      Le président-directeur général de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), Guillaume Pepy, a précisé mardi 1er août dans une interview à Ouest-France les causes de la panne de signalisation qui a provoqué un blocage d’une ampleur exceptionnelle depuis dimanche matin à la gare Montparnasse, à Paris. Selon lui, c’est « un défaut dans les travaux » des nouvelles lignes à grande vitesse vers Rennes et Bordeaux qui est « à l’origine de la panne ».

      Le problème provenait en effet d’un « défaut d’isolement » dans une alimentation d’un poste de commande de signalisation à Vanves, près de Paris. M. Pepy a précisé que cet équipement avait été « étendu dans le cadre de la mise en service des nouvelles lignes à grande vitesse vers Rennes et Bordeaux ».

      Ouf ! rien à voir donc avec l’insuffisance de maintenance…

      Et toujours le bazar sur le réseau…

      Trois TGV sur quatre circulaient en moyenne mardi, et un retour à la normale du trafic est prévu pour mercredi. Bien que la panne ait été réparée, la circulation restait difficile mardi, certains trains étant supprimés, regroupés ou encore déroutés vers la gare d’Austerlitz.

      en moyenne