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  • Keyser Söze
    https://www.arte.tv/fr/videos/052763-000-A/usual-suspects

    Le chef d’oeuvre qui fait peur. A ne pas manquer. A revoir si vous l’avez regardé à sa sortie en 1995.

    Son message ne commence qu’à se révéler aujourd’hui dans l’ambiance des conjurations omniprésentes. The Usual Suspects bat Fight Club car nous y sommes tous désignés comme les vrais fous. Le mal d’outre mer, en bientôt trente ans nous avons appris à le reconnaître. Dans ce film nous rencontrons sa personification.

    The Usual Suspects
    Interpellé à la suite de l’explosion d’un cargo, Kint se met à table : avec quatre autres gangsters, il s’est vu imposer une mission périlleuse par Keyser Söze, un mystérieux malfrat craint de tous... Un polar paranoïaque tendu, porté par une mise en scène millimétrée signée Bryan Singer et un jeu d’acteurs de haut vol (Gabriel Byrne, Kevin Spacey, Stephen Baldwin et Benicio Del Toro).

    En pleine nuit, une explosion ravage un cargo amarré dans le port de Los Angeles. Deux hommes ont échappé à la mort : un matelot hongrois et « Verbal » Kint, un petit escroc infirme. Interrogé par l’agent des douanes, ce dernier assure qu’il ignore les circonstances du drame. En échange d’une impunité, il commence pourtant à raconter comment, six semaines plus tôt, à New York, soupçonné d’avoir participé à un vol, il a été convoqué par la police. À ses côtés, quatre autres suspects : Dean Keaton, ancien flic ripou reconverti dans la restauration, Todd Hockney, spécialiste des explosifs, Michael McManus, fin tireur aux réactions imprévisibles, et Fred Fenster, son acolyte. Tous ont passé la nuit dans la même cellule, et McManus leur a proposé un coup : faire main basse sur les émeraudes d’un trafiquant escorté par des policiers corrompus. Après un autre braquage, Kobayashi, l’avocat d’un certain Keyser Söze, leur confie une mission…

    Éblouissant
    Qui donc est ce diable de Keyser Söze, insaisissable baron de la drogue et cruel criminel dont le nom revient tel un leitmotiv ? De la côte ouest à la côte est, le réalisateur Bryan Singer alterne scènes d’action et interrogatoires d’un Kevin Spacey au jeu époustouflant. Le cinéaste nous entraîne dans les méandres d’un scénario éblouissant, en multipliant les fausses pistes jusqu’au dénouement. De la première à la dernière minute, un polar tendu à la mise en scène millimétrée.

    Réalisation Bryan Singer
    Scénario Christopher McQuarrie
    Production Polygram Filmed Entertainment, Spelling Entertainment, Blue Parrot, Bad Hat Harry Productions
    Producteurs Bryan Singer, Michael McDonnell
    Image Newton Thomas Sigel
    Montage John Ottman
    Musique John Ottman

    Avec

    Gabriel Byrne (Dean Keaton)
    Stephen Baldwin (Michael McManus)
    Chazz Palminteri (Dave Kujan)
    Kevin Pollak (Todd Hockney)
    Kevin Spacey (Roger « Verbal » Kint)
    Pete Postlethwaite (Kobayashi)
    Benicio Del Toro (Fred Fenster)
    Suzy Amis (Edie Finneran)

    Pays Etats-Unis
    Année 1995

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Keyser_S%C3%B6ze

    The Usual Suspects consists mostly of flashbacks narrated by Roger “Verbal” Kint (Kevin Spacey), a con artist with cerebral palsy. Kint was arrested after an apparent drug-related robbery gone wrong which resulted in the destruction of a freighter ship and the deaths of nearly everyone on board. He has been granted immunity from prosecution provided he assists investigators, including Customs Agent David Kujan (Chazz Palminteri), and reveals all details of his involvement with a group of career criminals who are assumed to be responsible for the bloodbath. While Kint is telling his story, Kujan learns the name Keyser Söze from FBI agent Jack Baer (Giancarlo Esposito) and orders Kint to tell him what he knows.

    Kint states that Söze was believed to be of Turkish origin, but some have said that he was half German through his father.

    According to Kint, Söze began his criminal career as a small-time drug dealer. Horrifically though, one afternoon while Söze is away from home rival Hungarian gangsters attempt to intimidate him by taking his family hostage and raping his wife, then when he returns home, slitting the throat of one of his children right before his eyes. Determined to show these men of will, what will really was, Söze shoots and kills his own family and all but one of the Hungarians, letting the last leave so he can tell his cohorts what happened. Once his family is buried, Söze massacres the Hungarian Mafia, their families, their friends, and even people who owe them money. He goes underground, never again doing business in person, operating instead through oblivious underlings.

    #film.#polar #racket #conjuration #allégorie #personification

  • État limite - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/111769-000-A/etat-limite

    Dans les pas de plus en plus las de ce jeune praticien à l’intelligence et à l’humanité en alerte, la caméra de Nicolas Peduzzi (Ghost Song, Southern Belle) pénètre avec pudeur dans les chambres de l’hôpital, refuges de destins accidentés, pour observer l’émouvante construction d’une relation thérapeutique fondée sur le lien, entre tête-à-tête et atelier de théâtre. Mais comment soigner dans une institution malade ? Émaillé de photographies en noir et blanc de Pénélope Chauvelot, sublimes parenthèses d’immobilité au cœur de l’urgence, ce documentaire mélancolique et politique sonde le déclassement de la médecine psychiatrique et l’effondrement de l’hôpital public, miroir d’une société qui relègue les plus fragiles à la marge et pousse ceux qui prennent soin d’eux au-delà de leurs limites.

    #psychiatrie #hôpital #santé

  • est un peu honteuse de l’admettre, mais elle doit bien reconnaître qu’elle a depuis quelques jours sensiblement diminué son temps passé à comater devant des bouquins et proportionnellement augmenté celui dilapidé à niaiser devant des films et autres fictions « made in Arte ». C’est mal, n’est-ce pas ? Oui mais au point où elle en est ce n’est plus très grave — rappelons qu’il ne lui reste plus que dix à douze minutes « d’espérance » de vie.

    N’empêche, il y a des trucs pas si mauvais que ça, sur cette satanée chaîne un peu bobo. Là par exemple elle est en train de regarder « Machine », une mini-série qui conte l’histoire d’une sublime punkàchienne alcoolo-névrosée giga-bonne en baston (même Super Jaimie peut aller se recoucher direct) qui s’acoquine en tout bien tout honneur avec un prolo désabusé toxicomane repenti et théoricien du marxisme, afin d’aller ensemble ficher le dawa au sein du Capital — nous serons d’ailleurs certainement d’accord pour dire qu’une bonne raclée, c’est la seule chose que le patronat n’a pas volée.

    Alors d’une nous mettrons au défi toute tribade normalement constituée de ne pas s’enticher instantanément de Margot Bancilhon (l’actrice principale), de deux son acolyte JoeyStarr, bien que mââââââle, est lui aussi extrêmement convaincant, de trois... de trois la Garreau ne comprend pas que la production n’ait pas fait appel à elle : une déglingo en colère contre le monde entier et un ronchon capable en toutes circonstances de citer le prophète Marx par cœur, franchement, avec un peu de maquillage et si elle était moins grabataire elle aurait quasiment pu tenir les deux rôles à elle toute seule.

    Et sans trop se forcer.

    « Machine », six épisodes sur Arte.

  • trouvait l’idée de départ plutôt rigolote : resté·e·s enfermé·e·s et donc bien protégé·e·s sur le plateau de tournage d’une émission de téléréalité, les candidat·e·s ne savent pas encore que le monde extérieur a été envahi par des zombies et qu’iels sont de fait les ultimes survivant·e·s de cette saleté d’humanité. Livré·e·s à elleux-mêmes, parviendront-iels à repeupler le monde rien qu’avec des Kevin et des Maeva ? Ha ha, suspense, mais c’est vrai que cette seule perspective est effrayante.

    Las ! les acteurices sont pitoyables, le doublage en français est très approximatif, la caméra est épileptique, et puis surtout, surtout, surtout les grand-guignolesques zombies ne sont absolument pas crédibles : la vieille Garreau en sait quelque chose puisqu’elle en voit une dans son miroir tous les matins et peut donc vous affirmer que dans la « vraie » vie les mortes-vivantes ne ressemblent pas du tout à ce qui est montré dans cette mini-série.

    Enfin bon, ça se regarde quand même, ce n’est pas pire qu’un journal télévisé.

    « Dead Set », cinq (courts) épisodes sur Arte.

  • a revu hier soir le « Diabolo Menthe » de Kurys (1) ; honnêtement elle ne se souvenait pas qu’il s’y passait si peu de choses et que c’était si cucul-la-praline, m’enfin c’est aussi l’époque qui était comme ça et puis de tous temps ça a été moche d’avoir treize ou quinze ans, surtout quand il n’y a pas la défonce pour faire passer ça.

    Être jeune est un cauchemar.

    Elle a revu hier soir le « Diabolo Menthe » de Kurys en ayant en tête la chanson éponyme de Simon. Elle s’attendait à la fredonner tout du long ; elle ne se souvenait pas qu’on ne l’y entendait qu’une seule fois à la toute fin du film.

    L’attente est l’unique cause des déceptions.

    Elle a revu hier soir le « Diabolo Menthe » de Kurys, s’est vaguement identifiée à l’héroïne, a revécu une partie de ses propres drames et angoisses au même âge, a parfois eu un nœud dans la gorge et avoue avoir versé sa larmichette.

    On ne pleure jamais que sur soi-même.

    Elle a revu hier soir le « Diabolo Menthe » de Kurys et s’est aperçue que ce n’est pas tellement le film qui est drôlement démodé : c’est elle, la spectatrice.

    La vieillesse est un naufrage.

    #DixÀDouzeMinutesAvantDeMourirMamieNicoleSeDécouvritCinéphile.

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    (1) Sur Arte.

  • Trilogie consacrée à l’agriculture par des penseurs libertaire du 19e et 20e siècle
    https://ricochets.cc/Trilogie-consacree-a-l-agriculture-par-des-penseurs-libertaire-du-19e-et-2

    Les choix et mode de production agricole, les modes de distribution et d’accès à la nourriture, sont essentiels. Depuis longtemps des penseurs libertaires ont apporté leur terreau fertile à ce vaste sujet, loin des impasses destructives/polluantes du libre marché et du productivisme connecté, sans oublier le lien direct avec la question sociale. Après la révolte d’agriculteurs récemment, reprenons le fil de certaines réflexions incontournables si on souhaite aller vers une société vivable (...) #Les_Articles

    / #Agriculture, #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, #Autonomie_et_autogestion

    https://paris-luttes.info/murray-bookchin-l-agriculture-17922?lang=fr
    https://paris-luttes.info/pierre-kropotkine-l-agriculture-17837?lang=fr
    https://paris-luttes.info/elisee-reclus-a-mon-frere-le-17834?lang=fr
    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-024861/le-temps-des-paysans

  • #Route_des_Balkans : les migrants noyés dans la Drina

    Des dizaines de migrants en route vers l’Union européenne meurent noyés chaque année dans les eaux froides de la #rivière #Drina entre la #Serbie et la #Bosnie et sont enterrés anonymement dans les cimetières voisins, où des activistes bénévoles tentent de leur donner une sépulture digne et de retrouver leurs proches sans nouvelles.

    https://www.arte.tv/fr/videos/119298-000-A/route-des-balkans-les-migrants-noyes-dans-la-drina
    #Bosnie-Herzégovine #cimetière #mourir_aux_frontières #vidéo #reportage #morts_aux_frontières #Balkans #noyade #migrations #réfugiés #frontières #cimetière #Nihad_Suljic #Vidak_Simic #Bijeljina #anonymat #identification #autopsie #ADN #DNA

  • Un homme intègre - Mohammad Rasoulof
    https://www.arte.tv/fr/videos/112513-000-A/un-homme-integre

    Dans son sixième long métrage, Mohammad Rasoulof (Le diable n’existe pas) dresse un réquisitoire cinglant contre les pratiques plus ou moins souterraines qui minent la république islamique d’#Iran. Injustice, magouilles et népotisme des barons locaux semblent être la déclinaison à tous les étages de la société de la terreur que fait régner l’absolutisme du pouvoir en place. Âpre et sombre, le conte moral vire au thriller politique lorsque Reza et sa femme Hadis doivent se débattre contre des forces qui les dépassent, avec cette tentation latente de baisser la garde et d’utiliser les mêmes armes que leurs ennemis pour en venir à bout. Le réalisateur iranien de La vie sur l’eau (2005) ou d’Au revoir (2011) ne se contente pas d’enchaîner les épisodes douloureux mais dépasse ce marigot existentiel (...) par une mise en scène tendue vers la beauté des plans et un sens affiné du paysage. En 2017, ce coup de griffe contre la corruption de son pays signait un nouvel acte de courage pour le réalisateur, qui avait déjà subi les foudres du pouvoir. Un homme intègre allait coûter cher à celui que le titre du #film semble désigner. Après une tournée mondiale de présentation du film (dont le Festival de Cannes, où il reçut le prix Un certain regard), Rasoulof fut condamné à une peine d’un an de prison ferme pour « propagande contre la République islamique d’Iran » assortie d’une interdiction de sortie du territoire et d’activité politique de deux ans. En juillet 2022, Mohammad Rasoulof a de nouveau été incarcéré pour avoir signé un appel demandant aux forces de sécurité de « déposer les armes » face à la colère populaire contre « la corruption, le vol, l’incompétence et la répression ». Il a été libéré en février 2023 pour raisons de santé.

    #Cinéma

  • Invitation au voyage - Claude McKay à Marseille / Jamaïque / Valladolid
    https://www.arte.tv/fr/videos/115571-052-A/invitation-au-voyage

    Marseille, bordel merveilleux de Claude McKay
    Claude McKay, écrivain précurseur du siècle dernier, a fait à Marseille une déclaration d’amour comme un uppercut. Quand il débarque dans la ville en 1924, le Jamaïcain est déjà un poète reconnu aux États-Unis. Considéré comme l’un des inspirateurs de la Négritude, Claude McKay est aussi un libre-penseur. Le poète vagabond échoue à Marseille, malade et en quête de repos. Il se laisse bien vite embarquer dans l’atmosphère bouillonnante de ce port et en tire deux romans : Romance in Marseille, sorti de l’oubli et publié en 2020, et Banjo, un roman social et jazzy à la modernité détonante.

    #Claude_McKay #Marseille #littérature #bordel

  • a regardé un film avec des enfants. Enfin non, elle veut dire qu’elle a regardé un film dans lequel jouaient des enfants. Enfin iels ne jouaient pas, iels étaient les acteurices. Enfin si, iels jouaient quand même, puisque ça se passait en grande partie dans une cour d’école. Enfin bref, vous l’embrouillez.

    Quoi qu’il en soit ça confirme, hein : ça a réveillé plein de (mauvais) souvenirs en elle car déjà de son temps, ce qu’elle elle n’aimait pas, ce n’était pas l’école, c’étaient les enfants. Les enfants, ce sont des adultes en pire. Les enfants c’est capitaliste, territorial, bruyant, compétitif, violent : le monde tel qu’iels se le créent est (déjà) un enfer.

    Elle ce n’était pas pareil, elle elle n’était pas une enfant, elle en aurait été incapable, elle ne comprenait rien à leurs codes. Pour qu’elle puisse suivre une scolarité il aurait fallu qu’il n’y ait pas de récréations, pas d’interclasses, pas de nécessité de relations avec ses coreligionnaires, rien — seulement des leçons magistrales, exemptes de pédagogie et pleines de trucs à apprendre par cœur. Mais bon, déjà à l’époque ce n’était pas le cas. Il y avait une injonction à « s’intégrer ». L’horreur.

    Néanmoins bravo à l’École Publique pour qui la vieille Garreau a gardé toute sa gratitude. Il faut savoir faire la part des choses et ce n’est pas de la faute des enseignant·e·s si les mioches sont des imbéciles qui ne les méritent pas.

    En fait il faudrait faire deux écoles séparées : une pour les professeuses(-eurs), une autre pour les élèves.

  • #Ikea, le seigneur des forêts

    Derrière son image familiale et écolo, le géant du meuble suédois, plus gros consommateur de bois au monde, révèle des pratiques bien peu scrupuleuses. Une investigation édifiante sur cette firme à l’appétit démesuré.

    C’est une des enseignes préférées des consommateurs, qui équipe depuis des générations cuisines, salons et chambres d’enfants du monde entier. Depuis sa création en 1943 par le visionnaire mais controversé Ingvar Kamprad, et au fil des innovations – meubles en kit, vente par correspondance, magasins en self-service… –, la petite entreprise a connu une croissance fulgurante, et a accompagné l’entrée de la Suède dans l’ère de la consommation de masse. Aujourd’hui, ce fleuron commercial, qui participe pleinement au rayonnement du pays à l’international, est devenu un mastodonte en expansion continue. Les chiffres donnent le tournis : 422 magasins dans cinquante pays ; près d’un milliard de clients ; 2 000 nouveaux articles au catalogue par an… et un exemplaire de son produit phare, la bibliothèque Billy, vendu toutes les cinq secondes. Mais le modèle Ikea a un coût. Pour poursuivre son développement exponentiel et vendre toujours plus de meubles à bas prix, le géant suédois dévore chaque année 20 millions de mètres cubes de bois, soit 1 % des réserves mondiales de ce matériau… Et si la firme vante un approvisionnement responsable et une gestion durable des forêts, la réalité derrière le discours se révèle autrement plus trouble.

    Greenwashing
    Pendant plus d’un an, les journalistes d’investigation Xavier Deleu (Épidémies, l’empreinte de l’homme) et Marianne Kerfriden ont remonté la chaîne de production d’Ikea aux quatre coins du globe. Des dernières forêts boréales suédoises aux plantations brésiliennes en passant par la campagne néo-zélandaise et les grands espaces de Pologne ou de Roumanie, le documentaire dévoile les liens entre la multinationale de l’ameublement et l’exploitation intensive et incontrôlée du bois. Il révèle comment la marque au logo jaune et bleu, souvent via des fournisseurs ou sous-traitants peu scrupuleux, contribue à la destruction de la biodiversité à travers la planète et alimente le trafic de bois. Comme en Roumanie, où Ikea possède 50 000 hectares de forêts, et où des activistes se mobilisent au péril de leur vie contre une mafia du bois endémique. Derrière la réussite de l’une des firmes les plus populaires au monde, cette enquête inédite éclaire l’incroyable expansion d’un prédateur discret devenu un champion du greenwashing.

    https://www.arte.tv/fr/videos/112297-000-A/ikea-le-seigneur-des-forets
    #film #film_documentaire #documentaire #enquête
    #greenwashing #green-washing #bois #multinationale #meubles #Pologne #Mazovie #Mardom_House #pins #Ingvar_Kamprad #délocalisation #société_de_consommation #consumérisme #résistance #justice #Fondation_Forêt_et_citoyens #Marta_Jagusztyn #Basses-Carpates #Carpates #coupes_abusives #exploitation #exploitation_forestière #consommation_de_masse #collection #fast-furniture #catalogue #mode #marketing #neuro-marketing #manipulation #sous-traitance #chaîne_d'approvisionnement #Sibérie #Russie #Ukraine #Roumanie #accaparement_de_terres #Agent_Green #trafic_de_bois #privatisation #Gabriel_Paun #pillage #érosion_du_sol #image #prix #impact_environnemental #FSC #certification #norme #identité_suédoise #modèle_suédois #nation_branding #Estonie #Lettonie #Lituanie #lobby #mafia_forestière #coupes_rases #Suède #monoculture #sylviculture #Sami #peuples_autochtones #plantation #extrême_droite #Brésil #Parcel_Reflorestadora #Artemobili #code_de_conduite #justice #responsabilité #abattage #Nouvelle-Zélande #neutralité_carbone #compensation_carbone #maori #crédits-carbone #colonisation

    • #fsc_watch

      This site has been developed by a group of people, FSC supporters and members among them, who are very concerned about the constant and serious erosion of the FSC’s reliability and thus credibility. The group includes Simon Counsell, one of the Founder Members of the FSC; Hermann Edelmann, working for a long term FSC member organisation; and Chris Lang, who has looked critically at several FSC certifications in Thailand, Laos, Brazil, USA, New Zealand, South Africa and Uganda – finding serious problems in each case.

      As with many other activists working on forests worldwide, we share the frustration that whilst the structural problems within the FSC system have been known for many years, the formal mechanisms of governance and control, including the elected Board, the General Assembly, and the Complaints Procedures have been highly ineffective in addressing these problems. The possibility of reforming – and thus ‘saving’ – the FSC through these mechanisms is, we feel, declining, as power within the FSC is increasingly captured by vested commercial interest.

      We feel that unless drastic action is taken, the FSC is doomed to failure. Part of the problem, in our analysis, is that too few FSC members are aware of the many profound problems within the organisation. The FSC Secretariat continues to pour out ‘good news stories’ about its ‘successes’, without acknowledging, for example, the numerous complaints against certificates and certifiers, the cancellation of certificates that should never have been awarded in the first place, the calls for FSC to cease certifying where there is no local agreement to do so, the walk-outs of FSC members from national processes because of their disillusionment with the role of the economic chamber, etc. etc. etc.

      There has been no honest evaluation of what is working and what is not what working in the FSC, and no open forum for discussing these issues. This website is an attempt to redress this imbalance. The site will also help people who are normally excluded from the FSC’s processes to express their views and concerns about the FSC’s activities.

      Please share your thoughts or information. Feel free to comment on our postings or send us any information that you consider valuable for the site.

      UPDATE (25 March 2010): A couple of people have requested that we explain why we are focussing on FSC rather than PEFC. Shortly after starting FSC-Watch we posted an article titled: FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes. As this is somewhat buried in the archives, it’s reproduced in full here (if you want to discuss this, please click on the link to go to the original post):
      FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes

      One of the reasons I am involved in this website is that I believe that many people are aware of serious problems with FSC, but don’t discuss them publicly because the alternative to FSC is even worse. The alternative, in this case is PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes) and all the other certification schemes (Cerflor, Certflor, the Australian Forestry Standard, the Malaysian Timber Certification Council and so on). One person has suggested that we should set up PEFC-Watch, in order “to be even-handed”.

      The trouble with this argument is that PEFC et al have no credibility. No NGOs, people’s organisations or indigenous peoples’ organisations were involved in setting them up. Why bother spending our time monitoring something that amounts to little more than a rubber stamp? I can just see the headlines: “Rubber stamp PEFC scheme rubber stamps another controversial logging operation!” Shock, horror. The Emperor is stark bollock naked, and it’s not just some little boy pointing this out – it’s plain for all to see, isn’t it?

      One way of countering all these other schemes would be to point out that FSC is better. But, if there are serious problems with FSC – which there are, and if we can see them, so can anyone else who cares to look – then the argument starts to look very shaky.

      FSC standards aren’t bad (apart from Principle 10, which really isn’t much use to anyone except the pulp and paper industry). They say lots of things we’d probably want forest management standards to say. The trouble is that the standards are not being applied in practice. Sure, campaign against PEFC, but if FSC becomes a Holy Cow which is immune to criticism (not least because all the criticism takes place behind closed doors), then we can hardly present it as an alternative, can we?…”

      By the way, anyone who thinks that PEFC and FSC are in opposition should read this interview with Heiko Liedeker (FSC’s Executive Director) and Ben Gunneberg (PEFC’s General Secretary). In particular this bit (I thought at first it must be a mix up between FSC and PEFC, or Liedeker and Gunneberg):

      Question: As a follow-up question, Heiko Liedeker, from your perspective, is there room ultimately for programs like the Australian Forestry Standard, Certfor and others to operate under the FSC umbrella?

      Heiko Liedeker: Absolutely. FSC was a scheme that was set-up to provide mutual recognition between national standard-setting initiatives. Every national initiative sets its standard. Some of them are called FSC working groups, some of them are called something else. In the UK they are called UKWAS. We’ve been in dialogue with Edwardo Morales at Certfor Chile. They are some of the FSC requirements listed for endorsement, we certainly entered into discussion. We’ve been in discussion with the Australian Forestry Standard and other standard-setting initiatives. What FSC does not do is, it has one global scheme for recognizing certification. So we do not, and that’s one of the many differences between FSC and PEFC, we do not require the development of a certification program as such. A standard-setting program is sufficient to participate in the network.

      https://fsc-watch.com

    • Complicit in destruction: new investigation reveals IKEA’s role in the decimation of Romania’s forests

      IKEA claims to be people and planet positive, yet it is complicit in the degradation and destruction of Romania’s forests. A new report by Agent Green and Bruno Manser Fonds documents this destruction and presents clear requests to the furniture giant.

      A new investigative report (https://www.bmf.ch/upload/Kampagnen/Ikea/AG_BMF_report_IKEA_web_EN.pdf) by Agent Green and Bruno Manser Fonds shows a consistent pattern of destructive logging in IKEA-linked forests in Romania, with massive consequences for nature and climate. The findings are based on an analysis of official documents and field investigations of nine forest areas in Romania. Seven of them are owned by the IKEA-related company Ingka Investments and two are public forests supplying factories that produce for IKEA. The analysis uncovers over 50 suspected law violations and bad forest management practices. Biodiversity rich forest areas cut to the ground, intensive commercial logging conducted in ecologically sensitive or even old-growth forests without environmental assessments, dozens of meters deep tractor roads cutting through the forest are just a few of the issues documented.

      Most of the visited forests are fully or partially overlapping with EU protected areas. Some of these forests were strictly protected or under low-intensity logging before Ingka took over. Now they are all managed to maximize wood extraction, with no regard to forest habitats and their vital role for species. Only 1.04% of the total Ingka property in Romania are under a strict protection regime and 8.24% under partial protection. This is totally insufficient to meet EU goals. The EU biodiversity strategy requires the protection of a minimum of 30% of EU land area, from which 10% need to be strictly protected. One key goal is to strictly protect all remaining primary and old-growth forests in the EU.

      At the press conference in Bucharest Gabriel Păun, President of Agent Green, stated: “IKEA/Ingka seem to manage their forests like agricultural crops. Letting trees grow old is not in their culture. Removing entire forests in a short period of time is a matter of urgency for IKEA, the tree hunter. The entity disregards both the written laws and the unwritten ways of nature. IKEA does not practice what they preach regardless of whether it is the European Union nature directives, Romanian national legislation, or the FSC forest certification standard. But as a company with revenues of billions of Euros and Romania’s largest private forest owner, IKEA / Ingka should be an example of best practice.”

      Ines Gavrilut, Eastern Europe Campaigner at the Bruno Manser Fonds, added: “It is high time that IKEA started to apply its declared sustainability goals. IKEA could do so much good if it really wanted to set a good example as a forest owner, administrator, and large wood consumer in Romania and beyond. Needs could also be covered without resorting to destructive logging, without converting natural forests into plantations – but this requires tackling difficult issues such as the core of IKEA’s business model of “fast furniture”. Wood products should not be for fast consumption but should be made to last for decades.”

      Agent Green and Bruno Manser Fonds urge IKEA and the Ingka Group to get a grip on their forest operations in Romania to better control logging companies, not to source wood from national or natural parks, to effectively increase protection and apply forestry close to nature in own forests, to ensure full traceability and transparency of the IKEA supply chain, and allow independent forest oversight by civil society and investigative journalists.

      In August 2021, Agent Green published its first report documenting destruction in IKEA-linked forests in Romania. In May 2023, Agent Green and Bruno Manser Fonds sent an open letter of concern to the Ingka Group and IKEA Switzerland. BMF also started a petition demanding IKEA to stop deforestation in Romania’s protected forest areas and other high conservation value forests.

      The ARTE documentary IKEA, the tree hunter brilliantly tells the story of the real cost of IKEA furniture, the uncontrolled exploitation of wood and human labour.

      https://bmf.ch/en/news/neue-untersuchung-belegt-ikeas-beteiligung-an-der-waldzerstorung-in-rumanien-256

      #rapport

  • La forêt de mademoiselle Tang

    Après « Funan », récompensé en 2018 par le Cristal du long métrage au Festival d’Annecy, Denis Do balaie dans un superbe film d’animation deux siècles de l’histoire d’une famille chinoise.

    Swatow, aujourd’hui Shantou, ville du sud de la Chine. En 1886, les Occidentaux leur ayant interdit l’accès au port, Tang Hio, menuisier, n’a pu expédier par bateau la commande qu’il avait préparée avec sa femme Tang Leng Kung pour leur communauté installée au Cambodge. Pour s’occuper les mains, il part dans la forêt, où son épouse plante de jeunes pousses d’arbres, afin d’y chercher un beau tronc dans lequel réaliser une armoire pour y entreposer ce qu’ils ont de précieux. En 1922, peu après le terrible typhon qui s’est abattu sur la région, leur fils Siao Yi, devenu père de famille, songe à partir lui aussi au Cambodge. Mais ce n’est que sous l’occupation japonaise, en 1940, que son seul fils choisit l’exil…

    Héritage culturel
    Récompensé en 2018 à Annecy pour Funan, son premier long métrage d’animation inspiré du parcours de sa mère, Denis Do, réalisateur français d’origine cambodgienne, poursuit son exploration de la mémoire, de la transmission et de l’héritage familial, culturel et environnemental. Dialogué en dialecte teochew, en usage dans la province chinoise du Guandong, son moyen métrage animé nous entraîne, sur six générations et près de deux siècles, dans une évocation elliptique des grands bouleversements qui ont marqué l’histoire de la Chine, au travers d’une fresque familiale intimiste et sensible.

    https://www.arte.tv/fr/videos/090564-000-A/la-foret-de-mademoiselle-tang
    #film #court-métrage #Chine #histoire #film_d'animation #histoire_familiale #modernisation

  • a encore regardé un film ! C’est le troisième en moins de dix jours, soit davantage que durant les vingt années précédentes ! Mais vous connaissez sa légendaire cuistrerie, hein : c’est une quantité suffisante pour qu’elle s’autoproclame spécialiste en cinématographe et qu’elle vous inflige à vous, malheureux Lectorat, toute une collection de truismes et autres vérités sorties de nulle part à ce sujet.

    Finalement la seule chose qui vous sauve c’est qu’elle ne dispose plus que de dix à douze minutes « d’espérance » de vie.

    • Pardon ? Vous voulez quand même savoir ce que c’était ? Pfffff, c’est bien parce que vous insistez puisque ce coup-ci c’était un film parfaitement dispensable : « La Forêt silencieuse » (« Schweigend steht der Wald ») de Saralisa Volm, sur Arte. Sans vouloir faire de caricature, à part Fritz Lang et l’expressionnisme des années Vingt-Trente, le cinéma ce n’est vraiment pas un truc allemand, on a tout le temps l’impression de regarder un épisode de Derrick et « La Forêt silencieuse » ne déroge pas : scénario plan-plan, psychologie à la serpe, poncifs, image verdâtre (bon, là, vu les décors sylvestres ça pourrait se justifier), doublage catastrophique... il y a peut-être l’épilogue, qui sauve un peu, parce que c’est vrai qu’on ne s’attend pas à ce que la réalisatrice nous épargne un happy end, ce qu’elle a la bonté de faire pourtant.

      Voilààààààà. Fuyez.

      https://www.arte.tv/fr/videos/096219-000-A/la-foret-silencieuse

  • Le monde selon Elon Musk
    https://www.arte.tv/fr/videos/117797-000-A/le-monde-selon-elon-musk

    Doucumentaire disponible du 27/02/2024 au 26/05/2024 - le contenu de la vidéo correspond à un texte qui se lit en dix minutes. On y apprend surtout une chose : X/Twitter n’est pas le dada d’un milliardaire excentrique mais la clé de voûte d’un empire dont le seigneur correspond assez à l’entrepreneur-surhomme d’Ayn Rand dans Atlas Shrugged . C’est assez flippant que ces énergumènes soient à la tête de puissantes organisations.

    Twitteur compulsif, Elon Musk s’est offert en 2022 son réseau social préféré, et l’a brutalement façonné selon ses désirs. Cette enquête punchy relate les relations orageuses entre la plate-forme et le milliardaire, et leurs incidences sur le débat public.

    « Certains s’expriment à travers leurs cheveux, moi je me sers de Twitter. » En 2010, l’entrepreneur Elon Musk a rejoint la « conversation mondiale » et s’est vite fait remarquer par ses tweets potaches ou absurdes. Cette notoriété a rejailli sur ses activités industrielles, axées notamment sur la conquête spatiale et les voitures électriques, contribuant à réduire les dépenses marketing de son empire. Mais les relations entre le magnat d’origine sud-africaine et Twitter ont connu des hauts et des bas. Elon Musk, influencé par ses aspirations libertariennes, a souvent vitupéré contre sur ce qu’il considérait comme des atteintes à la liberté d’expression, quand l’équipe dirigeante de Twitter, longtemps accusée de laxisme face aux propos haineux et aux fake news, tentait, elle, de redresser la barre. Il a par exemple volé au secours de Donald Trump en janvier 2021, lorsque le compte Twitter de ce dernier a été supprimé après l’assaut du Capitole. Pour modeler son réseau social favori à sa guise, Elon Musk a fini par se l’offrir en octobre 2022, après une bataille juridique mémorable. Depuis, Twitter, rebaptisé X en 2023, a licencié des milliers de salariés, notamment des modérateurs de contenu, et ouvert les vannes du complotisme et de l’incitation à la haine.

    Choc des cultures
    Selon la recette éprouvée qui fait la force des documentaires d’actualité Frontline, ce film de James Jacoby entremêle témoignages clés et archives récentes. Il nous replonge jour après jour dans un haletant feuilleton qui a mal fini : la reprise en main de Twitter et une « conversation mondiale » qui vire à la polarisation et à la virulence. Plusieurs ex-salariés de la plate-forme livrent d’éclairants témoignages sur l’avant et l’après-Elon Musk, racontant le choc des cultures entre monde industriel et pépite de la tech, les licenciements brutaux et même un inquiétant déchaînement de haine, complaisamment relayé par le réseau social, à l’encontre de l’un d’entre eux, Yoel Roth, en charge du département de la confiance et de la sécurité de la plate-forme au moment du rachat. Retraçant une décennie de relations orageuses entre Twitter et l’impulsif milliardaire, et le débat sur la liberté d’expression et la désinformation qu’elles ont alimenté, cette enquête à l’efficacité anglo-saxonne montre comment la démocratie a perdu quelques plumes dans l’aventure.

    Réalisation : James Jacoby

    Pays : Etats-Unis

    Année : 2023
    Durée : 91 min

    Disponible du 27/02/2024 au 26/05/2024

    Genre : Documentaires et reportages

    #impérialisme #propagande #relatiins_publiques #manipulation #réseaux_sociaux #économie #idéologie #culte_de_la_personne #monopoles #film #documentaire #TV

  • L’histoire de Syd Barrett des Pink Floyd - Have You Got It Yet ? - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/115032-000-A/l-histoire-de-syd-barrett-des-pink-floyd

    La mythologie du rock s’est toujours nourrie de ses étoiles filantes, brûlées trop vite par la flamme de la gloire et de ses excès. Parmi ces figures tragiques, Roger Keith, alias « Syd » Barrett (1946-2006), membre fondateur et brillantissime leader des Pink Floyd de 1965 à 1968, jusqu’à son éviction du groupe en raison d’un comportement devenu totalement erratique, occupe une place à part.

    C’est la biographie la plus sensible et la mieux documentée que j’ai vu sur cet artiste.

  • Mafias et banques - Histoire | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-024485/mafias-et-banques

    Retour sur l’histoire d’une saga méconnue : l’alliance que vont tisser groupes criminels organisés et institutions financières, des années 1920 à nos jours à l’échelle de la planète. Cette série documentaire en trois épisodes, sous forme d’enquête, plonge dans les eaux troubles de la mafia. De Michele Sindona, le banquier du Vatican, au cartel de Pablo Escobar en passant par la City de Londres et les Bahamas.

    1ère partie : Le temps des pionniers
    2ème partie : Follow the money
    3ème partie : L’Internationale criminelle

    #banques #finance #crime_organisé #mafia

  • Au Brésil, le principal fournisseur d’Ikea accusé d’atteintes à l’environnement
    https://disclose.ngo/fr/article/au-bresil-le-principal-fournisseur-dikea-accuse-datteintes-a-lenvironnemen

    Pollutions chimiques, déforestation illégale… Au Brésil, Ikea se fournit en meubles auprès de l’entreprise Artemobili, accusée de multiples infractions environnementales entre 2018 et 2022. La justice brésilienne pointe aujourd’hui la responsabilité de la firme suédoise. Lire l’article

  • éprouvant des difficultés à lire des romans depuis plusieurs jours (« la vieillesse est un naufrage ») elle s’est rabattue sur un film comme une sale petite bourgeoise décadente et non seulement elle ne s’est pas endormie devant comme elle le supputait mais en plus elle a trouvé ça pas mal et a bien évidemment pleuré comme une madeleine presque tout du long.

    La bonne nouvelle est donc que certes, le cinématographe c’est moins bien que la Littérature, mais ce n’est pas très grave puisque chez les subclaquantes dépressives n’importe quoi finit par produire un résultat similaire.