/videos

  • Le Diable n’existe pas
    de Mohammad Rasoulof
    2020
    Iran / Allemagne / République tchèque

    https://www.arte.tv/fr/videos/095080-000-A/le-diable-n-existe-pas

    A voir
    Superbe, actrices et acteurs excellents, certaines scènes (notamment les images de Anniversaire ) sont d’une poésie sublime.

    Placé sous surveillance depuis 2010 par le régime des mollahs, l’audacieux Mohammad Rasoulof (Un homme intègre) a dû ruser pour obtenir les autorisations de tournage, faisant établir les demandes au nom de quatre assistants différents. Pour ne pas être reconnu sur son plateau par les représentants du ministère de la Culture et de la Guidance islamique, il a parfois dirigé ses comédiens en étant grimé et a tourné plusieurs séquences à distance. Au travers d’un moment clé dans la vie de quatre hommes iraniens d’âge différent, le cinéaste interroge la responsabilité individuelle face à l’application de la peine capitale – plus de 580 exécutions en Iran en 2022. De la grande ville à la campagne reculée, il met en scène quatre drames autour de l’obéissance ou de la fidélité à ses convictions, quel qu’en soit le lourd prix à payer. Servie également par de beaux personnages féminins et des twists scénaristiques percutants, une réflexion politique sur la liberté de conscience récompensée par l’Ours d’or à la Berlinale.

    https://www.rfi.fr/fr/culture/20220101-mohammad-rasoulof-cin%C3%A9aste-iranien-en-disant-non-ta-conscience-est

    À travers ces quatre histoires, j’ai voulu dire qu’à un moment donné chacun de nos choix peut avoir une répercussion importante et qu’il est de notre devoir de réfléchir à ces choix et assumer notre responsabilité. Mais l’acte de tuer et la pendaison ne sont en fait pour moi que des exemples pour dire que quand on ne réfléchit pas à ce qu’on nous demande, qu’on se voit simplement comme un exécuteur et qu’on abandonne la responsabilité de toute décision au pouvoir en place, on fait alors partie d’un système qui peut être à ce point violent et destructeur.

    Disponible sur Arte

    Du 18/02/2024 au 19/03/2024

    • Effectivement @oeil_de_chat même si les hommes sont peints de façon plus sensible que d’habitude, comme le bourreau du premier film qui passe l’aspirateur chez sa vieille mère avec soin, ou le nourrisseur du renard, les femmes de ces 4 films sont toutes cantonnées au care et se retrouvent oubliées des victimes du régime iranien.

  • La voix des autres

    Rim, tunisienne, travaille en France en tant qu’interprète dans le cadre des procédures de demande d’asile. Chaque jour, elle traduit les récits d’hommes et de femmes exilés dont les voix interrogent sa propre histoire.

    https://www.arte.tv/fr/videos/117669-000-A/la-voix-des-autres
    #interprètes #traduction #asile #migrations #réfugiés #France #accompagnement_juridique #procédure_d'asile

    ping @karine4

  • Épaves de guerre en mer du Nord - Une bombe à retardement - | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/110288-000-A/epaves-de-guerre-en-mer-du-nord-une-bombe-a-retardement

    C’est une véritable #bombe_à_retardement que l’Europe a jusque-là préféré ignorer. La mer du Nord ressemble à un gigantesque #cimetière_de_navires et d’avions : dans ses fonds gisent quelque 10 000 #épaves, dont 700 vestiges des deux #guerres_mondiales encore chargés de munitions rouillées. Des substances hautement toxiques s’en échappent parfois – particulièrement le trinitrotoluène (TNT) –, qui contaminent l’environnement et la faune marine dans des rayons étendus, pouvant aussi empoisonner les hommes. À seulement quelques encablures de la cité de Sheerness, à l’est de Londres, le cargo américain SS Richard-Montgomery, qui a coulé le 20 août 1944 et dont les mâts émergent à l’horizon, renferme encore 1 400 tonnes d’explosifs. Si personne n’ose s’en approcher, c’est parce que ses bombes sont susceptibles de créer une déflagration telle qu’elle pourrait provoquer un tsunami et menacer la capitale britannique. Alors que le recensement de ces croiseurs, patrouilleurs, submersibles et autres engins marins devrait prendre des décennies et se fait dans des conditions périlleuses et très coûteuses, une équipe internationale de scientifiques se lance aujourd’hui à leur recherche.

    https://seenthis.net/messages/966395

  • Une orange de Jaffa
    | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/104909-000-A/une-orange-de-jaffa

    Mohammed, un jeune Palestinien, cherche désespérément un taxi qui lui permette de franchir un checkpoint pour rejoindre sa mère qui l’attend côté israélien. Farouk, le chauffeur de taxi, hésite car le jeune homme n’a pas de laissez-passer mais seulement une carte de résident européen. Arrivé au checkpoint, Farouk découvre que Mohammed a déjà essayé sans succès de passer la frontière par Qalandia ... Les ennuis commencent...

    Réalisation

    Mohammed Almughanni

    Producteur/-trice

    SYNECDOCHE

    Pays France Pologne

    Année. 2022

  • Que veulent les agriculteurices dévoré·es par la FNSEA ?

    Les revendications qui font rêver
    1/ Un assouplissement sur les pesticides et donc pouvoir polluer tranquille
    2/ Abandon des plans Ecophyto et donc pouvoir polluer tranquille
    3/ Pouvoir cultiver les terres en jachère et donc pouvoir polluer tranquille
    4/ Ne pas vendre en-dessous du coût de revient (ok, mais comme les points 1 2 et 3 vous ont été accordés, on verra plus tard pour celui-là)

  • Le télescope James Webb, une nouvelle ère d’exploration - L’épopée de la fabrication - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/109775-000-A/le-telescope-james-webb-une-nouvelle-ere-d-exploration
    https://api-cdn.arte.tv/img/v2/image/BcCgwLfFDbmtaTqGDNZ27V/1920x1080?type=TEXT&watermark=true

    Ce documentaire est fabuleux.
    Est-ce mon côté « ingénieur » ou mes souvenir d’enfance fascinée par « la conquête de l’espace », mais l’aventure de ces gens qui lancent des projets sur 20 ans est extraordinaire. Loin des « ’appels à projets » de l’anti-science.

    Le télescope James Webb, une nouvelle ère d’explorationL’épopée de la fabrication

    Trente ans furent nécessaires à la conception du télescope James-Webb, l’instrument d’observation le plus puissant jamais lancé dans l’espace. Retour sur une aventure scientifique sans précédent, jalonnée d’obstacles à la mesure de sa folle ambition.

    Le 25 décembre 2021, le télescope spatial James-Webb de la Nasa décollait à bord d’un lanceur Ariane-5 depuis Kourou, en Guyane française, et devenait l’instrument d’observation le plus puissant et complexe jamais envoyé dans l’espace. Déployé à une distance record de 1,5 million de kilomètres de la Terre, il peut à présent scruter le cosmos avec une précision inégalée. Les images spectaculaires qu’il nous transmet permettront peut-être de répondre aux grandes questions qui animent l’astronomie depuis des siècles, sur la naissance de l’Univers ou les traces de vie dans d’autres galaxies. Les premières vues communiquées par ce joyau de technologie, opérationnel depuis juillet 2022, donnent déjà un vertigineux aperçu de l’infini.

    Trop lointain pour être réparé
    Des scientifiques ont consacré leur carrière entière à la conception de cet engin de plus de 6 tonnes, équipé d’un bouclier thermique de la taille d’un court de tennis, d’un grand miroir composé de 18 segments hexagonaux et d’un miroir secondaire recouverts d’une mince couche d’or. Trente années durant, la mission James-Webb a rassemblé une équipe internationale d’astronomes et d’ingénieurs qui a dû faire face aux revers techniques, aux impasses budgétaires, à un ouragan dévastateur et même à la justice américaine accusant la Nasa de mauvaise gestion. Successeur du télescope Hubble, on l’a surnommé le « télescope en origami » : les ingénieurs ont dû imaginer un fascinant système de pliage pour le faire tenir dans le nez d’une fusée Ariane-5, et guider ensuite son déploiement à une distance quatre fois supérieure à celle de la Lune – trop loin pour qu’il puisse être jamais réparé par une main humaine… Ce film retrace son histoire haletante, une odyssée scientifique qui ne fait que commencer.

    Réalisation Terri Randall
    Année 2022

    #Espace #Télescope #Aventure_scientifique #Lacrymal.

  • Occupied
    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-021466/occupied

    La #Russie occupe la #Norvège avec l’assentiment de l’UE [les E-U ont quitté l’Otan, ndc] pour s’approprier son #pétrole. Face à cette occupation “douce”, citoyens et politiques norvégiens doivent faire un choix : résister ou collaborer ? Série scandinave captivante, Occupied est un #thriller #géopolitique imaginé par le maître du polar Jo Nesbø.

    Une suggestion chronophage, avec manipulations et cliffhanger partout, toutes mes excuses. Une longue liste d’ingrédients, entre technocratie européenne et héritiers de l’okhrana et du KGB, le Kompromat comme si on y était ! avec espionnage et opérations spéciales, anti-terrorisme et campagnes en ligne, love affair et fermes à trolls, oligarques russes et coups d’état militaires, « conflits d’intérêt » (comme on dit pudiquement) et écologie sous l’angle exclusif du climat et des énergies fossiles (à la manière de Sabotage, ce film inspiré par la thèse de Malm), manifs (ridicules) et politique institutionnelle façon marigot mortel. De quoi stimuler notre passion pour des décideurs, tantôt marionnettistes, tantôt marionnettes.

    #série #énergies_fossiles #écologie #impuissance

  • Bye bye Tibériade - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/099738-000-A/bye-bye-tiberiade

    L’actrice Hiam Abbass raconte à sa fille, la réalisatrice Lina Soualem, l’histoire de son exil de Palestine. Un voyage mémoriel émouvant sur les terres de sa jeunesse, où se dessine l’esprit de résistance d’une lignée de femmes marquées par une histoire collective douloureuse.

    « J’étouffais, j’avais besoin de respirer, de me trouver », confie-t-elle. À la fin des années 1980, Hiam Abbass quitte sa famille et son village galiléen de Deir Hanna, proche du lac de Tibériade, pour accomplir son rêve d’une carrière au cinéma. Près de trente-cinq ans plus tard, sa fille Lina, née en France du mariage de l’actrice avec le comédien Zinedine Soualem, constate que sa mère n’a jamais parlé de sa vie à Deir Hanna ni des circonstances de son exil.

  • Shell ne fera plus transiter ses pétroliers par la Mer Rouge (presse)
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/shell-ne-fera-plus-transiter-ses-petroliers-par-la-mer-roug

    AFP parue le 16 janv. 2024 - 15h51

    L’entreprise pétrolière Shell ne fera plus passer ses navires via la mer Rouge, jusqu’à nouvel ordre, selon une information publiée mardi par le Wall Street Journal (WSJ) du fait des menaces que font peser les rebelles yéménites Houthis sur le transport maritime dans la région.

    Ce qui est assez drolatique, avec les conflits actuels et leurs conséquences (Ukraine, Israël), c’est qu’en gros, c’est à chaque fois l’Europe qui morfle. Mais comme c’est une affaire de principes, l’Europe en redemande.

    Par contre, les US, ça roule grave... ventes d’armes comme jamais, financées par leur planche à billet, vente de GNL comme jamais, histoire d’enfin avoir un débouché à l’export pour leur gaz de schistes. Etc.

    Et les allemands ont enfin compris que s’ils veulent pouvoir gouverner sans être ennuyés, c’est en soutenant l’Ukraine contre la Russie. Au point qu’en effet, on les trouve désormais à la pointe des va-t-en-guerres.

  • Rwanda : le silence des mots - ARTE Reportage
    https://www.arte.tv/fr/videos/105291-000-A/rwanda-le-silence-des-mots

    L’horreur, au-delà de l’imaginable. Tutsi, elles racontent, face caméra, leur quotidien durant le #génocide et dans les camps de réfugiés de Murambi et Nyarushishi. « Ils nous appelaient : ’Tutsi ! Tutsi !’ Ils te sortaient de la tente et faisaient de toi ce qu’ils voulaient. » "Ils", ce sont, selon elles, des soldats français de l’opération Turquoise, ceux-là mêmes qui, sous mandat de l’ONU, devaient les protéger, mais auraient réalisé « tous leurs fantasmes » à la nuit tombée. Toutes décrivent un même rituel : l’enlèvement dans leur tente, les viols en réunion, les photos prises par les militaires, encore et encore. « On pensait naïvement que le Blanc était un sauveur, qu’il apporterait la paix », soupire l’une de ces femmes. Alors que l’armée française réfute toute accusation de #viol, les trois femmes ont déposé plainte devant la justice française en 2004 et 2012. L’instruction est aujourd’hui au point mort.

    #Rwanda #armée_française #documentaire

  • Benoît Jacquot — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEt_Jacquot

    Benoît Jacquot est un réalisateur français, né le 5 février 1947 à Paris. Benoît Jacquot a donné une interview à Gérard Miller dans son documentaire Les ruses du désir : ‘L’interdit ‘ dans laquelle il parle de son goût pour les jeunes actrices mineures. Il décrit sa rencontre avec Judith Godrèche lorsqu’elle avait 14 ans. Il s’est installé avec elle et dit utiliser le cinéma pour séduire de jeunes mineures. Le cinéma est une couverture dit il. Il dit notamment que le monde du cinéma l’admire pour les relations qu’il entretient avec ces très jeunes actrices.

    Le premier paragraphe de la page Wikipédia date de ce matin :-))

    C’est sans doute en rapport avec ce sujet :

    Madame Mollette ⏚ : Publication Insta de Judith Godrèche hier soir.
    https://framapiaf.org/@MadameMollette@piaille.fr/111714287893997843

    Publication Insta de Judith Godrèche hier soir.
    Encore un qui ferait mieux de trembler des fesses au lieu de menacer, ils ne comprennent jamais rien

  • JOYEUX NOËL !
    ARTE Regards - Champagne, l’envers d’un terroir - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/116706-004-A/arte-regards

    Alors que les grandes maisons de champagne affichent des bénéfices record, la justice est saisie de plusieurs affaires de traite d’êtres humains lors des vendanges. En cause : des sociétés sous-traitantes qui exploitent des travailleurs étrangers et les hébergent dans des conditions indignes. Enquête.

    (J’ai le sentiment que le trafic d’êtres humains (et non humains) va s’accroitre exponentiellement).

    • C’est le socle de la logique esclavagiste, racisme et technopolice d’un régime de plus en plus autoritaire permettent l’exploitation illégale et sans vergogne d’une main-d’œuvre vulnérable.
      #luxe #exploitation

  • Picnic at Hanging Rock, un étrange objet filmique, est disponible sur arte.
    https://www.arte.tv/fr/videos/030036-000-A/pique-nique-a-hanging-rock
    Pique-nique à Hanging Rock

    Le jour de la Saint-Valentin de l’année 1900, en Australie. Lors d’un pique-nique, trois jeunes filles en fleur et leur professeure disparaissent mystérieusement près d’un troublant rocher... Un subtil cocktail d’onirisme, de fantastique et d’érotisme signé Peter Weir ("Le cercle des poètes disparus", « The Truman Show »).

    Le 14 février 1900, jour de la Saint-Valentin, en Australie. L’école de jeunes filles d’Appleyard organise un pique-nique à Hanging Rock, la montagne sacrée des aborigènes. Trois élèves, Miranda, Irma et Marion, et leur professeure miss McCraw partent explorer les passages étroits et intrigants entre les monolithes. En chemin, elles croisent deux jeunes garçons, Albert et Michael – ce dernier n’étant pas insensible aux charmes de Miranda. Au retour à l’école, les quatre jeunes filles manquent à l’appel. On part à leur recherche et Albert retrouve Irma, vivante mais totalement amnésique…

    jeunes filles en fleur, ça existe encore ça comme expression ? On a connu arte mieux inspiré ... Mais le film reste une curiosité.

  • La bataille de Jérusalem
    (documentaire, 52 min., 2023)

    https://www.arte.tv/fr/videos/117504-000-A/la-bataille-de-jerusalem

    Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, Jérusalem se retrouve plus que jamais au coeur des enjeux du conflit israélo-palestinien. Retour sur le passé et le présent de la ville aux trois croyances, plus que jamais divisée.

    Le 7 octobre dernier, le Hamas attaquait Israël, donnant à son opération le nom de code de “Déluge d’Al-Aqsa”, en référence à la célèbre mosquée de Jérusalem. Cristallisant les antagonismes entre les deux peuples depuis près d’un siècle, la Ville sainte se retrouvait une fois de plus au cœur du conflit israélo-palestinien. Comme si tous les ingrédients du conflit se concentraient dans les limites, somme toutes étroites, de cette ville d’un million d’habitants, placée vainement sous un statut international lors du plan de partage de la Palestine en 1947. En 1967, lors de la guerre des Six Jours, l’armée israélienne s’emparait de Jérusalem-Est, qui se trouvait alors sous le contrôle des forces jordaniennes. Depuis, les Israéliens avancent à marche forcée, avec l’objectif affiché de renforcer la souveraineté juive sur la ville tout entière et de rendre irréversible cette annexion. Les plus nationalistes militent même pour la reconstruction du temple de Jérusalem, sur le mont du Temple, où se trouve l’actuelle esplanade des Mosquées.

    Espoir toujours vivace
    Les spécialistes du plus vieux conflit du monde s’accordent sur un point : rien ne se réglera sans une solution pour Jérusalem (Al-Qods en arabe, “le saint”). Saisir précisément les enjeux antagonistes, politiques et religieux, qui sont à l’œuvre dans la ville aux trois croyances s’avère donc essentiel. Ce documentaire, tourné après le 7 octobre, replace dans leur contexte les récents événements et remonte le fil de l’extraordinaire histoire de cette région pour éclairer le présent. Il interroge acteurs et témoins de ce conflit : islamistes, nationalistes juifs, imams, rabbins, intellectuels, urbanistes, militaires… Ce documentaire, réalisé par le correspondant d’ARTE en Israël, Stéphane Amar, dévoile aussi une ville où les communautés se croisent sans toujours se haïr, où la modernité côtoie l’Antiquité et où l’espoir d’une résolution pacifiste n’a pas complètement disparu.

    Réalisation : Stéphane Amar

    Production : Découpages

    Producteur/-trice : Myrto Grecos

    Pays : France

    • Liban : au cœur du Hezbollah
      (documentaire, 52 min., 2022)

      https://www.arte.tv/fr/videos/094126-000-A/liban-au-coeur-du-hezbollah

      Au moment où le Liban traverse une crise existentielle des plus aigües, retour sur l’histoire du Hezbollah, parti controversé soutenu par l’Iran. Un récit de l’intérieur qui bénéficie de témoignages inédits des combattants chiites eux-mêmes.

      En juin 1982, sous l’impulsion de son ministre de la Défense Ariel Sharon, Israël envahit le sud du Liban dans le but de liquider Yasser Arafat, réfugié à Beyrouth, et l’OLP. Pour lutter contre l’offensive de Tsahal, un petit groupe de guérilla se constitue dans la clandestinité en fusionnant différentes formations chiites. Formé et soutenu par la République islamique d’Iran de l’ayatollah Khomeiny, il se déclare officiellement en 1985 sous le nom de Hezbollah : le « parti de Dieu ». Quarante ans plus tard, le petit groupe est devenu l’une des principales forces, armée et politique, du Moyen-Orient. Mouvement de résistance légitime et populaire pour les uns, groupe terroriste pour les autres, le Hezbollah, autant admiré que redouté, traverse pourtant une épreuve déterminante. Alors que le Liban est plongé dans une crise politique et économique majeure, une partie de sa population accuse ses dirigeants de corruption et de faillite. Le Hezbollah n’échappe pas aux critiques. Ouvertement remis en cause, le parti se retrouve à l’heure des choix : demeurer le pion stratégique de l’Iran dans la région ou s’affranchir de cette tutelle pour se mettre entièrement au service des intérêts du Liban et de sa population.

      Culte du secret
      Cultivant le culte du secret sur son organisation, le « parti de Dieu » s’est toujours montré rétif à tout regard extérieur, a fortiori journalistique. François-Xavier Trégan (Yémen, le chaos et le silence, Ashbal - Les lionceaux du califat) parvient pourtant à recueillir la parole de ses combattants et partisans d’hier et d’aujourd’hui. Les membres du parti n’esquivent aucune question, quitte à remettre en cause les choix du passé, conférant ainsi un caractère exceptionnel à leur témoignage. À Beyrouth, dans la vallée de la Bekaa et dans le sud du Liban, les voix du Hezbollah évoquent ses décennies d’évolution et son avenir incertain, suspendu en permanence entre effondrement et reconstruction.

      Réalisation : François-Xavier Trégan

      Pays : France

  • The Stranglers - Ground Control - Regarder le programme complet | ARTE Concert
    https://www.arte.tv/fr/videos/114220-000-A/the-stranglers

    https://api-cdn.arte.tv/img/v2/image/q2uTKwpdEs9Q7HkZXpfDwf/1920x1080?type=TEXT&watermark=true

    [...]

    2021

    0:51 Water
    5:14 I’ve Been Wild
    8:59 This Song
    12:11 Norfolk Coast
    16:01 Always The Sun
    20:52 Don’t Bring Harry
    25:39 White Stallion
    30:30 Relentless
    35:34 Hanging Around
    39:55 No More Heroes
    43:37 The Last Men on the Moon
    50:21 Walk on by
    56:16 Go Buddy Go
    1:00:08 Tank

  • The Last Town - une ville contre la Silicon Valley (1/3) - Une ville assiégée - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/105698-001-A/the-last-town-une-ville-contre-la-silicon-valley-1-3

    Antonio, Laura, Ofelia, JT… Les habitants d’East Palo Alto sont les héritiers d’une longue tradition militante. Ils font front commun face aux géants du numérique et aux promoteurs immobiliers qui entendent redévelopper toute une partie de la ville et menacent d’expulsion les habitants les plus modestes. Peuvent-ils résister et faire entendre leur voix ?

  • Le naufrage du Vasa, peut-être le plus lamentable de tous les temps | Slate.fr
    https://www.slate.fr/culture/histoires-sans-fin/vasa-naufrage-suede-bateau-titanic-stockholm-gustave-adolphe

    Le voyage inaugural s’annonce plutôt court, d’ailleurs : le vaisseau doit rejoindre la base navale d’Älvsnabben, à 40 kilomètres à peine à vol d’oiseau. Il ne l’atteindra jamais. À peine sorti du port, le Vasa encaisse très mal son premier coup de vent, ce qui est tout de même embêtant pour un voilier. Le bâtiment se couche sur son flanc gauche, et la moitié de la Baltique s’engouffre à gros bouillons salés par les sabords laissés ouverts.

    Évidemment, l’équipage s’active de son mieux pour redresser le navire. On referme les sabords en urgence, on écope, et pendant quelques instants, le Vasa semble retrouver un niveau de gîte normal ; mais une seconde rafale se révèle fatale. À nouveau dépassé par la force du vent, le navire déjà passablement alourdi se couche sur le côté, avant de s’enfoncer dans la panique et dans les hurlements des 150 marins, dont beaucoup sont piégés dans les entreponts.

    Sous le regard stupéfait de la foule, la terreur des mers, le fleuron de la flotte s’enfonce sous la surface à 120 mètres à peine du rivage. Son voyage inaugural aura duré très exactement 18 minutes. Pour un beau baptême, c’est un beau baptême –un poil trop d’eau, peut-être.

  • Le dessous des images. Derniers instants avant le naufrage

    Au large de la Grèce, une équipe de garde-côtes survole et capture cette scène depuis un hélicoptère. Des centaines de migrants appellent au secours depuis un chalutier. La plupart ne survivront pas au naufrage. Mais à quoi a servi cette image ? Présenté par Sonia Devillers, le magazine qui analyse les images de notre époque.

    Ce cliché du 13 juin 2023 est repris dans toute la presse internationale. Les autorités grecques ont photographié ce bateau de pêche qu’ils savent bondé et fragile, et dont les passagers sont affamés et déshydratés. Pourtant, ils ne seront pas capables de les secourir. La responsabilité des garde-côtes sera mise en cause par médias et ONG. Arthur Carpentier, journaliste au Monde et coauteur d’une enquête sur ce naufrage, nous explique en quoi les images ont permis de reconstituer le drame. Le chercheur suisse Charles Heller nous aide à comprendre l’impact médiatique, politique et symbolique des images de migrants et de naufrages en Méditerranée.

    https://www.arte.tv/fr/videos/110342-133-A/le-dessous-des-images

    Citation de #Charles_Heller :

    « Ces #images cristallisent toutes les #inégalités et les #conflits du monde dans lequel on vit. Elles nous disent aussi la #normalisation de la #violence des #frontières, sur la large acceptation de dizaines de milliers de #morts aux frontières européennes, et en #Méditerranée en particulier »

    #naufrage #migrations #réfugiés #mer #Méditerranée #mer_Méditerranée #Grèce #reconstruction #Pylos #géolocalisation #architecture_forensique #images #mourir_en_mer #morts_en_mer #garde-côtes #Frontex #reconstitution #SAR #mer_Egée #border_forensics #domination #imaginaire #invasion #3_octobre_2013 #émoi #émotions #normalisation_de_la_violence

    ping @reka

    • Frontex report into Greek shipwreck suggests more deaths could have been prevented

      A Frontex report suggesting that many of the deaths caused by the shipwreck off the Greek coast near Pylos last June could have been prevented was released by the Aegean Boat Report NGO on their X feed yesterday evening (January 31).

      Investigations into what happened to the Adriana, an overcrowded fishing vessel carrying some 750 people from Libya to Italy that sank off the coast of Greece on June 13, are ongoing.

      However, a report produced by the European Border Agency Frontex — marked “sensitive” and dated December 1, 2023 — was posted to X (formerly known as Twitter) late on January 31.

      The report was posted by Aegean Boat Report, an organization working with migrants in the eastern Mediterranean.

      In their post on X, they thank freelance Brussels-based journalist Eleonora Vasques for “making it available to the public.” Frontex told InfoMigrants in an email that they had released the report via their “Transparency Office.” They added that the “release wass part of a Public Access to Documents request, an important process that allows us to share information with the public.”

      Vasques writes regularly for the European news portal Euractiv. One of her latest reports looks into what happened in the Cutro shipwreck off Italy almost a year ago. The story was also sourced back to an internal Frontex report, which concluded that more lives could have potentially been saved if the response from Frontex and the Italian coast guard had been different.

      https://twitter.com/ABoatReport/status/1752800986664448090

      Long and detailed report

      The 17-page Pylos report from Frontex is redacted in parts and goes into great detail about what happened and which authorities and merchant ships were involved. It also compares timelines from various authorities, NGOs and media organizations.

      In the email to InfoMigrants, Frontex continued that they “strive to make such documents available in our Public Register of Documents as promptly as possible.” The Press Spokesperson Krzysztof Borowski wrote that the “Pylos tragedy is a stark reminder of the challenges and dangers faced at sea. We at Frontex share the profound concern and sadness of the public regarding this heartbreaking event.” He finished by saying: “Our thoughts are with all those affected by this tragedy, and we remain dedicated to our mission of safeguarding lives while ensuring border security.”
      Committment to ’assess cases more thoroughly

      Although the report finds that Frontex “followed applicable procedures”, it admitted that “going forward and based on a reviewed assessment methodology ... the team … should assess similar cases more thoroughly against the need to issue a Mayday alert.”

      A Mayday alert is a radio distress signal used at sea.

      The report appears to suggest that more could have been done on the day to prevent such a huge loss of life.

      According to the Frontex report posted on X, “in the hours following the sighting of Adriana, Frontex made three attempts to follow up on the case, by suggesting additional Frontex Surveillance Aircraft (FSA) sorties.”

      Frontex writes that “no reply was received by the Greek authorities to Frontex’ repeated offers until Adriana’s shipwreck.”

      Frontex made an initial statement on June 16 expressing “shock and sadness” at the events off Pylos.
      ’Greek authorities failed to timely declare a search and rescue situation’

      Although the investigating office at Frontex underlines that it is “not in a position to conclude what caused Adriana’s capsizing and shipwreck … it appears that the Greek authorities failed to timely declare a search and rescue and to deploy a sufficient number of appropriate assets in time to rescue the migrants.”

      The report stated that Frontex “regrets the lack of information provided by the Greek authorities to its enquiry but still expects to receive updates from the national investigations in progress.”

      According to Frontex’ timeline of the incident, the agency first learned about the existence of the fishing vessel carrying migrants on June 13 at around 10:12 UTC, or around 13:12 in Greek summer time. They spotted the vessel from their aerial surveillance plane Eagle 1. About four hours later, another update was sent to the fundamental rights monitor, but according to the report, nothing “out of the ordinary” was flagged regarding the vessel at this point.

      The next paragraph jumped to June 14 at 06.19 UTC, when the fundamental rights monitor received “another update … notifying that Adriana sank overnight and a SAR [Search and Rescue] was in progress.”
      ’Serious Incident Report’ launched by Frontex on June 26

      In the following days, the Office for Fundamental Rights at Frontex monitored the aftermath of the incident, states the report.

      They studied “Frontex’ own sightings of Adriana” along with “statements by Greek officials, and initial information reported in the media.”

      Frontex launched a “Serious Incident Report (SIR) on June 26, “to clarify the role of Frontex in the incident as well as the legality and fundamental rights compliance of the assistance to the boat in distress, and the coordination and conduct of rescue operation by national authorities.”

      According to a summary of that work, the first mention of the Adriana came from the Italian control authorities in Rome at 08:01 UTC on June 13.

      At that point, Rome’s search and rescue authorities contacted Greece’s authorities and Frontex about “a fishing vessel with approximately 750 migrants on board, known to be sailing within the Greek Search and Rescue Region at 06:51 UTC.” At that point, Rome had already alerted the authorities to “reports of two dead children on board.”

      After receiving this report, Frontex wrote that it directed its plane Eagle 1, which was already in the air, to fly over the fishing vessel “even though the vessel lay outside the normal patrolling route.”

      The report said the Eagle 1 spotted the “heavily overcrowded” vessel at 09:47 UTC and informed the Greek authorities. Ten minutes later, the plane left the area due to low fuel and returned to base.
      Italian authorities report Adriana ’adrift’ long before Greek authorities do

      By 13:18, Rome’s search and rescue authorities provided an update of the situation to Greek authorities and Frontex. At that point, they said the boat was “reported adrift” and had “seven people dead on board.”

      At 14:54, Frontex reportedly received an email from the NGO Watch The Med – Alarm Phone alerting Frontex, JRCC Piraeus, the Greek Ombudsman’s Office, UNHCR and others to the new location of the fishing boat. In that email, Alarm Phone stated there were “several very sick individuals, including babies” among the approximately 750 people on board and that the boat was “not able to sail.”

      About 30 minutes later, this email was forwarded by Frontex to the Greek National Coordination Center and JRCC Piraeus, and it was sent on to the Fundamental Rights Office.

      About an hour later, Frontex contacted the Greek authorities to request an update on the situation. Frontex also offered to deploy a surveillance aircraft to check on the ship’s current position, but reports it received no reply.

      Just under two and a half hours later, the Greek authorities did request that Frontex support them “in the detection of a migrant boat within the maritime area south of Crete, as part of another SAR operation.” This turned out to be a sailing boat with about 50 people on board.
      ’No reply was received’

      Later that evening, Frontex contacted the Greek authorities twice more and said no reply was received.

      At 23:20 UTC, Frontex redirected the plane that had been helping with the fishing boat off Crete to the last known position of the fishing vessel.

      The timeline moves to June 14. At 02:46 UTC, Frontex informs the Greek authorities that its plane was headed towards the last position of the fishing vessel. It says it received no reply from the Hellenic authorities.

      Over an hour passed before the plane, this time the Heron 2, reached the “operational area” where it spotted “nine maritime assets (eight merchant vessels and one Hellenic Coast Guard patrol vessel) and two helicopters involved in a large-scale SAR operation.” At that point, states Frontex in the report “no signs of the fishing vessel were spotted.”

      At 05:31, Frontex told the Greek authorities that its plane Heron 1 was about to leave the operation, but offered Eagle 1, which was already airborne, to help with the SAR operation. The Greek authorities replied over two hours later that “no further aerial surveillance support was needed for the time being.”
      No mention of dead bodies on board in Greek timeline

      The Frontex report then includes a similar timeline from the Greek authorities. In the Greek version, there is no initial mention of dead bodies on board. They say they established contact with those on board and “no request for assistance was addressed to the Greek authorities.”

      Although the Italians reported that the vessel was already adrift around 13:18 UTC, according to the Frontex report, in the Greek version, the vessel is “still sailing with a steady course and speed” at 15:00 UTC.

      Around that same time, a Maltese flagged commercial vessel approaches the fishing boat to supply them with food and water, as requested by the Greek authorities. According to the Greek report, the people on board were repeatedly asked if they were facing “any kind of danger” or were “in need of additional support.” Their answer, according to Greece, was “they just wanted to continue sailing towards Italy.”

      30 minutes later, again according to JRCC Piraeus, via satellite phone contact, those on board said they wanted to keep sailing.

      At 18:00, the boat was approached again. According to the report, the migrants “accepted water” from the Greek-flagged commercial vessel that approached them, but “threw the rest of the supplies into the sea.” This approach and refusal of assistance carried on into the evening.
      Adriana ’still holding a steady course and speed’

      At 19:40 UTC, according to the Greek report, a Greek coast guard vessel approached the fishing vessel and “remained at a close distance in order to observe it.” It was still holding a “steady course and speed, without any indications of sailing problems.”

      It was only at 22:40 UTC, according to the Greek report, that the fishing vessel “stopped moving and informed the Greek authorities that they had an engine failure.”

      A Greek coast guard vessel then immediately approached the vessel to assess the situation. Less than an hour later — at 23:04 UTC, but 02:04 local time on June 14 — the Greek report notes that the fishing vessel “took an inclination to the right side, then a sudden inclination to the left side and again a great inclination to the right side, and eventually capsized.”

      They said "people on the external deck fell in the sea and the vessel sunk within 10-15 minutes.” At that point, the Hellenic coast guard “initiated a SAR operation.”

      The Frontex report then notes “alleged discrepancies” between the various timelines and survivor statements given to the media.

      They say that many of the survivors reported that the Greek coast guard “tied ropes onto the fishing vessel in an effort to tow it,” which allegedly caused it to destabilize and capsize.

      In the past, the Greek coast guard have tied and towed vessels successfully towards safety.

      However, while the Greek coast guard acknowledged that one rope was attached around three hours before the boat sank to ascertain passengers’ conditions, there was “no attempt to tow it.”

      The rope, say the Greeks, was removed by the migrants on board just a few minutes later and the coast guard vessel moved a distance away to continue observation.
      Was Adriana stationary prior to capsizing or not?

      The BBC and several other media outlets also reported at the time that prior to capsizing and sinking, the fishing vessel had not moved for several hours.

      This is consistent with the Frontex timeline, which mentions the Italian authorities’ warnings that the boat was adrift the day before it eventually capsized.

      Later in the report, Frontex notes that many of the “alternative and complementary timelines” put together by international NGOs and journalists are “credible” as they quote “more than one source for each statement.”

      The Frontex report looks into the question of whether or not the Adriana was drifting for several hours before sinking.

      It concludes that the Faithful Warrior, one of the merchant tankers sent to assist, was tracked between 17:00 and 20:00 and was “likely stationary or moving at extremely slow speed (less than 1 knot),” indicating that the Adriana was probably not sailing normally until shortly before it capsized as the Greek report claimed.

      The report also consulted “maritime experts to gain insight into issues pertaining to stability when a trawler of Adriana’s type is overloaded with human cargo.” Although their consultations were not precise due to a lack technical data, the experts indicated that the amount of people on board could have destabilized the boat or affected its stability.
      Testimony from survivors

      A Frontex team took testimonies from survivors after the shipwreck. They said they were told there were between 125 and 150 Syrians on board, including five women and six children.

      Around 400-425 Pakistanis were on board, the report said, most of whom were placed on the lower decks. The access ladders had been removed, making it impossible for them to exit.

      There were also between 150 and 170 Egyptians and about 10 Palestinians on board. The alleged smugglers were all said to be Egyptians and enforced discipline with pocket knives.

      Numerous fights broke out on board, particularly after food ran out a few days into sailing. At some point, the captain allegedly suffered a heart attack and the boat was “drifting without engine for extended periods of time.” On day four, June 12, six people were reported to have died, and others had resorted to drinking urine or sea water.

      On day five, June 13, some migrants said they received supplies from two vessels and “at night … were approached by a small boat that they were asked to follow.”

      They said they could not do this because of their engine malfunction. Several of the migrants also allege that attempts were made to tow the vessel — presumably by the Hellenic coast guard, they said.

      Survivors also said that at one point, a boat tied a rope to the front of the Adriana and started “making turns”. This, they said, “caused the migrants to run to one side, their vessel started rocking, and eventually capsized within 15 minutes.”

      Only people on the upper decks were able to jump into the water.
      Greek authorities leave ’detailed questions answered’

      In July, Frontex said it approached the Greek authorities with a “detailed set of questions” but most of its questions were left unanswered.

      In conclusion, the Frontex Fundamental Rights Office concluded that although Frontex “upheld” all its “applicable procedures,” in the light of the information that had already been transmitted and similar situations in which Mayday alerts had been issued, the assessment could have been different and the process for issuing Mayday alerts in the future “needs to be reviewed.”

      The report admits that “at the time of the initial sighting [of the Adriana] by Eagle 1, there was reasonable certainty that persons aboard … were threatened by grave and imminent danger and required immediate assistance.”

      They also say the “resources mobilized by the [Greek] authorities during the day … were not sufficient for the objective of rescuing the migrants.”

      Frontex adds that the Greek authorities appear to have “delayed the declaration of SAR operation until the moment of the shipwreck when it was no longer possible to rescue all the people on board.”

      https://www.infomigrants.net/en/post/54928/frontex-report-into-greek-shipwreck-suggests-more-deaths-could-have-be

  • #Mafias et #banques

    Retour sur l’histoire d’une saga méconnue : l’alliance que vont tisser groupes criminels organisés et #institutions_financières, des années 1920 à nos jours à l’échelle de la planète. Cette série documentaire en trois épisodes, sous forme d’enquête, plonge dans les eaux troubles de la mafia. De #Michele_Sindona, le banquier du Vatican, au cartel de #Pablo_Escobar en passant par la City et les Bahamas.

    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-024485/mafias-et-banques
    #mafia #crimalité_organisée #finance
    #documentaire #film_documentaire