Dans le lien de @booz, attention spoiler :
Vous pensez que j’exagère sur le bullshit philosophico-prout-prout de ce film et de sa phrase finale ? Alors dites-vous que je ne vous ai pas parlé, alors que Lucy est sur sa chaise à s’approcher des 100% de capacité cérébrale, des scènes où Lucy voyage dans le temps (si), l’espace (aussi), touche le doigt de Lucy l’Australopithèque façon chapelle Sixtine, comme ça, pour déconner, et voit que l’univers n’est en fait qu’un gros ovule qui s’est fait engrosser par de la semence intersidérale (si, là aussi). Parce que oui, le cosmos aussi a sa sexualité. Il est comme ça. Des fois, il va en boîte, rencontre un inconnu et paf, big-bang à l’arrière de la Twingo.
Et vous voulez le plus beau ?
Ambitieux, « Lucy » atteint ses objectifs comme spectacle de divertissement, spectaculaire et intelligent.
Culturebox – France Télévisions
« Intelligent« , donc.
Bravo, les gars.
Je crois que ce sera le mot de la fin. Inutile d’en rajouter.
Je sais pas trop pourquoi mais j’ai bien aimé (contrairement à @lucile). L’« intelligence explosion » de la singularité n’est pas devant nous, elle est en nous (#cerveau). Comme l’âge d’or de l’humanité chez Lévi-Strauss en fait (cf. Race et culture).