• Les antigones : la façade non-mixte soumise du renouveau français.

    Des « femmes revendiquées » anti-féministes pour mieux faire passer un message de soumission, sous couvert d’attaque contre les femens, le tout sous l’acoutrement de « antigone », alors que dans une précédente vidéo des « femmes » de renouveau français, on y voit les mêmes visages reconnaissables et un discours a peine modifié.
    h*tp ://antigones.fr/ - ht*p ://w*w.youtube.com/watch ?v=fcmOAKnlICc
    Par exemple, la « femme » qui parle en 1er dans la vidéo du renouveau français, à un bas de visage est très reconnaissable il correspond a la personne juste derrière celle qui prend la parole dans la vidéo des « antigones »...

    C’est juste une pratique classique de la comm d’ext. droite.

  • Tout le monde n’a pas la chance d’avoir une compagne féministe - Le Monolecte
    http://blog.monolecte.fr/post/2012/05/20/Tout-le-monde-n-a-pas-la-chance-d-avoir-une-compagne-feministe

    J’ai un vagin et des seins et je suis donc biologiquement sous-douée quant aux choses nobles comme le sens politique, le goût des sciences, la stratégie, la bosse des maths et je manque cruellement d’affinité avec les machines, la technologie et les cartes routières. J’ai un vagin et des seins et je suis naturellement portée aux discussions futiles, aux ragots, à la propreté, au soin des autres, à la séduction, à l’intendance familiale et à la tambouille et je trouverai ma voie dans l’aquarelle, le crochet, le scrapbooking, les concours de tartes Tatin et les romans sentimentaux et rien, je dis bien rien, ne m’est plus orgasmique qu’une belle pile de linge bien frais et bien repassé.

    #féminisme, #équité, #genre

  • Tout le monde n’a pas la chance d’avoir une compagne féministe - Le Monolecte
    http://blog.monolecte.fr/post/2012/05/20/Tout-le-monde-n-a-pas-la-chance-d-avoir-une-compagne-feministe

    Le matou du foyer apprécie monstrueusement l’idée que la relation se construit autour de ses besoins supérieurs et de leur satisfaction sans jamais s’apercevoir dans quel immonde traquenard il se piège lui-même : celui de l’interdépendance. Il est bon de pouvoir se décharger sur un tiers de l’ennui insondable de la gestion de ses besoins primaires, que ce soit de ses pulsions sexuelles, de son appétit, de l’entretien de la tanière commune, de l’approvisionnement, du soin aux petits et aux vieux, mais il advient rapidement que l’on se rend ainsi incapable d’y pourvoir soi-même et que l’on devient dépendant de l’autre, exactement comme dans le modèle économique du maître qui ne peut que s’effondrer en l’absence du labeur gratuit de l’esclave. La répartition sexuée des tâches et des rôles offre le confort relatif de n’avoir rien à négocier, rien à penser dans la relation, puisque tout s’y construit naturellement sous le régime de l’évidence et du prérequis, mais son revers, c’est que tout le monde y perd son autonomie et son indépendance et voit sa capacité de survie grandement amputée en cas de désertion d’un ou l’autre des membres de ce marché de dupes.

    #femmes #féminisme