• #Internet usage and the prospective risk of dementia: A population‐based cohort study - Cho - Journal of the American Geriatrics Society - Wiley Online Library
    https://agsjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jgs.18394

    Abstract

    Background
    Little is known about the long-term cognitive impact of internet usage among older adults. This research characterized the association between various measures of internet usage and dementia.

    Methods
    We followed dementia-free adults aged 50–64.9 for a maximum of 17.1 (median = 7.9) years using the Health and Retirement Study. The association between time-to-dementia and baseline internet usage was examined using cause-specific Cox models, adjusting for delayed entry and covariates. We also examined the interaction between internet usage and education, race-ethnicity, sex, and generation. Furthermore, we examined whether the risk of dementia varies by the cumulative period of regular internet usage to see if starting or continuing usage in old age modulates subsequent risk. Finally, we examined the association between the risk of dementia and daily hours of usage. Analyses were conducted from September 2021 to November 2022.

    Results
    In 18,154 adults, regular internet usage was associated with approximately half the risk of dementia compared to non-regular usage, CHR (cause-specific hazard ratio) = 0.57, 95% CI = 0.46–0.71. The association was maintained after adjustments for self-selection into baseline usage (CHR = 0.54, 95% CI = 0.41–0.72) and signs of cognitive decline at the baseline (CHR = 0.62, 95% CI = 0.46–0.85). The difference in risk between regular and non-regular users did not vary by educational attainment, race-ethnicity, sex, and generation. In addition, additional periods of regular usage were associated with significantly reduced dementia risk, CHR = 0.80, 95% CI = 0.68–0.95. However, estimates for daily hours of usage suggested a U-shaped relationship with dementia incidence. The lowest risk was observed among adults with 0.1–2 h of usage, though estimates were non-significant due to small sample sizes.

    Conclusions
    Regular internet users experienced approximately half the risk of dementia than non-regular users. Being a regular internet user for longer periods in late adulthood was associated with delayed cognitive impairment, although further evidence is needed on potential adverse effects of excessive usage.

    #démence

  • The Emerging Evidence of the Parkinson Pandemic - PubMed
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30584159

    La #maladie_de_Parkinson est la maladie neurologique dont le nombre augmente le plus rapidement dans le monde

    …the fastest growing neurological disorder in the world is Parkinson disease

    Parkinson : un produit chimique utilisé pour le nettoyage à sec augmenterait le risque
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/42655-Parkinson-produit-chimique-utilise-nettoyage-sec-augmenterait-

    Dans une récente étude, des scientifiques de l’université de Rochester (États-Unis) émettent l’hypothèse que le trichloréthylène pourrait être une cause invisible de la maladie de Parkinson. « Le lien entre ce produit chimique incolore et la pathologie neurodégénérative a été établi pour la première fois en 1969 », ont-ils écrit dans les travaux parus dans la revue Journal of Parkinson’s Disease.

    Selon l’équipe, une petite recherche épidémiologique a révélé que l’exposition au trichloréthylène dans le cadre du travail ou des loisirs était associée à un risque accru de 500 % de souffrir de cette affection dégénérative du système nerveux. « Dans de nombreuses cohortes menées sur des animaux, le produit chimique reproduit les caractéristiques pathologiques de la maladie de Parkinson », a-t-elle ajouté.

    Dans l’étude, les chercheurs ont dressé le profil de sept personnes, allant d’un ancien joueur de basket-ball de la NBA, Brian Grant, à un capitaine de la marine, en passant par un ancien sénateur américain, qui ont développé la maladie de Parkinson après avoir probablement travaillé en contact avec le produit chimique ou après y avoir été exposées dans l’environnement. Le sportif « a été diagnostiqué à l’âge de 36 ans. Il a probablement été exposé au trichloréthylène lorsqu’il avait trois ans et que son père travaillait à la base des Marines de Camp Lejeune. » Pour les adultes cités, des décennies se sont souvent écoulées entre l’exposition au solvant et l’apparition des symptômes de la maladie de Parkinson.

    Le produit chimique pollue l’air extérieur et intérieur
    L’exposition ne se limite pas aux personnes qui travaillent avec le produit chimique. D’après les scientifiques, le trichloréthylène pollue l’air extérieur, souille les eaux souterraines et contamine l’air intérieur. Ils expliquent que la molécule, comme le radon, s’évapore du sol et des eaux souterraines et pénètre dans les habitations, les lieux de travail ou les écoles, souvent sans être détectée.

    Dans un communiqué, les auteurs proposent une série d’actions pour faire face à la menace que représente le trichloréthylène pour la santé publique. Ils notent que les lieux contaminés peuvent être assainis et que l’exposition à l’air intérieur peut être atténuée par des systèmes d’assainissement des vapeurs similaires à ceux utilisés pour le radon. L’équipe recommande également de poursuivre les études pour mieux comprendre comment le solvant contribue à la survenue de la maladie de Parkinson et d’autres pathologies.

    Source :
    #Trichloroethylene : An Invisible Cause of Parkinson’s Disease ? - IOS Press
    https://content.iospress.com/articles/journal-of-parkinsons-disease/jpd225047

    Several environmental toxicants, especially certain #pesticides [5], have also been linked to PD, and head trauma is also associated with an increased risk [6]. However, these are insufficient to explain the widespread prevalence of PD.

    […]

    A closely related chemical called #perchloroethylene (PCE), which has one additional chlorine atom in place of the hydrogen atom, largely supplanted TCE in dry cleaning in the 1950s. In anaerobic conditions, PCE often transforms into TCE, and their toxicity may be similar

  • Les origines du Covid long sont-elles enfin connues ? - Edition du soir Ouest-France - 06/07/2022
    https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2022-07-06/les-origines-du-covid-long-sont-elles-enfin-connues-97f5dc15-7711-4659-


    L’unité de Covid long, au CHU Pontchaillou de Rennes en Ille-et-Vilaine.
    Photo : Thomas Brégardis / Ouest-France)

    La cause des séquelles à long terme du Covid-19, plus communément appelé Covid long, aurait été récemment découverte par des chercheurs aux États-Unis. Cette forme de maladie trouverait son origine dans des réservoirs de virus présents dans le corps des patients. Explications avec Yannick Simonin, virologiste à l’université de Montpellier.

    Les symptômes sont multiples : régurgitations, nausées, perte de goût ou d’odorat, intolérance à certains aliments… Le Covid long est un mal qui touche environ 10 % de la population ayant été infectée par le virus du Sars-CoV-2. Ses origines sont encore mal comprises, peu expliquées… Mais cela pourrait changer. Des chercheurs de la Harvard Medical School ont récemment annoncé avoir détecté des protéines de SARS-CoV-2, dans le sang des 65 % de patients atteints du Covid long qu’ils ont pu tester, jusqu’à 12 mois après leur premier diagnostic.

    Les scientifiques affirment que la protéine Spike, protéine permettant au Sars-Cov-2 de pénétrer les cellules, a une espérance de vie dans le corps « très courte », rapporte le quotidien britannique The Guardian. Cette dernière n’a pas été observée dans le sang des patients asymptomatiques : en conséquence, sa présence dans le corps de la plupart des personnes testées atteintes du Covid long « indique qu’il doit y avoir une sorte de réservoir viral actif ​ » avancent les scientifiques.

    Des réservoirs persistants de Covid-19
    En clair cette étude, bien que préliminaire, soutient l’idée que des réservoirs persistants de Covid-19 dans le corps des personnes atteintes du Covid long pourraient expliquer le développement et la persistance de symptômes de la maladie sur le long terme.

    The Guardian explique que des recherches antérieures avaient été réalisées sur des enfants atteints du syndrome inflammatoire multisystémique. Une maladie rare et grave survenant souvent quatre semaines après l’infection par le virus du Covid-19. Ces patients, traités avec un médicament réduisant la perméabilité intestinale, ont vu leurs symptômes disparaître progressivement. En outre, la protéine Spike a été rapidement éliminée. 

    Une autre étude précédemment publiée par des chercheurs de l’université de Stanford en Californie en avril 2022 va dans ce sens. Les chercheurs avaient pu constater que 13 % des patients de leur étude présentaient encore de l’ARN viral du SARS-CoV-2 dans leurs selles, quatre mois après avoir attrapé le virus et affirmaient avoir signalé la persistance de symptômes gastro-intestinaux (nausées, vomissements, douleurs abdominales).

    Persistent circulating SARS-CoV-2 spike is associated with post-acute COVID-19 sequelae (Harvard Medical School, 16/06/2022)
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.06.14.22276401v1.full.pdf

    Gastrointestinal symptoms and fecal shedding of SARS-CoV-2 RNA suggest prolonged gastrointestinal infection (Stanford University, 12/04/2022)
    https://www.cell.com/med/fulltext/S2666-6340(22)00167-2

    https://els-jbs-prod-cdn.jbs.elsevierhealth.com/cms/attachment/9f021da5-83ce-48eb-916d-e395b30fa32a/fx1_lrg.jpg

    • car le vaccin permettrait à l’organisme de traquer des reliquats de sarscov2 tapis un peu partout dans l’organisme

      ou des protéine spike ?

      Spike Proteins In Immune Cells - Dr. Bruce Patterson Discusses COVID Long Haul
      https://www.youtube.com/watch?v=JwjJs5ZHKJI

      Le site de Bruce Patterson
      https://covidlonghaulers.com

      un pré print du gars, pour qui a le courage et l’anglais facile

      Immune-Based Prediction of COVID-19 Severity and Chronicity Decoded Using Machine Learning
      https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2021.700782/full

      (c’était signalé par @sombre hier)

      Edit because je pigeais pas, si c’était des reliquats de virus ou les cellules spire qui étaient supputées dans les covid longs.
      Robert Malone, présenté comme l’inventeur des vaccins à ARN messager, s’oppose-t-il à la vaccination des plus jeunes ?
      https://www.liberation.fr/checknews/robert-malone-presente-comme-linventeur-des-vaccins-a-arn-messager-soppos

      (...) le rôle joué par la protéine spike dans l’infection par le Sars-CoV-2. Si cette étude explique bien que cette protéine du virus peut endommager certaines cellules vasculaires, les auteurs écrivent surtout ceci : « [Nos] conclusions suggèrent que les anticorps générés par la vaccination protègent non seulement l’hôte de l’infection contre le Sars-CoV-2, mais inhibent aussi les dommages causés par la protéine spike. » Et pour cause : les anticorps induits par la vaccination ciblent précisément cette protéine. La vaccination amène bien la production de protéines spike par des cellules, mais il s’agit d’une production extrêmement limitée, effectuée sur le court terme par un petit nombre de cellules voisines du point de vaccination. La quantité produite et ses effets potentiels sont donc sans commune mesure avec la multiplication anarchique dans l’organisme de virus porteurs de spike, en cas d’infection virale.

  • #selon_une_étude_récente (octobre 2018) Sept heures par jour, le temps d’écran maximum pour les enfants
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/27287-Sept-heures-jour-temps-d-ecran-maximum-enfants

    Plus excités et moins enclins à savoir contrôler leurs émotions quand ils sont enfants, les jeunes ont aussi plus de mal à se concentrer et à éprouver de la curiosité quand ils grandissent. Ainsi, puisqu’environ 9% des jeunes âgés de 11 à 13 ans qui passaient une heure par jour avec des écrans ne souhaitaient pas apprendre de nouvelles choses, contre 13,8% qui ont passé quatre heures à l’écran et 22,6% qui ont passé plus de sept heures avec des écrans.

    Tous les âges sont concernés puisque parmi les adolescents de 14 à 17 ans, 42,2% de ceux qui passaient plus de sept heures par jour à l’écran ne terminaient pas leurs tâches, contre 16,6% pour ceux passant une heure par jour et 27,7% pour ceux qui travaillaient pendant quatre heures à l’écran.

  • Lunéville : une femme meurt devant les #urgences, le #Samu avait refusé de se déplacer
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/29101-Luneville-femme-meurt-urgences-Samu-refuse-deplacer

    Les faits remontent au 14 mars dernier, mais ne sont révélés que ce vendredi par L’Est Républicain : Maryse Rabah-Otmani, 56 ans, s’est faite retirer la vésicule biliaire à la clinique Jeanne-d’Arc de Lunéville (Meurthe-et-Moselle) et a souffert de fortes douleurs le lendemain de sa sortie de l’établissement. Malgré la prescription d’un antidouleur, l’état de la patiente s’aggrave, les douleurs persistent.

    Quatre jours après l’intervention, les proches de Maryse Rabah-Otmani appellent le Samu. L’opératrice refuse d’envoyer un véhicule. C’est donc à un proche de la conduire aux urgences qui se trouvent à 30 minutes en voiture. En chemin, la cinquantenaire perd connaissance - on ignore pour le moment si son coeur s’est arrêté de battre à ce moment. Aux urgences, elle est prise en charge par une équipe hospitalière et les pompiers, qui lui font un massage cardiaque. Rien y fait, Maryse Rabah-Otmani est décédée. Sa famille a déposée plainte contre X et une enquête pour homicide involontaire a été transmise à la police judiciaire de Nancy.

    #France

  • En 2015, l’Homme a perdu plus de 250 millions d’années de vie à cause de l’alcool et du tabac
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/25579-En-2015-l-Homme-perdu-250-millions-d-annees-de-vie-cause-de-l-

    En 2015, le tabac et l’alcool auraient provoqué la perte de plus de 250 millions d’années de vie dans le monde.

    Encore des gauchistes estrémissses qui refusent d’être pragmatiques et de voir le nombre de jours de pension de retraite économisés.

    Les dangers de l’alcool et du tabac ne sont un secret pour personne. Mais l’impact de leur consommation sur la santé humaine est largement sous-estimé. Une publication récente montre que l’alcool et le tabac représentent une menace plus importante que les drogues illicites.

  • Valenciennes : pourquoi un détenu atteint d’un cancer du côlon n’a-t-il pas le droit d’être hospitalisé ?
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/25549-Valenciennes-detenu-atteint-d-un-cancer-colon-n-a-t-il-droit-d

    Un détendu de 32 ans incarcéré en juin dernier à Valenciennes a été hospitalisé le 1er mai dernier à la suite de violents maux de ventre. Après plusieurs examens, les médecins lui ont diagnostiqué un cancer du côlon. Si son état nécessite forcément des soins, le détenu a tout de même été reconduit dans sa cellule. Depuis, sa famille se bat pour le faire hospitaliser, rapporte La Voix du Nord. « Le foie est atteint, il a perdu vingt kilos en quatre jours. Il ne se nourrit plus, même un verre d’eau, il le vomit », s’inquiète-t-elle.

    (...)

    Me Broyard, l’avocat de la famille, a fait savoir que « la direction a été contactée. On m’a promis de regarder mon courrier au plus vite. S’il ne supporte pas son traitement, on ne peut pas le laisser en maison d’arrêt. J’ai demandé un permis de communiquer (la possibilité de rencontrer son client). Après une expertise médicale, le juge d’application des peines pourrait prononcer une suspension de détention ou une liberté conditionnelle. Mais tout cela prend du temps. »

    Dans une société où le SAMU laisse crever les enfants et jeunes femmes (noirs), quelles sont les chances pour qu’un prisonnier soit soigné convenablement ?

    C’est épatant comme on en revient à une société qui tolère les mutilations, la torture et la peine de mort... sans en avoir l’air... (Troaré, Sievens, NDDL, Naomi, ...)

  • Le #tabac froid aussi dangereux que la cigarette
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/5230-Le-tabac-froid-aussi-dangereux-que-la-cigarette

    Le tabac froid sent fort, s’incruste partout.. et il est très toxique. Vivre dans l’ancien logement d’un fumeur peut s’avérer aussi dangereux que fréquenter un fumeur. Une étude, parue ce 31 janvier dans PLOS ONE révèle que le tabagisme environnemental a les mêmes effets sur la santé que le tabagisme passif. Il désigne la fumée de tabac qui se dépose à la surface des objets et s’incruste dans les murs, les sols et les vêtements. — Permalink

  • Percutaneous coronary intervention in stable angina (ORBITA) : a double-blind, randomised controlled trial - The Lancet
    http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(17)32714-9/abstract

    Insuffisance coronaire : le #stent pas plus efficace qu’un placebo ?
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/23350-Angine-poitrine-stent-efficace-qu-un-placebo

    Les chercheurs ont employé une méthode d’habitude réservée aux études de médicaments : comparer l’intervention réelle à une intervention #placebo en tous points similaire. Autrement dit, une moitié des 230 patientss étaient endormis en salle de cathétérisme et se voyait introduire une sonde… pour rien. L’étude étant en double aveugle, les médecins eux-mêmes ignoraient si leurs patients avaient suivi la procédure réelle ou factice.

    « De façon surprenante, même si la pose de stent a amélioré la circulation sanguine, elle n’a pas amélioré les symptômes par rapport aux médicaments », explique le Dr Rasha Al-Lamee, cardiologue à l’Imperial College London et premier auteur de l’étude. Or, du fait de la pathologie précise des patients sélectionnés – une coronaropathie sévère stable –, le contrôle de la douleur est la principale justification de la pose de stent…

    [...]

    Une nouvelle démonstration de la puissance de l’effet placebo ? Sans doute, encore que plusieurs praticiens appellent à attendre les résultats de plus long terme (le suivi n’ayant été que d’un mois et demi après l’intervention) avant de se prononcer.

    Heart Stents Are Useless for Most Stable Patients. They’re Still Widely Used. - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2018/02/12/upshot/heart-stents-are-useless-for-most-stable-patients-theyre-still-widely-used.

    Some caveats: All the patients were treated rigorously with medication before getting their procedures, so many had improved significantly before getting (or not getting) a stent. Some patients in the real world won’t stick to the intensive medical therapies, so there may be a benefit from stents for those patients (we don’t know). The follow-up was only at six weeks, so longer-term outcomes aren’t known. These results also apply only to those with stable angina. There may be more of a place for stents in patients who are sicker, who have disease in more than one blood vessel, or who fail to respond to medical therapy.

    #santé

  • #Viol d’un #enfant : « notre loi protège les agresseurs »
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/23019-Viol-d-un-enfant-notre-loi-protege-agresseurs/amp

    Un enfant ne veut pas d’un acte sexuel. Les gens n’ont pas le courage de se représenter une fillette de 11 ans avec un pénis d’adulte dans la bouche. Ils ne veulent pas imaginer ce qu’est le vagin d’une petite fille, pénétré par celui d’un adulte de 28 ans. Il y a un déficit de la représentation. Pourtant, dit comme ça, c’est assez clair ?

    Toute l’attention est fixée sur le consentement de cette fillette. On ne met pas le projecteur sur l’adulte de 28 ans, père de deux enfants. Lui savait parfaitement ce qu’il faisait. Il s’agit ni plus ni moins de #pédocriminalité.

  • 6 million adults do not do a monthly brisk 10 minute walk - GOV.UK
    https://www.gov.uk/government/news/6-million-adults-do-not-do-a-monthly-brisk-10-minute-walk

    Over 6.3 million adults aged 40 to 60 do not achieve 10 minutes of continuous brisk walking over the course of a month and are missing out on important health benefits, according to the Public Health England (PHE) 10 minutes brisk walking recommendations: evidence summary.

    The findings also reveal how lifestyles have changed over time, showing that people in the UK are 20% less active now than they were in the 1960s and on average walk 15 miles less a year than 2 decades ago. The sedentary nature of modern, busy lives makes it difficult for many to find the time for enough exercise to benefit their health.
    […]
    Taking at least 1 brisk 10 minute walk a day has been shown to reduce the risk of early death by 15%. A 10 minute walk can contribute to meeting the CMO’s physical activity guidance of 150 minutes of moderate to vigorous exercise each week. This can lead to health benefits including a lowered risk of type 2 diabetes (by 40%), cardiovascular disease (by 35%), dementia (by 30%) and some cancers (by 20%).

    The severity of the current physical inactivity epidemic amongst adults contributes to 1 in 6 deaths in the UK and is costing the NHS over £0.9 billion per year.

    Repris en français avec le titre

    Les Anglais confrontés à une #épidémie_de_sédentarité chez les adultes
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/22632-Les-Anglais-confrontes-epidemie-sedentarite-adultes

  • Séduction : les hommes qui mangent des légumes ont plus de succès
    https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/22547-Seduction-hommes-mangent-legumes-succes

    Des chercheurs en psychologie de l’université Macquarie de Sydney (Australie) ont réalisé une petite expérience. Ils ont présenté des t-shirts d’hommes, imbibés de sueur après un peu d’exercice, à des femmes qui devaient les classer selon le sentiment d’attirance que leur évoquait l’odeur. Et cette attirance instinctive est liée à l’alimentation.

    Il est à rappeler que, lorsqu’elle est émise, la sueur n’a presque pas d’odeur. C’est par la suite que les bactéries agissent pour donner cette odeur caractéristique et désagréable. Les femmes-juges n’ont donc pas eu à sentir des t-shirts malodorants. Ouf.

    Les habitudes alimentaires ont été évaluées par un questionnaire, mais aussi par la spectrophotométrie de la peau. Les personnes consommant le plus de fruits et légumes ont en général la peau un peu plus jaune que les autres, à cause de la présence de caroténoïdes, des pigments qui colorent légèrement la peau.

    Ils ont alors pu associer régime alimentaire et attractivité olfactive. Les hommes qui mangent le plus de fruits et légumes ont l’odeur la plus attirante, notée de touches florales, fruitées et médicinales. Les oeufs, la viande et le tofu ont un effet similaire. Ce sont les hydrates de carbone, les sucres industriels, qui sont les plus délétères à l’odeur corporelle, et donc à éviter pour séduire.

    • En termes scientifiques, ça donne ça :
      (article complet derrière barrière)

      Diet quality and the attractiveness of male body odor - Evolution and Human Behavior
      http://www.ehbonline.org/article/S1090-5138(16)30193-3/fulltext

      Abstract
      Human axillary sweat may provide information pertaining to genetic relatedness and health status. A significant contributor to good health, both in the short and longer term, is a diet rich in fruit and vegetables. In this study we tested whether dietary fruit and vegetable intake, assessed indirectly by skin spectrophotometry (assessing dietary carotenoid intakes) and subjectively by food frequency questionnaire, was associated with more pleasant smelling sweat. Male participants provided axillary sweat samples and dietary information. Female participants then evaluated these samples on several affective, qualitative and psychophysical dimensions. The skin spectrophotometry measure (CIELab b*), indicative of greater fruit and vegetable intake, was significantly associated with more pleasant smelling sweat (with more floral, fruity, sweet and medicinal qualities), independent of sweat intensity. Self-report dietary data revealed that fat, meat, egg and tofu intake was associated with more pleasant smelling sweat, and greater carbohydrate intake with stronger smelling less pleasant sweat. These data parallel facial judgments, in which yellower more carotenoid rich skin, is found to be more attractive.

    • Il y a un décalage flagrant (fragrant ?) entre l’original et la traduction. Rien que le titre déjà est slightly misleading, en insistant sur les légumes alors que l’original indique que le gras, la viande, les œufs « sentent bon » eux aussi.

      L’étude étant basée sur 43 donneurs ♂ et 9 juges ♀, ça promet question variance. À ce niveau (dit l’article d’origine) il est impossible de gérer toutes les variables, et il faut les regrouper (arbitrairement ?) par grandes classes.

      Du coup, pour ce qui est des « sucres industriels » (traduction de « carbohydrates », en fait « glucides »), de quoi parle-t-on : la mauvaise odeur est positivement associée à une consommation (auto-déclarée) supérieure à la moyenne d’un regroupement de toutes les catégories suivantes : breakfast cereals, breads, carbohydrate foods, sugars and spreads, and drinks.

      Si on résume : une #étude_récente sur un faible échantillon, des conclusions pas conclusives et mal traduites, et un article prêt à buzzer. Que font les décodeurs ?

    • Entièrement d’accord avec toi !
      J’ajouterais que toutes les reprises « grand public » ne parlent que des fruits et légumes, alors que, dans le résumé, ils sont placés comme équivalents aux régimes protéiné.

      Dans l’article, puisque celui-ci est accessible ailleurs http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1090513816301933 il n’y a vraiment pas grand chose de consistant (cf. tableau 2, apparemment des calculs de khi-2 d’indépendance

      Pour le fun, les données y sont téléchargeables (fichier csv de 43 lignes x 54 colonnes dont 21 jugements sur les notes de l’odeur et 4 colonnes de résultats d’une analyse factorielle)

      Ex.

      The male donors’ nine food frequency consumption scores served as the predictors in a regression analysis, with the female judges affective evaluation score as the dependent variable. The final model from the backward elimination procedure was significant (F(4,38) = 3.62, p < 0.02) and explained 20.0% of the variability (adjusted R2) in the judges affective evaluations of the donor’s sweat. Four food categories remained in this model and the partial regression plots of the significant contributors are presented in Fig. 2.


      Fig. 2. Partial plots of the relationship between female judges hedonic evaluations of the male donor’s body odor (larger values are more positive), and egg and tofu consumption (top), oil and fat consumption (middle) and seafood consumption (bottom) of the donors — all are standardized mean values.

      etc. le modèle 2, R2-ajusté à 0,257 avec 4 variables retenues sur les 9 entrées dans la sélection et le modèle « final », toujours avec 4 variables sélectionnées et un R2-ajusté de 0,253

      La couleur plus ou moins jaune de la peau, on peut l’oublier…

      To determine relationships between the skin yellowness measure, and the factor derived odor quality scores from the female judges, a further regression analysis was conducted. Here, the animal/floral, fishy and chemical factor scores served as predictors, with skin yellowness as the dependent variable. The final model was significant (F(1,41) = 6.35, p < 0.02), and explained 11.3% of the variability in skin yellowness scores. The only remaining factor in the model was the animal/floral dimension, which was negatively correlated with greater skin yellowness (ß = −0.37).

      Oui, on peut publier un résultat avec un R2 = 0,113 …

    • Et pour la diversité…

      Potential donors were recruited in several ways so as to try and maximize variability in dietary intakes of fruit, vegetables and meat across the sample: (1) the first year participant pool was screened using a brief food frequency measure (developed for this study and available from the authors) to identify people varying in fruit and vegetable, and meat intake, with individuals scoring high and/or low in these two categories being approached; (2) several vegetarian societies were contacted and information about the study was passed to members; (3) groups likely to have a greater proportion of high intake meat eaters (i.e., greater meat eating is associated with greater authoritarianism, social dominance and masculinity; Loughnan, Bastian, & Haslam, 2014) were also approached with information passed on to members; and (4) via campus-wide advertisements. For approaches (2), (3) and (4), when potential donors contacted the study, they were given the same brief food frequency questionnaire as (1), so as to identify individuals likely to differ in fruit and vegetable, and meat intake.
      Forty-five male donor body odor samples were obtained, but only 43 were used for analysis as spectrophotometer data were not collected for two participants (both missed the full laboratory session). The remaining donors were 43 non-smoking Caucasian males aged 18 to 30 years (M = 21.5, SD = 3.7), with a body mass index (BMI) ranging from 17.8 to 32.0 (M = 23.0, SD = 2.8).