Colportez des allégations invérifiées, il en restera toujours quelque chose. Je note le courage des signataires du livre, qui s’appellent « le collectif du Grimm », sans plus de précisions que leur prénom, dont on ne sait même pas si c’est le leur.
L’éditeur qui a publié le livre n’est pas plus clair. On sait seulement qu’il a démarré en 2012.
Moi, j’aime bien savoir QUI parle.
Pourquoi ne sont-ils pas allés aux prud’hommes, s’ils étaient aussi sûrs de leur fait ?
Et à propos de « capitalisme vert » : M. Vivas facture ses stages entre 120 et 780 euros. Et il fait bosser ses stagiaires et des bénévoles ainsi que des « woofers » ??? (voir son rapport d’activité de 2015, sur son site). Quant à l’éco-hameau de Verfeil, il a été bâti sur une zone non constructible à l’origine (en ZNIEFF). L’ancienne maire de la commune en est l’une des résidentes (source : ►http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/08/04/la-bastide-de-verfeil-ne-veut-pas-d-un-eco-hameau_1395514_3224.html)
La charité qui se fout de l’hôpital, en clair. Même si je n’ai rien contre la permaculture, était-il urgent de cogner sur Kokopelli ? Quel intérêt y avait M. Vivas, à part râler sur des graines qui n’ont pas germé ?
Enfin, nos gentils salariés mécontents espéraient quoi ? Glander toute la journée en étant payé ?
Perso, j’ai bossé dans une radio associative pendant deux ans. Et j’ai constaté combien certains profitaient quelque peu de la gentillesse (voire du laisser pisser) du responsable : ils pouvaient arriver bourrés, fumer des pétards (j’ai rien contre, au contraire, mais pas à l’antenne) et raconter des conneries genre humour pipi caca (si c’est ça une radio « libertaire », merci), aller et venir quand ils voulaient, facturer des frais de transport fantaisistes, passer leur vie au téléphone, tout ça sur le dos de l’asso, etc...
Or, Kokopelli a besoin d’argent. Pour continuer son job, payer les producteurs et les salariés. Pour faire ce qu’il fait depuis des années. Et accessoirement payer ses avocats, contre Baumeaux, par exemple.
Bref, je continuerai « d’aller chez Gaïa »... !