Gaza : Guterres appelle à lever les blocus face à la crise humanitaire

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  • UN chief calls for Palestinian reconciliation, end to Israeli blockade on Gaza
    Aug. 30, 2017 2:52 P.M. (Updated: Aug. 30, 2017 3:25 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=778915

    GAZA (Ma’an) — In a visit to the Gaza Strip on Wednesday, Secretary-General of the United Nations Antonio Guterres called for Palestinian national reconciliation and demanded that Israel’s decade-long blockade on the territory be lifted, describing life in the besieged coastal enclave as “one of the most dramatic humanitarian crises” he had seen.

    The UN chief, who held talks with Palestinian and Israeli leadership Monday and Tuesday, told reporters he was "deeply moved to be in Gaza today, unfortunately to witness one of the most dramatic humanitarian crises that I’ve seen in many years working as a humanitarian in the United Nations.”

    He said it was “important to open the closures,” imposed on the enclave, referring to the Israeli blockade that is upheld by Egypt on the Palestinian territory’s southern border.

    Guterres also announced the emergency release of $4 million from the UN Central Emergency Response Fund for UN operations in Gaza.

    #GAZA

    • Gaza : Guterres appelle à lever les blocus face à la crise humanitaire
      afp, le 30/08/2017
      http://www.la-croix.com/Monde/Gaza-Guterres-appelle-lever-blocus-face-crise-humanitaire-2017-08-30-13008

      Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé mercredi à la levée des blocus israélien et égyptien imposés à la bande de Gaza, en proie à « l’une des crises humanitaires les plus dramatiques » qu’il ait vues.
      « Je suis profondément ému d’être à Gaza aujourd’hui et d’être, malheureusement, le témoin de l’une des crises humanitaires les plus dramatiques qu’il m’ait été donné de voir en de nombreuses années de travail humanitaire aux Nations unies », a déclaré le responsable onusien.
      M. Guterres, qui a été Haut commissaire de l’ONU aux réfugiés (HCR) entre 2005 et 2015, effectuait sa première visite dans le territoire palestinien depuis son entrée en fonctions en janvier.
      « Il est important d’ouvrir les barrières » conformément à la résolution 1860 adoptée en 2009 par le Conseil de sécurité de l’ONU en pleine confrontation armée entre le mouvement islamiste Hamas, qui gouverne la bande de Gaza depuis 2007, et Israël, a dit M. Guterres.
      L’entourage du secrétaire général de l’ONU a confirmé que ce dernier avait bien à l’esprit les blocus imposés par Israël et l’Egypte à l’enclave, coincée entre ces deux pays et la Méditerranée.
      M. Guterres a aussi appelé la communauté internationale à renforcer son soutien humanitaire à la bande de Gaza, et indiqué qu’il avait ordonné le déblocage immédiat de quatre millions de dollars pour les activités de l’ONU dans le territoire.
      (…)
      La bande de Gaza risque de devenir « invivable » d’ici à 2020, s’alarme l’ONU.
      M. Guterres a souligné qu’au-delà de l’urgence à court terme, « la solution aux problèmes des Gazaouis n’est pas humanitaire ».
      – ’Signal important’ -
      Il a affirmé la nécessité que l’Autorité palestinienne et le Hamas, à couteaux tirés, surmontent leurs dissensions. Pour lui, ces divisions forment un obstacle à un règlement du conflit avec Israël et à la création d’un Etat palestinien.
      La Cisjordanie, où siège l’Autorité palestinienne, et la bande de Gaza « font toutes deux partie de la même Palestine », a-t-il assuré.
      M. Guterres, qui a rencontré les officiels de l’Autorité palestinienne mardi, ne devait pas voir ceux du Hamas, en vertu d’une politique restreignant les contacts politiques avec le mouvement.
      Le Hamas a néanmoins salué sa visite dans « la plus grande prison du monde », comme un « signal important » de la prise en compte des souffrances du peuple de Gaza.
      Depuis son arrivée dimanche à Jérusalem, M. Guterres a évolué sur la corde raide entre les intérêts israéliens et palestiniens, alors que l’entreprise de paix est enlisée.

    • L’ONU crie hélas dans le désert. Les grands médias occidentaux sont tenus par des suprémacistes blancs pro-Grand-Israël.
      Et l’essentiel des décideurs gouvernementaux occidentaux sont des des suprémacistes blancs pro-Grand-Israël.

      L’ONU n’a pas d’armée.