Il envoie sa jument à la retraite, il la retrouve à l’abattoir !

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  • Poulehouse, l’œuf qui ne tue pas la poule, arrive chez Biocoop - Bioaddict
    http://www.bioaddict.fr/article/poulehouse-l-oeuf-qui-ne-tue-pas-la-poule-arrive-chez-biocoop-a5704p1.html

    Concrètement, qu’est-ce que cela veut-dire ? Sébastien Neusch, DG de Poulehouse, explique : « Nous sauvons les poules pondeuses d’une mort prématurée, car à ce jour, dans n’importe quel mode d’élevage, elles sont abattues à l’âge de 18 mois suite à une baisse de leur taux de ponte alors que leur espérance de vie est de 6 ans et plus. Nous travaillons avec des éleveurs bio qui s’engagent à ne pas envoyer leurs poules à l’abattoir, puis nous les rachetons afin de les accueillir dans notre refuge, la Maison des Poules » Sébastien Neusch, DG de Poulehouse.

    Située dans le Limousin, avec 16 hectares de terrain, équipée de bâtiments mobiles et conduite selon les normes AB (agriculture biologique), la Maison des Poules est une nouvelle association qui accueillera dès février 2018 les poules de réforme. Dans cette « maison de repos pour poules », ces dernières pourront continuer à vivre paisiblement jusqu’à leur fin de vie et pondre à leur rythme !

    Les œufs bio « éthiques » Poulehouse garantissent ainsi aux consommateurs des produits de qualité, une juste rémunération des éleveurs, mais également un circuit de prise en charge respectueux des animaux. Cela a cependant un coût : la boîte de 6 œufs Poulehouse est en effet vendue à 6€.

    C’est une sorte de pub mais je suis trouve interessant cette réponse au problèmes éthiques végétarienne.
    Il existe des retraites pour chevaux mais j’avais entendu dans une conférence sur la boucherie et son histoire que c’était une arnaque.

    • Il envoie sa jument à la retraite, il la retrouve à l’abattoir !
      http://www.midilibre.fr/2011/12/08/la-jument-retraitee-retrouvee-aux-abattoirs,427416.php

      Une visite sur place lui fait plutôt bonne impression : des enfants viennent jouer auprès des animaux, lui dit-on. Il signe donc le contrat d’adoption, paie les frais d’enregistrement et monte les quatre chevaux le 14 septembre.

      Vendredi dernier, pourtant, le téléphone lui apporte une nouvelle qui le laisse sans voix. L’appel vient de l’abattoir de Narbonne et l’informe qu’une jument lui appartenant était arrivée pour être abattue le 9 décembre mais que ses papiers étaient faux. En fait, elle était marquée de deux puces...

      Nouveau scandale - « Ami des chevaux », il fournissait des abattoirs
      http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Nouveau-scandale-autour-de-la-viande-de-cheval-525932

      Des marchands de chevaux de l’est de la France arrivaient à convaincre cavaliers et clubs hippiques de leur confier leurs animaux vieillissants, promettant à leurs équidés une retraite paisible dans des prairies vertes. En réalité, les montures fatiguées partaient en Belgique, où leurs carnets de santé étaient falsifiés, et revenaient ensuite en France direction l’abattoir. Quelques abattoirs du pays – Alès (Gard), Pézénas (Hérault) et Valenciennes (Nord) – seraient concernés.

      Ce trafic peut engendrer un risque toxique pour les consommateurs, les animaux concernés étant impropres à la consommation. Les chevaux – de selle, de club ou issus de la compétition – reçoivent en effet des traitements médicamenteux lourds qui les excluent des circuits de boucherie. Outre un risque sanitaire, cette fraude pose un problème moral. « Le Républicain Lorrain », qui avait évoqué l’affaire dès le début du mois de juillet, racontait le désarroi d’une propriétaire de chevaux victime de la supercherie.