/pays-de-la-loire

  • Négociations salariales : comme de « l’électricité dans l’air » mais pas dans les câbles ...

    Grève des agents de l’énergie – En France, des coupures de courant ont touché la population | Tribune de Genève
    https://www.tdg.ch/en-france-des-coupures-de-courant-ont-touche-la-population-965839029385

    De la tension dans l’air : une grève d’agents de l’énergie a provoqué jeudi des coupures d’électricité de quelques heures dans le Nord et l’Ouest pour des dizaines de milliers de foyers et dans des entreprises, les syndicats réclamant une hausse des salaires.

    A Angers, le CHU « en tension » mis hors tension :
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/panne-d-electricite-a-angers-175-000-clients-prives-d-electricite-dans-

    Même chose au centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers où trois groupes électrogènes ont permis de maintenir un fonctionnement normal.
    « La sécurité des soins a été assurée », précise la direction du CHU. Trois groupes électrogènes, l’un situé au sein de l’établissement, rue Larrey, le deuxième au service de soins de suite et de réadaptation de Saint-Barthélemy-d’Anjou et le troisième au pôle médico-social Saint-Nicolas, ont permis d’alimenter en électricité les différents bâtiments. Ils peuvent tenir trois jours.

    https://my-angers.info/06/02/mouvement-social-la-coupure-de-courant-qui-touche-plus-de-175-000-foyers-a-angers/109432

    Lors d’une telle panne électrique, 3 groupes électrogènes prennent le relais au CHU, au Pôle médico-social Saint-Nicolas et au SSR de Saint-Barthélemy d’Anjou. L’autonomie est de 3 jours, mais en réalité illimité, puisqu’il suffit de les réalimenter, précise les services du CHU d’Angers.

    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/pourquoi-une-coupure-d-electricite-a-angers-et-ses-alentours-les-explic

    L’action, à laquelle auraient participé une cinquantaine de grévistes, est justifiée par le syndicat pour « mettre la pression », dans le cadre de revendications pour des hausses de salaires qui concernent l’ensemble du secteur de l’énergie.
    Un courrier au préfet
    « Dans l’Ouest, cela fait trois mois que le mouvement est engagé », poursuit Jean-Marc Bozzani. Avec en point d’orgue, donc, une coupure volontaire, ce jeudi midi, sur le site occupé de La Corbière, à Saint-Barthélemy-d’Anjou, mais aussi sur deux autres sites de l’agglomération. Sur ce point, la CGT assume.
    Mais l’animateur régional tient à préciser : « Il y a deux mois, nous avons envoyé un courrier au préfet pour prévenir qu’en cas de refus de la direction de nous écouter, il faudrait s’assurer du fonctionnement des groupes électrogènes pour l’hôpital, les pompiers, les établissements pénitentiaires… » En somme, selon la CGT, l’action ne serait pas née sur un coup de tête. Et la préfecture était prévenue…
    Augmentations insuffisantes
    Pour les grévistes, les hausses de salaires restent insuffisantes dans le secteur. « Plus 0,3 %, relève Jean-Marc Bozzani. Alors que RTE a fait 661 millions de bénéfices et que le patron s’est lui-même octroyé 28 % d’augmentation. »
    Conséquence : « Cela commence à générer des démissions. On n’en est pas encore au stade critique de l’hôpital, mais ça inquiète forcément. Et les collègues partent dans des entreprises avec 30 %, 40 %, 50 % de salaires en plus. »

    #salaires #grève #luttes_sociales #syndicats #RTE

    • Ouverture par le parquet d’Angers d’une enquête de flagrance.

      https://my-angers.info/06/03/coupure-electrique-a-angers-le-procureur-de-la-republique-prend-la-parole/109456

      Après la gigantesque coupure de courant volontaire d’agents de RTE impactant 175 000 foyers dans le département , le Procureur de la République d’Angers a pris la parole sur son réseau social.
      « Les pouvoirs publics attendent rarement qu’on leur demande de prendre leurs responsabilités. Une enquête est ouverte depuis ce midi des chefs de mise en danger de la vie d’autrui et atteinte à la liberté du travail. Les plaintes sont reçues par la police ou le parquet. »

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Enqu%C3%AAte_de_flagrance_en_droit_fran%C3%A7ais

      https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006071154/LEGISCTA000006151876/#LEGISCTA000006151876

      Est qualifié crime ou délit flagrant le crime ou le délit qui se commet actuellement, ou qui vient de se commettre. Il y a aussi crime ou délit flagrant lorsque, dans un temps très voisin de l’action, la personne soupçonnée est poursuivie par la clameur publique, ou est trouvée en possession d’objets, ou présente des traces ou indices, laissant penser qu’elle a participé au crime ou au délit.
      A la suite de la constatation d’un crime ou d’un délit flagrant, l’enquête menée sous le contrôle du procureur de la République dans les conditions prévues par le présent chapitre peut se poursuivre sans discontinuer pendant une durée de huit jours.
      Lorsque des investigations nécessaires à la manifestation de la vérité pour un crime ou un délit puni d’une peine supérieure ou égale à cinq ans d’emprisonnement ne peuvent être différées, le procureur de la République peut décider la prolongation, dans les mêmes conditions, de l’enquête pour une durée maximale de huit jours.

  • Suicide au lycée Bellevue du Mans : les lycéens sous le choc, les secours sur place
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-mans-72000/suicide-d-une-eleve-au-lycee-bellevue-du-mans-les-lyceens-sous-le-choc-

    Un élève de seconde du lycée Bellevue s’est suicidé ce vendredi 13 mai 2022, dans l’enceinte de l’établissement situé au Mans (Sarthe). Pompiers et policiers sont sur place.

    Âgé de 15 ans, l’élève, #transgenre, né fille et en cours de transition pour devenir un garçon, était interne au lycée.

    #suicide

  • L’annulation des réserves russes va conduire à un nouveau système monétaire international
    https://reseauinternational.net/lannulation-des-reserves-russes-va-conduire-a-un-nouveau-system

    En bref, le système monétaire occidental basé sur le dollar américain comme monnaie de réserve est sur le point de se terminer dans une supernova inflationniste, car les États-Unis perdent la capacité d’utiliser l’épargne chinoise pour financer leurs déficits budgétaires et commerciaux. Et cela se produit alors que la génération des baby-boomers part à la retraite et que leurs droits à l’aide sociale montent en flèche. La défense, les intérêts et les droits non discrétionnaires absorbent déjà 100% des recettes fiscales. Alors maintenant, il n’y a plus le choix : la Fed va imprimer la plupart des énormes dépenses supplémentaires.

    Je continue à devoir me fader à longueur de Twitter et d’échanges inter-personnels des fadaises sur la psychologie de Poutine, le nouvel Hitlerostalinien diabolique qui souhaite conquérir le Monde entier et au-delà parce qu’on lui aurait volé son doudou quand il était à la Crèche du KGB.

    Là, ça parle du SMI, et c’est un vrai bout du puzzle pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point. Mais les gauches non-occidentales qui n’ont pas été élevées avec des cuillères en or, savent que discuter du dollar pour évoquer la guerre en Ukraine, c’est un leurre américano-centré.

    A d’autres endroits, il faudrait qu’on discute du 3ème paquet énergie, qui a été le énième caillou dans la chaussure des Russes, pour qu’ils cessent de vouloir vendre le gaz à des conditions normales, et qu’ils se débrouillent pour respecter le mille-feuille légal spécialement conçu pour leur faire accepter d’utiliser des tuyaux avec des conditions tarifaires non-négociables. Ce genre de choses. D’où, à la fin, Nord Stream II, qui évidemment, n’a pas été rendu possible, parce que bon. Puisque les Russes se sont conformés au 3ème paquet NRJ, il fallait trouver autre chose pour qu’enfin, les européens cessent d’acheter le gaz russe.

    Je ne dis pas que ça justifie quoi que ce soit. Je dis que quand on est russe, on doit se fader des âneries à la pelle de ce genre depuis 30 ans.

    Et alors, il y a l’Ukraine, et sa révolution colorée qu’on a le droit et qui déclenche une avalanche de lois qu’on a le droit, confiscatoires et vexatoires pour tout ce qui est plus ou moins russe. Et les russes comprennent qu’ils n’ont que le droit d’accepter les choses comme elles sont. Et d’ailleurs, ils ne sont pas en guerre, mais ils sont priés d’accepter les sanctions comme si elles étaient normales.

    Pour de rire, pour dire à quel point de bêtise on est rendu :
    À cause de la guerre en Ukraine, ils veulent changer le nom d’un collège en Vendée
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/a-cause-de-la-guerre-en-ukraine-ils-veulent-changer-le-nom-du-college-s

    À Aizenay, près de La Roche-sur-Yon, le collège porte le nom de l’écrivain Russe Alexandre Soljenitsyne , qui s’était rendu en Vendée, en 1993. Des syndicats d’enseignants demandent qu’il soit remplacé par celui d’un poète ukrainien.

    Dans le monde, tu as ceux qui font des sanctions, et elles sont justes, et ceux qui se les prennent dans la gueule, et qui doivent dire merci.

    Je ne dis pas que tout cela justifie quoi que ce soit.

    En 1980, les iraniens ont été contraint de se battre contre les irakiens, parce que. Et c’était normal.
    En 1992, les irakiens ont été contraint de se battre, et de se laisser détruire, parce que. Et c’était normal.
    L’ONU n’a servi à rien, ou presque, à chaque fois.
    En 1999.
    En 2003.
    En 2012, en Syrie. Évidemment, là aussi, il ne s’est rien passé qui puisse mettre en accusation les occidentaux. Non. Là seule chose que tu entends en ce moment, c’est que la Syrie a été détruite par les Russes. Parce que chez nous, ce qu’on t’explique, c’est que le dirigeant officiel de la Syrie est une enflure, mais que s’il se trouve des syriens pour le soutenir, et pour l’aider à maintenir le régime au pouvoir, ça ne vaut rien. Que ce régime règne par la force, c’est indéniable. Qu’il soit illégitime est autre chose, qui n’a pas grand chose à voir avec la morale. Et dans cette énième guerre meurtrière, les russes n’ont pas été les agresseurs.
    2014, Fuck the EU, et accords de Minsk que personne n’applique, et surtout pas la partie occidentale.

    Les alertes ont été nombreuses pourtant. 2007, 2013. Poutine a expliqué dans le vide que la façon dont les gardiens du droit international s’essuyaient les pieds dessus était dangereuse.

    Cf. juste pour mémoire :

    A Plea for Caution From Russia - Atlantic Council
    https://www.atlanticcouncil.org/blogs/natosource/a-plea-for-caution-from-russia

    No one wants the United Nations to suffer the fate of the League of Nations, which collapsed because it lacked real leverage. This is possible if influential countries bypass the United Nations and take military action without Security Council authorization.

    (...)

    From the outset, Russia has advocated peaceful dialogue enabling Syrians to develop a compromise plan for their own future. We are not protecting the Syrian government, but international law. We need to use the United Nations Security Council and believe that preserving law and order in today’s complex and turbulent world is one of the few ways to keep international relations from sliding into chaos. The law is still the law, and we must follow it whether we like it or not. Under current international law, force is permitted only in self-defense or by the decision of the Security Council. Anything else is unacceptable under the United Nations Charter and would constitute an act of aggression. . . .

  • Effondrement du système de #santé_publique en France : ça peut encore tenir grâce à la résignation des personnels et à leur conscience professionnelle. Mais pour combien de temps ? Et au détriment de qui ?

    RÉCIT. Une nuit avec le Samu à Laval, éprouvé par « le système de santé qui s’effondre »
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/recit-une-nuit-avec-le-samu-a-laval-eprouve-par-le-systeme-de-sante-qui

    Pendant les vacances scolaires de février 2022, Ouest-France a passé plusieurs heures avec les équipes du Samu (service d’aide médicale d’urgence), un soir de fermeture des urgences du centre hospitalier de Laval (Mayenne). Au centre de réception et de régulation des appels, il a beaucoup été question du « système de santé qui s’effondre ». Les professionnels ont le sentiment que « tout part en vrille ». Mais ils sont là. Parce que la santé est et doit rester, pour eux, la priorité.

    #hôpital_public #incurie #lean_management #catastrophe_sanitaire

  • Non-vaccinés : « Le profil-type, c’est la personne âgée isolée » - Arrêt sur images
    https://www.arretsurimages.net/emissions/arret-sur-images/non-vaccines-le-profil-type-cest-la-personne-agee-isolee

    Emmanuel Macron a "très envie de les emmerder". Depuis la rentrée, les non-vaccinés sont au cœur des débats dans la lutte sanitaire contre le Covid-19 et son variant Omicron. Ils étaient ainsi, en décembre dernier, plus de cinq millions à ne pas avoir entamé leur parcours de vaccination. Les non-vaccinés sont pointés du doigt par le gouvernement, et le corps médical observe qu’ils occupent au moins la moitié, et parfois plus, des lits dans les services de réanimation, retardant certaines interventions chirurgicales nécessitant un accès à la réa. Le Monde et Libération ont décortiqué les différents chiffres à ce sujet ("[...] les non-vaccinés, bien qu’aujourd’hui neuf fois moins nombreux dans la population adulte que les [vaccinés], représentent une part équivalente ou plus importante, en valeur absolue, dans les admissions (ou dans les lits occupés) en réanimation, ou en soins critiques au sens large, écrit Libération). Ils sont par ailleurs souvent confondus, notamment par Emmanuel Macron dans son interview pour le Parisien, avec les « antivax », critiqués pour leur adhésion aux thèses complotistes ou les violences commises contre des élus. 

    Mais qui sont les non-vaccinés ? Quels sont leurs arguments ? Sont-ils les bouc-émissaires médiatiques de la crise du Covid ? nous allons en discuter aujourd’hui avec nos invités : Bruno Andreotti, physicien, professeur à l’université de Paris, qui a travaillé sur la physique des aérosols, au cœur des questionnements sur la circulation du Covid et signataire d’une tribune parue le 12 janvier dans Libération, qui appelle à la mise en place d’un arsenal sanitaire complet, dont la vaccination universelle, pour sortir de la crise https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir ; Barbara Stiegler, professeur de philosophie à l’université Bordeaux Montaigne, vice-présidente du comité d’éthique du CHU de Bordeaux et membre du conseil de surveillance de l’agence régionale de santé de la région Nouvelle-Aquitaine ; et enfin François Alla, médecin, professeur de santé publique, et chef du service prévention du CHU de Bordeaux, qui a notamment travaillé avec Barbara Stiegler pour la rédaction de son tract paru chez Gallimard, De la démocratie en pandémie.

    #Bruno_Andreotti #non-vaccinés #Covid-19 #Omicron #vaccination_universelle #pharmaco-vigilance

    • Stiegler : il y a des effets secondaires, cardiaques, neurologiques, c’est documenté, et même les laboratoires le reconnaissent, hormonaux et plus généralement d’inflammation

      Andreotti : Epiphare montre que le tiers des hospitalisés n’ont pas de commorbidité ; le covid long aux dommages non pulmonaires doit être pris en compte et pas seulement les décès, les réas, et les hospitalisations.

      Stiegler : le vaccin dégrade les endométrioses (...) à la télé on voit des malades du covid mais pas les malades des effets secondaires du vaccin. il y a une sous déclaration, c’est infaisable de déclarer ces effets secondaires, je peux faire témoigner des soignants qui ont du y renoncer.
      je me réjouis de pouvoir parler sur une chose qui soit pas le mark-web [youtube ? ndc]

      Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      Stiegler se dit d’accord pour les masques la ventilation et la purification de l’air et passe à... l’oxygénation précoce, les traitements dont certains (?) vont bien, mais de tout ça ils n’en parlent pas car ils veulent de l’innovation, du solutionnisme technologique.

      Andreotti ne relève pas, à nouveau, et évoque des groupes d’arpenteurs de santé, mais évoqués nulle part. remettre de l’humain à la place des call center qui ne marchent pas.

    • Andreotti est l’un des initiateurs de l’appel « rogue » et il a une bonne maîtrise des connaissances sur la pandémie, pas seulement sur l’aérosolisation. mais effectivement le plateau est déséquilibré en faveur d’un Geta Barrington aux dehors humanistes (hallucinant la magouille de Stiegler qui dit que cela sera possible de signer un apple à Andreotti, alors qu’elle a signé avec Fouché ailleurs), et du fait d’un journaliste qui touche pas trop sa bille, en plus de rarement donner la parole à Andreotti, trop poli pour la prendre (comme dans le talk show lundi soir, les minoritaires qui sont là pour attester du pluralisme du dispositif s’autocensurent).

      Stiegler éthique, déontologie and so on. c’est pas à cause du covid que l’hôpital s’effondre, regardez, on peut même pas affronter une épidémie de bronchiolite.

      edit Contre l’imposture et le pseudo-rationalisme
      Renouer avec l’éthique de la disputatio et le savoir comme horizon commun, Bruno Andreotti, Camille Noûs
      https://www.cairn.info/revue-zilsel-2020-2-page-15.htm

      Dans cet entretien, il me semble qu’assistée de son collaborateur, Stiegler, cherche un accord avec Andreotti sur l’essentiel : le vaccin n’est pas la panacée, le non pharmaceutique compte, le « social » compte pas pour des prunes (aller vers ≠ visio, doctolib, relation de soin sans relation), ce qui permet de glisser des trucs pas clairs, qui ne sont pas mis en cause. On dira que je suis parano, mais selon moi, ça sent la magouille.

      #Barbara_Stiegler

    • Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      « La suppression du site (blog) du CTIAP entraîne, de façon mécanique, l’arrêt de l’étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) lancée dans la région des Pays-de-la Loire à la demande de professionnels de santé, juristes, citoyens, etc.
      Avec regret. »
      https://twitter.com/ctiap_cholet/status/1484875424526123011?cxt=HHwWhoCy6ZqVq5spAAAA
      Quelques rappels de cette étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) qui est mécaniquement arrêtée suite à la suppression du site (blog) du CTIAP.
      https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-covid-19-une-initiative-pour-renforcer-la-surveillance-des-effet

      Des professionnels de santé veulent encourager les personnes confrontées à des effets indésirables survenus après le vaccin contre la Covid-19, à les signaler. La démarche est coordonnée par le responsable de la pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet. Sans le soutien de l’établissement.

      Les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 sont-ils sous-évalués ? Alors que se multiplient les recommandations en faveur du rappel et de l’élargissement de la vaccination face à la reprise épidémique, certains continuent de le penser.

      Problèmes hépathiques, cardiaques, urinaires, immunitaires, respiratoires, vasculaires... Au 25 novembre, dernier relevé officiel public en date de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), 116397 cas d’effets indésirables dont 24% qualifiés de graves avaient été enregistrés pour un total de 104 009 500 injections. ( tous vaccins confondus ) soit un taux de 0.11%.

      Un chiffre qui interroge certains médecins je n’ai pas la suite...

    • des interprétations centrifuges qui rejettent non seulement les (demi-)mesures du gouvernement, mais aussi la pandémie elle-même. A leurs yeux, si les Etats se servent de la pandémie comme prétexte pour renforcer leur emprise autoritaire sur la société, cela prouve que la pandémie n’existe pas[14]. Ou bien, si cette pandémie existe bel et bien, elle n’est dangereuse que pour un faible pourcentage de la population déjà vulnérable. Le plus souvent, cette catégorie désignait systématiquement (et à tort) un groupe d’âge spécifique[15]. De ce point de vue, il n’y avait apparemment d’autre raison que l’autoritarisme pour imposer quelque mesure horizontale que ce soit. La forte contagiosité du nouveau virus, ses risques et sa considérable létalité se sont ainsi transformés sur le plan conceptuel en un problème simple, gérable et facile à résoudre pourvu qu’on « protège » les personnes âgées vulnérables (déjà structurellement délaissées), c’est-à-dire qu’on les retire de notre champ de vision. Toute autre mesure, selon les négationnistes, ne saurait avoir d’autre but que d’élargir le périmètre de contrôle et de discipline de l’Etat.

      https://antithesi.gr/?page_id=977

  • ENTRETIEN. Violences policières : l’auteur nantais Pierre Douillard enquête et témoigne
    Presse Océan Recueilli par Laurent Huou Publié le 18/01/2022
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/incendie-la-cantine-numerique/entretien-violences-policieres-l-auteur-nantais-pierre-douillard-enquet

    L’auteur nantais Pierre Douillard vient de publier « Nous sommes en guerre », un ouvrage dans lequel il entend analyser les rapports entre la police « et sa militarisation » et les manifestants.

    Presse Océan : comment a germé l’idée de ce livre qui aborde les violences policières sur une quinzaine d’années ?

    Pierre Douillard-Lefèvre : « Lors d’une manifestation lycéenne en 2007, j’ai été blessé à l’œil par un tir de LBD (lanceur de balles de défense). C’était l’une des premières fois que ce type d’arme était utilisé. Depuis, cela, c’est généralisé et les victimes se sont multipliées. J’avais déjà écrit un livre en 2016, intitulé L’arme à l’œil. Je pensais le réactualiser, mais entre 2016 et 2021, la situation s’est aggravée, la militarisation du maintien de l’ordre s’est accélérée et j’ai choisi d’écrire un nouveau livre complet d’analyses historique, sociologique et même philosophique ».

    En quoi la situation s’est-elle aggravée ?

    « On le vit au quotidien, la répression s’amplifie : Gilets jaunes et ses blessés, rave party et mort de Steve à Nantes, grapheurs… À chaque fois, ces rassemblements sont sévèrement réprimés. »

    Vous pointez la hausse du nombre de blessés comparée aux années 1990. Comment expliquez-vous cela ?

    « Au moment de l’expulsion de la Zad : 13 000 grenades ont été tirées en une semaine, 10 000 le 1er décembre 2018 contre les Gilets jaunes. On est là dans des quantités industrielles par rapport aux manifestations contre le CPE, ou Le Pen en 2002, où il y avait plus de monde pourtant. Nous vivons dans des sociétés de plus en plus inégalitaires et nous avons des gouvernements autoritaires, incapables d’écouter les attentes de la population. Ils répondent par la force. »

    Certains manifestants ne sont-ils pas plus violents aujourd’hui qu’il y a 20 ans ?

    « C’est factuellement faux : on remarque que les dernières décennies ont connu des moments de violences de rues très importantes. Il y a les grèves insurrectionnelles de Nantes et Saint-Nazaire en 1955, l’explosion de Mai 1968, les mobilisations contre le nucléaire, avec des affrontements très durs, les marins à Rennes en 1994, les émeutes à Nantes, contre le CIP ou lors des grèves de 1995. Pourtant, il n’y a pas de LBD, quasiment jamais de grenades explosives et encore moins de personnes tuées ou mutilées à vie. Alors même que l’équipement de protection des policiers était beaucoup plus léger. Je cite Mandela : “C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence”. »

    Vous évoquez également la disparition des corps intermédiaires…

    « Oui, les gouvernements actuels ne les écoutent plus. Il y a donc un rapport direct entre le pouvoir et la rue. [...] Il y a un pouvoir qui se durcit, une police qui se radicalise. »

    Comment expliquer qu’il y a des différences entre certaines villes, par exemple Nantes et Saint-Nazaire ?

    « Je pense que le pouvoir met en place, dans des bastions comme Nantes, des commissaires et préfets durs. Cette stratégie se répand en France. Regardez Paris. »

    Vous mettez en avant cette phrase : « En blesser un pour en terroriser 100 ».

    « C’est de la stratégie. On a tous entendu autour de nous des gens dire : “Je ne vais plus aux manifs car j’ai peur, je n’irais pas avec mes enfants”. Il y a 15 ans, tout le monde allait manifester avec ses enfants. L’idée de faire peur pour dissuader d’aller manifester fonctionne. »

    Quelles seraient les solutions pour apaiser tout cela ?

    « Un, la fin de l’impunité. Dans les affaires que je suis, elles sont quasi toutes classées. Dénoncer les fabricants de ces armes. Revenir à une gestion du conflit sans répression ».

    « Nous sommes en guerre » de Pierre Douillard-Lefèvre, Éd. Grevis, 12 €.

    #Violences_policières

  • Médecin soupçonné de meurtres au Mans : comment l’alerte a été donnée
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-mans-72000/le-mans-medecin-soupconne-de-meurtre-comment-l-alerte-a-ete-donnee-9fc6

    Soupçonné d’avoir provoqué la mort de patients, un ancien médecin de l’unité de soins palliatifs du Pôle santé sud, au Mans, a été mis en examen, ce jeudi 6 janvier. La directrice de l’établissement revient sur la façon dont la sonnette d’alarme a été tirée par ses collègues.

    #paywall

  • Les gendarmes contrôlent les passes en plein film, le cinéma de Châteaubriant décide de fermer
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/chateaubriant-44110/chateaubriant-seances-perturbees-par-des-controles-de-passes-sanitaires

    À Châteaubriant, le cinéma Émeraude a décidé de fermer « jusqu’à nouvel ordre », jeudi 23 décembre, après avoir vécu deux contrôles de passes sanitaires, en pleine séance, par la gendarmerie.

  • Nantes. Des catholiques empêchent la tenue d’un concert du Lieu unique
    Ouest-France, Kevin GRETHEN, Publié le 07/12/2021 à 23h12
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-des-catholiques-empechent-la-tenue-d-un-concert-2a77173c-57a2-11
    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMTEyNWViYWRhYmYwYjVhMGVhZjEwZTNmYmZmZDM5OThjMWI?width=1260&he

    Ils étaient nombreux à s’être déplacés pour venir écouter Anna Von Hausswolf. Parfois de loin, comme Benjamin et Anaïs, venus de Rennes. « Ce qu’il s’est passé ce soir est hallucinant », réagit le couple, curieux « d’entendre cette femme qu’on ne connaît pas. Ça nous semblait sympa d’entendre de la musique jouée avec des instruments originaux, comme l’orgue. »

    Mais ce mardi soir 7 décembre, le public n’a pas pu entrer dans l’église Notre-Dame-de-Bon-Port, empêché par des personnes décidées à entraver la tenue du concert de l’artiste suédoise dont la tournée européenne faisait étape à Nantes. « Elle s’est déjà produite dans une quarantaine d’églises ou cathédrales et il n’y a jamais eu de problème », soupire Eli Commins, directeur du Lieu unique, un organisateur en colère. À Nantes, Anna Von Hausswolf n’a pas pu jouer. « Elle est attristée… »

    Satanisme et ésotérisme ?

    La foule a bien tenté de pénétrer dans le lieu de culte en forçant le passage. « Mais c’était impossible, c’était cadenassé », racontent des spectateurs. Il y a eu quelques bousculades, « rien de méchant », disent-ils. Ils ont essayé de discuter, parfois. « Le concert devait démarrer à 21 h, mais les opposants étaient présents bien avant. Ils chantaient des choses religieuses. On a compris qu’ils ne voulaient pas de la tenue d’un concert dans une église. Et il y a une grosse incompréhension, parce qu’ils pensent que cette artiste crée de la musique sataniste, ésotérique », prolongent des participants, dont la tenue n’évoque pas du tout les habituels vêtements des amateurs de ce genre artistique. (...)

  • Un concert annulé sous la pression de catholiques intégristes à Nantes
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/12/08/un-concert-annule-sous-la-pression-de-catholiques-integristes-a-nantes_61051


    L’église Notre-Dame du Bon-Port, à Nantes, en juin 2014.
    JEAN-SÉBASTIEN ÉVRARD / AFP

    Un petit groupe de radicaux a bloqué l’entrée d’une église, à Nantes, où devait se tenir mardi soir un concert programmé par le Lieu unique. Les organisateurs et plusieurs élus de la ville dénoncent une atteinte à la liberté d’expression.

    La musicienne suédoise Anna von Hausswolff devait se produire dans une église de Nantes, mardi 7 décembre au soir, mais un groupe de catholiques intégristes l’en a empêchée. Jugeant sa musique « sataniste », ces derniers se sont cadenassés dans l’église Notre-Dame du Bon-Port, bloquant ainsi l’accès aux spectateurs.

    • Hypermarchés, la chute de l’empire

      Menacés par les géants du numérique et de nouveaux usages, les acteurs historiques de la grande distribution luttent sans merci pour assurer la pérennité de leur modèle. Une enquête fouillée, menée par le journaliste d’investigation Rémi Delescluse.

      Le modèle de l’hypermarché a-t-il fait son temps ? Ce concept révolutionnaire du « tout sous le même toit », popularisé en 1963 par Carrefour, a conquis le monde entier. Aujourd’hui pourtant, le pionnier français, comme ses concurrents, a un genou à terre. En cause notamment, la crise du gigantisme, associé à une déshumanisation du commerce et à la surconsommation, pointée du doigt à l’heure des grands défis écologiques. Selon les experts, la toute-puissance de certains groupes serait menacée d’ici dix ans. Désormais, tout le secteur cherche à sauver ce qui peut l’être, quitte à verser dans des pratiques à la limite de la légalité. Pour obtenir des prix toujours plus bas, sans lesquels elles seraient désertées, les grandes enseignes mettent les fournisseurs sous pression au cours de renégociations annuelles réputées difficiles : entretiens dans des box minuscules à la température trafiquée, chaises bancales sabotées pour l’inconfort, discriminations sexistes, violence verbale... Comme le formule le directeur d’un grand groupe, dont les propos sont rapportés dans le documentaire, « ce qui est important, c’est de briser les jambes des fournisseurs. Une fois au sol, on commence à négocier ». Sans compter les contrats qui gardent captifs les franchisés ou les nouvelles alliances européennes de centrales d’achats, particulièrement opaques, qui facturent aux fournisseurs des services qualifiés par certains de « fictifs ».

      La loi du plus fort
      La peur de disparaître pousse les grandes enseignes à toujours plus d’agressivité. Dans leur ligne de mire, les plates-formes d’e-commerce, qui pourraient bientôt précipiter leur ruine. Trois ans à peine après avoir racheté pour 13 milliards de dollars Whole Foods, Amazon a déjà lancé sa propre enseigne, Amazon Fresh : des magasins dans lesquels les Caddies connectés améliorent l’expérience de clients fidélisés par abonnement et dont les moindres données sont collectées. Plongeant au cœur des sombres pratiques de la grande distribution, le documentaire de Rémi Delescluse propose un état des lieux mondial du secteur, soumis à la loi du plus fort, et s’interroge sur son futur. Certains prédisent la domination prochaine des nouveaux venus, de l’approvisionnement à la distribution, comme c’est le cas en Chine. En France, Amazon détient déjà 10 % du marché des produits de grande consommation…

      https://www.arte.tv/fr/videos/095178-000-A/hypermarches-la-chute-de-l-empire
      signalé ici aussi:
      https://seenthis.net/messages/933247

    • À Verrières-en-Anjou, juste à la sortie d’Angers, les plateformes logistiques poussent comme des champignons en automne. Et ce n’est pas fini. Après la plateforme géante d’Action et celle d’InVivo (Jardiland, Gamm Vert, Delbard…), à qui le tour ?

      Afin de répondre aux demandes des entreprises, et pas seulement celles de logistique, Angers Loire Métropole a besoin de très grands terrains. Pour créer un nouveau parc d’activités, l’Agglomération a jeté son dévolu sur ceux qui se trouvent au sud de Saint-Sylvain-d’Anjou, dans un triangle dessiné par l’autoroute A 11 et les départementales 323 et 115. Son nom : « Nouvelle Océane ».

      Le périmètre d’étude porte sur 125 ha, mais le chiffre définitif, qui sera connu l’an prochain, devrait passer sous la barre des 100 ha.

      Ça fait encore beaucoup. Plusieurs agriculteurs et habitants qui travaillent et vivent dans ce périmètre sont très directement concernés par la concertation préalable qui a débuté, et au terme de laquelle sera défini le périmètre précis de la zone d’aménagement concerté. Des terres agricoles et des maisons sont en effet condamnées à disparaître.
      Plusieurs projets « sous compromis »

      Une première permanence est prévue le mardi 23 novembre de 15 heures à 18 heures à la mairie de Verrières. Des techniciens d’Alter Public, l’entreprise publique locale chargée de mener à bien le projet, seront présents...
      Près d’Angers. Près de 100 hectares pris à l’agriculture pour accueillir des entreprises

      https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/pres-d-angers-pres-de-100-ha-pris-a-l-agriculture-pour-accueillir-des-e #paywall

  • Comment Rennes a coupé l’herbe sous le pied d’Amazon - Rennes - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes/comment-rennes-a-coupe-l-herbe-sous-le-pied-d-amazon-09-11-2021-1286342


    Logo d’Amazon sur un des centres de la société, à Bretigny-sur-Orge.
    (AFP)

    Opposée à l’implantation d’Amazon à la Janais, près de Rennes, la Métropole a finalisé le rachat des terrains visés par le géant du numérique, qui devra aller voir ailleurs.

    Un entrepôt d’Amazon sur la métropole rennaise, ce n’est sans doute pas demain la veille. Pour s’en apercevoir, il fallait bien prêter l’oreille lors du conseil métropolitain du 23 septembre, où l’annonce est passée comme un colis à la poste. La collectivité est sur le point de racheter à Stellantis (ex-PSA) 22 ha de son usine automobile de la Janais, au sud de Rennes. 16 millions d’euros d’argent public, apportés par la Métropole et par l’Établissement public foncier de Bretagne, sont mobilisés pour l’opération. Le hic ? Une partie de ces terrains était dans le collimateur d’Amazon, dont l’installation dans ce secteur semble enterrée pour de bon.

    « C’est plus simple d’être propriétaire des terrains que soumis à une vente qui est souvent au plus offrant », justifie à la tribune Sébastien Sémeril, vice-président à l’économie, en prenant soin de ne pas citer la firme de Jeff Bezos. « On peut se retrouver avec des occupants qui ne sont pas en adéquation avec nos objectifs ». Ces 22 ha s’ajoutent au 53 déjà dans le giron de la Métropole, rachetés en 2015 à PSA pour l’empêcher de plier bagage. La collectivité entend reconvertir le site en « laboratoire de l’industrie du XXIe siècle », tourné vers les mobilités décarbonées et le bâtiment durable. Une « vitrine » où Amazon n’avait pas sa place, aux yeux des élus. Accepteraient-ils de l’installer ailleurs ? Le Mensuel de Rennes n’a jamais eu la réponse. Les écologistes, membres de la majorité, n’ont pas fait mystère quant à eux de leur opposition.

    Cette vente entre Stellantis et la Métropole s’est faite un peu sous le manteau

    Ce projet d’implantation à Rennes est longtemps resté secret. C’est Montea, une société belge, qui avait jeté son dévolu sur ces terrains pour y construire, entre autres, un entrepôt. Elle l’aurait ensuite loué au géant de l’e-commerce. Les parcelles ont été bloquées pendant près d’un an, le temps des discussions et des études. La vente devait à l’origine intervenir fin 2020. C’était sans compter sur le refus catégorique de la Métropole. Et là aussi, les Rennais ont failli ne pas être au courant. C’est Carole Gandon, cheffe de file de l’opposition LRM, qui avait levé le lièvre en mars, dénonçant le blocage rennais. Amazon, d’ordinaire discret, avait fini par reconnaître l’existence du projet au Mensuel : « Un projet nous a été proposé et nous pourrions l’activer si les conditions étaient réunies ». Elles le sont moins que jamais.

    « Cette vente entre Stellantis et la Métropole s’est faite un peu sous le manteau », regrette une source proche du dossier, intéressée par l’arrivée d’Amazon. « En général, les territoires sont prêts à accueillir des investisseurs qui déploient des moyens, pas à se substituer à eux ». Pire, accuse-t-elle, la collectivité se serait portée acquéreur uniquement pour empêcher la pieuvre américaine de débarquer à Rennes. Ce que corrobore un autre acteur de l’affaire. De concert, ces deux sources l’affirment : « Amazon saura trouver des territoires prêts à l’accueillir, juste derrière les frontières de la Métropole ».

  • Hôpitaux, écologie... : le gouvernement préfère la bonne santé du Capital à la santé des français
    https://ricochets.cc/Hopitaux-ecologie-le-gouvernement-prefere-la-bonne-sante-du-Capital-a-la-s

    L’Etat et le gouvernement macroniste se préoccupent d’abord de la santé du Capital et des revenus des plus riches : Le gouvernement se fiche pas mal de la santé des français : HOPITAL DE CHALON - Plus de 400 opérations chirurgicales reportées... et ce n’est pas fini ! - Parce que tout le monde n’a que ça à la bouche, il était opportun de lever toute ambiguité. La situation de l’hôpital de Chalon sur Saône peut se retrouver de manière quasi analogue sur bien d’autres hôpitaux publics. Une situation qui n’a (...) #Les_Articles

    / #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.info-chalon.com/articles/2021/10/07/64076/hopital-de-chalon-plus-de-400-operations-chirurgicales-reportees-et-ce-
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/a-laval-le-personnel-des-urgences-de-l-hopital-en-greve-a-partir-de-sam
    https://www.ra-sante.com/lyon-penurie-soignants-hopital-en-situation-urgence-absolue.html

  • Angers. Comment les forces de sécurité se préparent à gérer l’arrivée des ministres du gouvernement
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/ministres-et-parlementaires-a-angers-comment-les-forces-de-securite-se-

    À partir du dimanche 5 septembre et jusqu’au mardi 7 septembre, le Premier ministre, une trentaine de ministres et près de 300 parlementaires seront à Angers (Maine-et-Loire) pour les journées parlementaires LREM (La République en marche). Police et gendarmerie préparent activement le dispositif pour assurer la sécurité des membres du gouvernement et des 300 parlementaires. Au risque de donner quelques sueurs froides…
    . . . . .
    « C’est du jamais vu ! Vous imaginez la presque quasi-totalité du gouvernement avec le Premier ministre et les parlementaires dans une même ville ? Au moindre pépin sur la sécurité, ça peut faire mal ».
    De la bouche de ce policier, depuis maintenant huit jours, la tension est à son comble. À partir de dimanche 5 et jusqu’au mardi 7 septembre, ce dernier devra, avec l’ensemble de ses collègues, assurer la sécurité de pas loin de trente membres du gouvernement, d’un Premier ministre et de 300 parlementaires rassemblés au sein du centre des congrès, mais aussi des établissements hôteliers du secteur.
    . . . . .
    Selon nos informations, des escadrons de CRS et de gendarmes mobiles vont être déployés dans les quatre coins de la ville ainsi que des brigades fluviales postées sur la Maine. « On parle aussi de renforts de haute montagne, de démineurs mais aussi de tireurs de précision (TP) » , informe une source proche de l’organisation. Du côté de la gendarmerie, les militaires devraient assurer le trajet du Premier ministre entre l’aéroport d’Angers-Marcé jusqu’au centre-ville.
    . . . . .
    #Angers #police #EnMarche

  • Court article de Oust ! France qui t’explique que téléphoner avec son portable en Nord Mayenne confine à la pratique d’un sport extrême.

    Situation aisément transposable dans le sud de ce département où j’ai pu tester la #fracture_numérique (avec 3 mois de délai pour être raccordé à la fibre). La scoumoune intégrale.

    En Mayenne, même perchés sur un escabeau, certains habitants peinent à avoir du réseau
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/vautorte-53500/en-mayenne-meme-perches-sur-un-escabeau-certains-habitants-peinent-a-av

    • Anecdote :
      Un soir, notre voisin en panique arrive pour nous demander d’utiliser notre téléphone fixe. Sa mère est en urgence cardiaque (tachycardie à 140 et difficultés respiratoires) et son portable ne capte pas. Madame Sombre (qui sait gérer ce genre de situation vu sa profession) appelle le 15. On lui demande de se tenir au chevet de la malade et de communiquer son état en temps réel. Oui, sauf que, à l’intérieur de la maison des voisins, et bien le portable ne capte pas. Donc, madame se tient dans la cour avec son propre portable où là, elle capte un faible signal (sûrement parce que notre box doit encore pouvoir transmettre un peu de jus grâce à sa « femtocell ») Ça lui permet de continuer la conversation avec l’opératrice du 15. Sauf que cette dernière est contrariée parce que ma compagne relaie les infos transmises de vive voix par le fils de la patiente qui lui se trouve auprès de sa mère à l’intérieur de leur maison.
      Bon, les pompiers finissent par se radiner. Pareil pour eux qui ont besoin de communiquer avec leur central et l’hôpital local, pas de signal sur leurs portables. Je me tiens dans la rue, juste en dessous de la fenêtre de la pièce où se trouve la box, le combiné de la ligne fixe à la main. Je propose donc aux pompiers d’utiliser ce téléphone pour leurs besoins. Et, miracle ! Le signal de la base arrive à passer en extérieur malgré des murs épais. C’est ainsi que j’ai servi de cabine téléphonique pendant une petite heure.
      Au final, la maman du voisin a pu être transférée dans de bonnes conditions à l’hosto du coin.
      Ce qui est « mignon », c’est que les gens de l’extérieur te croient à peine quand tu tentes de leur expliquer que tu es en #zone_blanche.

  • Plus d’urgence de nuit au centre hospitalier de Montaigu (Vendée)

    « Les établissements publics de santé vendéens sont confrontés à une situation inédite de difficultés liée à la pénurie nationale de médecins urgentistes », signale la direction du Centre hospitalier départemental (CHD) de La Roche-sur-Yon.

    Dans un communiqué de presse publié lundi 19 juillet, elle alerte sur un « contexte très tendu » et un déficit de médecins urgentistes au CHD Vendée de La Roche-sur-Yon, au Centre hospitalier Loire Vendée Océan de Challans, au Centre hospitalier Côte de Lumière des Sables-d’Olonne.

    Il n’y aura pas d’urgence de nuit au centre hospitalier de Montaigu jusqu’au 15 août. Les hôpitaux appellent à la responsabilité de chacun et à ne pas encombrer le 15.

    Source : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/vendee/vendee-face-au-manque-de-medecins-urgentistes-cet-ete-les-hopitaux-adap

    #hôpital #santé #france #en_vedette #médecine #hôpitaux #Urgences #EnMarche

  • Mort de Steve à Nantes. L’ex-directeur de cabinet du préfet mis en examen pour homicide involontaire
    Ouest-France Christian MEAS. Modifié le 23/07/2021 à 14h51
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/mort-de-steve-a-nantes-l-ex-directeur-de-cabinet-du-prefet-mis-en-exame

    Johann Mougenot, directeur de cabinet du préfet en 2019, au moment de la mort de Steve Maia Caniço , le soir de la Fête de la musique à Nantes, a été mis en examen pour homicide involontaire, ce jeudi 22 juillet, indique le parquet de Rennes. Une décision du magistrat instructeur qui arrive quelques jours après celle concernant le commissaire qui dirigeait l’opération de police. (...)

    #Steve_Caniço #Steve

  • Pays de la Loire. Covid-19 : 22 clusters dans des campings vendéens
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/pays-de-la-loire-covid-19-22-clusters-dans-des-campings-vendeens-2dcad7


    Presque 2,3 millions d’habitants des Pays de la Loire ont déjà reçu une première injection.
    ARCHIVES OUEST-FRANCE

    Parmi les 89 cas positifs détectés dans ces foyers de contamination, la majorité sont des animateurs, selon l’Agence régionale de santé.

    À l’heure des vacances d’été, la propagation du virus s’accélère sur le littoral. Selon l’Agence régionale de santé (ARS), 22 foyers de contamination ont été détectés dans des campings vendéens, dans les secteurs de Saint-Jean-de-Monts et Saint-Hilaire-de-Riez. « On compte au moins 89 cas positifs, dont 62 concernent des animateurs, souvent jeunes et pas vaccinés », précise l’agence. Les personnes contaminées ont été mises à l’isolement, et les établissements ont renforcé les gestes barrières dans certaines activités. Un cluster a également été localisé dans un camping vers Guérande et Pornichet (Loire-Atlantique). Parmi les 21 personnes contaminées, 18 sont des salariés.

    En Vendée, 10 000 doses supplémentaires ont été livrées la semaine dernière, et 10 000 autres le seront la semaine prochaine. « C’est l’effort le plus important dans la région », indique l’ARS. Les horaires de vaccination seront également élargis.

    Des indicateurs à la hausse dans la région
    « La quatrième vague est bien là, les indicateurs repartent à la hausse en Pays de la Loire », selon le directeur général de l’ARS, Jean-Jacques Coiplet. Le taux d’incidence s’élève à 76,1/100 000 habitants, et le taux de positivité à 2,8 %. Quant au taux de reproduction du virus – le r effectif – il atteint désormais 1,83, contre 1,96 en France. L’impact reste tout de même très faible sur l’offre de soins, même si l’on constate une légère augmentation des hospitalisations (138) et réanimations (20).

    Une situation très hétérogène
    En Pays de la Loire, la situation est très hétérogène en fonction des territoires et des publics. En raison de l’afflux des touristes le long du littoral, le taux d’incidence est beaucoup plus fort en Loire-Atlantique et Vendée que dans les autres départements. « Il dépasse même le seuil de 100 en Loire-Atlantique », précise l’ARS. Autre spécificité : le taux d’incidence est faible chez les plus de 70 ans (environ 10), mais avoisine les 115 chez les 20-29 ans.
    Vigilance accrue

    La reprise épidémique est marquée par la prédominance du variant Delta, qui représente désormais 90 % des cas positifs. « Le variant anglais a presque disparu », souligne l’ARS. Elle remarque aussi que de nombreux clusters ont été localisés dans la région, notamment dans des campings le long du littoral, mais aussi dans des centres de loisirs et des lieux accueillant des mariages (une quinzaine sont actuellement suivis).

    La vaccination est donc « un enjeu majeur pour les prochaines semaines », selon l’ARS, qui se félicite du nombre de Ligériens ayant reçu une première injection, « presque 2,3 millions ».