• The software did exactly what it was told to do. In fact it did it perfectly. The reason it failed is that it was told to do the wrong thing. Software failures are failures of understanding, and of imagination.

      […]

      The programmer, the renowned Dutch computer scientist Edsger Dijkstra wrote in 1988, “has to be able to think in terms of conceptual hierarchies that are much deeper than a single mind ever needed to face before.” Dijkstra meant this as a warning. As programmers eagerly poured software into critical systems, they became, more and more, the linchpins of the built world—and Dijkstra thought they had perhaps overestimated themselves.

    • Je n’ai pas encore tout fini mais presque, mais en gros le sens général du papier, c’est que ça part sur un constat plutôt pas mal sur la complexification monstrueuse dû à l’informatisation dans le moindre recoin (exemple des voitures, mécanique vs logiciel). Et au final, à partir du milieu de l’article ça part dans le solutionnisme méga technologique encore plus compliqué, en proposant d’utiliser des méta-logiciels industriels qui génèrent le code à la place des humains à partir de modèles logiques en prise avec la réalité, ce qui en soi est intéressant mais qui concrètement implique d’utiliser des logiciels encore plus compliqués pour ça, issu de l’industrie de l’aviation, de Dassault, etc. Ça ne parle absolument pas d’imaginer des innovations low tech, avec moins d’informatique, de revenir à des choses plus mécaniques et plus facile à réparer, etc, non : toujours plus compliqué.

    • Ça ne parle absolument pas d’imaginer des innovations low tech, avec moins d’informatique, de revenir à des choses plus mécaniques et plus facile à réparer, etc, non : toujours plus compliqué.

      N’oublies pas le contexte, ô @rastapopoulos, l’auteur est lui-même un codeur.. et il tombe dans le piège qu’il décrit.
      Résultat l’article n’a pas de conclusion, c’est une fuite en avant à l’image de la techonologisation forcenée dont on est tous spectateurs.