Méditerranée : un navire part à la rescousse des migrants
▻https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Mediterranee-navire-part-rescousse-migrants-2020-04-04-1201087829
#Covid-19#Migration#Migrant#Libye#Méditerranée
Le coronavirus arrive à Gaza, l’ONU parle d’un possible désastre
▻https://www.humanite.fr/le-coronavirus-arrive-gaza-lonu-parle-dun-possible-desastre-686783
Coronavirus : face aux craintes, des usines se lancent dans les masques « made in Gaza »
L’émissaire de l’ONU pour le Proche-Orient Nickolay Mladenov a alerté le Conseil de sécurité lundi sur les risques que pose la crise sanitaire actuelle sur un territoire comme Gaza.
« Gaza est l’une des zones les plus peuplées du monde. Avec un système de soins déjà fragile, cela en fait un territoire particulièrement menacé en cas d’irruption de la maladie ».
Pour l’heure, seuls deux hommes revenus d’un voyage au Pakistan, sept agents de sécurité ayant été en contact avec eux et une autre personne ont été recensés comme porteurs du virus à Gaza.
Plus de 1.500 personnes ont par ailleurs été placées en quarantaine dans le sud du territoire après être rentrées d’Egypte. Depuis, les points de passage avec l’Egypte, comme avec Israël, ont été fermés.
Le Hamas a pris des mesures, comme la fermeture des écoles, avant même l’apparition du virus sur le territoire, lorsque les cas de Covid-19 ont commencé à se multiplier en territoire israélien, dont l’enclave est séparée par une large barrière sécurisée.
Dans les rues de Gaza, l’arrivée d’équipements de protection a toutefois permis aux habitants de maintenir un semblant de vie normale.
▻https://www.la-croix.com/Monde/Coronavirus-face-craintes-usines-lancent-masques-made-Gaza-2020-04-01-1301
Questions au gouvernement, puisqu’elles sont restées sans réponse - Clémentine Autain
▻http://clementine-autain.fr/questions-au-gouvernement-puisquelles-sont-restees-sans-reponse
Des questions et des remèdes précis proposés par Clémentine Autain. Gouverner, c’est agir, pas bavarder. Or le gouvernement ne bouge pas par idéologie : remettre en route les activités nécessaires à la fabrication locale des moyens de protection, de dépistage, c’est maintenant.
Les appels au secours se multiplient sur le défaut de matériels qui met en grave danger les personnels soignants. Un exemple parmi tant d’autres : six jours après les promesses de distribution de masques dans les pharmacies, Christian Lehmann, médecin dans les Yvelines, doit encore se contenter de 50 masques chirurgicaux retrouvés par sa pharmacienne et datant de 2009. Les stocks de masques n’auraient pas dû être détruits et l’histoire de ce scandale d’État est maintenant dans le domaine public ( lire par exemple : ►https://www.franceculture.fr/politique/penurie-de-masques-les-raisons-dun-scandale-detat). La France a parié sur le grand marché mondial, sur l’importation, et s’est donc dépossédée en matière de souveraineté, de capacité de réaction et de protection. C’est ainsi que l’entreprise Honeywelle Safety a dû arrêter de produire 200 millions de FFP2 par an faute de commande de l’État (▻https://mobile.france.tv/france-2/journal-20h00/1319657-journal-20h00.html).
Maintenant, on sait qu’il faut anticiper la fabrication en France. En 48 heures, les Tissages de Charlieu dans la Loire ont modifié leur ligne de production pour en fabriquer 130.000 par jour (▻https://www.la-croix.com/Economie/Entreprises/Coronavirus-130-000-masques-jour-usine-Loire-2020-03-21-1201085320). L’Atelier Tuffery en Lozère, entreprise éthique, a décidé également de s’y mettre, sans dégager le moindre profit (►https://www.bastamag.net/Masques-covid19-penurie-PME-Lozere-filiere-courte-jeans-fabriques-en-Franc). D’autres entreprises mettent la main à la pâte mais l’État doit planifier cette production d’ensemble, la maîtriser, réquisitionner autant que de besoin dans le monde du textile, et en coordonnant avec d’autres secteurs pour les masques plus protecteurs qui nécessitent des savoir-faire spécifiques. D’où ma question : quelles entreprises l’État va-t-il enfin réquisitionner pour fabriquer des masques, des gants, des sur-blouses ou encore des charlottes ? Quelle chaine d’approvisionnement est mise en place ? Pas de réponse, sinon des remerciements aux industriels, une phrase sur la difficulté à fabriquer des masques homologués en raison des propriétés filtrantes et un vague « nous avons réussi à mobiliser les filières industrielles dans ce combat ».
Les hôpitaux manquent également de bouteilles d’oxygène. Luxfer, seule usine qui en fabriquait en France, a été délocalisée en 2018 mais ses ouvriers implorent une remise en activité (▻https://www.marianne.net/economie/appels-nationaliser-l-usine-de-luxfer-nous-pourrions-securiser-l-approvisi). Le gouvernement va-t-il enfin le permettre ? Pas de réponse, en dehors des mêmes termes généraux.
Les cliniques privées demandent à être réquisitionnées (▻https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-les-cliniques-privees-demandent-etre-requisitionnees-678954). Qu’attend l’État ? Pas de réponse.
La pénurie de gel est aussi préoccupante. Les messages de prévention nous demandent de nous laver les mains avec du savon ou, à défaut, avec du gel hydroalcoolique, mais bon courage pour en trouver. La situation s’est améliorée mais nous sommes nombreux à faire l’expérience de ne pas en trouver dans notre pharmacie. Quelle mainmise de la puissance publique sur les entreprises françaises qui peuvent en fabriquer ? La ministre me répond que la production de gel a été augmentée grâce à LVMH ou Pernod-Ricard et qu’il n’y a pas de manque de gel, ce qui a fait sacrément tousser dans les commentaires sur mes réseaux sociaux…
La France a délocalisé l‘essentiel de la fabrication de paracétamol. Depuis la délocalisation de Rhône-Poulenc, 85% provient des États-Unis et 15% de la Chine. Il semble que nous ayons aujourd’hui deux mois de stocks. J’ajoute que nous manquons également d’intubateurs. Quand et comment le gouvernement va-t-il relancer ces productions en France ? Pas de réponse, en dehors de termes très généraux sur la « reconquête industrielle » et la « relocalisation » à enclencher – après avoir imposé les traités de libre-échange de type CETA, entendre dans la bouche d’En Marche l’objectif de relocalisation, comme s’il avait toujours été là, fait un drôle d’effet…
Je demandais des réponses claires, précises, chiffrées et je me retrouve face à un discours général qui n’est pas de nature à rassurer. En pleine crise sanitaire, on ne peut pas naviguer à vue et compter sur le bon-vouloir des entreprises incitées à contribuer à l’effort national. Puisque le gouvernement se prépare depuis deux mois – le Premier Ministre l’a rappelé avant-hier au Journal Télévisé – la puissance publique devrait maintenant pouvoir dire « nous réquisitionnons telle et telle entreprise pour fabriquer tel produit manquant et nous pouvons vous affirmer que tant de ce produit seront disponibles dans tant de jours ». Je constate que l’idée de réquisitionner est étrangère à des dirigeants totalement acquis aux normes néolibérales. D’ailleurs, le ministre Bruno Le Maire au moment de la privatisation d’ADP ou de la Française des jeux s’était montré sans ambiguïté : l’État n’a « pas vocation à diriger des entreprises concurrentielles ». Aujourd’hui le ton a un peu changé face aux événements puisque, sur BFM Business le 18 mars, le même ministre disait : “Si pour protéger notre patrimoine industriel il faut aller jusqu’à la nationalisation de certaines entreprises parce qu’elles seraient attaquées sur les marchés, je n’aurai aucune hésitation. » Je dis un peu parce que cela ne relève pas de l’État stratège et protecteur que j’appelle de mes vœux. Il s’agit en gros de socialiser les pertes. Le patron du Medef ne dit pas autre chose quand il plaide pour une nationalisation de certaines entreprises en difficulté (▻http://www.leparisien.fr/economie/coronavirus-le-medef-favorable-a-la-nationalisation-d-entreprises-en-gran). Nous, ce que nous voulons, c’est que l’État se dote des moyens nécessaires pour répondre au défi de la crise sanitaire, et pour cela, les incursions dans la propriété privée ne doivent pas être taboues mais subordonnées à l’intérêt humain, et la mise en commun des richesses doit permettre d’augmenter nos capacités pour répondre aux besoins essentiels.
Je n’ai pas parlé, dans ma question hier, du dépistage mais l’enjeu des tests est aussi décisif. Or pour l’instant, les laboratoires français et les usines manquent de matériel pour fabriquer des kits à cet effet. Nous en fabriquons aujourd’hui environ 5.000 par jour… C’est dire si c’est une denrée rare…. Nous n’avons pas suffisamment de composants pour produire ces tests : les réactifs pour détecter le virus, les bâtonnets qui servent à introduire le réactif dans la narine du patient. C’est d’autant plus dramatique que relever ce défi pourrait modifier la stratégie de confinement dont les méfaits psychologiques, physiques, sociaux sont devant nous. Pour la deuxième fois en quelques jours, des syndicats de soignants ont saisi le Conseil d’État. Ils portent notamment l’exigence de masques pour l’ensemble de la population et un dépistage massif (▻http://www.leparisien.fr/faits-divers/coronavirus-masques-tests-chloroquine-les-soignants-saisissent-de-nouveau.
Notre santé ne peut pas être indexée sur le profit. Hier matin sur France Info, Bruno Le Maire a invité « à faire preuve de la plus grande modération dans le versement des dividendes » cette année. Je repose ma question, à laquelle je n’ai eu aucune réponse, même évasive : pourquoi une simple invitation verbale et non une contrainte légale, comme vous savez le faire quand il s’agit de contraventions individuelles pour manquement aux règles de confinement ?
Clémentine Autain
Covid19-Migration-Afrique
Coronavirus : très exposée, l’Afrique du Sud fait le choix du confinement
Le tourisme est lui aussi fortement touché en raison de la fermeture des frontières aux pays à haut risque.
▻https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Coronavirus-tres-exposee-lAfrique-Sud-fait-choix-confinement-2020-03-25-12
Coronavirus : pourquoi le taux de mortalité est-il aussi bas en #Allemagne ?
▻https://www.sudouest.fr/2020/03/19/coronavirus-pourquoi-le-taux-de-mortalite-est-il-aussi-bas-en-allemagne-734
« Nous avons reconnu très tôt ici la maladie dans notre pays : nous sommes en avance en matière de diagnostic, de détection », affirme Christian Drosten, directeur de l’Institut de virologie à l’hôpital de la Charité à Berlin. Ce critère, associé à l’important maillage territorial de laboratoires indépendants en Allemagne qui dès janvier – alors que le nombre de cas positifs était encore très faible – ont commencé à tester les gens, aurait permis aux docteurs du pays de mieux diagnostiquer la maladie et d’écarter en quarantaine les cas les plus à risque.
Ces nombreux laboratoires augmentent la capacité de dépistage, estimé à quelque 12 000 par jour par l’Institut Robert Koch (IRK), qui pilote la lutte contre l’épidémie. Se faire tester en Allemagne reste compliqué mais, aux dires des experts, plus simple que dans d’autres pays : l’apparition de symptômes couplée au contact avec un cas confirmé ou une personne revenant d’une zone à risque suffisent.
des tests immunologiques seraient aussi intéressants, car, si j’ai développé des anticorps, cela veut dire que, dans certains cas, notamment les relations d’aide et de soin, je pourrais à nouveau travailler sans risquer d’être infectée.
Deux causes principales pour expliquer la faible mortalité allemande :
L’Allemagne est dans le peloton de tête en nombre de lits de soins intensifs (▻https://seenthis.net/messages/832342) et de lits de réanimation (▻https://seenthis.net/messages/832636) ; les tests sont beaucoup plus systématiques (ce que facilite grandement leur gratuité) d’où une prise en charge beaucoup plus précoce.
J’y ajoute, après lecture des deux articles ci-dessous, un suivi médical soigneux des sujets contacts et des malades isolés à domicile, et le nombre plus élevé de sujets jeunes PCR positifs du fait que les tests ne se cantonnent pas aux cas les plus sévères.
Par ailleurs grâce aux tests et l’isolement qui s’en suit, on diminue le nombre de contaminations et on évite ainsi que les capacités hospitalières soient dépassées.
La question demeure à ce jour,
A German Exception ? Why the Country’s Coronavirus Death Rate Is Low - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2020/04/04/world/europe/germany-coronavirus-death-rate.html
Paywall pour moi, mais trouvé ici :
A German exception ? Why the country’s coronavirus death rate is low - The Economic Times
▻https://m.economictimes.com/news/international/world-news/a-german-exception-why-the-countrys-coronavirus-death-rate-is-low/articleshow/74989886.cms
They call them corona taxis: Medics outfitted in protective gear, driving around the empty streets of Heidelberg, Germany, to check on patients who are at home, five or six days into being sick with the coronavirus.
They take a blood test, looking for signs that a patient is about to go into a steep decline. They might suggest hospitalization even to a patient who has only mild symptoms; the chances of surviving that decline are vastly improved by being in a hospital when it begins.
“There is this tipping point at the end of the first week,” said professor Hans-Georg Kräusslich, head of virology at University Hospital in Heidelberg, one of the country’s leading research hospitals. “If you are a person whose lungs might fail, that’s when you will start deteriorating.”
Heidelberg’s corona taxis are only one initiative in one city. But they illustrate a level of engagement and a commitment of public resources in fighting the epidemic that help explain one of the most intriguing puzzles of the pandemic: Why is Germany’s death rate so low?
The virus and the resulting disease, COVID-19, have hit Germany with force: According to Johns Hopkins University, the country had more than 92,000 laboratory-confirmed infections as of midday Saturday, more than any other country except the United States, Italy and Spain.
But with 1,295 deaths, Germany’s fatality rate stood at 1.4% compared with 12% in Italy; around 10% in Spain, France and Britain; 4% in China; and 2.5% in the United States. Even South Korea, a model of flattening the curve, has a higher fatality rate: 1.7%.
“There has been talk of a German anomaly,” said Hendrik Streeck, director of the Institute of Virology at the University Hospital Bonn. Streeck has been getting calls from colleagues in the United States and elsewhere.
“‘What are you doing differently?’ they ask me,” he said. “‘Why is your death rate so low?’”
There are several answers to this question, experts say — a mix of statistical distortions and very real differences in how the country has taken on the epidemic.
The average age of those infected is lower in Germany than in many other countries. Many of the early patients caught the virus in Austrian and Italian ski resorts and were relatively young and healthy, Kräusslich said.
“It started as an epidemic of skiers,” he said.
As infections have spread, more older people have been hit, and the death rate — only 0.2% two weeks ago — has risen, too. But the average age of contracting the disease remains relatively low, at 49. In France, it is 62.5, and in Italy 62, according to their latest national reports.
Another explanation for the low fatality rate is that Germany has been testing far more people than most nations. That means it catches more people with few or no symptoms, increasing the number of known cases but not the number of fatalities.
“That automatically lowers the death rate on paper,” said Kräusslich.
But there are also significant medical factors that have kept the number of deaths in Germany relatively low, epidemiologists and virologists say, chief among them early and widespread testing and treatment, plenty of intensive care beds and a trusted government whose social distancing guidelines are widely observed.
Testing
In mid-January, long before most Germans had given the virus much thought, Charité hospital in Berlin had already developed a test and posted the formula online.
By the time Germany recorded its first case of COVID-19 in February, laboratories across the country had built up a stock of test kits.
“The reason why we in Germany have so few deaths at the moment compared to the number of infected can be largely explained by the fact that we are doing an extremely large number of lab diagnoses,” said Dr. Christian Drosten, chief virologist at Charité, whose team developed the first test.
By now, Germany is conducting around 350,000 coronavirus tests a week, far more than any other European country. Early and widespread testing has allowed authorities to slow the spread of the pandemic by isolating known cases while they are infectious. It has also enabled lifesaving treatment to be administered in a more timely way.
“When I have an early diagnosis and can treat patients early — for example, put them on a ventilator before they deteriorate — the chance of survival is much higher,” Kräusslich said.
Medical staff, at particular risk of contracting and spreading the virus, are regularly tested. To streamline the procedure, some hospitals have started doing block tests, using the swabs of 10 employees, and following up with individual tests only if there is a positive result.
At the end of April, health authorities also plan to roll out a large-scale antibody study, testing random samples of 100,000 people across Germany every week to gauge where immunity is building up.
One key to ensuring broad-based testing is that patients pay nothing for it, said Streeck. This, he said, was one notable difference with the United States in the first several weeks of the outbreak. The coronavirus relief bill passed by Congress last month does provide for free testing.
“A young person with no health insurance and an itchy throat is unlikely to go to the doctor and therefore risks infecting more people,” he said.
Tracking
On a Friday in late February, Streeck received news that for the first time, a patient at his hospital in Bonn had tested positive for the coronavirus: A 22-year-old man who had no symptoms but whose employer — a school — had asked him to take a test after learning that he had taken part in a carnival event where someone else had tested positive.
In most countries, including the United States, testing is largely limited to the sickest patients, so the man probably would have been refused a test.
Not in Germany. As soon as the test results were in, the school was shut, and all children and staff were ordered to stay at home with their families for two weeks. Some 235 people were tested.
“Testing and tracking is the strategy that was successful in South Korea, and we have tried to learn from that,” Streeck said.
Germany also learned from getting it wrong early on: The strategy of contact tracing should have been used even more aggressively, he said.
All those who had returned to Germany from Ischgl, an Austrian ski resort that had an outbreak, for example, should have been tracked down and tested, Streeck said.
A Robust Public Health Care System
Before the coronavirus pandemic swept across Germany, University Hospital in Giessen had 173 intensive care beds equipped with ventilators. In recent weeks, the hospital scrambled to create an additional 40 beds and increased the staff that was on standby to work in intensive care by as much as 50%.
“We have so much capacity now, we are accepting patients from Italy, Spain and France,” said Susanne Herold, a specialist in lung infections at the hospital who has overseen the restructuring. “We are very strong in the intensive care area.”
All across Germany, hospitals have expanded their intensive care capacities. And they started from a high level. In January, Germany had some 28,000 intensive care beds equipped with ventilators, or 34 per 100,000 people. By comparison, that rate is 12 in Italy and 7 in the Netherlands.
By now, there are 40,000 intensive care beds available in Germany.
Some experts are cautiously optimistic that social distancing measures might be flattening the curve enough for Germany’s health care system to weather the pandemic without producing a scarcity of lifesaving equipment like ventilators.
“It is important that we have guidelines for doctors on how to practice triage between patients if they have to,” Streeck said. “But I hope we will never need to use them.”
The time it takes for the number of infections to double has slowed to about eight days. If it slows a little more, to between 12 and 14 days, Herold said, the models suggest that triage could be avoided.
“The curve is beginning to flatten,” she said.
Trust in Government
Beyond mass testing and the preparedness of the health care system, many also see Chancellor Angela Merkel’s leadership as one reason the fatality rate has been kept low.
Merkel has communicated clearly, calmly and regularly throughout the crisis as she imposed ever-stricter social distancing measures on the country. The restrictions, which have been crucial to slowing the spread of the pandemic, met with little political opposition and are broadly followed.
The chancellor’s approval ratings have soared.
“Maybe our biggest strength in Germany,” said Kräusslich, “is the rational decision-making at the highest level of government combined with the trust the government enjoys in the population.”
Covid-19 : le faible taux de mortalité en Allemagne - Sciences et Avenir
►https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-y-a-t-il-si-peu-de-cas-mortels-de-covid-19-en-allemagne_14
[...] Mais comme l’explique la Süddeutsche Zeitung, ce chiffre ne signifie pas que le virus est moins mortel en Allemagne qu’ailleurs. Il s’agit en réalité d’une « déformation #statistique », car il faut tenir compte de différents critères comme le nombre de cas non recensés, qui serait plutôt faible, mais aussi la gravité des symptômes. Sont ainsi prises en compte dans les statistiques allemandes de nombreuses personnes ne présentant que des formes légères de la maladie, tandis qu’en Italie c’est le contraire qui se produit, induisant un fort taux de mortalité, qui indiquerait plutôt qu’un grand nombre de personnes jeunes infectées sont passées à travers les mailles du filet.
[...]
La Süddeutsche Zeitung dénombre cinq critères pouvant influencer le taux de mortalité : l’âge des personnes [testées] infectées (en Allemagne 80% ont moins de 60 ans, en Italie 56% ont plus de 60 ans), la santé pulmonaire, la pollution atmosphérique, la résistance aux antibiotiques, et enfin la qualité et les capacités du système de santé.
La question des tests qui permet de limiter les contaminations et une prise en charge plus précoce est aussi abordée plus loin.
merci @kassem Quand tu te dis que c’est un des acteurs majeurs de l’#Europe, tu peux te demander elle est où là l’#Europe tant vanté par macron avec le retard criminel qu’à pris la France ?
Comme si la bande d’#incapables_LREM ne parlait pas allemand, n’avait pas d’ambassadeur, pas de surveillance ni d’espionnage des pays voisins.
Y’a pas besoin de chercher très loin, dès le début du mois de janvier les allemands se sont préparés pendant qu’en france ils détruisaient les retraites et lançaient des LBD.
#on_viendra_vous_chercher
Le 24 février 2020, le Ministre de la Santé Jens Spahn déclarait en effet : « L’épidémie de coronavirus est arrivée en Europe. Nous devons donc nous attendre à ce qu’elle se propage aussi en Allemagne. L’Allemagne s’y est au mieux préparée. » Cette préparation a commencé dès le début du mois de janvier, avant même que le premier patient infecté soit identifié le 27 janvier en Bavière. Une seule procédure a dès lors été appliquée à tous les cas identifiés, aux personnes contact et aux personnes en provenance de zones à risque : mise en quarantaine immédiate, puis tests en fin de quarantaine. Ces mesures ont permis de circonscrire les trois clusters allemands (en Bavière, Rhénanie-du-Nord-Westphalie et dans le Bade-Wurtemberg) dès la fin février, dans le but d’interrompre le plus vite possible les chaînes d’infection.
Deux gouvernements de droite, mais dont l’un est beaucoup plus respectable que l’autre.
Pollution de l’air : les points noirs de la carte européenne
▻https://www.la-croix.com/Monde/Pollution-air-points-noirs-carte-europeenne-2019-05-18-1301022740
Sinon l’âge médian de la population en Allemagne n’est pas particulièrement bas.
File :Âge médian de la population, 2008-2018 (en années).png - Statistics Explained
▻https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=File:%C3%82ge_m%C3%A9dian_de_la_population,_2008-2018_(en_
Covid-19 : Why Germany’s case fatality rate seems so low | The BMJ
▻https://seenthis.net/messages/841895
Comment les Allemands comptent-ils les décès liés au Covid-19 ? - Libération
▻https://seenthis.net/messages/843414
Il ressort que leurs chiffres seraient moindres s’ils comptaient de la même manière que la plupart des autres pays.
Covid-19 : l’étude des chiffres de la surmortalité en Allemagne confirme-t-elle le bilan officiel ?…
▻https://seenthis.net/messages/856339
L’observation du cas allemand à partir des données de surmortalité confirme, sans équivoque, que le bilan en Allemagne est bien meilleur qu’en France, Espagne, Italie ou au Royaume-Uni.
Covid-19 : risk of death in UK care homes 13 times higher than in Germany | Coronavirus outbreak |…
▻https://seenthis.net/messages/863640
Comment l’Allemagne a été rattrapée par la deuxième vague de Covid-19
▻https://seenthis.net/messages/897262
Coronavirus, l’Italie sous-équipée face à la crise sanitaire
▻https://www.la-croix.com/amp/1201082772?__twitter_impression=true
Face à la rapide diffusion du Covid-19 dans le nord du pays, les hôpitaux de la région sont saturés. Dans les unités qui accueillent les patients infectés, les médecins sont déjà appelés à privilégier ceux qui ont plus de chance de s’en sortir.
« Qui aurait imaginé voir ça au cœur de l’Europe ? Papier vertigineux sur les témoignages des médecins : tri des malades, choix affreux entre patients par manque de lits et de respirateurs artificiels. Ce qui fonde la réaction en catastrophe de l’Etat italien. »
« Voilà où nous auront menés des décennies de politique austéritaire : en des urgentistes obligés de choisir entre 2 malades lequel vivra, lequel mourra.
Merci aux grands gourous néolibéraux, et à la Commission européenne en particulier. »
#Coronavirus
«Con le nostre azioni influenziamo la vita e la morte di molte persone»
▻https://www.ecodibergamo.it/stories/bergamo-citta/con-le-nostre-azioni-influenziamola-vita-e-la-morte-di-molte-persone_13
Con un lungo post su Facebook, il dottor Daniele Macchini, medico dell’Humanitas Gavazzeni, racconta la sua vita in prima linea per contrastare il coronavirus. È una testimonianza da brividi, da leggere dalla prima all’ultima riga.
Ecco il post
In una delle costanti mail che ricevo dalla mia direzione sanitaria a cadenza più che quotidiana ormai in questi giorni, c’era anche un paragrafo intitolato «fare social responsabilmente», con alcune raccomandazioni che possono solo essere sostenute. Dopo aver pensato a lungo se e cosa scrivere di ciò che ci sta accadendo, ho ritenuto che il silenzio non fosse affatto da responsabili. Cercherò quindi di trasmettere alle persone «non addette ai lavori» e più lontane alla nostra realtà, cosa stiamo vivendo a Bergamo in questi giorni di pandemia da Covid-19. Capisco la necessità di non creare panico, ma quando il messaggio della pericolosità di ciò che sta accadendo non arriva alle persone e sento ancora chi se ne frega delle raccomandazioni e gente che si raggruppa lamentandosi di non poter andare in palestra o poter fare tornei di calcetto rabbrividisco.
Capisco anche il danno economico e sono anch’io preoccupato di quello. Dopo l’epidemia il dramma sarà ripartire. Però, a parte il fatto che stiamo letteralmente devastando anche dal punto di vista economico il nostro SSN, mi permetto di mettere più in alto l’importanza del danno sanitario che si rischia in tutto il paese e trovo a dir poco «agghiacciante» ad esempio che non si sia ancora istituita una zona rossa già richiesta dalla regione, per i comuni di Alzano Lombardo e Nembro (tengo a precisare che trattasi di pura opinione personale).
Io stesso guardavo con un po’ di stupore le riorganizzazioni dell’intero ospedale nella settimana precedente, quando il nostro nemico attuale era ancora nell’ombra: i reparti piano piano letteralmente «svuotati», le attività elettive interrotte, le terapie intensive liberate per creare quanti più posti letto possibili. I container in arrivo davanti al pronto soccorso per creare percorsi diversificati ed evitare eventuali contagi. Tutta questa rapida trasformazione portava nei corridoi dell’ospedale un’atmosfera di silenzio e vuoto surreale che ancora non comprendevamo, in attesa di una guerra che doveva ancora iniziare e che molti (tra cui me) non erano così certi sarebbe mai arrivata con tale ferocia. (apro una parentesi: tutto ciò in silenzio e senza pubblicizzazioni, mentre diverse testate giornalistiche avevano il coraggio di dire che la sanità privata non stava facendo niente).
Ricordo ancora la mia guardia di notte di una settimana fa passata inutilmente senza chiudere occhio, in attesa di una chiamata dalla microbiologia del Sacco. Aspettavo l’esito di un tampone sul primo paziente sospetto del nostro ospedale, pensando a quali conseguenze ci sarebbero state per noi e per la clinica. Se ci ripenso mi sembra quasi ridicola e ingiustificata la mia agitazione per un solo possibile caso, ora che ho visto quello che sta accadendo.
Bene, la situazione ora è a dir poco drammatica. Non mi vengono altre parole in mente. La guerra è letteralmente esplosa e le battaglie sono ininterrotte giorno e notte. Uno dopo l’altro i poveri malcapitati si presentano in pronto soccorso. Hanno tutt’altro che le complicazioni di un’influenza. Piantiamola di dire che è una brutta influenza. In questi 2 anni ho imparato che i bergamaschi non vengono in pronto soccorso per niente. Si sono comportati bene anche stavolta. Hanno seguito tutte le indicazioni date: una settimana o dieci giorni a casa con la febbre senza uscire e rischiare di contagiare, ma ora non ce la fanno più. Non respirano abbastanza, hanno bisogno di ossigeno.
Le terapie farmacologiche per questo virus sono poche. Il decorso dipende prevalentemente dal nostro organismo. Noi possiamo solo supportarlo quando non ce la fa più. Si spera prevalentemente che il nostro organismo debelli il virus da solo, diciamola tutta. Le terapie antivirali sono sperimentali su questo virus e impariamo giorno dopo giorno il suo comportamento. Stare al domicilio sino a che peggiorano i sintomi non cambia la prognosi della malattia.
Ora però è arrivato quel bisogno di posti letto in tutta la sua drammaticità. Uno dopo l’altro i reparti che erano stati svuotati, si riempiono a un ritmo impressionante. I tabelloni con i nomi dei malati, di colori diversi a seconda dell’unità operativa di appartenenza, ora sono tutti rossi e al posto dell’intervento chirurgico c’è la diagnosi, che è sempre la stessa maledetta: polmonite interstiziale bilaterale.
Ora, spiegatemi quale virus influenzale causa un dramma così rapido. Perché quella è la differenza (ora scendo un po’ nel tecnico): nell’influenza classica, a parte contagiare molta meno popolazione nell’arco di più mesi, i casi si possono complicare meno frequentemente, solo quando il VIRUS distruggendo le barriere protettive delle nostre vie respiratorie permette ai BATTERI normalmente residenti nelle alte vie di invadere bronchi e polmoni provocando casi più gravi. Il Covid 19 causa una banale influenza in molte persone giovani, ma in tanti anziani (e non solo) una vera e propria SARS perché arriva direttamente negli alveoli dei polmoni e li infetta rendendoli incapaci di svolgere la loro funzione. L’insufficienza respiratoria che ne deriva è spesso grave e dopo pochi giorni di ricovero il semplice ossigeno che si può somministrare in un reparto può non bastare.
Scusate, ma a me come medico non tranquillizza affatto che i più gravi siano prevalentemente anziani con altre patologie. La popolazione anziana è la più rappresentata nel nostro paese e si fa fatica a trovare qualcuno che, sopra i 65 anni, non prenda almeno la pastiglia per la pressione o per il diabete. Vi assicuro poi che quando vedete gente giovane che finisce in terapia intensiva intubata, pronata o peggio in ECMO (una macchina per i casi peggiori, che estrae il sangue, lo ri-ossigena e lo restituisce al corpo, in attesa che l’organismo, si spera, guarisca i propri polmoni), tutta questa tranquillità per la vostra giovane età vi passa.
E mentre ci sono sui social ancora persone che si vantano di non aver paura ignorando le indicazioni, protestando perché le loro normali abitudini di vita sono messe «temporaneamente» in crisi, il disastro epidemiologico si va compiendo. E non esistono più chirurghi, urologi, ortopedici, siamo unicamente medici che diventano improvvisamente parte di un unico team per fronteggiare questo tsunami che ci ha travolto. I casi si moltiplicano, arriviamo a ritmi di 15-20 ricoveri al giorno tutti per lo stesso motivo. I risultati dei tamponi ora arrivano uno dopo l’altro: positivo, positivo, positivo. Improvvisamente il pronto soccorso è al collasso.
Le disposizioni di emergenza vengono emanate: serve aiuto in pronto soccorso. Una rapida riunione per imparare come funziona il software di gestione del pronto soccorso e pochi minuti dopo sono già di sotto, accanto ai guerrieri che stanno al fronte della guerra. La schermata del pc con i motivi degli accessi è sempre la stessa: febbre e difficoltà respiratoria, febbre e tosse, insufficienza respiratoria ecc… Gli esami, la radiologia sempre con la stessa sentenza: polmonite interstiziale bilaterale, polmonite interstiziale bilaterale, polmonite interstiziale bilaterale. Tutti da ricoverare. Qualcuno già da intubare e va in terapia intensiva. Per altri invece è tardi...
La terapia intensiva diventa satura, e dove finisce la terapia intensiva se ne creano altre. Ogni ventilatore diventa come oro: quelli delle sale operatorie che hanno ormai sospeso la loro attività non urgente diventano posti da terapia intensiva che prima non esistevano. Ho trovato incredibile, o almeno posso parlare per l’Humanitas Gavazzeni (dove lavoro) come si sia riusciti a mettere in atto in così poco tempo un dispiego e una riorganizzazione di risorse così finemente architettata per prepararsi a un disastro di tale entità. E ogni riorganizzazione di letti, reparti, personale, turni di lavoro e mansioni viene costantemente rivista giorno dopo giorno per cercare di dare tutto e anche di più.
Quei reparti che prima sembravano fantasmi ora sono saturi, pronti a cercare di dare il meglio per i malati, ma esausti. Il personale è sfinito. Ho visto la stanchezza su volti che non sapevano cosa fosse nonostante i carichi di lavoro già massacranti che avevano. Ho visto le persone fermarsi ancora oltre gli orari a cui erano soliti fermarsi già, per straordinari che erano ormai abituali. Ho visto una solidarietà di tutti noi, che non abbiamo mai mancato di andare dai colleghi internisti per chiedere «cosa posso fare adesso per te?» oppure «lascia stare quel ricovero che ci penso io». Medici che spostano letti e trasferiscono pazienti, che somministrano terapie al posto degli infermieri. Infermieri con le lacrime agli occhi perché non riusciamo a salvare tutti e i parametri vitali di più malati contemporaneamente rilevano un destino già segnato.
Non esistono più turni, orari. La vita sociale per noi è sospesa. Io sono separato da alcuni mesi, e vi assicuro che ho sempre fatto il possibile per vedere costantemente mio figlio anche nelle giornate di smonto notte, senza dormire e rimandando il sonno a quando sono senza di lui, ma è da quasi 2 settimane che volontariamente non vedo né mio figlio né miei familiari per la paura di contagiarli e di contagiare a sua volta una nonna anziana o parenti con altri problemi di salute. Mi accontento di qualche foto di mio figlio che riguardo tra le lacrime e qualche videochiamata.
Perciò abbiate pazienza anche voi che non potete andare a teatro, nei musei o in palestra. Cercate di aver pietà per quella miriade di persone anziane che potreste sterminare. Non è colpa vostra, lo so, ma di chi vi mette in testa che si sta esagerando e anche questa testimonianza può sembrare proprio un’esagerazione per chi è lontano dall’epidemia, ma per favore, ascoltateci, cercate di uscire di casa solo per le cose indispensabili. Non andate in massa a fare scorte nei supermercati: è la cosa peggiore perché così vi concentrate ed è più alto il rischio di contatti con contagiati che non sanno di esserlo. Ci potete andare come fate di solito. Magari se avete una normale mascherina (anche quelle che si usano per fare certi lavori manuali) mettetevela. Non cercate le ffp2 o le ffp3. Quelle dovrebbero servire a noi e iniziamo a far fatica a reperirle. Ormai abbiamo dovuto ottimizzare il loro utilizzo anche noi solo in certe circostanze, come ha recentemente suggerito l’OMS in considerazione del loro depauperamento pressoché ubiquitario.
Eh sì, grazie allo scarseggiare di certi dispositivi io e tanti altri colleghi siamo sicuramente esposti nonostante tutti i mezzi di protezione che abbiamo. Alcuni di noi si sono già contagiati nonostante i protocolli. Alcuni colleghi contagiati hanno a loro volta familiari contagiati e alcuni dei loro familiari lottano già tra la vita e la morte. Siamo dove le vostre paure vi potrebbero far stare lontani. Cercate di fare in modo di stare lontani. Dite ai vostri familiari anziani o con altre malattie di stare in casa. Portategliela voi la spesa per favore.
Noi non abbiamo alternativa. È il nostro lavoro. Anzi quello che faccio in questi giorni non è proprio il lavoro a cui sono abituato, ma lo faccio lo stesso e mi piacerà ugualmente finché risponderà agli stessi principi: cercare di far stare meglio e guarire alcuni malati, o anche solo alleviare le sofferenze e il dolore a chi non purtroppo non può guarire.
Non spendo invece molte parole riguardo alle persone che ci definiscono eroi in questi giorni e che fino a ieri erano pronti a insultarci e denunciarci. Tanto ritorneranno a insultare e a denunciare appena tutto sarà finito. La gente dimentica tutto in fretta. E non siamo nemmeno eroi in questi giorni. È il nostro mestiere. Rischiavamo già prima tutti i giorni qualcosa di brutto: quando infiliamo le mani in una pancia piena di sangue di qualcuno che nemmeno sappiamo se ha l’HIV o l’epatite C; quando lo facciamo anche se lo sappiamo che ha l’HIV o l’epatite C; quando ci pungiamo con quello con l’HIV e ci prendiamo per un mese i farmaci che ci fanno vomitare dalla mattina alla sera. Quando apriamo con la solita angoscia gli esiti degli esami ai vari controlli dopo una puntura accidentale sperando di non esserci contagiati. Ci guadagniamo semplicemente da vivere con qualcosa che ci regala emozioni. Non importa se belle o brutte, basta portarle a casa.
Alla fine cerchiamo solo di renderci utili per tutti. Ora cercate di farlo anche voi però: noi con le nostre azioni influenziamo la vita e la morte di qualche decina di persone. Voi con le vostre, molte di più. Per favore condividete e fate condividere il messaggio. Si deve spargere la voce per evitare che in tutta Italia succeda ciò che sta accadendo qua.
Traduction française reprise sur Le Grand Continent et pointée par @monolecte
►https://seenthis.net/messages/830093
Les Boy Scouts of America déposent le bilan, accusés d’avoir couvert des milliers d’abus sexuels
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/02/18/plombes-par-des-scandales-d-abus-sexuels-les-boy-scouts-of-america-deposent-
Les actions en justice se sont multipliées contre les scouts américains ces dernières années. Le scandale a poussé l’organisation à préparer un fonds d’indemnisation des victimes.
L’une des plus anciennes et des plus importantes organisations de jeunesse des Etats-Unis, Boy Scouts of America (BSA), a annoncé déposer le bilan mardi 18 février, alors que des plaintes d’anciens scouts pour abus sexuels continuaient de s’accumuler.
L’organisation, qui compte 2,2 millions d’adhérents âgés de 5 à 21 ans, a choisi la procédure de sauvegarde afin de poursuivre son activité et créer un fonds d’indemnisation des victimes d’abus sexuels, selon un communiqué publié mardi. Le Los Angeles Times rapporte que le document déposé auprès du tribunal fédéral des défaillances d’entreprises de l’Etat du Delaware estime le passif de l’organisation entre 100 et 500 millions de dollars. Les BSA n’ont pas indiqué quel montant ils entendaient consacrer au fonds d’indemnisation des victimes, qui prendra la forme juridique d’un trust.
« Il fut une époque où des individus ont profité des programmes des BSA pour porter atteinte à des enfants », écrit l’organisation dans le communiqué. Les dirigeants du mouvement considèrent que le fonds d’indemnisation, dont la création devra être validée par un juge, « est le meilleur moyen d’indemniser les victimes de façon équitable et en préservant leur identité ».
7 819 agresseurs présumés et 12 254 victimes entre 1944 et 2016
Les révélations sur des abus sexuels chez les Boy Scouts of America (BSA) ont éclaté au grand jour en 2012. Des milliers de pages de documents avaient été publiées par le Los Angeles Times montrant que l’organisation des scouts américains avait couvert pendant des décennies de nombreux abus sexuels commis par des milliers d’encadrants bénévoles. Il était alors question de quelque 5 000 « dossiers de la perversion », correspondant à autant d’agresseurs sexuels présumés parmi les chefs scouts.
Ces informations avaient jusqu’alors été tenues secrètes par la direction des BSA, qui n’avait souvent pas fait de signalements aux autorités, se bornant régulièrement à écarter les coupables supposés. Fin janvier 2019, lors d’un procès dans le Minnesota, une experte engagée par les BSA pour compiler ces « dossiers de la perversion » a indiqué qu’elle avait identifié 7 819 agresseurs présumés et 12 254 victimes entre 1944 et 2016, soit plus que les estimations antérieures.
Les actions en justice se sont multipliées contre les BSA ces dernières années, notamment à la faveur de modifications législatives dans plusieurs Etats qui ont allongé les délais de prescription pour les agressions sexuelles sur mineurs.
C’est une association œcuménique, c’est à dire qu’elle s’adresse à tou·tes les chrétien·nes, peut-être même au-delà mais je n’ai pas trouvé d’infos sur ça.
Ébranlés par les scandales, les Boy Scouts américains déposent le bilan
▻https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Monde/Boys-Scouts-americains-deposent-bilan-scandale-abus-sexuels-2020-02-18-120
La décision, le mois dernier, de l’Église mormone de rompre ses liens avec le mouvement et de retirer ses 400 000 scouts qui y étaient rattachés, a encore marqué un important revers pour la structure.
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Boy Scouts of America — Wikipédia
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Boy_Scouts_of_America
L’organisation fait l’objet de controverses du fait qu’ils excluent de facto les athées et les agnostiques (puisque la croyance en un dieu est implicite dans le mouvement)[réf. nécessaire] ainsi que, jusqu’en 2012-20152, ceux qui étaient ouvertement homosexuels.
En tout cas ils ont l’air de nationalistes et de suprémacistes blancs, vu de loin...
Affaire Matzneff, le malaise orthodoxe
▻https://www.la-croix.com/Religion/Orthodoxie/Affaire-Matzneff-malaise-orthodoxe-2020-02-12-1201077781
Si l’attente est forte pour certains, c’est aussi parce que l’écrivain déchu, issu d’une famille de hobereaux russes émigrée en France après 1917, a pu jouer un rôle important, au siècle dernier, dans les sphères de l’Église locale. En 1964, il avait notamment participé au congrès fondateur du Comité de coordination de la jeunesse orthodoxe, une instance de développement, à l’international, des relations inter-orthodoxes.
L’année suivante, ce grand proche du théologien Olivier Clément (1921-2009) avait encore participé à la création, avec le prince Konstantin Andronikov (1916-1997) - diplomate, écrivain et ancien interprète russe des présidents français, de Charles de Gaulle à Valéry Giscard d’Estaing - et le père Pierre Struve (1924-1968) à la création de l’émission mensuelle #Orthodoxie sur ce qui s’appelait alors Antenne 2.
#1979
#Patriarcat de Moscou
Apostrophes était également sr Antenne 2
« 🔎 Depuis janvier, le monde de la recherche est en ébullition 🌡 Réforme des retraites, loi de programmation... Pour mieux comprendre les raisons de la colère, c’est par ici ⬇️ »
Les enseignants-chercheurs se mobilisent contre la réforme des retraites
▻https://www.la-croix.com/Famille/Education/enseignants-chercheurs-mobilisent-contre-reforme-retraites-2020-02-07-1201
Inquiets, les enseignants-chercheurs craignent que la réforme des retraites, puis la future loi de programmation de la recherche ne mettent à mal leur statut et instaurent une logique de productivité.
Depuis janvier, la colère a gagné les enseignants-chercheurs – et ceux qui souhaitent le devenir. La coordination nationale des facs et labos en lutte estime que 57 universités, 171 laboratoires et 110 revues sont « mobilisés ».
Ces scientifiques, chercheurs en mathématiques, médecine, sociologie, histoire…, qui tiennent en parallèle une activité d’enseignement, ont le statut de fonctionnaire et s’estiment perdants dans la future réforme des retraites. Le nouveau calcul prendra en effet en compte toutes les années de carrière – primes comprises – et non plus les six derniers mois. Or, les salaires des chercheurs en début de carrière sont bas et leurs primes, faibles. Pour compenser les pertes, le gouvernement a annoncé en janvier une revalorisation de ces primes.
Risque de titularisation retardée avec les nouveaux contrats
Pour compenser les pertes, le gouvernement a annoncé en janvier une revalorisation de ces primes. Pas de quoi calmer la colère. D’autant que la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) annoncée par Edouard Philippe dès février 2019 et qui devrait être présentée au printemps suscite aussi de nouvelles oppositions...
Alex Rubinstein sur Twitter : “Failed coup frontman Juan Guaido gets a taste of how Venezuelan citizens feel about his circuit through foreign countries trying to drum up support for regime change immediately after landing at Caracas airport” / Twitter
▻https://mobile.twitter.com/realalexrubi/status/1227374329396154370?ref_url=https%3a%2f%2fwww.nakedcapitalism.com%2f
▻https://video.twimg.com/ext_tw_video/1227359229985644544/pu/vid/636x360/S8TBQsaAd68KjGH7.mp4?tag=10
L’opposant Juan Guaido de retour au Venezuela après sa tournée internationale
▻https://www.la-croix.com/Monde/L-opposant-Juan-Guaido-retour-Venezuela-tournee-internationale-2020-02-12-
L’opposant est arrivé à l’aéroport international de Maiquetia, qui dessert Caracas, qu’il a ensuite quitté au milieu des invectives et échauffourées entre ses supporters, dont plusieurs députés, et des partisans du président vénézuélien Nicolas Maduro, selon des journalistes de l’AFP.
« Guaido, fasciste ! », ont crié les travailleurs de la compagnie aérienne d’Etat vénézuélienne Conviasa, sanctionnée le 7 février par les Etats-Unis, après avoir pénétré dans la zone où des députés et des journalistes attendaient l’opposant.
Quelques instants auparavant, il avait été aspergé d’un soda par une employée de Conviasa. « Ce petit spectacle était prévisible », a réagi Juan Guaido en riant, selon une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
Sur RT,…
Venezuela : Scuffles erupt in Caracas airport as Guaido returns from tour in Europe and US - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=2RjJWAN7i9I
Ça change de l’atmosphère à son arrivée au même endroit il y a à peine un an…
Juan Guaidó llegó a Venezuela por Maiquetía - NTN24
▻https://www.youtube.com/watch?v=TeaSMDjz-Dk
Apparemment, l’arroseuse a bénéficié de quelques facilités pour aller arroser Guaidó (vidéo incorporée)…
VIDEO | Director de Seguridad de Maiquetía permitió acceso a mujer para que atacara a Guaidó en el aeropuerto - AlbertoNews.com - Periodismo sin censura
▻https://albertonews.com/nacionales/video-director-de-seguridad-de-maiquetia-permitio-acceso-a-mujer-para-q
El director de seguridad del aeropuerto de Maiquetía, Coronel Franco Quintero, permitió acceso a mujer para que atacara al presidente (E) Juan Guaidó, a su llegada a Venezuela
La police pourra extraire toutes les données d’un smartphone, même verrouillé
▻https://www.la-croix.com/France/Securite/police-pourra-extraire-toutes-donnees-dun-smartphone-meme-verrouille-2020-
Plusieurs centaines de commissariats français devraient être équipées de boîtiers capables d’extraire automatiquement toutes les données d’un smartphone, même verrouillé, d’ici à 2024. Un gain de temps précieux pour les enquêteurs, qui pose néanmoins plusieurs questions quant au respect de la vie privée. « Accédez à un large éventail de preuves, même sur des dispositifs mobiles chiffrés ou verrouillés, sur les réseaux sociaux publics et privés ou sur différents services de stockage cloud. » Voici ce que (...)
#Apple #Cellebrite #smartphone #algorithme #criminalité #police #data #écoutes #hacking
Une idée que réfute une source policière, pour qui le boîtier ne pourra extraire « que les données utiles à l’enquête, sans les stocker ». « Il ne faut pas oublier qu’avant d’extraire, il faut qu’il y ait une enquête et donc une autorisation soit d’un juge d’instruction, soit d’un procureur, tient à préciser Éric Pastre. Les personnes qui utilisent ce logiciel sont spécialement formées, on ne fait pas n’importe quoi. »
On connait le discours : on y a eu le droit à chaque pallier de défonce des droits fondamentaux. « On ne prendra que l’ADN des terroristes et on ne fera pas de fichiers ».
Conclusion, verrouiller ne sert à rien, ce qu’il faut surtout c’est chiffrer le disque des appareils sensibles, que ce soit mobile ou ordi.
Ils prétendent pouvoir lire aussi des appareils chiffrés…
Advanced UnlockingCellebrite
Advanced Unlocking Services is the industry’s only solution for overcoming many types of complex locks on market-leading devices. This can determine or disable the PIN, pattern, password screen locks or passcodes on the latest Apple iOS and Google Android devices.This exclusive paid Advanced Unlocking Service is available to law enforcement agencies globally for lawfully authorized examinations. Law enforcement agencies are then empowered to perform the device extraction themselves or take advantage of Cellebrite Advanced Extraction Services to retrieve more data from the most complex devices as part of the same submission process.
Advanced Extraction
Even if an unlocked device is recovered or a consent search is granted, being able to perform a complete physical extraction or full file system extraction of the latest Apple iOS and Google Android devices may not be possible through conventional means due to full disk encryption and a highly intertwined relationship between the secure processor and flash memory.Cellebrite makes the world’s first and only decrypted physical extraction capability possible for leading Apple iOS and Google Android devices. These new capabilities enable forensic practitioners to retrieve the full file system to recover downloaded emails, third-party application data, geolocation data and system logs, without needing to jailbreak or root the device. This eliminates any risk in compromising data integrity and the forensic soundness of the process. This enables access to more and richer digital data for the investigative team.
Comment ils passent le chiffrement et quels chiffrements ?
Soit ils sont très très très forts, soit ce serait de l’enfumage pour vendre à des gens qui connaissent pas le chiffrement. Parce que bon suivant la méthode, ça peut mettre vraiment longtemps à déchiffrer, non ?
Enfin ils précisent pour iOS et Android explicitement, donc ça se trouve ils utilisent des failles qui leur permettent de faire ça rapidement pour ces systèmes uniquement.
« Bien lutter, c’est faire toutes ces choses à la fois, c’est multiplier tous les angles d’attaque »
Edouard Louis ou, à chaque fois, la parole que je n’attendais pas et qui prolonge mes questions, plus loin, plus profond... Petite interview pour La Croix :
« C’est important de représenter la violence »
▻https://www.la-croix.com/Culture/Edouard-Louis-C-important-representer-violence-2020-01-30-1301075258
« Le théâtre est un lieu qui doit bousculer. Si c’est juste un divertissement bourgeois, ça ne m’intéresse pas », lance l’écrivain, rapportant les réactions suscitées par la pièce à l’étranger, avec des spectateurs évoquant leurs propres agressions sexuelles ou le fait d’être un « transfuge de classe », sujets au coeur de l’oeuvre d’Edouard Louis, né dans une famille pauvre du nord de la France.
« Quand on dit +je+, on incite tout un ensemble d’autres personnes » à faire de même, souligne cette figure de l’autofiction, qui revendique l’héritage d’Annie Ernaux et de son ami Didier Eribon (« Retour à Reims »).
Et souhaite que plus de gens exclus puissent à leur tour prendre la parole.
Les évêques catholiques de Terre sainte dénoncent le plan américain
Mélinée Le Priol, le 30/01/2020 à 16:36
▻https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Monde/eveques-catholiques-Terre-sainte-denoncent-plan-americain-2020-01-30-12010
Les évêques catholiques de Terre sainte dénoncent le plan américain
Au lendemain de la présentation par Donald Trump, mardi 28 janvier, de son « plan de paix » pour le Proche-Orient, l’Assemblée des Ordinaires catholiques de Terre Sainte a condamné sans appel une initiative « unilatérale », qui « ignore la dignité et les droits des Palestiniens ».
#deal_du_siècle
(7) A Bagdad, une manifestation anti-Etats-Unis pour faire taire la contestation - Libération
▻https://www.liberation.fr/planete/2020/01/24/a-bagdad-une-manifestation-anti-americaine-pour-faire-taire-la-contestati
Initié par le leader chiite Moqtada al-Sadr, le rassemblement a rassemblé une foule immense
nous dit l’opposante syrienne en poste à Libération
Oui mais combien au juste ?
Radio-Canada réussit à ne rien dire tout, et surtout pas un chiffre, en titrant sur la mort de manifestants... ▻https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1489633/irak-manifestations-tues-blesses-sadr-etats-unis
C’est la même chose à La Croix ▻https://www.la-croix.com/Monde/Marche-antiamericaine-attendue-Bagdad-appel-leader-chiite-2020-01-24-13010
Des « dizaines de milliers de personnes » selon Le Monde (▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/01/25/la-mobilisation-contre-la-presence-americaine-se-poursuit-en-irak_6027197_32)
RT (en français) évoque dans le même article (▻https://francais.rt.com/international/70692-milliers-personnes-manifestent-bagdad-contre-presence-americaine-) « quelques milliers de personnes » et une « marée humaine » !!!
Et sur le fil Twitter de RT, c’est même « des centaines » ▻https://twitter.com/RTenfrancais/status/1220726667401924608
Al-Akhbar (Liban) nous dit qu’il y a eu plus de monde que ne le pensaient les organisateurs, soit « entre 1 million et 1,5 million » ▻https://al-akhbar.com/Iraq/283126/%D8%AD%D8%B4%D9%88%D8%AF-%D8%B6%D8%AE%D9%85%D8%A9-%D8%AA%D8%AC%D8%A7%D9%8
#irak c’est compliqué
« Les Libanais n’ont plus rien à perdre »
▻https://www.la-croix.com/Monde/Moyen-Orient/Libanais-nont-rien-perdre-2020-01-19-1201072698
« Même si 500 000 Libanais manifestent, il y en a plus de trois millions qui restent assis chez eux. Et les partis ne se sentent pas réellement menacés. »
Même constat pour Karim Bitar, qui rappelle que les partis au pouvoir disposent aussi d’une base sociale et communautaire considérable. « L’oligarchie, extrêmement résiliente, a déjà résisté à de nombreuses manifestations par le passé », souligne-t-il. Mais, précise-t-il, « à moins d’un réveil soudain de la part de l’establishment, qui doit comprendre qu’il y a un avant et un après 17-octobre », le risque existe bien d’une radicalisation « des deux côtés, sur l’ensemble du territoire. Les Libanais n’ont plus rien à perdre. »
Pour Georges Haddad, « Nous allons vers plus de #détresse, avec des personnes qui affronteront la faim, n’auront plus accès aux hôpitaux, aux écoles. Pour eux, ce sera une question de survie. »
La Grèce cherche du soutien pour son projet de gazoduc
Le premier ministre Kyriakos Mitsotakis va prochainement rencontrer Donald Trump et Emmanuel Macron avec comme principal sujet de discussion, l’exploitation et le transport du gaz de Méditerranée orientale
Thomas Jacobi, de notre correspondant à Athènes, le 06/01/2020 à 06:33
▻https://www.la-croix.com/Economie/Monde/Grece-cherche-soutien-projet-gazoduc-2020-01-06-1201069941
Rien n’était trop beau à Athènes ce 2 janvier pour l’accord tripartite sur le gazoduc Eastmed signé entre la Grèce, Chypre et Israël.
(...) L’Italie soutient ce traité. Elle y a participé dès la première heure puisque c’est une société italienne, ENI, qui mène depuis des années, avec d’autres, les forages au large de Chypre. Aussi Kyriakos Mistotakis a tenu par deux fois à rappeler dans son allocution que « l’Italie va bientôt signer elle aussi cet accord ». Un accord « ouvert à tous les pays riverains », a-t-il tenu à préciser, soutenu par son homologue israélien Benyamin Netanyahou et le président Chypriote Nikos Anastasiades, « pour autant qu’ils respectent les règles de bon voisinage, le droit international, et les droits souverains des États indépendants », message clairement destiné au président turc Recip Tayip Erdogan pour qui cet accord est une « provocation ». (...)
Large march in Athens confronts Netanyahu, demands end to Greece-Israel gas pipeline deal
3 January 2020
▻https://samidoun.net/2020/01/large-march-in-athens-confronts-netanyahu-demands-end-to-greece-israel-gas
Large crowds marched through the streets of Athens to the Israeli embassy on Thursday, 2 January 2020 to declare that Israeli Prime Minister, war criminal Benjamin Netanyahu, was not welcome in Greece and to demand the cancellation of the “EastMed” pipeline deal. This pipeline, which aims to ship natural gas, extracted – and stolen – by the Israeli occupation from the natural resources of the indigenous Palestinian people, to Europe via Greece and Cyprus, chaining the Greek economy to the Israeli state.
Samidoun Network – Greece organized the protest with many other Greek organizations who joined in the demonstration, including the Network of Solidarity with the Palestinian People, EEK, NAR, KKE (M-L), Intifada Front and the Network to Support Palestinian Resistance.
The Ghassan Kanafani Front for Palestine launched a protest call that was supported by Open Road, OPAM, LAE and more.
All of these organizations came together to confront Netanyahu and the Greek and Cypriot governments on the creation of a dangerous axis in the region that aims to break the historical solidarity between the Greek and Palestinian people by placing Greece as a partner in the theft of Palestinian resources for the benefit of Israeli and U.S. corporations. (...)
Aux États-Unis, l’Église évangélique luthérienne qualifie le sexisme de péché
▻https://www.la-croix.com/Religion/Protestantisme/Etats-Unis-lEglise-evangelique-lutherienne-qualifie-sexisme-peche-2019-08-
Ce texte a pourtant bien failli ne pas voir le jour. « Cette Église a révélé sa résistance à mener une conversation prolongée et une délibération morale sur les enseignements théologiques et éthiques concernant des préoccupations sociales pertinentes », raconte Mary Streufert qui a dû redoubler d’efforts pour ne pas laisser les membres du groupe de travail se décourager.
De son côté, Jane Stranz, pasteure au sein de l’Église protestante unie de France et membre d’un groupe de réflexion sur la théologie féministe, salue « une tentative d’inscrire dans la doctrine sociale de l’Église la dénonciation du sexisme et du patriarcat. » « Je trouve ça normal, précise-t-elle toutefois. La Fédération luthérienne mondiale encourage en effet depuis très longtemps ses Églises membres à travailler pour la” justice de genre”. »
Dans les années 1970, cette instance a lancé la campagne « Thursdays in black » ou « Jeudis noirs » qui invite hommes et femmes à se vêtir de cette couleur chaque jeudi pour protester contre les violences sexistes et la culture du viol.
Rejeter les interprétations sexistes de la Bible
La déclaration de l’ELCA pointe aussi la responsabilité de l’institution elle-même. « Le christianisme a été complice du péché de patriarcat et de sexisme à travers certaines croyances, pratiques et aspects de son histoire », regrettent les auteurs.
Parmi les solutions mentionnées, une lecture de la Bible tenant compte du contexte de son écriture et rejetant les interprétations sexistes ; un enseignement religieux repensé ; l’utilisation d’un langage inclusif ; ou encore une répartition équitable de l’autorité et des fonctions de décision au sein de l’ELCA. L’assemblée s’est plus largement prononcée en faveur d’un accès équitable et abordable à la santé sexuelle et reproductive, et de la lutte contre les violences faites aux femmes.
Les représentants des 9 100 congrégations évangéliques luthériennes ont par ailleurs réélu leur présidente, l’évêque Elizabeth Eaton. Ils ont aussi adopté d’autres textes, notamment une résolution condamnant le suprématisme blanc et une déclaration reconnaissant le rôle de leur Église dans le trafic d’esclaves entre le XVIIe et le XIXe siècle.
▻https://s3.amazonaws.com/media.guidebook.com/upload/151152/sRQpAmUbA6luf2rk8lRamCpoXLxMQ5pIbOcO.pdf
note ici l’#euphémisme
Cette Église a révélé sa résistance à mener une conversation prolongée et une délibération morale sur les enseignements théologiques et éthiques concernant des préoccupations sociales pertinentes
#méaculpa #église_luthérienne #protestants #sexisme #racisme #esclavagisme #violences_sexuelles
Recherche dans le cours de ►https://seenthis.net/messages/818757 et si le signataire Pasteur G.Berner, Président du Consistoire de Paris-Nord s’avère être effectivement l’auteur de « La notion de liberté chez Luther
Pasteur G. BERNER
Edité par auto édité, 1980 »
▻https://www.abebooks.fr/signe/notion-libert%C3%A9-Luther-Pasteur-G-BERNER/14709435374/bd