Les femmes moins désespérées face à la crise que les hommes

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  • Les femmes moins désespérées face à la crise que les hommes
    http://fr.myeurop.info/2012/06/01/les-femmes-moins-desesperees-face-a-la-crise-que-les-hommes-5497

    La #crise économique n’épargne ni les hommes, ni les femmes. Mais, souligne Michel Debout, les hommes ne laissent rien paraître mais « lorsqu’ils craquent, c’est de façon bien plus violente ».

    Autre raison avancée par le sociologue Christian Baudelot, la femme est plus intégrée dans la société que les hommes. Un lien social qui atténuerait leur détermination à mettre fin à leurs jours.

    La femme a des liens sociaux plus forts. C’est elle qui donne la vie, qui se soucie de la survie de la famille. Quant aux hommes, ils sont moins bien intégrés et ils ont plus de pression au niveau professionnel"

    #suicide

    • La disparité entre les suicides féminins et masculins est engendrée par le statut de l’homme (et corrélativement celui de la femme) dans nos sociétés dites « évoluées ». L’homme a pour mission de ramener le bifteck au foyer. Retirez-lui cette mission, il se trouve en complet désarroi, livré à l’oisiveté et à son désespoir existentiel. Il sombre dans les comportements à risques (addictions, délinquences) ou se flingue. Peut-être que (j’extrapole) lorsque les mammouths ont disparu, on aurait pu enregistrer un pic de suicides masculins. Sociétés « évoluées » ? Mon cul !