• Une poétesse libanaise interdite de conférence à #Bahreïn - Libération
    http://www.liberation.fr/culture/2015/03/20/une-poetesse-libanaise-interdite-de-conference-a-bahrein_1224935

    La poétesse a un nom bordel #Joumana_Haddad

    « J’ai été invitée il y a un mois par la ministre de la Culture elle-même, pour un événement autour de la poésie, raconte à Libération la poétesse. Mais dès lors que l’événement a été annoncé, il y a trois ou quatre jours, j’ai été l’objet d’une campagne sur Twitter à l’aide d’un hashtag indiquant "les athées ne sont pas les bienvenus à Bahreïn". Je sais également que mon attachement à prôner l’égalité hommes femmes n’a pas simplifié les choses, et on m’a enfin reproché de défendre les droits des homosexuels. Tout cela a fait boule de neige. Des députés islamistes s’y sont mis. Finalement, le Premier ministre a fini par capituler, et la ministre de la Culture m’a appelée pour m’informer que j’étais interdite d’entrée à Bahreïn. »

    Le principal parti salafiste du pays, Al Asalah, a en effet protesté avec virulence contre sa venue : « Nous réclamons qu’elle ne soit pas autorisée à entrer sur notre territoire sous quelque prétexte que ce soit parce que notre religion, notre morale et notre peuple ne l’acceptent pas, et ne le permettent pas. »

    #féminisme #LGBT #athéisme

    • Malgré son image elle semble avoir quelques compétences

      Joumana Haddad est responsable des pages culturelles du quotidien libanais An Nahar1. Elle enseigne à l’université libano-américaine de Beyrouth3, et elle est par ailleurs la rédactrice en chef de Jasad, une revue en langue arabe spécialisée dans la littérature et les arts du Corps4. Elle fut l’administratrice de l’IPAF5 ou Booker arabe, un prix littéraire récompensant un roman arabe1, de 2007 à 2011, et elle est à présent membre du comité qui gère le prix.

      Elle a déjà publié plusieurs recueils1. Ses livres ont été traduits et publiés en divers pays1. Parlant sept langues, elle a aussi publié plusieurs ouvrages de traduction, dont une anthologie de la poésie libanaise moderne en espagnol, parue en Espagne comme dans divers pays d’Amérique latine1, ainsi qu’une anthologie de 150 poètes s’étant suicidés au XXe siècle.

      Pour son livre En compagnie des voleurs de feu, elle a interviewé un grand nombre d’écrivains parmi lesquels Umberto Eco, Paul Auster, Yves Bonnefoy, Peter Handke, Elfriede Jelinek.

      Joumana Haddad fait partie du comité6 des directeurs de DOT Lebanon (une NGO qui vise à l’autonomisation économique des femmes dans les zones rurales), ainsi que du comité7 des conseillers de MARCH Lebanon (une NGO qui lutte pour laliberté d’expression au Liban).
      Joumana Haddad sur le tournage du film Qu’est ce qui se passe ? en 2009.

      En 2009, elle a coécrit et joué dans un film de la réalisatrice libanaise Jocelyne Saab (Qu’est ce qui se passe ?8). Elle a aussi participé à un documentaire du réalisateur Nasri Hajjaj, sur le poète palestinien Mahmoud Darwish.

      Elle a obtenu le prix du journalisme arabe en 20069,10.

      En octobre 2009, elle a été sélectionnée parmi les trente-neuf auteurs arabes de moins de 39 ans considérés comme les plus intéressants11.

      En novembre 2009, elle a reçu le Prix international Nord-Sud de la Fondation italienne Pescarabruzzo dans la catégorie poésie12.

      En février 2010, elle a reçu le Prix de la fondation Métropolis Bleu pour la littérature arabe à Montréal13.

      En août 2010, elle a reçu le Prix Rodolfo Gentili à Porto Recanati, Italie14.

      En novembre 2012, elle a reçu le Prix Cutuli pour le journalisme à Catania, Italie15

      En juillet 2013, elle est nommée ambassadrice honoraire de la culture et des droits de l’homme de la ville de Naples dans la Méditerranée par le maire Luigi de Magistris16.

      En février 2014, elle a reçu le Prix17 de la Carrière Poétique décerné par la fondation Archicultura en Italie.

      Joumana Haddad réalise aussi des collages d’art18.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Joumana_Haddad

      Et puis c’est bien connu, « nul·le n’est prophète en son pays ». Le fait de ne pas être reconnue dans son pays natal ne signifie pas pour autant qu’elle soit médiocre.

    • Pour aller dans le sens de @gonzo :
      Joumana Haddad and non-suspecting Western journalists
      http://angryarab.blogspot.fr/2012/06/joumana-haddad-and-non-suspecting.html

      Typically, another ignorant Western article about a fraud from Lebanon, known as Joumana Haddad. Haddad is not even acknowledged as a feminist by Lebanese feminists but Western reporters (who can’t read Arabic and judge) insist that she is a symbol of Arab feminists. Don’t get me wrong: what Haddad lacks in literary talents she compensates with skills (and funds) of self-promotion. I have written about her anti-feminism before in Al-Akhbar and here is an English translation.

      Et un long démontage :
      http://angryarab.blogspot.fr/2008/01/saja-kindly-translated-my-last-al.html

      Il y aussi par exemple un échange entre elle et Pierre Abi Saab sur Twitter, lequel ne lui laisse pas grand chose. En particulier : elle ne fait que ressortir les vieux stéréotypes orientalistes, dont le rôle est justement de maintenir les systèmes de domination.
      https://twitter.com/Joumana333/status/344125810648694784

    • Pierre Abi Saab sur Facebook :
      https://www.facebook.com/pierre.abisaab.1/posts/1599676540274925

      C’est triste à dire mon cher @nidal_loubnan, mais @odilon a raison, Joumana Haddad a toute sa « légitimité ». C’est la passionnaria de la révolution sexuelle. Il faut dire qu’au Liban, on a ce qu’on mérite. Le système politico - médiatico - culturel se tient après tout. Notre système bidon rend tout possible, dans une république bananière, où on (ne) manque (pas) de règles, de critères de références... La complaisance et la naïveté de l’homme blanc faisant le reste. On est capable de tout de n’importe quoi, entre 2 guerres civiles, 3 malentendus et quelques petites falsifications, le tout bien entretenu par le paternalisme assassin d’un Occident post-colonial creux, en mal d’exotisme révolutionnaire, et qui cherche désespérément sa Shéhérazade... Eh bien merci Liberation bravo @odilon, vous la tenez votre Shéhérazade. Vive la révolte de la femme arabe ! Bonne nuit !

      En plus pour accepter de répondre à une visite officielle à Bahreïn aujourd’hui, puis s’offusquer d’y avoir être rejetée par les autorités... faut être Shéhérazade pour le faire...

    • Alors là, c’est carrément une interprétation mensongère, je n’ai jamais prétendu quoi que se soit sur Jouman Haddad, j’ai simplement référencé un article de libé. Il faudra apprendre à lire. Ce qui était reproché à @gonzo était d’asséner des assertions sans apporter d’élément. Ne connaissant pas cette femme, j’ai regardé sur wiki, c’est tout. @nidal je trouve la méthode douteuse ! D’autant que je n’ai rien opposé au fait qu’on apporte la contradiction, au contraire, toute info est est la bienvenue. Alors il faudrait voir à ne me prêter des propos qui ne sont pas les miens !

    • Braves Seenthissiens, pour moi, la page Joumana Haddad ne mérite même pas d’être ouverte.
      @odilon : pour se faire une idée de la qualité de l’article de LIbé, tu cliques le nom de la personne qui l’a écrit et tu verras le type d’article « politique » qu’elle rédige d’ordinaire. http://www.liberation.fr/auteur/15181-johanna-luyssen. Ce qui, au passage, oblige à s’interroger sur les motivations d’un tel « portrait » par cette « plume » (rien de macho dans cette métaphore !) dans cet organe (aucune allusion sexuelle dans ce dernier mot !!!)

    • @odilon : difficile de parler de méthode, je crois surtout qu’il est difficile de mener une discussion entre personnes qui ne se connaissent pas en utilisant 3 réseaux sociaux différents… (Il est déjà difficile de ne pas se vexer avec un seul réseau, alors…) :-)

      Je me suis permis d’introduire les remarques de Pierre et de As‘ad parce que ce sont à la fois d’excellents spécialistes de culture et de poésie, et des progressistes qui traitent les questions politiques et sociales de la région avec un accent particulier sur les questions LGBT (pas seulement les femmes), mais aussi des interventions régulières sur la liberté de penser et sur la liberté d’expression – ce qui n’est pas plus courant au Liban qu’en France. Leurs contributions explicitent clairement ce qu’a indiqué rapidement @gonzo.

      Après, c’est typiquement le sujet propre à provoquer des frictions. Pour toutes sortes de raisons (notamment le risque d’orientalisme, et sa version modernisée, le « féminisme de l’OTAN » – façon Afghanistan, où les Américains ont dans le même temps façonné la montée des radicaux islamistes avec leurs amis Séoudiens et Pakistanais, pour ensuite envahir le pays en utilisant l’alibi de la « libération des femmes »), et aussi parce que la très médiatisée Joumana Haddad se pose en victime de la censure – malgré ses responsabilités dans un grand quotidien réactionnaire – tout en participant à occulter les profonds mouvements militants des femmes au Liban.

    • @nidal Il serait bon toutefois que tu fasse un petit rectificatif auprès de tes amis de tous les réseaux sociaux que tu veux, comme quoi que je n’ai jamais repris à mon compte le contenu de l’article. Pas plus que je ne fais de cette femme un modèle. Je trouve problématique cette façon de déformer la réalité et malhonnête.

  • U.S. journalist attacks Lebanon-based news site for pro-Assad slant
    http://english.alarabiya.net/articles/2012/06/22/221982.html

    Max Blumenthal publicly announced that he would no longer contribute to Al Akhbar English, accusing the news site of “defending the Syrian regime behind the cover of leftist ideology,” in a blog entry he wrote on his own website on Wednesday.

    The journalist referred to “pro-regime op-eds” recently published on the site and writers who have “thrown their weight behind [Syrian President Bashar] al-Assad’s campaign of brutality.”

    Blumenthal wrote that Al Akhbar English had recently featured “an attack on Arab Third Wayers (supporters of the anti-imperialist, anti-authoritarian political tendency)” in a recent opinion piece, which he deemed to be in line with the “Syrian regime’s long record of exploiting the Palestinian struggle to advance its narrow self-interests.”

    • The right to resist is universal: A farewell to Al Akhbar and Assad’s apologists
      http://maxblumenthal.com/2012/06/the-right-to-resist-is-universal-a-farewell-to-al-akhbar-and-assads-a

      Following her vehement defense of the Syrian dictator’s use of surgery metaphors to refer to his security forces’ brutal crackdowns, Al Akhbar English featured Ghorayeb’s daftest work to date: an attack on Arab Third Wayers (supporters of the anti-imperialist, anti-authoritarian political tendency) in which she asserted that “the real litmus of Arab intellectuals’ and activists’ commitment to the Palestinian cause is no longer their support for Palestinian rights, but rather, their support for the Assad leadership’s struggle against the imperialist-Zionist-Arab moderate axis’ onslaught against it.”

      Ghorayeb’s rant, rightly condemned by As’ad Abu Khalil as an “outrage,” was of a piece with the Syrian regime’s long record of exploiting the Palestinian struggle to advance its narrow self-interests. For me, it was the final straw. Had Al Akhbar’s editorial leadership provided a platform to Ghorayeb and other apologists because of the quality of their writing or because of their willingness to defend the regime behind the cover of leftist ideology? This had become a salient question.

      I was forced to conclude that unless I was prepared to spend endless stores of energy jousting with Assad apologists, I was merely providing them cover by keeping my name and reputation associated with Al Akhbar. More importantly, I decided that if I kept quiet any longer, I would be betraying my principles and those of the people who have encouraged and inspired me over the years. There is simply no excuse for me to remain involved for another day with such a morally compromised outlet. And so, instead of preparing to throw up in my own mouth each time I click on one of the pro-regime op-eds appearing with regularity on Al Akhbar English’s home page, I am washing my hands of the whole operation.

    • The Angry Arab News Service: Enough grandstanding on the Syrian question: Al-Akhbar English versus Aljazeera.net
      http://angryarab.blogspot.fr/2012/06/enough-grandstanding-on-syrian-question.html

      PS In other words, AlAkhbar (accused of a pro-Asad slant) publishes articles calling for Asad’s downfall. When the Arab oil and gas media call for the downfall of the Saudi or Qatari royal regimes, we can talk, or when the Western liberal media, like the Nation, dare publish an article calling for the demise of Israel.

    • Al-Akhbar and Syria: No Room for Silence
      http://english.al-akhbar.com/content/al-akhbar-and-syria-no-room-silence

      Media organizations, including Al-Akhbar, failed to deliver proper journalistic coverage of Syria. Unreliable sources, inaccessibility of troubled areas and many other factors may be used to rationalize this shortcoming. While the debate regarding a clear editorial line was ongoing, the publication that prides itself on doing things differently found itself partner in a collective media failure in dealing with Syria.
      Fifteen months into the events, Al-Akhbar’s editorial policy is that it stands for the basic rights of the Syrian people, for a united and free Syria, and against violence, hatred, destruction and civil unrest. The Syrians must have full sovereignty in deciding their political path without any foreign interference. All crimes should be investigated and all perpetrators, irrespective of their positions, should be held accountable by an independent judicial authority. This applies to all without exception.

      However, the collective media failure has laid the groundwork for a situation that is dire in Syria, where only absolutes are tolerated – an absolute crushing of an uprising, or a complete destruction of a regime. Clarity is sought in the most murky of environments. But absolute answers do not exist. Just like there is no black and white in Iraq, Lebanon, Egypt, and other places, the political landscape in Syria is also painted with shades of gray.

      Bashar al-Assad shouldn’t go today. Bashar al-Assad should have never been president. After all, countries are not personal assets that are passed on as inheritance.

      Theory is simple and beautiful and can even be principled – reality, not so much

    • Media restrictions and Al-Akhbar
      http://angryarab.blogspot.fr/2012/06/media-restrictions-and-al-akhbar.html

      Max, I noticed, did not complain at all about censorship because I believe he has the freedom to write what he wanted: I believe that this is the strength of Al-Akhbar in relative terms: editorial control is most lax compared to all Arab media and even to Western media. There are articles in Al-Akhbar Arabic and English that are very critical of the Syrian regime and that call for its overthrow. […] But if Max is unhappy to write alongside people who support the Syrian regime (with whom I disagree of course), how will he feel about writing for, say, Huffington Post where there are apologists for Israeli war crimes? Or for Aljazeera.net? In the Huffington Post Max is writing alongside Abe Foxman, for potato’s sake. Does that bother him? […] Al-Akhbar is a work in progress and our efforts can strengthen the project. It is a least centralized media that I know of and departments are quite independent (sometimes that is good and sometimes that is not but it is not tightly controlled like most Arab media). […] There are yet things in the paper that I don’t like: on Syria or on Lebanon but what is important (and here is something that Max may not see because he does not read Arabic) is that the paper is pioneering on secularism and on challenging religious authorities (Sunnis and Shi`ite and Christian and even published an article about corruption of Hizbullah clerics). The culture section is promoting sexual liberties and homosexual rights: no other Arab media—NONE—dare do that. If there is a freer and better alternative to Al-Akhbar, I don’t know it because there is none.

  • Traduction rapide d’un passage du dernier billet d’As‘ad AbuKhalil dans la version anglophone du Akhbar : Some Questions on the Houla Massacre... and Beyond
    http://english.al-akhbar.com/blogs/angry-corner/some-questions-houla-massacreand-beyond

    L’histoire de Houla est encore trouble. Personne ne sait ce qui s’est passé. Nous savons que des civils innocents ont été tués. Nous savons que les deux côtés s’accusent mutuellement et nous savons que les deux camps sont habitués à mentir. Mais nous pouvons poser quelques questions :

    – Pourquoi les médias occidentaux ignorent-ils les histoires d’enlèvements et d’assassinats de civils perpétrés par l’Armée syrienne libre (qui en réalité n’est qu’un nom emprunté par une variété de gangs et de bandes à l’idéologie largement islamiste – et dans certains cas ben-ladiste) ?

    – Pourquoi n’y a-t-il eu aucune tentative de déconstruire les histoires diffusées par l’opposition syrienne en exil ? Initialement, ils ont prétendu que l’armée syrienne avait tué les civils par bombardement. C’est seulement le jour suivant, lorsque l’ONU a affirmé que moins de 20 personnes avaient été tuées par bombardement (et 20 personnes, ça n’est pas un petit nombre, et ils doivent être ajoutés à la liste honteuse des crimes commis par ce régime qui devrait être renversé et traduit en justice), et que la plupart avait été tués à bout portant. Il y eu des affirmations d’attaques au couteau, mais il semble que la plupart ont été abattus.

    – Pourquoi y a-t-il eu des tentatives pour faire comme si le massacre de Houla était un crime confessionnel (par des chiites/alaouites contre des sunnites) alors qu’il apparaît que sans doute un tiers des victimes étaient chiites ? Y a-t-il eu des assassinats confessionnels dans la région avant ce massacre ? Pourquoi ne trouve dans la presse occidentale aucune référence aux kidnappings confessionnels (par des groupes armés salafistes à Daraa comprenant même quelques Libyens, selon le correspondant d’Al-Akhbar qui s’est rendu sur place) contre les Druzes dans la région de Sweida (les Druzes, à leur tour, ont enlevé des gens de Daraa avant que la question ne soit résolue par l’échange des otages) ?

    – Pourquoi les médias n’ont-ils pas noté que l’Armée syrienne libre, le Conseil national syrien et les Frères musulmans avaient admis qu’ils étaient en contact avec le groupe confessionnel qui a kidnappé les pélerins libanais chiites ? En fait, le fameux dissident syrien libéral, Haytham al-Malih, a déclaré au quotidien Ash-Sharq Al-Awsat, détenu par un prince séoudien, qu’il soutenait l’enlèvement et a appelé les kidnappeurs à ne pas libérer les pélerins.

    Est-il possible de croire l’histoire telle qu’on nous l’a racontée : que les chiites et les alaouites vivant dans une zone majoritairement sunnite ont soudainement décidé de se retourner contre la majorité et de les massacrer ? Et comment les survivants ont-ils connu l’identité confessionnelle des assassins ? Hé bien, selon Neil MacFarquhar, ils leur ont bizarrement dit : « nous sommes des shabiha ». Ils ont tout fait sauf laisser des photos de Bashar Assad derrière eux. Une autre histoire (surtout diffusée sur Twitter) est encore plus bizarre : apparemment, les tueurs avaient des « slogans chiites écrits sur le front » (cette histoire a été écrite par un reporter occidental puis diffusé par le journaliste séoudien Jamal Khashoggi (qui va bientôt diriger la station d’information propriété du prince Al-Walid bin Talal).

    • Au sujet des enlèvements entre Sweida et Daraa :
      http://english.al-akhbar.com/content/syria-houran’s-brush-civil-war

      This time, the villages of Sweida erupted in anger. As soon as the news of the kidnappings spread to villages, Sweidans young and old began to mobilize. All roads leading to Daraa were surrounded and roadblocks were erected everywhere.

      The families of those kidnapped raided farms close to the area that divides the two provinces. Public transportation came to a halt as people searched for the men. For two days, the province was overcome by madness. Calls by the clergy for calm were of no use – revenge and kidnapping reigned supreme.

      Suddenly, the number of those abducted from Daraa began to rise: 50, 60, then 100. When all was said and done, more than 240 residents of the Daraa governorate had been abducted. The kidnappers pledged not to harm their hostages.

    • AbuKhalil vient de twitter :
      https://twitter.com/asadabukhalil/status/208225105904545792

      شاهدت المؤتمر الصحفي للمسؤول السوري الذي حقّق في مجزرة الحولا: مسخرة. لم يقل شيئاً ذا قيمة. نفي من دون أدلّة أو شواهد.

      Ce qui donne en gros :

      Je viens de suivre la conférence de presse du responsable syrien chargé de l’enquête sur le massacre de Houla : c’était une farce. Il n’a rien dit d’intéressant. Nier l’évidence, et affirmations sans preuves.

    • The Angry Arab News Service: sectarian affiliation of the victims in Hula
      http://angryarab.blogspot.fr/2012/06/sectarian-affiliation-of-victims-in.html

      I have received information in the last few days that some of the victims in Hula were Shi‘ites. That was also reported on New TV and on the Syrian dissident website, Al-Haqiqah. I was told that the victims from the families of ‘Abdur-Razzaq and As-Sayyid were Sunnis who had converted to Shi‘ism in the 1980s. I contacted those who reported that and I contacted people in Hula itself and I can tell you that there is no evidence whatsoever to that claim (which has obvious propaganda value particularly since that Syrian regime media never discuss issues of sects—unlike the Syrian opposition media which are blatant in its sectarianism and sectarian agitation). And if you add this (the story that has not been proven) to the lousy and empty press conference in Damascus yesterday about the Syrian regime investigation of the massacre, I can only conclude that the Syrian regime is looking more and more guilty. We don’t have all the facts as of yet, but this is my feeling now in the absence of evidence to the contrary. What makes the Syrian regime more frustratingly noncredible is that it never ever admits killing an innocent person—not even by mistake.