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  • La justice lève l’interdit de vendre des pistolets aux jeunes Américains Le figaro

    En 2021, les armes à feu ont causé plus de 47.000 morts aux États-Unis, dont 26.000 suicides, selon le site Gun Violence Archive, qui fait référence.

    Un juge fédéral a invalidé une loi qui interdit depuis plus d’un demi-siècle aux armuriers agréés de vendre des pistolets aux jeunes Américains de moins de 21 ans. La décision, datée de mercredi, représente un important revers pour les défenseurs d’un meilleur encadrement des armes à feu, au moment où ils tentent de convaincre le Congrès d’interdire aux plus jeunes d’acquérir des fusils d’assaut.


    Ces armes de type AR-15, au cœur de nombreux bains de sang, n’étaient pas fréquentes en 1968 quand les parlementaires avaient adopté une loi pour interdire aux armuriers de vendre des armes de poing aux jeunes de 18 à 21 ans, au motif qu’ils commettent plus de crimes que les plus vieux. Depuis, les jeunes Américains peuvent se procurer revolvers et pistolets lors de ventes privées, dans des salons ou par l’entremise de leurs parents, mais pas dans des commerces ayant une licence fédérale, où ils peuvent en revanche acheter toute sorte de fusils.

    La loi de 1968 a fait l’objet de plusieurs attaques en justice depuis son adoption mais avait tenu jusque-là. Mercredi, le juge fédéral Robert Payne, qui siège en Virginie, a jugé qu’un arrêt rendu en juin par la Cour suprême des États-Unis avait changé la donne. La haute Cour, à majorité conservatrice, a estimé que la Constitution protégeait le droit des Américains à porter une arme hors de leur domicile et a jugé que les seules restrictions possibles devaient s’inscrire dans l’Histoire du pays.

    Les jeunes de 18 à 20 ans commettent des homicides avec des armes à feu à un taux trois fois plus élevés que les adultes de plus de 21 an »
    Janet Carter, de l’association Everytown for Gun Safety

    Pour le juge Payne, ce n’est pas le cas ici : « La loi et ses décrets d’application ne sont pas cohérents avec l’Histoire et les traditions de notre Nation, et ne peuvent donc pas tenir », écrit-il dans sa décision de 71 pages. « Depuis des temps immémoriaux, les jeunes se conduisent comme... des jeunes. Le problème social de leur impétuosité et de leur précipitation précède les pères fondateurs » qui pourtant n’avaient pas adopté de règles pour les empêcher d’acquérir des armes, ajoute-t-il.

    Sa décision, qui devrait faire l’objet d’un appel et pourrait aboutir devant la Cour suprême, a été vivement critiquée par l’association Everytown for Gun Safety, qui milite pour davantage de restrictions sur les armes à feu. « Les jeunes de 18 à 20 ans commettent des homicides avec des armes à feu à un taux trois fois plus élevés que les adultes de plus de 21 ans », a noté dans un communiqué une de ses responsables, Janet Carter, pour qui le jugement « va sans aucun doute mettre des vies en danger ».

    #usa #armes #enfants #armement #guerre #etats-unis #violence #racisme #justice

    Source : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-justice-leve-l-interdit-de-vendre-des-pistolets-aux-jeunes-americains-20

  • Quand Hollande parle à des farceurs russes des enjeux du conflit en Ukraine Sputnik Afrique

    Victime d’un canular téléphonique, l’ancien Président français François Hollande a avoué que des pays occidentaux participaient de facto au conflit en Ukraine, dont l’issue doit définir « un nouvel équilibre du monde ». Il a conseillé à Kiev de continuer à demander que lui soit livré « massivement » du matériel militaire.

    Persuadé qu’il parlait à l’ex-Président ukrainien Petro Porochenko, l’ancien locataire de l’Élysée François Hollande s’est révélé très franc lors d’un canular téléphonique organisé par les célèbres imitateurs russes Alexeï Stoliarov et Vladimir Kouznetsov, alias Lexus et Vovan.

    L’homme politique a notamment reconnu que ce qu’il se passait en Ukraine était l’affrontement de l’Occident avec la Russie, dont l’issue devait définir « un nouvel équilibre du monde ».

    « Oui, ils ne veulent pas être des belligérants au sens où la Russie pourrait trouver prétexte dans leur soutien pour agir sur un pays européen voisin et entraîner le monde dans une guerre […] mais sans être belligérants, ils sont comme tu l’as dit belligérants ».

    Parlant d’Emmanuel Macron et du rôle de la France dans le conflit, M.Hollande a confirmé que l’Élysée était prêt à continuer à livrer des armes à Kiev. Cependant, l’ancien Président a conseillé à Kiev de demander à Paris ou Londres des armes qui peuvent être utilisées dans des « délais rapides » et qui n’exigent pas une longue formation.

    « Donc tout ce qui peut être un matériel immédiatement disponible pour résister à l’offensive russe, c’est ça qu’il faut demander aussi bien au Premier ministre britannique qu’aux pays européens. Et de les livrer massivement et pas simplement au compte-gouttes ».

    Pas question de négocier avec Moscou
    Dans le même temps, M.Hollande n’a pas apprécié l’idée de pourparlers avec Moscou et a proposé de « poursuivre le combat » tant que l’Ukraine le veut.

    « La question c’est de savoir si l’Ukraine [...] a des moyens militaires de faire reculer Poutine. Et si elle ne les a pas, ces moyens militaires, alors si, la négociation est nécessaire ».

    Dans ce contexte, il a admis que si les Ukrainiens ont l’état d’esprit de combattre jusqu’au bout, le conflit pourrait durer jusqu’à la mort du dernier Ukrainien mais que dans ce cas-là, les Occidentaux ne doivent pas évoquer la possibilité de négociations.

    Tout comme Angela Merkel en décembre dernier, M.Hollande avait finalement avoué que les accords de Minsk avaient donné à l’Ukraine du temps pour renforcer ses forces armées et donc, qu’ils n’avaient pas pour but de faire revenir la paix dans le Donbass.

    Source : https://fr.sputniknews.africa/20230406/quand-hollande-parle-a-des-farceurs-russes-des-enjeux-du-conflit-

    #ukraine #biélorussie #réfugiés #frontières #guerre #international #europe #otan #donbass #accords_de_minsk #france #françois_hollande #imbécile

    • Quand François Hollande se fait piéger par des humoristes... Il commence à parler à 1mn45

      la conversation intégrale entre l’ex-président François Hollande et un humoriste russe se faisant passer pour l’ex président d’Ukraine Petro Porochenko.

      https://www.youtube.com/watch?v=D8FDgJsrRt0

      à propos de #bhl vers 12mn30

      La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.

      L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real ?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.

  • #suisse Les touristes britanniques sont plus rares et se serrent la ceinture RTS - Stephane Ferrer Yulianti - AFP
    https://www.rts.ch/info/economie/13658909-les-touristes-britanniques-sont-plus-rares-et-se-serrent-la-ceinture.ht

    Alors que l’inflation frôle les 11% actuellement au Royaume-Uni, les traditionnels touristes britanniques appartenant à la classe moyenne se font plus rares en cette fin d’année en Suisse. Et pour celles et ceux qui ont tout de même fait le voyage, il s’agit de limiter les factures au maximum.

    Au Royaume-Uni, la hausse des prix est plus importante qu’ailleurs en Europe et beaucoup peinent à payer leurs factures énergétiques ou à s’alimenter correctement. Et les plus précaires sont les plus durement frappés.


    Nombre de Britanniques sont ainsi contraints de se serrer la ceinture et beaucoup ont renoncé à partir en vacances à Noël. D’ordinaire présents en force en fin d’année, les touristes anglais sont moins nombreux dans les Alpes suisses.
    Si les grosses fortunes sont au rendez-vous, pour les revenus moyens, chaque penny compte. Certains adeptes ont cassé la tirelire pour venir skier en Suisse.

    Voyage en voiture, repas à l’appartement et logement plus petit
    La famille St John Cox est de ceux qui ont choisi le ski pour les fêtes. Chris, Paul et leurs deux adolescents ont acheté quatre Magic Pass en fin de saison passée et s’octroient dix jours de ski à Anzère (VS). Mais pas question de trop gaspiller l’argent.

    « On fait vraiment attention à nos dépenses. On se fait des pique-niques et, le soir, on mange à l’appartement. Chez nous l’inflation atteint les 10%. Nos salaires ne suivent pas. Les vacances, c’est un luxe », raconte Chris mardi dans le 19h30.

    Chris est conseillère en environnement auprès d’institutions gouvernementales et Paul chercheur dans l’industrie automobile. Leur budget atteint 3000 francs, Magic Pass compris : passer des vacances en Suisse passe donc par un voyage en voiture, avec le coffre bien rempli, et par un séjour dans un studio de 25m2.

    En outre, contrairement aux autres hivers, la famille St John Cox ne reviendra pas à Anzère cette saison.

    La Suisse, un pays cher
    Cette semaine l’Ecole de ski d’Anzère enregistre la présence de Suisses, de Français, de Belges alors que les Britanniques sont les grands absents.

    Shawn Verity, un retraité londonien en vacances en Valais, explique que les grèves à répétition n’incitent pas aux déplacements et qu’à 1 livre pour 1,1 franc suisse, le taux de change est désastreux. La livre sterling a fortement dévalué par rapport au franc depuis cinq à dix ans.

    Et d’ajouter : « La Suisse, c’est vraiment l’endroit le plus cher, à moins d’avoir la chance d’avoir des amis qui vous hébergent ou comme moi d’avoir un logement. C’est ironique qu’un petit village comme ici soit aussi onéreux que le centre de Londres. »

    • À Zoug, il facture 2.50 francs pour la deuxième cuillère à dessert Eric Felley - Le matin
      https://www.lematin.ch/story/a-zoug-il-facture-2-50-francs-pour-la-deuxieme-cuillere-a-dessert-1720973805

      Un supplément pour ceux qui partagent un dessert à deux ? Pour compenser la hausse des charges, le patron d’un restaurant zougois a décidé de frapper fort.

      Il n’y a pas de petits profits. C’est ce que doit se dire le patron du restaurant Raten à Oberägeri, dans le canton de Zoug. Il a trouvé une source originale de revenus révélée par divers médias alémaniques : facturer 2.50 francs une seconde cuillère à dessert. Autrement dit, si deux personnes se partagent le même dessert avec deux cuillères fournies par le restaurant, elles doivent payer un supplément. Si elles mangent avec la même, la conscience tranquille, il n’y en a pas.

      Dans le « Beobachter », le restaurateur, Iwan Iten, a justifié sa taxe à la cuillère : « Qui partage un dessert occupe deux places ». Il espère ainsi compenser en partie l’inflation et l’augmentation des salaires de ses employés. Si Gastro Zug ne veut pas juger cette trouvaille financière, un représentant de Gastro Luzern défend la pratique : « Les restaurateurs doivent faire preuve de créativité pour payer leurs factures ». Probablement que les clients aussi.
      . . . . . .
      Notons encore que dans certains établissements zougois, une autre pratique voit le jour : celle de faire payer 3 francs par personne pour le pain et les couverts. Ce serait toujours pour compenser l’augmentation des charges dans la restauration.

      La #crise !

  • L’union sacrée c’est dans le désastre

    Attention cette émission de radio pourrait comporter des contenus et des informations sensibles.
    

Le lien afin d’écouter, de télécharger le podcast de Radio Campus Lille => http://richessem.eklablog.com/l-union-sacree-c-est-dans-le-desastre-a213229583

    Synopsis :
    De l’invention des crises annexes et des coups fourrés par la crise du capitalisme actuelle.

    Tout et n’importe quoi.

    NordStream, la crise qui accentue la crise.

    Inflation dans la grande distribution +12,2% à fin Septembre.

    En attendant l’augmentation du montant des retraites.

    Gréve chez Dior, la pépite.

    Monsieur Bernard Arnault, l’inconnu des médias.

    La financière Agache, c’est la crise.

    L’annuaire des familles - Généalogie Nord Pas de Calais.

    Famille Roquette.

    Besnier Coisne & Lambert.

    Camaïeu les comptes.

    Jérôme Seydoux et Eduardo Malone et le groupe Prouvost.

    Rodier, vous vous souvenez ?

    Le petit problème maintenant, gérer la crise.

    CAC40, 19,4% en moins depuis début Janvier. 

    Le Dax, Le ftse, Dowjones, Nasdac.

    Apple, microsoft, alphabet-google, amazon, tesla, berkshire hathaway, meta, walmart.

    Le bitcoin et le boeuf.

    Les pertes de LVMH.

    Energie, la loi du marché, et ses estimations.

    Sandrine Rousseau, ça occupe. Son oeuvre. Ses silences assourdissants.

    De l’apparition des animaux liminaires.

    

 Il n’y a pas à dire, la commission européenne et notre président de la république semblent prendre plaisir à envoyer la merde dans le ventilateur.

    #économie #finance #Analyse #actualité #balado_diffusion #Podcast

  • Tonga : alerte au tsunami dans le Pacifique après l’éruption d’un volcan - YouTube – Le HuffPost
    https://www.youtube.com/watch?v=3nTGqt5D04E

    PACIFIQUE - Les habitants des îles Tonga fuyaient ce samedi 15 janvier vers les hauteurs face au tsunami provoqué par une nouvelle éruption massive - entendue jusqu’à des centaines de kilomètres - du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai.

    Un tsunami de 1,20 m a été observé à Nuku’alofa”, la capitale du pays, a annoncé le Bureau australien de Météorologie. Le précédent tsunami n’avait pas dépassé 30 cm. Et l’alerte venait d’être levée lorsque le volcan a à nouveau fait éruption.

    C’était une explosion massive”, a expliqué au site d’informations Stuff une habitante, Mere Taufa, qui se trouvait à ce moment-là chez elle, en train de préparer le dîner. “Le sol a tremblé, la maison entière était secouée. Ca venait par vagues. Mon jeune frère pensait que des bombes explosaient près de chez nous”, a-t-elle raconté.

    Quelques minutes plus tard, l’eau a envahi leur maison, et elle a vu le mur d’une maison voisine s’écrouler.

    Nous avons tout de suite su que c’était un tsunami, avec cette eau qui jaillissait dans la maison. On pouvait entendre des cris partout autour, et tout le monde a commencé à fuir vers les hauteurs”, a-t-elle ajouté.

    Se mettre à l’abri, se protéger et protéger les réserves d’eau
    Le roi des Tongas Tupou VI a été évacué du palais royal de Nuku’alofa et emmené vers une villa éloignée des côtes. L’éruption a duré huit minutes, et était si forte qu’elle a été entendue “comme un bruit de tonnerre lointain” sur les îles Fidji, à plus de 800 km de là, ont déclaré des responsables des Fidji. Ceux-ci ont également averti les habitants de couvrir les réserves d’eau pour les protéger de pluies ou de cendres acides.

    Victorina Kioa, de la Commission des Services publics des Tongas, a appelé la population à “s’éloigner de tous les endroits menacés, c’est-à-dire les plages, les récifs et toutes les côtes plates”.

    Les autorités ont par ailleurs conseillé à l’ensemble de la population de rester autant que possible à l’intérieur, de porter des masques s’ils doivent sortir et, là aussi, de protéger toutes les réserves d’eau.

    L’alerte tsunami levée pour Wallis-et-Futuna
    Des alertes au tsunami ont également été lancées pour les îles Fidji et Samoa, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Wallis-et-Futuna a également été concernée par une alerte avant qu’elle ne soit finalement levée un peu plus tard.

    Les autorités australiennes ont averti la population de Sydney et de sa région, les Nouvelles Galles du Sud, de “sortir de l’eau, et de s’éloigner du bord de l’eau”.

    Le Hunga Tonga-Hunga Ha’apai se trouve sur une des îles inhabitées des Tongas, à environ 65 km de la capitale Nuku’alofa.

  • Ce que TikTok sait de nous
    https://www.courrierinternational.com/article/courrier-ados-ce-que-tiktok-sait-de-nous

    Aujourd’hui, “nos téléphones savent où nous sommes, à quelle vitesse nous nous déplaçons, quelles applications nous utilisons. Ils suivent notre navigation sur Internet. Ils connaissent même nos empreintes digitales ou la forme de notre iris.” Quels capteurs et composants d’un téléphone collectent des informations, pour quoi faire, et quand faut-il être prudent ?

    #RéseauxSociaux #TikTok #EMI #SNT #Smartphone

  • Mgr Blondel : « La violence “réactionnaire” montre que le pape a eu raison d’intervenir avec son motu proprio » – La Croix
    https://www.la-croix.com/Debats/Mgr-Blondel-violence-reactionnaire-montre-Pape-raison-dintervenir-avec-mot

    N’y aurait-il pas ce trait bien spécifique des mentalités actuelles : la petite minorité a raison par définition contre le troupeau ? Ce sont les justes et si on leur fait des remarques, ils deviennent des victimes. Les voilà doublement justifiés. N’est-ce pas ce que nous voyons aujourd’hui chez les « antivax » ? Peut-être n’est-il pas surprenant que, paraît-il, bien des membres des communautés qui suivent la liturgie avant 1962 s’estiment immunisés par leur pratique de foi, ne se font pas vacciner, boudent les masques et nous traitent de timorés.

    Au passage, dans une tribune à propos de la violente #réaction des tradis après le motu proprio du Pape du 16/07/2021 qui restreint strictement l’utilisation du #rite_tridentin (vulgairement : la messe en latin d’avant Vatican II) et demande aux évêques de vérifier que les communautés qui l’utilisent sont toujours en communion avec l’Église.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Traditionis_custodes

    Un marqueur assez facile pour ce type de groupes : l’emploi du nom de famille du Pape, Bergoglio, à l’exclusion de toute marque de respect autre que apostat ou satanisme…

    • J’en profite pour pointer l’un de ces groupes, découvert via l’un des clampins ici présent, tout content de voir ce type d’hurluberlus rallier la sacro-sainte cause…

      Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) – Page d’accueil
      http://vkpatriarhat.org/fr

      Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

      Option #Philippullus : ne manquez pas de lire tous les ingrédients de ladite pénitence…

      PCB : Ceux qui ont reçu le vaccin à ARN messager ont non seulement commis un péché grave, mais se sont également exclus de l’Église du Christ. Que faire ? Une pénitence de sept ans. |
      http://vkpatriarhat.org/fr/?p=14843

      Option : #Nuremberg_2.0 :

      Procès contre Jorge Bergoglio pour crimes contre l’humanité |
      https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14295

      3) a abusé de l’autorité morale de sa fonction pour une agitation suggestive de masse en faveur d’un vaccin à ARN messager fatalement dangereux et nocif qui :
      a) modifie le génome humain, ce qui conduit à l’extermination de la race humaine, et ceci est un crime perpétré contre Dieu le Créateur et contre l’humanité ;
      b) contient des tissus arrachés à un enfant à naître vivant, avant qu’il ne soit assassiné ;
      c) contient de l’hydrogel doté de nanoparticules organiques, ce qui non seulement nuit à la santé, mais fait également partie du processus de puçage progressif de l’humanité ;
      d) est un véhicule pour le génocide de l’humanité de 6 milliards de personnes, selon l’agenda du Club de Rome.

      Bergoglio est donc responsable devant Dieu non seulement du génocide planifié de l’humanité, mais aussi de la soumission des âmes au système satanique de la bête (Apoc. 13-14).

      Option : Pazuzu, #sataniste et diverses autres peccadilles…

      François Bergoglio promeut un péché contre le Saint-Esprit |
      http://vkpatriarhat.org/fr/?p=14227

      Le trône papal a été usurpé par un sataniste !
      […]
      Bergoglio a non seulement intronisé le démon impur de Pachamama (2019), mais préconise également la légalisation des unions de sodomites (2020). Il est sous l’anathème de Dieu -une malédiction même (Ga 1 : 8-9), pour cet anti-évangile. Bergoglio est donc maudit par Dieu – excommunié de l’Église ! S’il persiste dans son obstination, il finira en enfer comme Judas, le fils de la perdition.

    • Du coup, Google « pape françois pachamama », parce que faut suivre un peu…

      L’affaire des Pachamamas, la nouvelle salve contre le pape François – Portail catholique suisse
      https://www.cath.ch/newsf/laffaire-des-pachamamas-la-nouvelle-salve-contre-le-pape-francois

      Objet de leur courroux ? « Le pape a assisté à un acte d’adoration idolâtre de la déesse païenne Pachamama, le 4 octobre. Il a permis que ce culte ait lieu dans les jardins du Vatican… Il a participé à cet acte de culte idolâtre en bénissant une image en bois de la Pachamama ». Et le 7 octobre, « l’idole de la Pachamama » a été placée devant l’autel principal à Saint-Pierre, puis « transportée en procession dans la salle du Synode ».

      Cinq statuettes de la déesse-terre, en bois sculpté représentant une femme enceinte, ont ensuite été déposées dans une église voisine du Vatican, Santa Maria in Traspontina. Placées « de manière sacrilège » – selon le site de protestation -, elles sont dérobées le 21 octobre, puis jetées dans le Tibre « par des catholiques indignés par cette profanation de l’église ».

  • Au #Portugal, les employeurs n’ont plus le droit de contacter leurs employés après le #travail
    https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/deconnexion-au-portugal-les-employeurs-nont-plus-le-droit-de-

    Cette mesure n’est pas venue seule, souligne enfin Expresso. D’autres dispositions favorables aux employés ont été votées par les députés portugais le 3 novembre dernier. Désormais, les parents d’enfants de moins de 8 ans ont le droit de travailler à domicile sans demander l’autorisation à leur patron, les dépenses liées au #télétravail (factures d’électricité, d’Internet) doivent être prises en charge par les entreprises, qui, par ailleurs, devront organiser des réunions en présentiel au moins tous les deux mois, afin de lutter contre la solitude des salariés à distance.

  • La #CIA a envisagé l’assassinat de Julian #Assange en 2017
    https://www.courrierinternational.com/article/enquete-la-cia-envisage-lassassinat-de-julian-assange-en-2017

    Selon une enquête publiée dimanche 26 septembre par Yahoo News, ces discussions remontent à 2017, alors que l’activiste australien entamait sa cinquième année de réclusion dans l’ambassade d’Équateur à Londres. “Le directeur de la CIA de l’époque, Mike Pompeo, et de hauts responsables de l’agence étaient furieux de la publication par WikiLeaks de Vault 7, un ensemble de logiciels de piratage de la CIA, une brèche dont l’agence juge qu’elle constitue la plus grande perte de données de son histoire”, relate le quotidien britannique

    Deathly #Silence: Journalists Who Mocked Assange Have Nothing to Say About CIA Plans to Kill Him - FAIR
    https://fair.org/home/deathly-silence-journalists-who-mocked-assange-have-nothing-to-say-about-cia-p

    Indeed, the Grayzone (5/14/20) was the first outlet to provide evidence of a CIA-linked proposal to “kidnap or poison Assange” in May 2020. The story, however, was almost universally ignored, suggesting that, as Joe Lauria wrote in Consortium News (10/2/21), “until something appears in the mainstream media, it didn’t happen.”

    One thing the corporate media cannot be accused of with regards to Assange, however, is inconsistency. After a key witness in the Department of Justice’s case against the publisher admitted to providing the US prosecution with false testimony, a detail that should ordinarily turn a case to dust, the corporate media responded by ignoring the story almost entirely. As Alan MacLeod wrote for FAIR.org (7/2/21):

    #MSM

  • "Facebook est parfaitement au courant de la toxicité, pour les adolescentes, de son application Instagram, accuse le Wall Street Journal dans le deuxième volet, publié mercredi, de ses révélations sur le géant de l’Internet.

    Selon une étude menée en interne en mars 2020, “32 % des adolescentes disent que lorsqu’elles se sentent mal dans leur corps, ce sentiment empire en allant sur Instagram. La comparaison avec les corps montrés sur Instagram peut changer l’image que les jeunes femmes ont d’elles-mêmes et la façon dont elles se décrivent.”"

    "Facebook mène “depuis trois ans des études sur l’impact de son application de partage de photos sur ses millions de jeunes utilisateurs”, détaille le quotidien économique. Et les chercheurs de l’entreprise ont découvert “à plusieurs reprises qu’Instagram était néfaste pour un pourcentage non négligeable d’entre eux, notamment les adolescentes”".

    https://www.courrierinternational.com/article/enquete-instagram-est-malsain-pour-les-adolescentes-et-facebo

    #Instagram #RéseauxSociaux #Facebook #Adolescence

  • #Souveraineté_alimentaire. Aux États-Unis, les Amérindiens veulent “décoloniser leur assiette”

    La pandémie de Covid-19 a accru la volonté d’#autonomie_alimentaire des Amérindiens, qui renouent aujourd’hui avec les semis, les cultures et les #pratiques_culinaires traditionnelles pour “rééduquer” leur palais.

    Au printemps 2020, alors que le Covid-19 se propageait aux États-Unis, #Daniel_Cornelius a fait ses #semis. Membre de la nation #Oneida du Wisconsin, il vit dans la campagne vallonnée du sud de Madison, où il a planté des carottes, des tomates ainsi que des plantes traditionnelles amérindiennes : fèves, citrouilles et maïs.

    Il a aidé d’autres Amérindiens à faire de même. En juin, il a pris son tracteur manuel, direction le Nord, jusqu’aux Chippewas du lac du Flambeau, pour les aider à retourner et à préparer la terre selon la tradition.

    Puis, il a amené des graines de courge à la réserve Menominee du #Wisconsin, où les habitants ont aménagé des parterres de culture surélevés comme le faisaient leurs ancêtres.

    Il a collecté du sirop sur des érables et a ramassé du riz sauvage puis, en septembre, il s’est rendu à une foire dans la réserve Oneida, près de Green Bay, où il les a échangés contre des poivrons, des œufs de caille et de la soupe de maïs. “Presque tout le monde voulait de ce sirop d’érable”, raconte-t-il.

    Renouer avec les pratiques traditionnelles

    Cornelius fait partie du mouvement dit de “souveraineté alimentaire”, de plus en plus populaire chez les Amérindiens, qui vise à augmenter la production locale et à renouer avec l’agriculture et les pratiques culinaires traditionnelles.

    C’est un phénomène à grande échelle qui va de la culture d’un potager par des familles dans leur jardin jusqu’au développement d’un réseau d’organisations régionales et nationales dédiées à la coopération entre tribus, au partage de techniques agricoles et à la préservation de variétés ancestrales.

    “Les gens sont demandeurs de ces produits, explique Cornelius, également conseiller technique pour le Conseil agricole intertribal de Billings, dans le Montana, et professeur à l’université du Wisconsin. Et ils ont aussi soif de connaissances.”

    Pour de nombreux Amérindiens, le retour à des produits et cultures traditionnels s’inscrit dans un effort plus large pour se “décoloniser”. Une façon de réparer les ravages économiques et culturels infligés par les descendants d’Européens qui les ont chassés de leurs terres, enfermés dans des réserves et envoyés dans des pensionnats et ont tout fait pour les couper de leurs racines.

    Cela ne passe pas seulement par un regain d’intérêt pour les #plantes_ancestrales mais aussi par un retour à une certaine vie économique et culturelle, et à des coutumes et des traditions liées à la #nourriture et à sa production.

    Des effets bénéfiques sur la santé

    Sur le plan pratique, la souveraineté alimentaire est une solution qui vise plus d’autonomie et qui ouvre également des perspectives économiques dans les communautés les plus pauvres.

    (#paywall)

    https://www.courrierinternational.com/article/souverainete-alimentaire-aux-etats-unis-les-amerindiens-veule
    #peuples_autochtones #USA #Etats-Unis #décolonisation #alimentation #agriculture

    ping @cede @odilon

    • Seeds and beyond: Native Americans embrace ‘food sovereignty’

      Last spring, as COVID-19 swept the nation, Daniel Cornelius planted. A member of the Oneida Nation of Wisconsin, he lives in the rolling farm country south of Madison, where he planted carrots and tomatoes, as well as traditional Native American crops – beans, pumpkins, and corn in hues ranging from cream to deep red and bearing names like Tuscarora white, Mohawk yellow, and Bear Island flint.

      He helped others plant, too. In June he took his small walk-behind tractor north to help members of the Lac du Flambeau Band of Lake Superior Chippewa start gardens, heaping the soil in long mounded rows in imitation of traditional planting hills. He brought squash seeds to the reservation of the Menominee Indian Tribe of Wisconsin, where members have been building raised beds after ancient Menominee practice. He tapped box-elder trees for syrup and gathered wild rice, and in September he brought them to a bartering event on the Oneida reservation, near Green Bay, where he traded them for peppers, quail eggs, and corn soup.

      “Almost everyone wanted that box-elder syrup,” he says.

      Mr. Cornelius is part of a growing “food sovereignty” movement among Native Americans, an effort aimed at increasing local food production and reviving Indigenous agricultural and culinary practices. It’s a broad-ranging movement that includes families growing vegetables in backyard gardens and an ever-expanding network of regional and national organizations devoted to fostering intertribal cooperation, sharing agricultural know-how, and promoting the use and preservation of traditional crop varieties.

      “People are hungry – literally hungry to eat these foods,” says Mr. Cornelius, who is also a technical adviser for the Intertribal Agriculture Council, based in Billings, Montana, and an instructor at the University of Wisconsin-Madison. “But also, in a more figurative sense, they’re just hungry for knowledge.”

      For many Native Americans, the return to traditional foods is part of a wider effort to “decolonize” their people, a way to repair the economic and cultural damage inflicted by European Americans who drove them from their lands, confined them to reservations, sent them to boarding schools, and tried to sever them from their old ways. It means not just planting old seeds but reviving the economic and cultural life, the ceremonies, the customs and beliefs, around food and food production.

      In a practical sense, food sovereignty offers a path toward greater self-sufficiency and economic opportunity in poor communities. Perhaps more critical are its potential benefits for public health. Native Americans face high rates of diabetes, heart disease, obesity, and other conditions that food sovereignty advocates say result from a dependence on processed foods.

      “We’ve got to get back to a diet and food system that our bodies and our babies can handle,” says Gary Besaw, head of the Department of Agriculture and Food Systems on the Menominee reservation.

      Since it emerged a year ago, COVID-19 has given new urgency to these efforts. The coronavirus hit Native American communities hard: In December, the Centers for Disease Control and Prevention reported that Native Americans and Alaskan Natives were 3 1/2 times more likely than white Americans to become infected with the virus. Yet, while COVID-19 has revealed the vulnerability of Native peoples, it has also inspired more of them to plant, fish, gather, and hunt.

      “People are seeing the weakness within our current food system,” says Rebecca Webster, who with her husband, Stephen, grows corn and other traditional crops on the Oneida reservation. “They want to know where their food is coming from. They want to take control back.”

      Much of the food sovereignty movement focuses on seeds: growing and preserving them, as well as finding and distributing old and not-yet-forgotten varieties. Some of this work requires research, like figuring out where a seed company acquired its varieties long ago. It also involves hunting down a variety that someone has been growing – and then producing enough seed to share. Organizations like Seed Savers Exchange, based in Decorah, Iowa, and long devoted to promoting heirloom seeds, have in recent years been growing Native varieties and sending out seeds to a small number of established growers. In addition, an expanding universe of workshops and YouTube videos is available to teach aspiring growers how to use Native agricultural techniques.
      The “Three Sisters”

      The most popular seeds are the “Three Sisters” of Indigenous agriculture: corn, beans, and squash. They are traditionally grown together in mounds, as the Websters do on the Oneida reservation. The cornstalks serve as a trellis for the bean vines, while the beans, which are legumes, enrich the soil for the corn. The squash sprawls out all around. A modification of this strategy is to grow the corn and beans in mounded rows, with squash on the ends. Many Native growers also plant tobacco and sunflowers.

      When the pandemic struck, the demand for seeds soared. People had more time at home; they also were rattled by local food shortages. On the Meskwaki Settlement in Tama, Iowa, Shelley Buffalo, local foods coordinator for the Meskwaki Food Sovereignty Initiative, grappled with a “huge increase” in requests for seeds. “There were many people who were gardening for the first time,” she says. Appeals to the Traditional Native American Farmers Association “nearly depleted what we had,” says Clayton Brascoupé, a farmer in Tesuque Pueblo, New Mexico, and the group’s program director.

      “There were people contacting us from a lot of new places,” he says. “They said, ‘Can you send seed?’”

      But it’s not all about seeds. Native Americans are also raising bison, spearing fish, picking chokecherries, harvesting wild rice – and much more.

      It’s a movement that touches every tribe in the United States and reflects both the geographical and historical diversity of Native American communities. The Quapaw Nation of Oklahoma raises bison on lands recovered from lead and zinc mining and operates its own meat processing plant. The Muckleshoot of Washington state have hosted workshops on how to fillet a salmon and slice up an elk. Ndée Bikíyaa, or People’s Farm, is trying to revive agriculture among Arizona’s White Mountain Apache. Minnesota’s Red Lake Ojibwe sell mail-order wild rice and chokeberry jam. And in Hugo, Minnesota, just outside the Twin Cities, the organization Dream of Wild Health teaches Native children how to garden; a program for teenagers is called Garden Warriors.

      “This year was a big wake-up call for our tribe,” says Greg Johnson, a member of the Lac du Flambeau Band and an expert in cooking muskellunge, a predatory fish found in northern lakes, which he does by wrapping it in birch bark and baking it in the ground, under a fire. Mr. Johnson says that worries over the food supply sent twice the number of his band than usual out to spear walleyed pike in northern Wisconsin lakes early last spring, a tradition among his people. More people hunted deer later in the year; he taught some of them how to can the venison.

      “In many respects, for me it was really good to see that,” he says. “There were people you never thought would get wild rice. There were people who you never thought would get wild medicines. It was really incredible.”
      Chef participation, too

      Getting the food is only part of the movement. A growing number of chefs are promoting Native cuisine, among them Sean Sherman, an Oglala Lakota and recipient of a James Beard Award. The founder and CEO of The Sioux Chef business in Minneapolis, Mr. Sherman directs a food lab devoted to teaching Native culinary approaches. COVID-19 delayed his plan to open a restaurant, but it inspired a new form of outreach: ready-to-eat meals prepared in the Twin Cities and distributed to Native communities around the region. By December, a crew of 24 workers was sending 6,000 meals a week. It distributed 500 meal kits before the holidays, including the fixings for what Mr. Sherman describes as a Native grain bowl – Potawatomi corn, bison meat, dried blueberries, and puffed wild rice. “That was a fun one,” he says.

      Efforts to revive Native foods are not new. Mr. Brascoupé recalls an intertribal meeting in Gallup, New Mexico, in 1992 at which older farmers voiced concerns about their dwindling numbers. “They also saw a decline in people’s health,” he says. “They tied those two together.”

      In the years since, Mr. Brascoupé has seen a steady increase in the ranks of Native farmers. And what started as a rural movement, he says, has moved to cities, where many Native Americans live – to community gardening and programs teaching Native gardening and culture to children. Mr. Brascoupé attributes much of the resurgence not to tribal initiatives, which have become widespread, but to younger individuals carrying on the work of their elders. Once a young farmer himself, he now has grandchildren who farm.

      “A lot of what we see now started with young people,” Mr. Brascoupé says. “It was more from the bottom up than the top down, from tribal governments.”

      Indeed, the food sovereignty movement builds upon the perseverance and determination of individuals and families who have worked over many years to keep Native food traditions alive. One of these people is Luke Kapayou, who grew up on the Meskwaki Settlement. “When I was growing up, all of us, we had to help with the gardens,” he recalls. “Most of the families had their own gardens.”

      As Mr. Kapayou got older, however, he noticed that fewer people were gardening. And those still doing it were planting fewer old varieties – mainly just corn, the most prized of Native foods. He resolved to keep growing traditional beans and squash, and he began to seek out other varieties both on and off the settlement. He consulted old ethnographies. He even tried – unsuccessfully – to track down seeds at a New York museum.

      “Most of the seeds that me and my family are growing in our garden are what my parents and great-grandparents were growing,” he says. “They’ve been growing for a thousand years. I don’t know, I think I believe these seeds are sacred. They’re very special. It makes me want to keep growing them, and I want to make sure our kids keep growing them.”
      Plenty of challenges

      Despite its successes, the food sovereignty movement still faces plenty of challenges. Growing old crop varieties can be labor-intensive: If done in the traditional way, they are planted and harvested by hand, with the three main crops – corn, beans, and squash – planted together. Also, growers need to take care that nearby field crops, especially corn, don’t cross-pollinate with traditional varieties. And it takes time to preserve the foods – usually by drying – and to cook them up in traditional dishes, such as corn soup, which Mr. Kapayou prepares outside in an old kettle over a wood fire. In addition, efforts to take advantage of Native treaty rights for hunting and fishing continue to meet resistance – as when a group of non-Native people harassed Mr. Johnson while he speared walleyes at a Wisconsin lake last April.

      Nor is it easy to get people to renounce modern processed foods. Nicky Buck knows this well. A member of the Prairie Island Indian Community in Minnesota, she grew up behind a McDonald’s and ate sugar sandwiches as a child – and developed kidney disease as an adult. Today she eats – and promotes – Native foods in her community.

      “You just have to retrain your palate,” she says. “You have to decolonize your palate.”

      Decolonizing the palates of the young poses a special challenge. Parents make sloppy Joes out of bison meat and substitute flint corn for wheat pasta. Ms. Webster, the mother of two teenage daughters, says, “We’re trying to show that corn is cool enough even though there’s a frozen pizza looking at them.”

      The gardening itself may occasion a complaint from younger ones, but it’s good family time. Indeed, the food sovereignty movement is often about bringing people together – growing, harvesting, trading seeds and food, and, of course, eating. A Native foods cooperative on the Oneida reservation has 15 member families and saw more applications to join last year than ever before. “There are a lot of folks showing interest,” says Lea Zeise, who manages the co-op.
      A year-round effort

      Food sovereignty is a year-round effort. Over the winter, gardeners have been cooking up what they harvested and preserved in the fall – the dried beans, the canned venison, the corn boiled and dried and stored in glass jars. In northern Wisconsin, members of the Lac du Flambeau Band were busy with winter spearing, chopping holes through 28 inches of ice to get to the fish.

      “We’re going to get as many muskies as we can,” says Mr. Johnson. “We have a lot of younger people who want to do this.”

      Others are looking forward to spring – planning their gardens, shelling dried corn for seed, and in some cases looking beyond the pandemic to a resumption of the workshops and conferences that have helped spread the food sovereignty movement. “People can’t wait to get together,” says Mr. Cornelius.

      In the meantime, Mr. Cornelius, like other food sovereignty advocates, is heavily booked on Zoom. He’s also full of plans for his own farming. In midwinter he was thinking he should plant his greenhouse soon. He was also trying to figure out how to tap more trees in early spring, including a stand of silver maples on land he just bought last year – 51 acres, mostly woods, plus the derelict buildings of an old dairy farm. He hopes to bring in cattle. His friends say he should raise bison. Maybe someday, he tells them.

      “One step at a time,” he says.

      https://www.csmonitor.com/USA/Society/2021/0222/Seeds-and-beyond-Native-Americans-embrace-food-sovereignty

      #semences #graines

  • #Canada. Pensionnats autochtones : une #université va changer de nom

    La prestigieuse université publique canadienne #Ryerson sera renommée l’an prochain. Ainsi en a décidé le conseil des gouverneurs de l’institution située au cœur de #Toronto, pour se dissocier de l’homme dont elle porte le nom, un des fondateurs du système des #pensionnats_autochtones, désormais honni par la société canadienne.

    (#paywall)
    https://www.courrierinternational.com/article/canada-pensionnats-autochtones-une-universite-va-changer-de-n
    #toponymie #toponymie_politique

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  • Pesticides : les États-Unis bannissent le chlorpyrifos
    https://www.courrierinternational.com/article/stop-pesticides-les-etats-unis-bannissent-le-chlorpyrifos

    Les États-Unis disent adieu au #chlorpyrifos, après un demi-siècle d’utilisation. “L’Agence de protection de l’environnement [EPA] va interdire l’utilisation d’un pesticide largement appliqué sur les cultures pour l’#alimentation humaine mais lié à des #dommages_neurologiques chez les enfants”, écrit le Washington Post.

    Trump let this pesticide stay on the market. Under Biden, EPA is banning its use on food.
    Farmers use chlorpyrifos, linked to neurological damage in young children, on crops such as grapes, broccoli and strawberries
    https://www.washingtonpost.com/climate-environment/2021/08/18/chlorpyrifos
    #pesticides

  • Dans l’Ouest américain, la sécheresse ravive les tensions raciales
    https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-dans-louest-americain-la-secheresse-ravive-les-ten

    Cette année, le conflit s’envenime d’autant plus qu’un groupe de militants d’#extrême_droite menace de prendre le contrôle des vannes déterminant la quantité d’#eau qui irriguera les champs. Le lac, dont le pourtour fait environ 150 kilomètres, est peu alimenté par la fonte des neiges en amont et sa profondeur est suffisamment faible à certains endroits pour qu’on le traverse à pied. À la fin de l’été, comme les années précédentes, l’eau risque d’être trop chaude et toxique pour le c’waam et une autre espèce protégée, le koptu. Pour lutter contre la disparition de ces poissons, les autorités fédérales ont interdit qu’une seule goutte d’eau soit acheminée du #lac vers les #exploitations_agricoles, mais elles autorisent périodiquement que des volumes considérables d’eau servent à aider en aval une autre espèce protégée, le saumon. Les Amérindiens n’ont pas le contrôle de l’approvisionnement en eau, mais ils ont des droits juridiques en vertu d’un traité [datant de 1864] qui leur garantit de pouvoir chasser, cultiver et pêcher sur leurs #terres ancestrales. Ils signalent depuis longtemps que la mauvaise santé du lac décime les poissons, ce qui est contraire aux droits qui leur sont accordés par l’État fédéral. Privées d’#irrigation, les exploitations agricoles se meurent et entraînent dans leur chute des villes telles que Keno, Tulelake et Dairy. Des jeunes qui auraient autrefois pris la relève cherchent à partir. Les héritiers d’exploitations qui ont un statut de propriété familiale protégée depuis des générations sont furieux et inquiets.

    #sécheresse

  • Le président du Kirghizistan recommande une racine toxique contre le Covid-19
    https://www.courrierinternational.com/article/remede-le-president-du-kirghizistan-recommande-une-racine-tox


    Le président du Kirghizistan, Sadyr Japarov, lors de sa visite à Tachkent, en Ouzbékistan, le 11 mars 2021.
    PHOTO / ANADOLU AGENCY / AFP

    Quatre personnes ont été admises à l’hôpital de Bichkek, la capitale du pays, après avoir ingéré un breuvage à base de racines d’aconit, une plante vénéneuse promue comme remède contre le Covid-19 par le président du Kirghizistan, Sadyr Japarov.

    Le président du Kirghizistan a alarmé les spécialistes de la santé en recommandant aux personnes souffrant du Covid-19 de consommer un breuvage à base de racines toxiques en guise de remède”, rapporte le site d’information spécialisé sur l’actualité eurasiatique Eurasianet.org.

    Alors que ce pays d’Asie centrale fait face à une troisième vague de Covid-19, son président, Sadyr Japarov, s’est adressé à ses concitoyens dans un message publié sur Facebook le 15 avril. En plus des recommandations d’usage sur le port du masque, il a déclaré que le pays avait trouvé son propre remède contre le virus :

    "Nos médecins ont découvert une façon de traiter la maladie lors de son stade initial.

    Plante toxique
    Le message s’accompagnait d’une vidéo montrant des hommes mettant en bouteille un mystérieux breuvage. “Un zoom sur les bouteilles permet de lire les mots ‘Uu Korgoshun’ sur les étiquettes, ce qui signifie ‘plomb toxique’, en kirghiz”, précise Eurasianet.com. Il s’agit aussi du nom local donné à l’aconit, une plante toxique “connue pour être un poison mais aussi utilisée comme plante médicinale”, ajoute le site d’information.

    Le lendemain, le ministre de la Santé, Alimkadir Beishenaliev, a bu la préparation devant un parterre de journalistes pour prouver sa non-toxicité. Il a cependant ajouté un inquiétan message d’avertissement :
    "La boisson doit être bue chaude uniquement. Si vous la prenez froide, elle peut provoquer des spasmes et la mort.

    Critiques de l’OMS
    La promotion du produit a provoqué l’ire de la communauté scientifique locale et internationale. Le 16 avril, l’Organisation mondiale de la santé a critiqué l’idée, rappelant que l’efficacité du remède n’est pas prouvée et que le produit peut s’avérer dangereux.

    Mais le mal était fait. Le 20 avril, quatre personnes ont été admises à l’hôpital de Bichkek, la capitale du pays. Elles souffraient d’une intoxication après avoir ingéré le breuvage. Face au scandale déclenché par la nouvelle, le président Japarov a retiré son message des réseaux sociaux.

    • contrairement à ce qu’indique l’article, il ne s’agit pas de plomb toxique (уулуу коргошун) mais d’aconit (уу коргошун)

      https://ky.wikipedia.org/wiki/Уу_коргошун
      soit, en français
      Aconitum — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Aconitum

      Aconitum, les Aconits en français, du grec ancien ἀκόνιτον, est un genre de plantes herbacées de la famille des Ranunculaceae. Ce sont, pour un certain nombre, des espèces montagnardes. Leurs fleurs semblent coiffées d’un casque. Elles contiennent des alcaloïdes toxiques, dont l’aconitine, poison mortel pour les humains et pour de nombreux animaux.

    • La flore médicinale, thérapeutique ou toxique ?
      https://www.racine.be/sites/default/files/books/issuu/9782390250661.pdf

      Aconitum napellus L.
      L’ACONIT NAPEL, « CASQUE DE JUPITER »

      L’aconit napel est la plante la plus toxique de notre flore.
      La cueillette doit se faire avec des gants pour éviter que ses alcaloïdes toxiques ne pénètrent par la peau. Il vaut mieux l’admirer de loin !
      […]
      Propriétés médicinales
      La partie botanique de la plante qui est utilisée est la racine. Elle est riche en glucides (50-60 %, surtout de l’amidon), ainsi qu’en alcaloïdes diterpéniques (0,5 à 1,5 %). L’alcaloïde principal est l’aconitine. Cet alca- loïde, ainsi que les molécules apparentées, sont extrêmement toxiques ; la racine d’aconit n’est utilisée en Europe que dans des préparations homéopathiques. La saveur de la plante, douce puis âcre, s’accompagne d’une sensation de fourmillement et d’engourdissement de la langue. La dose mortelle d’aconitine chez l’homme adulte serait de 3 mg (ce qui correspond à 2 à 4 g de racines fraîches).
      Comment cette aconitine agit-elle au sein de notre corps ? Elle excite puis paralyse aussi bien les termi- naisons nerveuses périphériques que les centres bulbaires. Elle induit un ralentissement respiratoire et une dissociation auriculo-ventriculaire ou parfois même la mort en provoquant des troubles du rythme cardiaque.
      Ce type d’alcaloïdes diterpéniques se retrouve principalement dans diverses Renonculacées (genres Aco- nitum, Consolida, Delphinium).

      La médecine chinoise fait souvent appel à des aconits orientaux auxquels elle attribue notamment des pro- priétés antirhumatismales et sédatives pour les douleurs d’origine névralgique. Ces espèces contiennent également des alcaloïdes diterpéniques mais une préparation préalable, pratique commune aux médecines orientales et indiennes permet de réduire la toxicité des composés toxiques initialement contenus dans la plante en modifiant leur structure chimique de base (hydrolyse partielle). Par exemple, en Inde, les racines d’aconit sont traditionnellement macérées dans de l’urine de vache renouvelée quotidiennement pendant trois jours. Ce traitement réduit de 60 % la toxicité des alcaloïdes.

      Le saviez-vous ?
      La toxicité de l’aconit napel (et d’autres espèces du même genre) est connue depuis l’Antiquité ; d’illustres auteurs comme Théophraste, Ovide ou Pline l’Ancien mentionnent l’utilisation de cette plante comme poison. Les extraits d’aconit auraient été utilisés par les Germains et les Gaulois pour imbiber les pointes de flèches et de lances. Ces extraits étaient aussi mélangés aux appâts destinés à tuer les loups, ce qui explique le surnom de « tue-loup » donné aux aconits dans le langage populaire.

    • Aconitum napellus - Doctissimo
      https://www.doctissimo.fr/sante/homeopathie/souches-homeopathiques/aconitum-napellus

      Aconitum napellus est préparée à partir de l’aconit napel ou casque de moine, ou encore Casque-de-Jupiter, une grande plante herbacée des montagnes pyrénéennes. Aconitum napellus est présentée en granules, comprimés, solution buvable en gouttes et ampoules, poudre orale et pommade. Aconitum napellus est principalement utilisée en homéopathie pour son action en gynécologie (aménorrhées), sur les troubles du comportement (insomnie, anxiété, peur de mourir), sur les insolations, en cardiologie (tachycardies), en neurologie (névralgies) et en infectiologie (hyperthermies).

  • Comment Facebook laisse des dirigeants tromper leur population
    https://www.courrierinternational.com/article/revelations-comment-facebook-laisse-des-dirigeants-tromper-le

    Un utilisateur de Facebook ne peut avoir qu’un seul compte. Mais il peut créer plusieurs pages capables de liker, commenter, partager d’autres comptes, et ainsi créer du “faux engagement”. Cette faille dans la réglementation de Facebook contribue à de vastes opérations de manipulation, révèle une enquête du quotidien britannique The Guardian. Facebook a, à plusieurs reprises, laissé des dirigeants et des personnalités politiques tromper la population ou harceler des opposants sur sa plateforme, bien que (...)

    #Facebook #manipulation #modération

  • Aux États-Unis, des migrantes dénoncent des opérations gynécologiques non consenties
    https://www.courrierinternational.com/article/video-aux-etats-unis-des-migrantes-denoncent-des-operations-g

    Plus de quarante #migrantes affirment avoir subi, sans leur consentement, des #opérations_gynécologiques inutilement invasives, alors qu’elles étaient retenues dans un centre de #détention pour immigrés aux États-Unis. C’est le cas de Wendy Dowe, qui témoigne devant les caméras de la BBC.

    #paywall

  • La Face cachée des #énergies_vertes

    Voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires… La transition énergétique laisse entrevoir la promesse d’un monde plus prospère et pacifique, enfin libéré du pétrole, de la pollution et des pénuries. Mais cette thèse officielle s’avère être un mythe : en nous libérant des combustibles fossiles, nous nous préparons à une nouvelle dépendance à l’égard des métaux rares. De graves problèmes écologiques et économiques pour l’approvisionnement de ces ressources stratégiques ont déjà commencé. Et si le « monde vert » qui nous attend se révélait être un nouveau cauchemar ?

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/61421_1

    #film #film_documentaire #documentaire

    #COP21 #COP_21 #transition_énergétique #technologie #technologies_vertes #voiture_électrique #énergies_propres #extractivisme #mines #green-washing #greenwashing #délocalisation_de_la_pollution #pétrole #métaux_rares #néodyme #cobalt #graphite #lithium #photovoltaïque #énergie_solaire #énergie_éolienne #éolienne #solaire #dépendance #RDC #République_démocratique_du_Congo #Australie #Chili #Bolivie #Indonésie #Chine #industrie_minière #Mongolie #Terres_rares #eaux_usées #radioactivité #réfugiés_des_technologies_vertes #eau #IDPs #déplacés_internes #cuivre #santé #Chuquicamata #cancer #Aliro_Boladas #centrales_à_charbon #modèle_économique_extractiviste #énergies_renouvelables #engie #Norvège #charbon #hypocrisie #green_tech #zéro_émissions #changement_climatique #Jean-Louis_Borloo #ADEME #Renault #bornes_électriques #Rapport_Syrota #Jean_Sirota #BYD #EDF #Photowatt #Péchiney_métallurgie #magnésium #nationalisme_des_ressources #Bolivie #recyclage #déchets #décharges_sauvages #Neocomp #fausse_transition #sobriété #progrès_technologique #décroissance #énergies_renouvelables

    –-

    déjà signalé par @odilon sur seenthis :
    https://seenthis.net/messages/888273

    • « La face positive des énergies vertes »

      Le documentaire « La face cachée des énergies vertes » est passé fin novembre sur Arte. Truffé d’erreurs et d’arguments partisans, allant jusqu’à comparer le problème des pales d’éoliennes, soit disant non recyclables, à celui posé par les déchets nucléaires !

      Autre exemple : ce documentaire assène que les énergies vertes et que les batteries nécessitent obligatoirement l’utilisation de terres rares. Ce n’est pourtant pas du tout l’avis de l’Ademe. D’autre part, le photovoltaïque n’utilise jamais de terres rares. Et pour l’éolien et les voitures électriques, leur utilisation dans les moteurs à aimants permanents permet de gagner en performances, mais cet usage n’est ni systématique, ni indispensable.

      Cet article présente :

      – La quinzaine d’erreurs grossières parmi les très nombreuses qui émaillent ce documentaire.
      – Le cercle vertueux du photovoltaïque et de l’éolien : plus on en installe, plus on réduit les émissions de gaz carbonique.
      – Que nos voitures contiennent davantage de terres rares que les voitures électriques sans moteurs à aimants permanents.
      – Pour qui roule le journaliste Guillaume Pitron, à l’origine de ce documentaire.

      En se fondant sur les avis qui se colportent, principalement sur la production des terres rares utilisées dans les énergies vertes, Guillaume Pitron, qui a enquêté dans une douzaine de pays, nous fait visiter quelques sites d’exploitation qui portent atteinte à l’environnement et à la santé des travailleurs.

      Hélas ce documentaire est gâché autant par sa partialité, que par de très nombreuses erreurs grossières.

      https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2390
      https://seenthis.net/messages/894307

    • Geologic and anthropogenic sources of contamination in settled dust of a historic mining port city in northern Chile: health risk implications

      Chile is the leading producer of copper worldwide and its richest mineral deposits are found in the Antofagasta Region of northern Chile. Mining activities have significantly increased income and employment in the region; however, there has been little assessment of the resulting environmental impacts to residents. The port of Antofagasta, located 1,430 km north of Santiago, the capital of Chile, functioned as mineral stockpile until 1998 and has served as a copper concentrate stockpile since 2014. Samples were collected in 2014 and 2016 that show elevated concentrations of As, Cu, Pb, and Zn in street dust and in residents’ blood (Pb) and urine (As) samples. To interpret and analyze the spatial variability and likely sources of contamination, existent data of basement rocks and soil geochemistry in the city as well as public-domain airborne dust were studied. Additionally, a bioaccessibility assay of airborne dust was conducted and the chemical daily intake and hazard index were calculated to provide a preliminary health risk assessment in the vicinity of the port. The main conclusions indicate that the concentrations of Ba, Co, Cr, Mn, Ni, and V recorded from Antofagasta dust likely originate from intrusive, volcanic, metamorphic rocks, dikes, or soil within the city. However, the elevated concentrations of As, Cd, Cu, Mo, Pb, and Zn do not originate from these geologic outcrops, and are thus considered anthropogenic contaminants. The average concentrations of As, Cu, and Zn are possibly the highest in recorded street dust worldwide at 239, 10,821, and 11,869 mg kg−1, respectively. Furthermore, the contaminants As, Pb, and Cu exhibit the highest bioaccessibilities and preliminary health risk indices show that As and Cu contribute to elevated health risks in exposed children and adults chronically exposed to dust in Antofagasta, whereas Pb is considered harmful at any concentration. Therefore, an increased environmental awareness and greater protective measures are necessary in Antofagasta and possibly other similar mining port cities in developing countries.

      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5922233

      #santé #mines

    • L’association #Vernunftkraft

      Aufgeklärte und deshalb zu Recht besorgte Bürger dieses Landes (https://www.vernunftkraft.de/bundesinitiative) erkennen hinsichtlich der Rationalität energiepolitischer Entscheidungen nicht hinnehmbare Defizite.

      Die Zerstörung von Wäldern zwecks Ansiedlung von volkswirtschaftlich sinnlosen Windindustrieanlagen ist dabei die Spitze des Eisbergs.

      Zentrale Elemente der gegenwärtigen Energiepolitik sind extrem unvernünftig.

      Daher möchten wir der Vernunft Kraft geben.
      https://www.vernunftkraft.de

    • La guerre des métaux rares. La face cachée de la transition énergétique et numérique

      En nous émancipant des énergies fossiles, nous sombrons en réalité dans une nouvelle dépendance : celle aux métaux rares. Graphite, cobalt, indium, platinoïdes, tungstène, terres rares… ces ressources sont devenues indispensables à notre nouvelle société écologique (voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires) et numérique (elles se nichent dans nos smartphones, nos ordinateurs, tablettes et autre objets connectés de notre quotidien). Or les coûts environnementaux, économiques et géopolitiques de cette dépendance pourraient se révéler encore plus dramatiques que ceux qui nous lient au pétrole.

      Dès lors, c’est une contre-histoire de la transition énergétique que ce livre raconte – le récit clandestin d’une odyssée technologique qui a tant promis, et les coulisses d’une quête généreuse, ambitieuse, qui a jusqu’à maintenant charrié des périls aussi colossaux que ceux qu’elle s’était donné pour mission de résoudre.

      http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-La_guerre_des_m%C3%A9taux_rares-9791020905741-1-1-

      #livre #Guillaume_Pitron

    • Rapport ADEME 2012 :

      Énergie et patrimoine communal : enquête 2012

      L’enquête « Énergie et patrimoine communal » est menée tous les cinq ans depuis 1990. Elle porte sur les consommations d’énergie et les dépenses payées directement par les communes sur trois cibles principales : le patrimoine bâti, l’éclairage public et les carburants des véhicules.

      https://www.ademe.fr/energie-patrimoine-communal-enquete-2012

      –—

      Rapport ADEME 2015 :


      Scénarios 2030-2050 : une vision énergétique volontariste

      Quel mix énergétique pour les années 2030-2050 ? L’ADEME actualise son scénario Énergie Climat et propose des mesures pour contribuer à la déclinaison du plan CLIMAT.

      Les objectifs ambitieux du Plan Climat lancé par Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, confirment la stratégie volontariste de la France pour la transition énergétique. Dans le contexte actuel de mise à jour de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), l’actualisation du scénario énergie-climat de l’ADEME vient contribuer aux réflexions pour mettre en oeuvre ces objectifs.

      Cette contribution est double : d’une part, l’actualisation des « Visions énergétiques » de l’ADEME, qui souligne l’enjeu que représente l’atteinte des objectifs ambitieux inscrits dans la loi, et d’autre part, l’étude « Propositions de mesures de politiques publiques pour un scénario bas carbone », qui propose une liste de mesures concrètes à mettre en oeuvre.

      https://www.ademe.fr/recherche-innovation/construire-visions-prospectives/scenarios-2030-2050-vision-energetique-volontariste

    • En #Géorgie, la révolte de la “capitale du #manganèse” contre une exploitation hors de contrôle

      Le développement de technologies comme les voitures électriques a fait grimper la demande de manganèse. À #Tchiatoura, où cette ressource est abondante, on en paie les conséquences : excavations à tout-va, paysage saccagé, maisons qui s’effondrent, et main-d’œuvre mal payée.

      La grogne sociale monte depuis 2019 dans le district de Tchiatoura, ancienne “capitale” soviétique de la production de manganèse. Depuis trois mois, 3 500 mineurs sont en #grève pour réclamer la hausse de leurs salaires (qui ne dépassent pas 250 euros) et une meilleure assurance maladie. À la mi-mai, quelques mineurs du village de #Choukrouti, près de Tchiatoura, se sont cousus la bouche et ont entamé une #grève_de_la_faim, rapporte le site géorgien Ambebi.

      Face au silence des autorités locales et nationales, depuis le 31 mai, dix familles font un sit-in devant l’ambassade des États-Unis (la puissance occidentale la plus influente en Géorgie), à Tbilissi, la capitale. “Les gens réclament des compensations pour leur maison et demandent l’aide des diplomates étrangers”, pour rappeler à l’ordre la compagnie privée #Georgian_Manganese, filiale géorgienne de la société britannique #Stemcor, explique le site Ekho Kavkaza.

      Les habitants protestent contre les dégâts écologiques, économiques et culturels causés par une extraction intensive à ciel ouvert du manganèse. Utilisé dans la fabrication de l’acier, la demande pour ce métal est en forte croissance, notamment pour les besoins de l’industrie des véhicules électriques, des piles, des batteries et circuits électroniques.

      #paywall

      https://www.courrierinternational.com/article/degats-en-georgie-la-revolte-de-la-capitale-du-manganese-cont

    • En #Géorgie, la révolte de la “capitale du #manganèse” contre une exploitation hors de contrôle

      Le développement de technologies comme les voitures électriques a fait grimper la demande de manganèse. À #Tchiatoura, où cette ressource est abondante, on en paie les conséquences : excavations à tout-va, paysage saccagé, maisons qui s’effondrent, et main-d’œuvre mal payée.

      La grogne sociale monte depuis 2019 dans le district de Tchiatoura, ancienne “capitale” soviétique de la production de manganèse. Depuis trois mois, 3 500 mineurs sont en #grève pour réclamer la hausse de leurs salaires (qui ne dépassent pas 250 euros) et une meilleure assurance maladie. À la mi-mai, quelques mineurs du village de #Choukrouti, près de Tchiatoura, se sont cousus la bouche et ont entamé une #grève_de_la_faim, rapporte le site géorgien Ambebi.

      Face au silence des autorités locales et nationales, depuis le 31 mai, dix familles font un sit-in devant l’ambassade des États-Unis (la puissance occidentale la plus influente en Géorgie), à Tbilissi, la capitale. “Les gens réclament des compensations pour leur maison et demandent l’aide des diplomates étrangers”, pour rappeler à l’ordre la compagnie privée #Georgian_Manganese, filiale géorgienne de la société britannique #Stemcor, explique le site Ekho Kavkaza.

      Les habitants protestent contre les dégâts écologiques, économiques et culturels causés par une extraction intensive à ciel ouvert du manganèse. Utilisé dans la fabrication de l’acier, la demande pour ce métal est en forte croissance, notamment pour les besoins de l’industrie des véhicules électriques, des piles, des batteries et circuits électroniques.

      #paywall

      https://www.courrierinternational.com/article/degats-en-georgie-la-revolte-de-la-capitale-du-manganese-cont

  • Fusillades à Atlanta : le tireur présumé Robert Aaron Long nie un mobile raciste
    https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-fusillades-atlanta-le-tireur-presume-robert-aaron-

    Huit personnes, dont six femmes d’origine asiatique, sont mortes lors de fusillades qui ont visé trois salons de massage le mardi 16 mars. Selon les premiers éléments de l’enquête, le tireur présumé, un homme blanc de 21 ans, aurait voulu “éliminer” des lieux qu’il considérait comme des “tentations”.

    Le mec tue surtout des femmes, est passionné par Dieu (et par le sexe !)… mais là c’est pas marqué partout « attentat terroriste » hein ?

    #terrorisme #intégrisme_masculin

  • Lettre d’un Tigréen à son pays en guerre

    Alors que la guerre se poursuit au Tigré, ce professeur d’université, originaire de la région, explique comment les divisions ethniques ont eu raison de son sentiment d’appartenance nationale.

    Dans les années 1980, quand j’étais enfant, à Asmara, ville alors éthiopienne [et actuelle capitale de l’Eythrée voisine], mes parents me demandaient souvent ce que je voudrais faire quand je serais grand. Invariablement, je leur répondais que je voulais être pilote de chasse ou général de l’armée de terre. La raison était simple : mon père était soldat dans l’armée éthiopienne sous le régime du Derg [régime socialiste autoritaire à la tête de l’Ethiopie à partir de 1974] et, moi aussi, je voulais tuer les « ennemis » de la nation.

    J’avais grandi en temps de guerre, le bruit des roquettes et des balles constituait la bande-son de ma vie et les médias d’Etat fournissaient le scénario. On m’a appris à voir le conflit de façon manichéenne, avec d’un côté les bons Ethiopiens patriotes et de l’autre les rebelles haineux. En 1991, dans les derniers jours du régime sanglant du Derg, je me revois en train de pleurer, tout en brandissant notre drapeau vert, jaune et rouge.

    Ce que je ne savais pas, c’est que parmi les « ennemis » combattus par mon père, il y avait des cousins à lui et les enfants de nos voisins. La #guerre_civile a rompu les liens sociaux et culturels qu’avaient tissés de nombreux groupes ethniques, dressant souvent les membres de mêmes familles les uns contre les autres. Mon père, de la région du Tigré, avait combattu des membres de sa propre ethnie appartenant au #Front_de_libération_du_peuple_du_Tigré (#TPLF). Pour ma famille, il ne faisait pas bon être à la fois tigréen et éthiopien. Parmi les partisans du régime du #Derg, on se méfiait de nous en raison de notre appartenance ethnique : on nous soupçonnait d’être des agents du TPLF. Parmi les Tigréens, nous étions perçus comme ayant trahi notre peuple en prenant parti pour le gouvernement. Comme des milliers d’autres familles, nous essuyions des insultes de différents camps.

    En 1991, le régime répressif du Derg a été vaincu et le TPLF a pris la tête de l’Ethiopie. Ma famille a quitté Asmara pour Addis Abeba [la capitale éthiopienne], où nous avons vécu dans un camp de réfugiés pendant dix ans.

    Durant les vingt-sept années qui ont suivi, la coalition menée par le TPLF a gouverné le pays. Elle a mis en oeuvre une sorte de #fédéralisme_ethnique qui a favorisé la #conscience_ethnique, au détriment de l’#identité panéthiopienne. Toutefois, avec le temps, la #résistance populaire à la domination tigréenne et à ses pratiques non démocratiques a fait tomber le régime, à la suite de manifestations monstres. En 2018, la coalition au pouvoir a choisi un nouveau dirigeant. #Abiy_Ahmed a promis lors de son investiture de promouvoir la paix, l’espoir et l’unité. Cela n’a pas duré longtemps. Le 4 novembre 2020, Abiy déclarait la guerre au Tigré.

    Le conflit a fait naître une conscience nouvelle de ce que signifie être Tigréen dans la société éthiopienne au sens large. Le gouvernement qualifie sa propre action d’" #opération_de_police " , et non de guerre contre le peuple du Tigré. Pourtant, c’est ainsi que la vivent beaucoup de gens. De nombreux Tigréens soutiennent le TPLF. En outre, dans le cadre de l’actuelle « opération de police » destinée à capturer les principaux dirigeants du parti, des milliers de citoyens lambda ont été tués ou déplacés. Entre-temps, de nombreux « non-Tigréens » ont salué la prise de #Mekele, la capitale du Tigré, et ont gardé le silence quand le gouvernement a empêché des convois d’aide de parvenir à leurs compatriotes. Le #fichage_ethnique et le #harcèlement des Tigréens s’accentuent.

    Devant l’émergence d’une #crise_humanitaire qui touche les Tigréens ordinaires, la volonté délibérée du gouvernement de refuser l’envoi d’aide, le #silence et le soutien de la majorité des Ethiopiens, sapent mon sentiment d’appartenance à l’Ethiopie. Pour moi, l’un des pires aspects de cette situation est que mon père, qui a toujours été fier d’être éthiopien, a une fois de plus été condamné à la souffrance et à l’isolement. Personnellement, il me paraît impossible d’être à la fois tigréen et éthiopien dans le contexte actuel. Le lien que je gardais avec l’Ethiopie semble définitivement rompu.

    https://www.courrierinternational.com/article/recit-lettre-dun-tigreen-son-pays-en-guerre

    #Tigré #guerre #lettre #Soudan