Le paradoxe de la civilisation automobile (►https://larlet.fr/david...
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Le paradoxe de la civilisation automobile | #automobile #paradoxe #civilisation
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Soumission inconsciente (▻https://larlet.fr/david/stream/2018/09/23...
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Soumission inconsciente | #déterminisme #sociologie #inconsciente #bourdieu #soumission
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Arnaqueur senior — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/stream/2018/04/11
La qualité devrait être ajustable en fonction du contexte. On ne code pas de la même manière un prototype avec une espérance de vie de trois mois et un produit qui est là pour durer. On ne se met pas les mêmes contraintes sur une application critique et sur un outil de commodité. On n’a pas les mêmes besoins de résilience en fonction du public visé, avoir une approche dogmatique est potentiellement néfaste au produit.
Without JavaScript
▻https://larlet.fr/david/blog/2017/without-javascript
“I’m here to share with you my own (non-)usage of JavaScript. I’m not deactivating JS completely, actually I’m doing something worse: I combine both hosts configuration and uMatrix to avoid loading most of JavaScript files either from ad-related servers or from content delivery networks (CDNs).”
Lettre à Éric — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/correspondances/2017/04/05
Quelle chance de pouvoir faire une expérience de cette échelle qui implique de la décentralisation et de la liberté. Il n’y a pas de stratégie, de gros acteurs ou quoi que ce soit, juste un joyeux bordel qui apporte du fun. Et ça fait du bien.
Des données aux communs — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/blog/2017/donnees-communs
Le numérique auquel nous aspirons est différent. Il ne menace ni l’économie, ni l’environnement, ni la démocratie, ni la culture. Il permet au contraire de renouveler ces domaines dans leurs fondements par une perspective centrée sur l’humain. Il protège nos libertés tout en nous donnant des moyens puissants d’exercer nos droits. Il ne concentre pas de nouveaux pouvoirs ainsi que les ressources entre les mains d’un petit nombre. Il contribue plutôt à redistribuer équitablement les pouvoirs et les richesses d’une manière durable. Il pose que nous sommes tous égaux et interdépendants, il vise à restaurer notre relation au monde et en prendre soin dans une démocratie inclusive.
Ce numérique auquel nous aspirons est un commun, une ressource partagée par les communautés qui se mobilisent et s’organisent pour la produire, la créer, la protéger, la valoriser au bénéfice de toutes et de tous. Ce numérique existe et prospère. Pour des communautés engagées dans le partage des savoirs co-créés, ces pratiques issues du modèle des communaux trouvent, par l’entremise du numérique, un territoire qui n’aura jamais été aussi vaste. Le domaine public, les logiciels libres sont des exemples de communs de la connaissance, de communs numériques, qui sont vitaux pour le travail, l’éducation, la science, la culture, la liberté d’expression aujourd’hui. De surcroit, ce numérique constitue la dorsale d’une économie collaborative en plein essor mobilisant les ressources, le talent et l’énergie des citoyen.ne.s dans la concrétisation de projets inédits et porteurs.
Nous aspirons à voir ce numérique humaniste reconnu et soutenu.
SavoirsCom1 salue la « Déclaration des communs numériques » au Québec
Un Web à sa mesure - Carnets Web de La Grange
▻http://www.la-grange.net/2015/08/23/web
Une fois votre nom de domaine en main et votre espace d’hébergement, vous êtes libre de publier dans le format, dans la forme et le style de votre choix. Ce simple geste de pouvoir rendre possible la lecture de vos idées, de vos créations, de vos simples réflexions sans avoir à demander l’autorisation d’une tierce personne ou d’un organisme quelconque est un élément essentiel du Web qu’il s’agit de continuer à développer. De nombreuses compagnies vous incitent à utiliser leur #plateforme comme #Facebook, #Twitter, #Medium, #Tumblr, etc. pour publier vos contenus. Il n’y a aucun problème à cela si vous avez bien compris quelles sont les règles d’utilisation et les contraintes qui accompagnent ces lieux. Le jour où la plateforme ferme, où elle est vendue à une tierce personne et que tous vos contenus deviennent inaccessibles, il sera inutile de vous plaindre. Vous le saviez dès le départ. Imaginez que vous vivez dans un appartement. Vous devez être prêts psychologiquement en publiant chez les autres à être expulsé à tout moment avec parfois perte de vos meubles.
Pour favoriser un #Web_ouvert, nous devons continuer à promouvoir les techniques qui rendent indépendants les individus.
Mouais. Sauf que maintenant, qui a le réflexe de publier sur un site indépendant, loin de tout, pour finir avec trois ou quatre lecteurs ?
@grosse_fatigue : ça n’est pas vraiment un problème : publie où tu veux, indépendant, et utilise les autres plateformes pour relayer.
Le problème est plutôt la difficulté d’accès aux « techniques qui rendent indépendants les individus », pas triviales d’usage. Y’a un gros effort UX à faire là-dessus.
@tetue : ça fait 17 ans que je publie au même endroit. Je ne veux pas de nom de domaine pour rester anonyme... De quelles autres plateformes parles-tu ? Facebook ?
@grosse_fatigue vos statistiques sont erronées mon cher, je connais au moins moins cinq êtres charnels qui publient sur leur propre site et vous lisent.
As-tu entendu parler du concept de [POSSE](►http://indiewebcamp.com/POSSE), tu publies chez toi mais tu envoies des troubadours aux quatre coins de la toile pour relayer.
Thierry Crouzet a récemment annoncé la [fin du chez soi numérique](►http://tcrouzet.com/2015/10/10/la-fin-des-medias-intermediaires-ou-la-necessite-denseigner-a-lecole-lhist). Je ne suis pas d’accord, parce que je suis très attaché au caractère décentralisé du Web et aux petits ilots de liberté loin des mégapoles. Mais je ne cesse de penser à la phrase « Il faut imaginer les contenus comme des bateaux qui ne cessent de naviguer, sans connexion avec leur port d’attache », et je me demande comment faire de mes contenus ces bateaux qui partant de mon port iraient trouver des lecteurs là où ils sont, même ceux qui ne sortent jamais de leur cité d’acier. David [y réfléchit](▻https://larlet.fr/david/stream/2015/10/20), d’autres aussi sans doute.
Proposer une version ePub de chaque texte est probablement une piste, qui préserve raisonnablement l’intégrité du texte sans l’enfermer outre mesure. Malheureusement les ePub ne sont pas encore aussi faciles à embarquer sur d’autres sites que par exemple les vidéos Youtube.
Tiens, une vidéo, en voilà une idée. Il parait que c’est un des formats les plus prisés des « jeunes ». Quelqu’un connait un outil pour créer une vidéo où un avatar lit un texte ?
Donc oui, multiposter, sur Twitter, Facebook, Google Plus, Youtube, partout où sont les gens.
Moi chépo, mais je trouve que ce qui doit surnager de nos sites perso est cité, notamment sur les rézosociaux, et que l’écho fait venir les gens.
En tout cas je suis un vieux con sur ce sujet : je vais encore un peu rester chez moi. :)
@Stéphane Deschamps : ben moi je viens de créer un profil Facebook. Et maintenant ?
@grosse_fatigue ah je ne sais pas, j’ai fermé le mien en 2006 :)
Linus Torvalds on backups
▻https://en.wikiquote.org/wiki/Linus_Torvalds
Only wimps use tape backup: real men just upload their important stuff on ftp, and let the rest of the world mirror it ;)
Torvalds, Linus (1996-07-20). Message. linux-kernel mailing list. IU. Retrieved on 2014-04-26.
via ▻https://larlet.fr/david/stream/2015/11/13 « Backup et utilité »
Paiement de #vacataire — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/stream/2015/06/29
J’ai reçu vendredi le premier paiement de la part de la Direction Régionale des Finances Publiques (DRFIP) de PACA pour les cours débutés en octobre 2014.
Deux cent cinquante et un jours plus tard. C’est malheureusement l’une des raisons qui me freinent à encourager mes pairs à faire de même.
Effectivement, qui peut se permettre d’attendre aussi longtemps ?
Lois de la robotique — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/stream/2015/02/28
Que se passe-t-il lorsque l’on remplace « Un robot » par « Le code d’un développeur » ?
Le code d’un développeur ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger.
Le code d’un développeur doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la Première loi.
Le code d’un développeur doit protéger son existence tant que cette protection n’entre pas en conflit avec la Première ou la Deuxième loi.
La première loi rend le développement de drones impossible, la deuxième le trading haute fréquence impossible, la troisième la surveillance de masse impossible
Éducation et informatique
▻https://larlet.fr/david/blog/2014/education-informatique
Il faut bien définir les objectifs que l’on se fixe avec cet #apprentissage du #code dès la primaire. Dans quelle mesure permet-il la poursuite d’études, la construction d’un avenir personnel et professionnel et préparer à l’exercice de la citoyenneté ? Tous bidouilleurs, soit, mais que nous laisse-t-on bidouiller par la suite ?
Sans Serveur | Long-term laziness
▻http://longtermlaziness.wordpress.com/2013/12/16/sans-serveur
Je me suis trompé sur le #Web. J’aime HTTP, mais ça reste un protocole #client-serveur, donc fondamentalement #centralisateur. Toute solution impliquant d’installer un serveur est réservée à une élite, donc ne peut être émancipatrice. Il nous faut remettre l’intelligence à la marge, dans les mains des gens, dans leurs ordiphones plutôt que sur des #serveurs, fussent-ils Web.
[XXX] est une application PHP qu’on installe sur un serveur. Je ne veux plus installer d’applications PHP sur mes serveurs. Ni Ruby ou Python d’ailleurs.
(...) Le coût imposé à chaque personne pour être #autonome sur le web est trop élevé, donc des #silos se sont créés en réponse à cette difficulté pour apporter les bénéfices sociaux du web (#partage, collaboration instantanés, etc.) en abaissant les coûts.
Nous aurions perdu le web #décentralisé à ne pas reconnaître la barrière à l’entrée qu’imposait de gérer son propre serveur. L’enjeu pour récupérer le web serait d’abaisser cette barrière.
et #merci à @0gust1 qui a repéré cette excellente réponse à l’excellent article de @clochix ▻http://esquisses.clochix.net/2013/12/15/gloubiboulga
Et Clochix signale l’article de David Larlet sur les outils conviviaux comme référence :
▻https://larlet.fr/david/blog/2013/outils-conviviaux
Gaspillage numérique — Blog — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/blog/2014/gaspillage-numerique
Raffa
Gaspillage numérique — Blog — David Larlet - ►https://larlet.fr/david...
25 minutes ago
from Bookmarklet
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Je ne comprends pas. Mais je m’interroge. Ce n’est pas une ère d’abondance mais de gaspillage numérique dont nous faisons partie. Et cela ne fait que commencer… - Raffa
▻https://larlet.fr/david/blog/2014/dogmatiques-defauts
Je pense pour ma part qu’il s’agit d’une histoire de défauts : proposer un design suffisamment engagé pour qu’il puisse créer une tendance.
C’est bien sûr reproductible, il n’y a qu’à voir le nombre de sites qui arborent une énorme photo floue en tête de page avec un titre en 50px. Et je suis d’accord qu’il est possible de faire ça assez facilement avec un Wordpress ou un Dotclear. Tout est dans le « assez ». À la limite, distribuer officiellement l’un de ces outils avec un thème par défaut s’en approchant pourrait avoir un impact sur la communauté mais sinon il faut bien réaliser que la modification d’un outil web par des utilisateurs non techniciens tient de l’épiphénomène.
En fait la communauté des Logiciels Libres est tellement peu consciente des problématiques d’expérience utilisateur qu’il y aurait un marché pour n’importe quel outil Open-source dont l’ergonomie et le design seraient retravaillés. Peut-être qu’il s’agit de fainéantise de ma part de vouloir quelque chose qui fonctionne du premier coup, pire j’encourage ainsi la stupidité et chaque citoyen/enfant devrait apprendre à coder pour bidouiller son propre outil. Dans ce monde de Bisounours, plus personne n’aurait le temps de bloguer par contre :-).
cc/ @tetue
#design #open_source #logiciel_libre #expérience_utilisateur #élitisme #ergonomie
En fait la communauté des Logiciels Libres est tellement peu consciente des problématiques d’expérience utilisateur...
Là, c’est un peu vache, les acteurs des LL ont conscience des problématiques d’UX. Ce seraient plutôt des causes structurelles qu’une ignorance ou un aveuglement.
– Les LL sont souvent des outils « boites à outils », génériques, cela plait au « praticien », un peu moins à « l’utilisateur ». Ce sont souvent des outils « non finis » (du point de vue « utilisateur »). La tension « bidouillabilité <-> simplicité / facilité » de @fil.
– Foisonnement de l’offre ? (cf le nombre de distributions linux, squelettes et plugins SPIP, librairies node.js, etc...)
– Prédominances des approches bottom-up ? La conception technique pilote le reste.
– Les façons de produire du LL seraient peu adaptées à une démarche de « design » ?
C’est à creuser.
qu’il y aurait un marché pour n’importe quel outil Open-source dont l’ergonomie et le design seraient retravaillés.
C’est quoi « un marché » ? ;)
Si ça veut dire « gagner son pain à faire de l’UX pour des LL », je signe. (ajout : à ce sujet, voir la discussion ►http://seenthis.net/messages/123215 )
Ça me fait penser à cette discussion ►http://seenthis.net/messages/123215
De mon côté, je crois que la combinaison gagnante était @rastapopoulous +ergonomie
Haha, merci pour la référence. Je maintiens tout ce que j’y disais.
Et une réponse de Clochix :
▻http://esquisses.clochix.net/2014/01/15/control
Si un projet Libre veut attirer des profanes, il doit d’abord s’ouvrir à d’autres compétences. Mais comment les trouver, les inciter à monter dans le bateau ?
Et mon commentaire : il ne s’agit pas tant de les trouver, que de ne pas les décourager.
nous aurions besoin de faire notre auto-critique [en] mettant de grands coups de pieds dans la « #méritocratie » de certains projets libres pour y faire entrer un peu de sang neuf, non issu de l’aristocratie geeke
Quand bien même on en trouverait et qu’illes seraient motivé⋅e⋅s, je continue de ne pas encore savoir ni comprendre quand est-ce que ces gens vont pouvoir contribuer à tel projet, mis à part sur leur temps personnel et familial. La question du #temps de contribution est pour moi essentielle.
Quand on est issu d’une culture geek, et que l’on fait surtout du code, il parait normal de contribuer à des projets aussi bien sur son temps de travail, qu’en dehors, la nuit, en mangeant des chips.
Lorsque l’on a pas cet état d’esprit, et que le soir ou le week-end (1) on préfère plutôt jouer avec son enfant, lire des livres, faire du vélo, cuisiner, jongler, militer ici ou là, et bien le SEUL moment où l’on peut contribuer à des logiciels libres c’est : sur le temps de travail salarié ou assimilé.
Et excusez-moi de la découverte, mais c’est d’ors et déjà ce qui se passe dans une grande partie (la plupart ?) des projets libres un peu gros, même en ne parlant que du code fonctionnel.
Or, pour quelqu’un qui ajoute un module fonctionnel, il est relativement facile de faire en sorte que cette fonctionnalité soit payée par des gens, tout en la publiant en licence libre une fois terminée, car une fonctionnalité est assez souvent générique, peut servir à d’autres.
En revanche, de-nos-jours-pour-l’instant, à peu près aucune entreprise ou collectivité ne va payer pour améliorer l’ergonomie d’un logiciel déjà existant. Elles vont payer pour leur charte graphique à elles. Elles vont payer pour l’ergonomie de leur site internet ou de leur module métier qui est unique et propre à elles.
Dans ces cas-là, les améliorations d’ergonomie, de lisibilité, de navigation, sont souvent le fait de francs-tireur⋅euse⋅s hyper-rares, qui parfois arrivent à trouver le temps de modifier l’UX d’un logiciel.
Mais ça veut dire qu’on ne compte que sur des exceptions, alors que pour le code fonctionnel beaucoup plus de monde arrivent à contribuer sans être geek, sans être étudiant, et sans nuire à leur vie sociale.
S’il est besoin, on peut essayer de donner des cas concrets. (2)
(1) Je reprends ici la temporalité de la majorité, je sais bien que certains n’ont pas la même organisation du temps.
(2) Mais ne serait-ce que dans #SPIP (forcément), on voit bien la différence entre corrections de bugs et ajouts fonctionnels d’un côté / amélioration générale de l’admin et refonte de la documentation-communication de l’autre.
proposer un design suffisamment engagé pour qu’il puisse créer une tendance.
Le thème par défaut du dernier WordPress me semble entrer dans cette catégoirie (même s’il synthétise une tendance existante plus qu’il ne la crée) : il a un parti pris clair.
Le design par défaut de SPIP3 fondé sur une typographie claire et lisible me semble aller dans le bon sens mais peut être ne va-t-il pas assez loin encore.
Je suis d’avis que SPIP devrait proposer un squelette dist qui soit directement utilisable et esthétique mais avec un parti pris graphique fort pour qu’il soit immédiatement reconnaissable.
@vlentz Pour ce point, si tu as des commentaires à faire c’est en ce moment sur spip-dev, sur les discussions parlant de « neo-dist ».
ceci ? ▻http://neodist.grml.eu Propre mais pas de parti pris en effet...
Il faudrait une webfont avec un peu de personnalité.
960px me semble inutile aussi : on pourrait proposer du max-width 1270 puis du responsive
A priori, car j’ai suivi ça de loin, l’idée est de faire une base très dépouillée encore, et je me refuse à critiquer alors que je ne suis pas en mesure de participer et que je pense fondamentalement que le design « démocratique » ne peut pas avoir de personnalité par essence ; il me semble juste que le parti pris typographique en full helvetica est tout de même assez harcore - sans parler de webfont, qui ne conviendraient pas à ce contexte, un peu de Georgia ne serait probablement pas de trop.
Dans l’esprit de rapprocher mondes du logiciel libre et de l’UX, y’a cette conférence/atelier bientôt :
UX ET LOGICIELS LIBRES : RETOUR D’EXPÉRIENCE (TAILS)
►http://www.passageenseine.org/fr/programme/2015
Propriéterre
▻https://larlet.fr/david/blog/2013/proprieterre
Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire « Ceci est à moi », et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne. »
Jean-Jacques Rousseau, L’origine de l’inégalité parmi les hommes (2ème Discours seconde partie)
Opera et Webkit — Blog — David Larlet
▻https://larlet.fr/david/blog/2013/opera-webkit
Le tournant réside dans l’opposition nord/sud ou plutôt riches/pauvres, car oui Opera était avant tout un navigateur de pauvres. Un navigateur qui permettait à toute une partie de la planète d’avoir accès au Web sur des mobiles jetés par des riches il y a 3/5 ans. Un accès demandant peu de ressources côté client et limitant la consommation de bande passante grâce à une mise en cache agressive.
Je suis moins d’accord avec ça par contre :
Les développeurs web qui testaient déjà rarement le rendu sous Presto ne vont même plus en avoir les moyens et rapidement les sites ne vont plus être consultables avec ce moteur ; ce qui va priver momentanément une partie de la population d’un accès au savoir et à la culture. Celle qui en a le plus besoin.
... parce qu’Opera Mini s’en fout un peu, son système de réinterprétation de page marche quasiment tout le temps quand on lui demande des contenus linéaires.
Gratuité et économisme
▻https://larlet.fr/david/blog/2013/gratuite-economisme
« Chaque fois que l’on prend une initiative dans le domaine de la gratuité, on fait revenir les gens à la politique, y compris lorsque c’est un échec », observe Paul Ariès (lire aussi notre entretien). Pour le politologue et objecteur de croissance, l’un des enjeux de la gratuité est de « sortir de l’économisme ». « De même qu’il n’y a pas de société marchande sans culture du marché, il ne peut advenir de société de la gratuité, sans culture de la gratuité », souligne-t-il.
Anthony Laurent, Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits
L’article ►http://www.bastamag.net/article2809.html donne de bons exemples de gratuité. Merci Agnès !
Tiens d’ailleurs, la gratuité a Aubagne est remise en cause par le projet d’élargissement de la communauté urbaine de Marseille. Citoyens et élus clament haut et fort leur oppositions au projet.
▻http://www.aubagne.fr/fr/actualite.html?tx_ttnews[tt_news]=1073&cHash=ca0c6c5836ad2acf21077721b643552
Je le rappelle, parce que dans le cadre de reportages sur Marseille capitale européenne de la culture ( oui môssieur mâdame ... ), on entend par ci par là le débat revenir sur la table sans en comprendre pour autant les enjeux.
Développeurs et magiciens — Blog — David Larlet
►https://larlet.fr/david/blog/2013/developpeurs-magiciens
J’apprenais récemment qu’anthropologiquement parlant, le fait que nos outils aient atteint une capacité supérieure à leur usage (voiture, ordinateur, etc) est très récent. Forcément, ceux qui savent exploiter ces outils de manière plus efficace sont considérés comme étant des magiciens mais cela leur demande d’avoir des compétences et/ou centres d’intérêts transverses à l’informatique dans notre cas. La magie vient de là et pourtant il est malheureusement rare que des personnes soient pluri-compétentes car notre système éducatif forme des spécialistes, or — comme le dit le proverbe chinois — les spécialistes ne parlent pas en amateurs.
Bonne observation sociologique, je trouve.
où il est question de ►http://seenthis.net/messages/99649
★ Pourquoi avoir peur de Google ? — Biologeek — David Larlet
►https://larlet.fr/david/biologeek/archives/20080907-pourquoi-avoir-peur-de-google
J’en ai pris plein la tête dans les 20 premiers commentaires de ma dernière brève sur Google Chrome mais je reste tout de même sur mes positions. Je vais essayer d’expliquer pourquoi plus en détail, sans tomber dans la paranoïa, car il y a pas mal d’incompréhensions et c’est à mon avis important que chacun sache ce qui est en train de se passer actuellement pour l’avenir du Web afin de pouvoir agir de manière responsable. Ce ne sont que des réflexions personnelles dans la continuité de ma définition du GWeb et je ne vous demande pas d’y adhérer, juste d’y réfléchir.