• Un responsable israélien : Nous avons commis une erreur en évaluant la position du Hamas. Les pressions n’ont pas modifié ses exigences dans les négociations – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2904145

    Petit aperçu des négociations Hamas/Israël...

    À son tour, la Douzième chaîne israélienne a fait état de désaccords, de divergences d’opinions et de tensions au sein de la délégation chargée des négociations au nom de la partie israélienne.

    Le commentateur politique de la chaîne, Yaron Abraham, a affirmé que l’on pense que le niveau politique n’a pas accordé à la délégation une autorisation suffisante et large pour discuter de l’essence des questions liées au retour des déplacés dans le nord de la bande de Gaza.

    Concernant cette revendication persistante de la résistance, une source a rapporté que « le Hamas a rejeté une proposition israélienne stipulant le transfert progressif des femmes, des enfants et des personnes âgées dans des tentes, sous la supervision des Nations Unies, afin que leur nombre diminue et ne dépasse pas 60 000 personnes déplacées, alors que le nombre de personnes déplacées dépasse 800 000 »

    La source de la résistance a souligné que le Hamas et la résistance « insistent sur le retour des déplacés dans leurs foyers, même s’ils sont détruits ».

  • مقتل 17 جنديا ومدنيا إسرائيليا في هجمات “حزب الله” منذ 8 أكتوبر الماضي.. وجيش الاحتلال يقصف مناطق بجنوبي لبنان | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/%d9%85%d9%82%d8%aa%d9%84-17-%d8%ac%d9%86%d8%af%d9%8a%d8%a7-%d9%88%d9%85%d

    Bilan toujours aussi mystérieux des combats au nord d’Israël (17 morts). De mémoire, le Hezbollah reconnaît un peu moins de 200 victimes...

    قالت هيئة البث العبرية الرسمية، مساء الأربعاء، إن 17 مدنيا وجنديا إسرائيليا قتلوا في هجمات لـ”حزب الله”، التي بدأت منذ 8 أكتوبر/ تشرين الأول 2023.

  • Médias israéliens : démissions massives de hauts responsables de l’appareil de propagande de l’armée – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2888459

    La 14ème chaîne israélienne a rapporté que de hauts responsables de l’appareil de propagande de l’armée d’occupation ont présenté leur démission, dont à leur tête le numéro deux de l’équipe du porte-parole militaire de l’armée, Daniel Hagari.

    Elle a également fait état du départ à la retraite d’un grand nombre de fonctionnaires du Département de l’information sous la direction de Hagari.

    Et de souligner : « ces démissions reflètent l’état de confusion au sein de l’agence elle-même et résultent de la protestation des officiers contre la conduite opérationnelle et personnelle en cours ».

    Parmi les retraités figurent également les colonels Botbol et Moran Katz, ainsi que le lieutenant Richard Hecht, porte-parole de l’armée israélienne pour les affaires médiatiques étrangères.

    Avant la nomination de Hagari au poste de porte-parole de l’Armée, ce dernier se chargeait de l’unité Sheetit 13. Il a également travaillé comme assistant de l’ancien chef d’état-major Gadi Eizenkot, en plus de son travail avec l’équipe du ministre Benny Gantz, a fait savoir la 14ème chaîne. En d’autres termes, la proximité de l’équipe démissionnaire avec Eizenkot et Gantz est remarquable.

    Auparavant, les médias israéliens avaient révélé que les ordres du Premier ministre d’occupation, Benjamin Netanyahu, de se préparer à lancer une opération militaire à Rafah ont déclenché de nombreux différends entre lui et l’armée d’occupation israélienne.

    Selon Yaron Abraham, analyste politique de la chaîne israélienne Channel 12, « Netanyahu a discuté il y a quelques jours avec le chef d’état-major de la poursuite de l’opération militaire, alors qu’un désaccord est apparu entre les deux parties concernant l’occupation de Rafah ».

    Et de poursuivre : « Tandis que Netanyahu fait pression sur l’armée pour qu’elle trouve des solutions rapides, le chef d’état-major Herzi Halevy souligne la nécessité d’assurer des conditions favorables, comme l’évacuation de la zone et la coordination avec l’Égypte ».

  • « Par crainte de dégâts énormes. » Le maire de Haïfa occupée appelle à ne pas entrer en guerre contre le Hezbollah – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2878845

    Le maire de Haïfa occupée, Einat Kalish, a appelé le gouvernement d’occupation israélien à ne pas entrer en guerre contre le Hezbollah, « par crainte de causer d’énormes dégâts à la ville ».

    Les médias israéliens ont cité Kalish disant que « certaines zones de la ville devront être évacuées », avertissant que « les tunnels du Carmel se transformeraient en un piège mortel ».

    « Des travaux sont en cours pour ouvrir des centres fortifiés équipés de groupes électrogènes, d’eau et d’assainissement, en cas d’éclatement d’un front persistant au nord », a-t-elle ajouté, estimant « qu’un grand nombre de personnes arriveront dans ces centres ».

    L’ancien chef du Mossad israélien, Danny Yatom, a précédemment affirmé « qu’il n’était pas dans l’intérêt d’Israël d’ouvrir un front de guerre avec le Hezbollah dans le sud du Liban ».

    Dans le même contexte, l’ancienne chef du parti Meretz, Zahava Galon, a déclaré « qu’ Israël ne peut pas se permettre de se battre sur deux fronts », expliquant qu’elle parlet de « la vraie guerre ».

    Elle a ajouté : « Ils nous ont dit que nous étions prêts à combattre à Gaza, et nous avons vu ce qui s’est passé. Actuellement, nous n’en sommes pas capables. Maintenant, il y a une sorte de politique d’assimilation. Nasrallah essaie et nous répondons. »

    Elle a souligné que l’entrée de Benny Gantz et de Gadi Eisenkot dans le gouvernement d’urgence israélien visait précisément à empêcher le ministre de la Défense, Yoav Galant, d’oser attaquer dans le nord.

    (...)

  • Sondage : Érosion de la confiance des Israéliens en une victoire à Gaza. Il n’y a pas de captifs dans l’hôpital Nasser. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2875666

    Un récent sondage d’opinion réalisé par « l’Institut indépendant des politiques du peuple juif » a montré un déclin progressif de la confiance du public israélien dans la victoire d’Israël dans la guerre contre la bande de Gaza, par rapport à son niveau du début de la guerre.

    Cette érosion touche entre autres l’institution militaire israélienne.

    En octobre dernier, 35 % des Israéliens ont déclaré que leur confiance dans les commandants de l’armée est très élevée, 40 % qu’elle est plutôt élevée, 17 % qu’elle est plutôt faible et 6 % qu’elle est très faible, et 2% ont dit qu’ils n’avaient pas d’opinion précise.

    En janvier dernier, les chiffres respectifs de ces cinq catégories est passé à 31 %, 45 %, 14 %, 8 % très faible et 2 % ont déclaré ne pas avoir d’opinion.

    En février les chiffres sont passés à 25 %, 45 %, 16 %, 11 %, et 2%.

    Les voix ayant une confiance élevée (très élevée et plutôt élevée) sont passées de 75 % en octobre à 70 en février et celles non confiantes de 25% à 29%.

    Cette étude qui montre cette érosion de la confiance dans les dirigeants de l’armée révèle toutefois que leur confiance dans l’armée est encore bien supérieure à leur confiance dans les dirigeants politiques.

    En outre, le sondage a montré que l’opinion publique israélienne donne la priorité à l’élimination du mouvement Hamas à celle du retour des détenus à Gaza, au cas où Israël se trouvait face à cette option.

  • Ben Gvir révèle un plan pour vider Gaza des Palestiniens – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2865700

    Rédaction du site

    Le ministre israélien de la Sécurité, Itamar Ben-Gvir, a averti qu’il s’opposerait à tout accord avec le Hamas qui permettrait la libération de milliers de Palestiniens ou qui mettrait fin à la guerre avant que le Hamas ne soit complètement vaincu. « Netanyahu est à un carrefour, et doit choisir la direction à prendre », a-t-il dit dans une interview au quotidien US Wall Street Journal, ont rapporté les médias israéliens.

    Ben-Gvir a dans ce contexte révélé son plan pour Gaza, proposant « de repeupler la bande de Gaza avec des colonies israéliennes tout en offrant des incitations financières aux Palestiniens pour qu’ils partent ».

    Le ministre israélien a estimé que son plan visant à « encourager les Gazaouis à émigrer volontairement vers différents endroits à travers le monde » en fournissant des incitations financières en espèces est une « vraie action humanitaire » à entreprendre.

    Ben-Gvir a enfin prétendu savoir que les Palestiniens seraient ouverts à cette idée à travers des discussions avec des Palestiniens en Cisjordanie et des renseignements qu’il a reçus en tant que ministre.

    Ben-Gvir a en outre accusé l’administration Biden d’entraver l’effort de guerre israélien et a affirmé que le candidat républicain à la présidence des États-Unis, Donald Trump, permettrait à Israël une plus grande liberté « pour écraser le Hamas ».

    « Au lieu de nous fournir un soutien total, Biden est occupé à fournir de l’aide humanitaire et du carburant [à Gaza], qui parviennent au Hamas, » a déclaré Ben-Gvir.

    « Si Trump avait été au pouvoir, l’approche des États-Unis aurait été complètement différente ».

  • CIJ : Réactions opposées du Hamas et du Jihad islamique . – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2859397

    Les deux mouvements de résistance palestiniens ont affiché des réactions opposées concernant la décision prise par la Cour Internationale de Justice à La Haye sur la plainte déposée par l’Afrique du sud accusant « Israël » de génocide.

    Le mouvement Hamas a salué sa décision et estimé qu’elle « inculpe l’État occupant pour génocide », et « exige de l’armée occupante de protéger les civils, de lever le siège imposé à notre peuple à Gaza et de respecter ses devoirs en tant que force d’occupation, dans le cadre du droit international et du droit international humanitaire ». Selon le Hamas, « cette décision signifie l’arrêt de toutes les formes d’agression contre notre peuple à Gaza ».

    « Nous appelons la communauté internationale à contraindre l’ennemi afin de mettre en œuvre les décisions de la Cour et de mettre fin au crime de génocide, et nous attendons avec impatience les décisions finales de la Cour pour condamner l’État occupant pour avoir commis le crime de génocide, de crime de guerre, de crime contre l’humanité », poursuit-il.

    « Cette décision ouvre la voie à faire comparaitre les dirigeants ennemis pour responsabilités dans les crimes devant la Cour pénale internationale et à l’affirmation des droits de notre peuple palestinien à l’autodétermination, à l’établissement de son État indépendant et à la restitution de ses terres et sa patrie d’où il a été déplacé par la force, conformément notamment aux résolutions internationales ».

    Le Hamas conclut son communiqué en saluant la position de l’Afrique du Sud, et en remerciant tous les pays qui ont exprimé leur soutien à cette noble action humanitaire.

    Pour sa part, le mouvement de résistance palestinien Jihad islamique a affiché sa déception de la décision de la Cour Internationale de Justice à La Haye.

    « Malgré les mesures temporaires annoncées par la Cour internationale de Justice, ses décisions n’ont pas été à la hauteur de l’exigence de mettre fin aux massacres et aux agressions et de protéger le peuple palestinien d’un anéantissement continu », a-t-il regrette assurant s’attendre à ce que « l’ennemi l’exploite pour agir à sa guise ».

    « Nous dénonçons la réticence de la Cour à rendre une décision claire obligeant l’ennemi à un cessez-le-feu immédiat, malgré sa reconnaissance implicite du génocide qu’elle commet contre notre peuple à Gaza », a-t-il ajouté dans un communiqué.

    Selon le Jihad islamique « la réticence de la Cour à demander l’arrêt immédiat des combats est la preuve que des forces maléfiques mondiales contrôlent les systèmes juridiques mondiaux pour leurs propres intérêts, aux dépens des opprimés ».

    « Nous saluons les efforts déployés par le gouvernement sud-africain pour dénoncer et révéler les crimes sionistes et pour briser l’omerta mondiale concernant la guerre d’extermination en cours contre notre peuple », a conclu le Jihad.

  • أميركا أمام لحظة الحقيقة : الحلّ برحيل « بيبي »؟
    https://al-akhbar.com/Palestine/375480

    L’option des pro-USA dans le monde arabe : normalisation (de l’Arabie saoudite) avec Israël contre arrêt des combats, libération des otages et (plus ou moins vague ?) reconnaissance d’un Etat palestinien (via l’AG des Nations-Unies ?). Tout cela pour éviter un embrasement régional. L’opinion israélienne voudra-t-elle de cette idée (voir plus bas).

    من جهة أخرى، وبحسب تقرير نشرته صحيفة «الفايننشال تايمز» البريطانية، فإن دولاً عربية عدّة تعمل على مبادرة للتوصّل إلى وقف لإطلاق النار في قطاع غزة، وإطلاق سراح الأسرى الإسرائيليين، كجزء من خطّة أوسع تتضمّن تطبيعاً للعلاقات بين السعودية وإسرائيل، إذا ما وافقت الأخيرة على خطوات «لا يمكن الانقلاب عليها» نحو إقامة دولة فلسطينية مستقلّة. ونقلت الصحيفة عن مسؤول عربي قوله إن «الدول العربية تأمل في تقديم الخطة خلال أسابيع قليلة في مسعى لإنهاء الحرب، ومنع توسّع النزاع في الشرق الأوسط». وبحسب التقرير، ناقش مسؤولون عرب مع الولايات المتحدة ودول أوروبية، المقترح الذي يتضمّن «نوعاً من الاعتراف بدولة فلسطينية، أو دعماً كاملاً لعضوية فلسطين في الأمم المتحدة». كما نقلت الصحيفة عن أحد المسؤولين، قوله إن «القضية الرئيسية تتمثّل في أن هناك حاجة إلى إعطاء الفلسطينيين أملاً (...) لا يُمكن أن يقتصر الأمر على فوائد اقتصادية أو إزالة بعض رموز الاحتلال»، مضيفاً أنه «بالنظر إلى الجسم السياسي الموجود حالياً في إسرائيل، فلا شيء غير التطبيع يُنزِل الإسرائيليين عن الشجرة».

    ويبدو أن واشنطن والرياض تناقشان الجزء الفلسطيني من الصفقة، والذي يُتوقّع أن يشمل تجميداً لبناء المستوطنات في الضفة الغربية، وزيادة المساعدات للسلطة الفلسطينية، وخارطة طريق لإقامة دولة فلسطينية، بحسب الصحيفة. ويفترض التقرير أن السعودية «تفهم أن ثمّة ضرورة لانتزاع تنازلات مهمة من إسرائيل»، وأنه يُتوقّع من الحكومة الإسرائيلية أن «تأخذ خطوات ملموسة أكثر نحو إقامة دولة فلسطينية».

    La lecture des mêmes conjectures par Al(Manar (https://french.almanar.com.lb/2852456)

    Le journal britannique Financial Times s’est arrêté sur les récentes déclarations du membre du cabinet de guerre israélien, Gadi Eisenkot, et sur l’ampleur de leur contradiction avec les propos du Premier ministre d’occupation, Benjamin Netanyahu.

    Eisenkot avait déclaré : « Nous devons dire qu’il est impossible de rendre les prisonniers vivants dans un avenir proche sans un accord (avec le Hamas) », ajoutant « qu’ Israël doit envisager d’arrêter les combats pour une longue période dans le cadre d’un tel accord ».

    Les déclarations d’Eizenkot interviennent alors que Netanyahu s’est engagé, lors d’une conférence de presse jeudi, à « continuer à se battre avec toutes les forces jusqu’à la victoire complète sur le Hamas ».

    Le journal a cité trois personnes proches des relations entre Netanyahu et le ministre de la Sécurité de son gouvernement, Yoav Galant, qui ont déclaré que les deux hommes « se sont à peine parlé », soulignant que « les conférences de presse conjointes entre eux et le troisième membre du cabinet, Benny Gantz, qui ont eu lieu au premiers mois de la guerre, avaient cessés ».

    Le journal a souligné que « la détérioration des relations a été exacerbée par l’appel d’un certain nombre d’Israéliens à parvenir à un accord sur la libération des prisonniers israéliens, au prix de l’arrêt de la guerre, appels que Netanyahu et Gallant ont catégoriquement rejetés ».

    Des responsables et analystes israéliens et américains affirment que « des préoccupations politiques internes ont empêché Netanyahu de discuter de cette question », rappelant que « Gallant a critiqué indirectement Netanyahu pour son hésitation politique ».

    L’humeur du public israélien a joué un rôle dans cette division croissante, alors que les proches des prisonniers continuent de critiquer publiquement la guerre en cours dans la bande de Gaza, qui ne fait qu’exposer leurs enfants à davantage de dangers.

    Dans le même contexte, le journal israélien Jerusalem Post a cité un haut responsable d’un des partis d’opposition israéliens qui a déclaré que les Américains se rendaient compte que « Netanyahu est impuissant en raison de la situation politique dans laquelle il se trouve ».

    Le journal a ajouté que « Netanyahu, craignant la réaction des électeurs israéliens, est allé jusqu’à cacher sa troisième phase de la guerre, non seulement à son cabinet de guerre, mais aussi au public ».

    Le Jerusalem Post a constaté que « les voix d’inquiétude croissantes émanant de Washington affectent la scène politique israélienne ».

    Selon le journal, la question n’était plus de savoir si les élections auraient lieu en 2024, mais plutôt : » Quand auront-elles lieu en 2024 ? », notant que « la majorité des membres de la coalition gouvernementale ne veut pas organiser des élections dans un avenir proche et qu’ils ne sont pas pressés ».

    En revanche, le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, continue à lui seul de progresser dans les sondages d’opinion internes, malgré son échec massif à réduire la criminalité au sein de la société israélienne, selon le journal, qui suggère que « la guerre en cours et les distributions d’armes aux équipes d’urgence de réserve jouent à son avantage ».

  • Médias israéliens : « Nasrallah se concentre pour humilier Israël »… « Hezbollah, le premier dans le monde qui utilise les anti-blindés dans les attaques »… – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2842325

    L’utilisation des anti-blindés est sans précédent

    Par ailleurs, les médias israéliens se sont arrêtés sur la hausse du nombre de missiles antichar tirés depuis le Liban dans le cadre des combats actuels.

    Dans un article intitulé « Le précédent des missiles anti-blindés du Hezbollah : tirs isolés et destructions systématiques dans le nord », le Haaretz a déclaré, que l’utilisation par le Hezbollah de ces armes précises, en particulier contre les colonies, « est sans précédent en Israël, et peut-être même dans le monde entier. »

    La liste des colonies dans lesquelles les missiles antichars ont touché des infrastructures et causé des dégâts « est longue et s’étend le long de toute la frontière libanaise », de sorte que « la zone est devenue un champ de tir », affirme le journal.

    Pour le responsable de la sécurité du Conseil régional de Haute Galilée, Dotan Ruchman, dont les colonies ont été directement touchées, « le Hezbollah est l’un des principales organisations au monde à utiliser des missiles anti-blindés ».

    Ruchman a expliqué : « Le grand changement fondamental qui se produit actuellement est que le Hezbollah a transformé ces missiles en armes de tireur d’élite », ajoutant qu’« il exploite ces capacités de tireurs d’élite non seulement pour causer des dommages aux infrastructures, mais aussi pour causer des blessures physiques, comme il les tire sur les forces armées » opérant depuis les colonies frontalières.

    « Une innovation » qu’Israël ne peut intercepter

    Cet avis est partagé par Yehoshua Kalisky, un chercheur de l’Institut d’études stratégiques, qui a déclaré : « L’utilisation par le Hezbollah des armes de précision est désormais sans précédent, même sur le plan international, car il s’agit d’une utilisation intensive et quotidienne contre tout ce qui bouge ou ne bouge pas et elles n’ont aucune protection ».

    « L’armée israélienne ne dispose pas d’outils nécessaires pour intercepter ces missiles lorsqu’ils ciblent des groupes de soldats, des véhicules et des bâtiments à la frontière nord », fait-il remarquer.

    En conséquence, « le Hezbollah travaille de manière innovante », soutient-il, notant que « la frappe précise de samedi sur la base de Meron en est la preuve ».

    Kalisky a également expliqué que les tirs précis du Hezbollah « lui permettent de maintenir ses tirs en dessous du seuil de la guerre – un seuil qu’Israël est également réticent à franchir actuellement – alors qu’il réussit à imposer la terreur », soulignant le fait que des dizaines de milliers de colons ne peuvent pas retourner dans leurs colonies.

  • Washington approuve une nouvelle vente « d’urgence » d’obus à ‘Israël’ en contournant le Congrès – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2831050

    Pour la deuxième fois en un mois, l’administration du président américain Joe Biden a contourné le Congrès pour approuver une vente d’armes à ‘Israël’, en recourant au « pouvoir d’urgence ».

    Le Bureau des affaires politiques et militaires du Département d’État américain a déclaré, le vendredi 29 décembre, dans un communiqué que « le secrétaire d’Etat Anthony Blinken a approuvé une vente de cartouches M107 de 155 mm et d’équipements militaires au gouvernement israélien, pour un montant de 147,5 millions de dollars ».

    Le communiqué indique que l’Agence de coopération en matière de sécurité et de défense a seulement informé le Congrès de cette vente potentielle.

    Et d’ajouter : Blinken a fourni des justifications détaillées au Congrès, estimant qu’il existait « une urgence qui nécessite la vente immédiate de matériel et de services militaires au gouvernement israélien dans l’intérêt de la sécurité nationale ».

    « Les États-Unis sont attachés à la sécurité d’Israël, et le fait d’aider Israël à maintenir une capacité forte pour se défendre est vital pour l’intérêt national des États-Unis », a-t-il renchéri.

    Le communiqué considère que cet équipement militaire et ce soutien à Israël « ne modifieront pas l’équilibre militaire fondamental dans la région ».

  • A la recherche de combattants du Hamas, l’armée israélienne enterre vivants des déplacés dans un hôpital (Images horribles) – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2816937

    Pour mémoire, s’il y en aura un jour une pour les victimes en Palestine (le site n’est pas accessible depuis la France attachée à une liberté de l’information qui ne profite pas aux organisations terroristes.)

    Une horreur de plus s’ajoute aux atrocités commises par Israël contre la bande de Gaza depuis 70 jours.

    Selon des témoins oculaires, l’armée d’occupation a enterré vivants des dizaines de déplacés et de malades dans la cour de l’hôpital Kamal Adwan, au terme de l’offensive menée contre lui depuis 9 jours. La ministre de la Santé du gouvernement de Gaza May al-Kayla a réclamé l’ouverture d’une enquête internationale.

    Cet hôpital situé à Beit Lahia dans le nord de la bande de Gaza, le seul en service, faisait aussi l’objet d’un siège depuis 9 jours, interdisant l’arrivée des approvisionnements et le bombardant à plusieurs reprises.

    Selon l’Observatoire Euro-Med des droits de l’hommes l’armée israélienne a bombardé le service des naissances de l’hôpital tuant deux femmes et leurs deux nourrissons et amputant les jambes d’une troisième.

    L’observatoire a répertorié le cas d’un homme âgé qui est mort de faim dans l’hôpital et la mort d’un deuxième lorsque les soldats ont lâché leur chien contre lui.

    Le directeur général du ministère de la Santé à Gaza Mounir al-Barech a déclaré ce samedi que pendant ses jours, l’armée israélienne a transformé l’hôpital Kamal Adwan en une caserne militaire, humiliant son cadre médical et ses patients et détruisant son aile sud.

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    Selon lui, elle a contraint les malades à descendre dans la cour et en arrêté 5 ce matin et refusé d’évacuer les malades de l’hôpital.

    « 12 enfants se trouvent toujours dans le service pour enfants sans eau ni nourriture et l‘armée a interdit leur évacuation », a-t-il ajouté.

    Il rapporté que leurs soldats ont fouillé les bâtiments de l’hôpital utilisant son personnel comme boucliers humains.

    Ils ont même ouvert le feu sur les ambulances dans l’hôpital et son entourage, toujours selon al-Barech.

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    Une infirmière a révélé que les membres du cadre médical ont été soumis à un interrogatoire par les militaires israéliens qui insistaient pour savoir où se trouvent les combattants du Hamas.

    Une secouriste a rapporté que les soldats leur ont demandé de sortir les armes alors qu’il n’y avait pas d’arme. Elle a assuré que les images publiées sont mensongères.

    La seule pharmacie au nord a été réduite en miettes.

    C’était avant le massacre.

    Ce samedi, rapportent des témoins oculaires, « Les bulldozers ont écrasé les tentes dans la cour de l’hôpital avec barbarie et les gens qui se trouvaient à l’intérieur ont été ensevelis sous terre ».

    Selon le journaliste Imad Zaqout, il y a plus de 20 cadavres de ces victimes écrasées et enterrées par les bulldozers israéliens.

    Il a assuré avoir vu des chats manger les cadavres des martyrs.

    Dans sa version, l’armée d’occupation qui a affirmé avoir mis fin à son opération dans l’hôpital a prétendu que cette région est utilisée par le Hamas comme centre de commandement et de surveillance, assurant avoir capturé 90 membres du Hamas dans l’entourage de l’hôpital et trouvé des armes.

  • Haaretz : les généraux israéliens ont tenu une réunion urgente la veille de l’attaque du 7 octobre – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2806388

    On savait un peu tout cela mais la compilation est utile. Du coup, on voit bien que l’hypothèse d’un délit d’initié sur des titres israéliens (évoquée ici https://seenthis.net/messages/1030140) peut sans doute mettre en cause le Hamas (ou encore le Qatar), comme cela est plus que suggéré dans nombre d’articles, mais aussi, et plus probablement à mon sens, de hauts responsables israéliens, dont la corruption est notoire...

    Les médias israéliens ont révélé plus de détails sur les discussions qui ont eu lieu au sein de l’armée israélienne au cours des derniers mois, jours et heures avant l’attaque du Hamas du 7 octobre.

    Citant des responsables israéliens, le journal israélien Haaretz a rapporté que « les hauts commandants de l’armée avaient tenu des consultations urgentes la nuit précédant l’opération Déluhe Al-Aqsa, concernant une éventuelle attaque du Hamas ».

    Le journal a ajouté que « l’armée n’a pas évacué le Nova Music Festival malgré les avertissements des services de renseignement concernant une éventuelle attaque ».

    Le journal a souligné que « les participants à la réunion au ministère de la Défense ont conclu que le Hamas menait un entraînement à la frontière de Gaza et ne se préparait pas à une attaque ».

    Il y a quelques jours, le journal israélien Yedioth Ahronoth a révélé de nouveaux détails sur l’échec de la sécurité israélienne qui s’est révelé par le déluge d’Al-Aqsa, confirmant un lamentable échec des estimations de sécurité selon lesquelles le Hamas n’a aucune intention d’escalade ».

    Le journal a révélé dans un rapport de son analyste des affaires militaires, Yossi Yehoshua, que « de hauts responsables israéliens, dont le commandant de l’armée de l’air israélienne, Aluf Tomer Bar, le chef de la division du renseignement militaire Aman , Aharon Haliva, et le chef de la Brigade de Recherche de l’Armée, ont été exclus de la séance. Des consultations de haut niveau ont eu lieu la dernière nuit avant l’attaque de la résistance palestinienne contre les colonies d’occupation dans la zone de l’enveloppe de Gaza ».

    De son côté, le journal britannique The Guardian a rapporté que l’armée d’occupation avait conclu que « le Hamas avait planifié depuis des années et dressé des cartes détaillées avec l’aide d’espions présents dans les territoires occupés pour mener à bien l’attaque du 7 octobre ».

    La semaine dernière, le New York Times a rapporté que » les responsables israéliens ont vu un plan détaillé de 40 pages pour une attaque du Hamas, mais celui-ci a été exclu parce qu’il a été jugé trop difficile à mettre en œuvre pour le Hamas ».

    Les responsables israéliens continuent de se lancer les accusations, tenant Netanyahu pour responsable de l’échec qui a conduit au succès de Déluge d’Al-Aqsa. Cela survient alors que les factions de la résistance palestinienne continuent de cibler les concentrations militaires des forces israéliennes.

    • Sous-estimer l’adversaire, l’un des Sept péchés capitaux du chef militaire !

      Gilles Haberey et Hugues Pérot : Les 7 péchés capitaux du chef militaire ; Pierre de Taillac, 2017 ; 258 pages | Cairn.info
      https://www.cairn.info/revue-defense-nationale-2018-4-page-129.htm

      Il y a quelques années, le colonel Gilles Haberey et le lieutenant- colonel Hugues Pérot nous avaient gratifiés d’un premier manuel de tactique appliquée avec L’art de conduire une bataille (Pierre de Taillac, 2016, 330 p.) qui avait été fort apprécié et pas uniquement au sein de la communauté militaire. Dans le même style, et toujours en s’appuyant sur les grandes batailles de l’histoire, les auteurs s’intéressent cette fois-ci aux sept péchés capitaux du chef militaire.

      2 Quels sont-ils donc ces « péchés » que le chef militaire ne doit pas commettre s’il ne veut pas risquer une lourde défaite ? Les auteurs classent ces fautes de commandement impardonnables en sept catégories, qui constituent autant de parties du livre : s’engager sans renseignement ; se laisser imposer le terrain ; subir le rythme de l’adversaire ; sous-estimer son ennemi ; s’obstiner inutilement ; céder à la panique.

      3 Chaque « péché capital » est illustré par la description et l’analyse tactique de deux ou trois grandes batailles, anciennes ou modernes, selon le même plan : situation générale, forces en présence et intention, déroulement de la bataille, enseignements tactiques. L’évolution de chaque affrontement est bien rendue à travers trois ou quatre cartes, claires et agréables, qui en retracent le contexte (pour la première carte), puis les différents moments (pour les suivantes). On y retrouvera avec intérêt un exposé clair et synthétique de la guerre russo-finlandaise, de la défaite italienne de Caporetto ou de la malheureuse affaire de la RC4, pour ne citer que quelques exemples.

      4 Quels sont les enseignements à tirer de ce livre ? Les auteurs sont partis du postulat que « la défaite militaire est avant tout le fruit de l’inadaptation d’une armée ou de son chef à la confrontation avec son adversaire. » Pour eux, les causes de la défaite relèvent de trois grandes familles, souvent liées : l’absence de connaissance ou de maîtrise de « l’art militaire », car celui-ci est tout sauf intuitif et répond à des « principes », comme les trois principes de Foch par exemple (concentration des efforts, liberté d’action, économie des moyens) ; des « déficiences en matière de capacités et d’organisation » (le rapport de force ne doit pas être trop inégal ; l’organisation doit être agile et pouvoir se reconfigurer rapidement en cas d’imprévu) ; une « perversion humaine dans la perception de la réalité » (« vanité et orgueil sont les pires ennemis du soldat »).

      5 Ainsi que l’avait déjà vu Clausewitz, l’acte guerrier est complexe car il intègre des don- nées multiples. Pour Haberey et Pérot, « cette complexité impose donc de sélectionner des chefs stables et vifs d’esprit, dont les qualités sont complétées par une formation large et multidisciplinaire ». Ces chefs devront en effet « disposer d’une aptitude naturelle à discerner l’essentiel de l’accessoire dans la masse d’informations » à intégrer. Là réside, somme toute, le véritable enseignement de ce livre, qui peut, comme le précédent, se lire à plusieurs niveaux et nous inviter à méditer la conclusion de ses auteurs : « Toute la difficulté d’une nation est de bien identifier, dès le temps de paix, les élites militaires et politiques qui permettront de surmonter les temps de crise ».

      Les 7 péchés capitaux du chef militaire
      Éditions Pierre de Taillac
      https://editionspierredetaillac.com/products/les-7-peches-capitaux-du-chef-militaire

      Une lecture indispensable pour tous ceux qui commandent des hommes.

    • mais aussi :

      La position coloniale incline à sous-estimer l’adversaire. Les militaires français appelaient Giap « le petit professeur d’histoire ».

      entrevu derrière le #paywall de cet article de l’Huma (28/01/2022)

      Éric Vuillard : « La colonisation est un ensemble de crimes » - L’Humanité
      https://www.humanite.fr/culture-et-savoir/guerre-dindochine/eric-vuillard-la-colonisation-est-un-ensemble-de-crimes-736112

      Dans Une sortie honorable Éric Vuillard, Goncourt 2017, revient avec force sur la guerre d’Indochine qui ouvrit la porte aux États-Unis dans leur guerre du Vietnam. Deux défaites méritées qu’il dissèque à l’aide de documents interprétés avec une verve imparable.

  • #Liban : Déferlement de responsables français, message israélien et force al-Radwan. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2805013

    Quelques jours après la visite de l’envoyé spécial du président français Jean-Yves Le Drian, le directeur général de la sécurité extérieure français (DGSE) Bernard Émié est arrivé dans la capitale libanaise à la tête d’une délégation de 5 responsables français pour une visite clandestine.

    Alors que personne ne sait les causes réelles de leur visite, des sources haut-placées ont assuré qu’ils devraient compléter la mission de leur prédécesseur, rapporte al-Akhbar, selon lequel Paris est à l’avant-garde pour véhiculer les messages israéliens menaçants , destinés à faire pression afin d’imposer une nouvelle réalité de terrain à la résistance libanaise. Depuis le déclenchement de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza, cette dernière mène des opérations contre les positions israéliennes frontalières, à un rythme sans précédent depuis la guerre 2006.

    Officieusement le Drian affichait sa volonté « d’assurer un consensus libanais concernant les échéances actuelles », mais il s’est avéré qu’en tant que représentant du Groupe des cinq (dont la France fait partie avec les USA, l’Egypte, le Qatar, l’Arabie saoudite), il portait un message primordial : mettre en exécution la résolution 1701 et créer une zone tampon au sud du Liban entre la ligne du Litani et la ligne bleue. Le but en est de rassurer les habitants israéliens des colonies limitrophes du Liban et qui craignent revenir en raison de la présence du Hezbollah.

    Le Drian aurait même menacé de faire appliquer cette résolution par la force en la modifiant au sein du Conseil de sécurité ou en recourant au chapitre VII pour imposer une zone tampon de 30 km de profondeur.

    Les sources d’al-Akhbar estiment que le responsable français de la DGSE porte le même message, d’autant que les médias israéliens avaient assuré que « Tel Aviv a chargé Paris d’agir contre le Hezbollah ».

    Selon ces sources, les Français parlent en détail, mais « ne présentent de plan clair quant au type ou à l’ampleur du déploiement du Hezbollah au sud du Litani. Ils ont plutôt présenté quelques idées ».

    « La France entreprend un effort diplomatique pour mettre en œuvre la résolution, étant donné qu’elle fait partie de ceux qui l’ont rédigé en 2006 » rapporte al-Akhbar selon lequel parmi les idées qui circulent dans les milieux diplomatiques et que certains envoyés européens véhiculent au Liban, il était question de « séparer les forces al-Radwan », la force d’élite du Hezbollah, de toutes les autres forces affiliées à la résistance, avec la proposition de retirer ces forces de la frontière sud, sans objection à la présence d’autres forces à caractère défensif dans le sud.

    Selon des sources informées de ces délibérations, les envoyés occidentaux ont entendu à Beyrouth des réponses claires selon lesquelles « l’ensemble du Hezbollah est la force al-Radwan ».

    Les sources ont placé la visite d’Émié dans le contexte de « la pression croissante sur le Liban et la résistance pour réaménager le statut de la région frontalière, alors qu’il est difficile de revenir à ce qu’elle était avant le 7 octobre dernier ».

    Elles jugent que « L’ennemi sioniste jette des ballons de test à travers les Français, pour surveiller la réaction de la résistance et l’ampleur de la réponse des autorités libanaises à cette demande, et pour savoir s’il existe une base politique permettant de faire pression sur le Hezbollah en utilisant ses opposants internes ».

    Toujours selon ces sources, cette campagne est d’ores et déjà menée par le chef du Parti des Forces Libanaises, Samir Geagea, qui réclame de rendre la zone au sud du fleuve Litani démunie d’armes et de militants. Sans compter les activités menées par les Forces intérimaires des Nations Unies pour le Liban (FINUL) qui poursuivent le même objectif.

  • Médias israéliens : la fuite des soldats du service militaire incite l’armée à durcir les sanctions à leur encontre – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2790438

    Les médias israéliens ont rapporté : « À compter du 1er décembre, l’armée renforcera les mesures de sanctions pour ceux qui fuient le service militaire et ne rejoignent pas leur unité deux mois après le déclenchement de la guerre ».

    Ils ont ajouté : « On s’attend à ce que la peine s’étende d’un à trois jours de prison pour chaque jour d’absence, par rapport à des périodes de prison plus courtes dans le passé. À l’heure où il y a aujourd’hui dans l’armée israélienne deux mille soldats qui désertent l’armée, dont la majorité sont issus de l’armée régulière, et dont la plupart ont fui au cours de la période précédant le 7 octobre, et des centaines de réservistes n’ont pas rejoint le service ».

    Dans un contexte similaire, un soldat de réserve servant dans le nord a déclaré à la Douzième chaîne : « Nous souffrons d’un manque de nourriture et d’équipement. Nous dormons dans des couvertures et des ambulances pour lutter contre le froid, et sans dons, nous serions dans une situation très difficile ».

    Il y a environ un mois, la Douzième chaîne israélienne a rapporté que « l’armée de l’air israélienne avait transféré des centaines de soldats de l’armée d’occupation régulière et de réserve de toute l’Europe vers « Israël ».

    Au début de son agression, « Israël » a également annoncé la convocation de 300 000 soldats de réserve, dans le cadre de la guerre qu’il mène dans la bande de Gaza.

    Cela arrive au moment où les services de sécurité étudient la possibilité de réduire le nombre de soldats de réserve et de licencier certains d’entre eux, en raison des dommages causés au marché du fait de leur absence des colonies et des lieux de travail.

    Des milliers de soldats d’occupation ont annoncé plus tôt qu’ils ne rejoindraient pas le service, en raison de leur opposition aux amendements judiciaires souhaités par le Premier ministre d’occupation, Benjamin Netanyahu, et de nombreux avertissements ont été lancés selon lesquels cette question affecterait la dissuasion et la préparation militaire des soldats. »

  • Le directeur d’un cimetière israélien : nous accueillons un tué toutes les heures. 5 militaires tués ces dernières heures. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2785807

    Apparemment, seule Al-Manar donne cette « info »...

    Le directeur d’un cimetière militaire israélien a déclaré que 50 cadavres de militaires israéliens tués dans les combats terrestres dans la bande de Gaza ont été enterrés dans son cimetière ces deux derniers jours.

    « Nous traversons des moments très difficiles. Il y a des funérailles toutes les heures, voire toutes les heures et demie. Je suis censé ouvrir un grand nombre de tombes. Rien que dans le cimetière du Mont Herzl, nous avons enterré 50 soldats en 48 heures », a dit David Aron Baroch, le directeur du cimetière du Mont Herzl, dans une vidéo diffusée sur le site du ministère de la Sécurité israélien, selon le site web de la chaine de télévision qatarie al-Jazeera.

    Le chiffre livré par ce directeur ne concorde pas avec celui véhiculé par l’armée israélienne. Samedi, cette dernière a fait état de la mort de 6 soldats dans les combats terrestres dans la bande de Gaza, portant à 58 le chiffre des militaires israéliens tués depuis le lancement de l’offensive terrestre israélienne le 27 octobre dernier. Ce dimanche, elle a rendu compte de la mort de 5 officiers et soldats, tués dans les combats au nord de Gaza, portant le chiffre à 63.

    Dans l’une de ses interventions, le porte-parole des Brigades al-Qassam du Hamas, Abou Ubaida a assuré que le chiffre réel des tués israéliens dans les combats terrestres est supérieur à celui affiché par les autorités de l’occupation israélienne

    Selon l’armée israélienne, des combats violents se déroulent dans le quartier al-Zeytoun à Gaza et dans le camp de Jabalia où une école de l’UNRWA a fait l’objet samedi d’un raid israélien meurtrier qui a causé un carnage parmi les déplacés palestiniens qui s’y étaient abrités.

    Les raids israéliens se poursuivent contre Jabalia où une quatrième mosquée a été bombardée ce dimanche. Selon le Bureau médiatique du gouvernement de Gaza, depuis le début de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza, il y a 44 jours, 76 mosquées ont été détruites totalement, 176 partiellement, ainsi que 3 églises.

    Les Brigades al-Qods du Jihad islamique ont rapporté avoir visé avec des obus de mortier des militaires israéliens sur l’axe ouest de Beit Lahia, au nord-ouest de la bande de Gaza, et avoir frappé un véhicule militaire israélien avec un obus RPG dans l’entourage de l’Université ouverte al-Qods à l’est du camp al-Shati’. Elles ont aussi fait état d’accrochages à Beit Hanoun au nord-ouest de la bande de Gaza.

    • En fait Manar cite jazira arabe, lien à l’appui :
      مدير مقبرة عسكرية إسرائيلية : نستقبل جنازة كل ساعة ودفنّا 50 جنديا في يومين | أخبار | الجزيرة نت
      https://www.aljazeera.net/news/2023/11/19/%d9%85%d8%af%d9%8a%d8%b1-%d9%85%d9%82%d8%a8%d8%b1%d8%a9-%d8%b9%d8%b3%d9%8

      Avec une vidéo d’un reportage en hébreu

      Le texte de jazira :

      شف مدير مقبرة عسكرية إسرائيلية عن أن عدد قتلى الجيش الإسرائيلي في المعارك التي تدور في قطاع غزة كبير، مؤكدا أن 50 جنديا دفنوا في المقبرة التي يعمل فيها خلال اليومين الماضيين.

      وأكد مدير مقبرة “جبل هرتزل العسكرية” ديفيد أورن باروخ -في مقطع فيديو نشرته وزارة الأمن الإسرائيلية أمس السبت- أن المقبرة تستقبل عددا كبيرا من القتلى بمعدل جنازة كل ساعة أو كل ساعة ونصف الساعة.

      وقال باروخ “نحن نمر الآن بفترة صعبة جدا، هناك جنازة كل ساعة، أو ساعة ونصف الساعة. يفترض مني أن أفتح عددا هائلا من القبور. فقط في مقبرة جبل هرتسل دفنا 50 جنديا خلال 48 ساعة”.

      وأوضح أن عمله ينصَبُّ على تجهيز القبور لقتلى الأجهزة الأمنية الإسرائيلية والعناية بها

  • Financial Times : ‘Israël’ a emprunté des milliards de dollars pour financer sa guerre contre Gaza – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2784575

    Le Financial Times américain a rapporté « qu’Israël a emprunté des milliards des milliards de dollars pour financer sa guerre contre Gaza, mais qu’il avait été contraint de payer des coûts d’emprunt inhabituellement élevés pour conclure cette transaction ».

    Le journal a rapporté « qu’Israël a emprunté des milliards de dollars ces dernières semaines dans le cadre d’accords négociés en privé pour l’aider à financer sa guerre contre le Hamas ».

    Et de souligner : « depuis l’attaque du Hamas (le 7 octobre), Israël a collecté plus de 6 milliards de dollars de dette auprès d’investisseurs internationaux », expliquant que « les prix finaux des transactions n’ont pas été révélés, mais les banquiers ont déclaré qu’ils avaient fixé les prix en fonction de ce qu’ils attendaient d’un accord général ».

    « Parmi les obligations en dollars émises en novembre, Israël paie des coupons de 6,25 % et 6,5 % sur les obligations à échéance de quatre et huit ans, ce qui est bien supérieur aux rendements standards des obligations du Trésor américain », a-t-on poursuivi de même source.

    Il y a quelques jours, l’agence américaine Bloomberg rapportait que « le fardeau financier de la guerre avait commencé à affecter négativement Israël, déclenchant une controverse politique qu’il serait difficile pour le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ministre des Finances Bezalel Smotrich de s’en debarasser ».

    L’agence a noté que la guerre coûte à l’économie israélienne environ 260 millions de dollars par jour, soulignant que « c’est plus que ce à quoi Israël s’attendait lorsque la guerre a éclaté le 7 octobre ».

    Les médias israéliens ont rapporté plus tôt que le ministère des Finances de l’occupation avait émis une recommandation pour la fermeture immédiate de 6 ministères, en raison de la nécessité d’établir de nouvelles priorités économiques et sociales en « Israël ».

    Le même ministère a également révélé « qu’Israël a accumulé des dettes d’environ 30 milliards de shekels (7,8 milliards de dollars) depuis le début de la guerre contre la bande de Gaza ».

  • Sur le nombre de victimes militaires de part et d’autre de la frontière,

    Peut-être que le Hezbollah ment, mais comme les déclarations de l’état sioniste concernant le nombre de ses militaires tués (les militaires sionistes ne sont jamais blessés) sont inconditionnellement retenues par les #MSM alors même que cet état est un #serial_menteur, je vais présenter ce que dit le Hezbollah :

    (Les chiffres qui suivent vont jusqu’au 31 octobre, l’état sioniste ne reconnaissant que 6 militaires tués dans ses rangs)

    Les chiffres de la Résistance islamique sur les pertes israéliennes en 23 jours de confrontation – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2759110

    L’antenne médiatique de la Résistance islamique (RI) au Liban Média de guerre a diffusé une infographie dans laquelle elle répertorie les pertes de l’armée d’occupation israélienne à la frontière avec le Liban durant les 23 jours d’opérations.

    Elle indique les données suivantes :

    2 véhicules de transport détruits

    Deux Hummers détruits

    9 chars détruits ou endommagés

    105 positions militaires prises pour cible

    140 caméras détruites

    33 radars visés

    1 drone abattu

    120 soldats tues ou blessés

    69 systèmes de communications frappés

    17 systèmes de brouillage visés

    27 systèmes d’intelligence visés

    Évacuation de 65 mille colons

    28 colonies évacuées.

    Ce mardi 31 octobre, la RI a revendiqué des tirs d’obus guidés au milieu de la journée en direction d’une force israélienne positionnée sur la colline Khazzan, à proximité du site Al-Assi, causant des tués et de blessés dans ses rangs.

    Dans l’après-midi, elle a indiqué dans un communiqué avoir visé un char Merkava via des missiles guidés pendant son déplacement dans la caserne Branit assurant l’avoir détruit et causé des pertes ou des blessés parmi son équipage.

    Vers 16 :00, la RI a signalé que ses combattants ont ouvert le feu sur une force d’infanterie israélienne à proximité du poste al-Jerdah avec des obus d’artillerie causant des pertes dans ses rangs.

    • Pertes sionistes pour la seule journée du 05/11/2023 selon le Hezbollah (tel que rapporté par « l’Orient-le-Jour »)

      Plus tôt dans la journée, l’armée israélienne a déclaré avoir intercepté un drone volant vers Israël depuis le Liban alors qu’il survolait le territoire libanais et qu’un missile antichar tiré depuis le Liban avait touché la région de Yiftah, dans le nord d’Israël. Aucune victime n’a été signalée dans l’immédiat lors de l’attaque de Yiftah.

      L’ANI [agence nationale de l’information], citant son correspondant, avait rapporté pour sa part que le Hezbollah avait abattu un drone hostile au-dessus du sud du Liban, dont l’épave était tombée au-dessus des villages de Zebdine et Harouf, à 30 km de la frontière. Il n’y a eu aucun commentaire de la part du Hezbollah sur ce rapport.

      Le Hezbollah a toutefois annoncé, dans un communiqué, avoir visé, à 13h20, un véhicule de l’armée israélienne dans la position israélienne de Bayyad Blida, à l’aide de missiles guidés. Le parti chiite assure avoir fait « des blessés et des morts » parmi les soldats qui se trouvaient sur place.

      « À 11h20 dimanche, des combattants (du Hezbollah) ont visé la caserne d’Avivim et le point de Jal al-Deir avec des missiles guidés et des armes appropriées », a annoncé le parti chiite dans un communiqué. Le Haaretz a pour sa part rapporté à 11h49 que « des sirènes ont retenti dans les villes d’Avivim et d’Yi’ron à la frontière avec le Liban ».

      Dans un second communiqué, le Hezbollah a annoncé avoir visé à « 12h20 la position de Meskav avec des missiles guidés et des armes appropriées, détruisant une partie des équipements techniques de cette position ».

      [...]

      https://www.lorientlejour.com/article/1356271/quatre-civils-dont-trois-enfants-tues-par-une-frappe-israelienne-au-l

    • Conflit israélo-libanais de 2006 — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_isra%C3%A9lo-libanais_de_2006

      Le 3 septembre 2006, un sondage effectué en Israël par l’Institut Ben Gourion montre que les Israéliens croient plus Nasrallah que Peretz, considéré comme moins crédible[86].

      Poll: Israelis believed Nasrallah over Peretz
      https://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3299073,00.html

  • Le terrorisme israélien bombarde l’hôpital Baptiste à Gaza. 500 martyrs au moins. « Nous avions prévenu d’évacuer l’hôpital et 5 autres », a déclaré Tsahal. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2737264

    Infos reprises d’une chaîne depuis longtemps interdite en France, faut-il le rappeler...

    Selon le correspondant d’al-Manar et d’autre journalistes sur places à Gaza, les avions israéliens ont bombardé à deux reprises l’hôpital Baptiste (al-Ahli al-Arabi/ al-Maamadani) , causant des centaines de martyrs et de blessés. Il y a d’autant plus de victimes du fait aussi que l’hôpital était devenu le refuge de centaines de Gazaouis qui avaient fui leurs quartiers ou leurs régions ravagés par les raids israéliennes réalisés à une cadence sans précédent. Ils croyaient que le fait de s’abriter dans cette institution chrétienne leur fournirait une certaine protection.

    (...)

    Les blessés ont été transportés à un autre hôpital, al-Shifa où il y a une panne totale d’électricité, selon le porte-parole du ministère de la Santé, Ashraf Al-Qudra.

    Le directeur de l’hôpital Al-Shifa à Gaza a déclaré que « les opérations sont réalisées sans anesthésie et dans la rue ».

    (...)

    Selon le correspondant d’al-Manar, l’ennemi israélien menace aussi de bombarder l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa à Der al-Balah.

    Selon al-Jazeera, le porte-parole de l’armée israélienne a déclaré : « Nous avions prévenu l’hôpital Baptiste et 5 autres hôpitaux de les évacuer afin qu’ils ne deviennent pas des refuges pour le Hamas ».

  • Comment la Knesset israélienne adopte en catimini des lois qui renforcent l’annexion de la Cisjordanie – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2662321

    D’autres lois visent à affaiblir financièrement l’Autorité palestinienne : lors du dernier jour précédant la saison estivale, une loi a été votée en première lecture permettant aux familles des Israéliens tués dans des opérations de résistance de déposer des demandes d’indemnisation contre l’Autorité palestinienne.

    La loi votée en première lecture sur « l’indemnisation punitive des victimes de crimes », dont les opérations palestiniennes, permet également de priver les prisonniers palestiniens des avantages financiers et autres qu’ils obtiennent de l’Autorité palestinienne, et de verser une indemnisation de pas moins de 10 millions de shekels aux personnes touchées par les opérations.

    Selon le journal, pendant la prochaine saison hivernale, devrait être soumise au vote une loi qui donne aux familles des morts et blessés israéliens dans les opérations le droit d’obtenir des indemnisations en provenance de l’assurance nationale israélienne et de l’Autorité palestinienne en même temps.

    Sont également promus un projet de loi qui accorde des pouvoirs accrus aux institutions de l’occupation en Cisjordanie occupée, dans le cadre d’une large annexion, ainsi qu’une loi permettant de percevoir des amendes auprès des Palestiniens devant les tribunaux militaires. Et une troisième loi en cours d’élaboration qui incite à imposer la souveraineté israélienne sur les sites archéologiques et du patrimoine historique en Cisjordanie.

    D’autres projets de loi promeuvent des restrictions sur les écoles palestiniennes et surtout le programme scolaire palestinien dans la ville sainte d’al-Qods (Jérusalem)

    Source, Al-Manar, interdite de diffusion par les autorités françaises...

  • أبو مازن يغادر جنين بعد زيارته الأولى منذ 12 عاماً
    https://al-akhbar.com/Palestine/365638

    L’énoncé des faits suffit à mettre en lumière la médiocre tentative de récupération de la « victoire » de Jénine par l’Autorité palestinienne.

    أبو مازن يغادر جنين بعد زيارته الأولى منذ 12 عاماً
    Abou Mazen (Mahmoud Abbas) quitte Jénine à l’issue de sa première visite en 12 années.

    #palestine

    • https://french.almanar.com.lb/2647020

      https://media2.almanar.com.lb/videofiles/2023/July/news/reports/12-(20+)_Facebook.mp4.mp4

      Dans le discours qu’il a prononcé, il a affirmé qu’al-Qods est la capitale éternelle de l’Etat palestinien.
      « Nous sommes venus pour suivre la reconstruction de la ville de Jénine et son camp, nous resterons dans notre pays et ne le quitterons jamais », a-t-il dit aussi selon l’agence Quds.
      Et de poursuivre : « la main qui va s’étendre contre notre unité, notre sécurité et la stabilité de notre peuple, nous la couperons ».
      Pendant son discours, les participant criaient : « Katiba, katiba », en allusion à la brigade de Jénine qui défend la ville et son camp.

      La dernière visite de M. Abbas dans le camp de réfugiés remonte à décembre 2004 alors qu’il était candidat aux élections présidentielles palestiniennes après le décès de l’emblématique dirigeant palestinien Yasser Arafat.

      M. Abbas s’est aussi rendu dans la ville de Jénine en 2012, mais sans visiter le camp qui a progressivement échappé au contrôle des forces de sécurité de l’Autorité palestinienne au profit des groupes de résistance locaux.
      Des centaines de soldats de la garde présidentielle patrouillent dans les rues du camp et des snipers ont pris position sur les toits, a constaté un journaliste de l’AFP.

      Pour Abdullah, un résident, qui a observé les préparatifs, « le plus important, c’est ce qui se passera après son départ, et s’ils (l’Autorité palestinienne) continueront de s’occuper du camp », juge-t-il, selon l’AFP.

      Pour Hugh Lovatt, chercheur au Conseil européen des relations internationales, cette visite du président palestinien vise à « montrer que l’Autorité palestinienne contrôle Jénine ».
      Mais elle aura un impact limité, « étant donné la crise de légitimité croissante à laquelle elle est confrontée et l’essor des groupes armés palestiniens », prédit-il.