Au Honduras, le coup d’Etat permanent

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  • Au Honduras, le pouvoir qui tue le plus d’opposants politiques, le régime putchiste soutenu par les USA et l’UE piétine les urnes
    https://www.initiative-communiste.fr/articles/international/honduras-pouvoir-tue-plus-dopposants-politiques-regime-putchis

    Au Honduras, le régime de putchistes fascistes installé par un coup d’état en 2009 contre Manuel Zellaya légitimement élu essaye de récidiver en piétinant les élections où, à nouveau la gauche progressiste vient de l’emporter.

    Vous ne le verrez pas au journal de France 2, TF1 ou BFM TV. Mélenchon ne sera pas interrogé la dessus par Léa Salamé ou Jean Jacques Bourdin. La censure est totale. Pendant ce temps là, avec le soutien total de Washington, de Bruxelles, mais également des Laurence Debray et autres soutiens de l’extrême droite putchiste qui s’attaque également au Venezuela, à Tegucigalpa, le régime continue d’assassiner et de tirer sur le peuple.

    Au Honduras, la police rallie le peuple et met en échec l’imposition du couvre-feu
    https://blogs.mediapart.fr/kassandra/blog/051217/au-honduras-la-police-rallie-le-peuple-et-met-en-echec-l-imposition-

    L’imposition d’un couvre-feu dans la nuit du 30 novembre, n’a pas freiné l’ardeur des honduriens opposés à la réélection du président-candidat Juan Orlando Hernandez (JOH). La répression laisse un bilan qui s’élève déjà à plusieurs morts. Mais ce 4 décembre, la police s’est rebellée. Les honduriens n’ont pas encore de nouveau président mais déjà la volonté de restaurer l’ordre institutionnel.

    Au Honduras, le coup d’Etat permanent par Maurice Lemoinehttp://www.medelu.org/Au-Honduras-le-coup-d-Etat

    Après plus d’une semaine de retards et d’incidents plus suspects les uns que les autres, le Tribunal suprême électoral (TSE) hondurien a annoncé le 4 décembre les résultats « provisoirement définitifs » de l’élection présidentielle du dimanche 26 novembre dernier. Ceux-ci donneraient la victoire à Juan Orlando Hernández, le président de la droite « post coup d’Etat » en exercice, qui se représentait illégalement, avec 42,98 % des suffrages. Crédité de 41,39 %, Salvador Nasralla, candidat d’une coalition, l’Alliance d’opposition contre la dictature, ayant pour coordonnateur l’ex-chef de l’Etat renversé en 2009 Manuel Zelaya, dénonce une fraude et refuse, avec de bonnes raisons pour le faire, de reconnaître le verdict du TSE. Alors que le pouvoir a décrété l’état d’urgence et que les manifestations se multiplient, un dangereux bras de fer est engagé.

    #Honduras #Répression #Coup_d'Etat #Elections #Amérique_latine