@tetue
Il n’y avait pourtant pas de difficulté à traduire « briseuses de silence » afin de rester fidèle à l’information — dont témoigne également, si doute il y avait chez les traducteurs, l’image, qui ne montre que des femmes.
Tu écris juste traducteurs (et non traductrices et tradcuteurs ), est-ce pour matérialiser le fait que pour avoir traduit les choses de cette manière la personne qui a traduit de cette manière est nécessairement un homme ? (ce qui n’est pas sûr hélas, et il aurait pu se trouver des hommes pour traduire au contraire breakers en briseuses , ce qui, dans le cas qui nous occupe est pour le coup l’application stricte de la règle grammaticale, à savoir si toutes les personnes sont de sexe féminin alors il faut marquer le féminin, là aussi bel impensé, en voulant défendre la langue soit disant historique, la traductrice ou le traducteur se rend coupable d’une faute de français).
Sinon, très bien l’article, comme souvent.