• « En Ethiopie, la question des “nationalités” est devenue explosive »
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/29/en-ethiopie-la-question-des-nationalites-est-devenue-explosive_5235571_3212.
    pour archive.. juste que le gouvernement éthiopien à déployer des moyens pour restaurer des sols pour y installer une agroécologie dans la région tigréeenne et qu’ailleurs les #terres y sont réservées (et confisquées) pour des investisseurs de l’agro-industrie

    En #Ethiopie, fédération de neuf régions ethniques, un mécanisme redoutable est enclenché. Son détonateur se trouve en région Somali, dans l’est du pays, où les autorités locales se sont senties assez fortes pour lancer des raids armés dans la région voisine d’Oromia, la plus peuplée du pays, profitant d’une délimitation incertaine de la frontière, tandis que les Oromo vivant en région Somali subissent un nettoyage ethnique.

  • « Non-souchiens ou racisé.e.s : la novlangue des dévots de la race », LE MONDE Le 26.12.2017, Sarah-Jane Fouda (chroniqueuse Le Monde Afrique)
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/26/non-souchiens-ou-racise-e-s-la-novlangue-des-devots-de-la-race_5234542_3212.

    Notre chroniqueuse analyse les néologismes forcément réducteurs auxquels recourent les discours racistes ou sur le racisme.

    Finkielkraut, Johnny et les « non-souchiens ». Rokhaya Diallo, le CNNum et les « femmes racisées ». « Blanchité », « blackface »… Où va la langue ? Parle-t-on encore français ? Le français de France, le français du Français, le français français, comme dirait Léon-Gontran Damas, l’un des inventeurs de la négritude ? Plus on prête l’oreille aux polémiques, plus leur vocabulaire convainc que le discours sur le racisme, sur la race et sur les autres tient de la novlangue. Est-ce vraiment un hasard ? Pas vraiment, dans un pays où le racisme et la xénophobie auront été, depuis des années et jusqu’à la dernière présidentielle, bien présents dans les esprits mais étrangement absents des débats politiques.

    Depuis le thème de « l’identité nationale », ce newspeak français gagne du terrain à mesure que reculent le débat et la réflexion sur le racisme. Le racisme, « cette notion aberrante » qu’il convient de supprimer, affirmait récemment encore Michel Lebb, « parce que ça n’existe pas ». Inventer de nouveaux mots, éliminer surtout les mots indésirables, vider ceux qui restent de leur substance, quelle qu’elle soit : ainsi va le nouveau langage.

    Do you newspeak ta race ? Dans sa version perfectionnée, cette langue ne compte que des mots formés à des fins politiques pour imposer l’attitude mentale voulue à la personne qui les emploie. Pas toujours facile à prononcer, ce lexique novlangue se divise en deux classes distinctes, que nous appellerons vocabulaire raciste, ou vocabulaire R, et vocabulaire anti-raciste, ou vocabulaire AR. Notons d’ores et déjà qu’il est difficile, sans une compréhension complète des objectifs personnels et collectifs des dévots de la race, d’employer ces mots correctement.

    Vocabulaire R : tout « Blanc » n’est pas « souchien »

    Les mots R sont formés de mots dérivés ou de mots composés, soudés ensemble, signifiants dans un couple d’opposés. Par exemple, le mot « souchien » signifie avant tout « non-souchien ». Nous comprendrons « Français de souche », à la condition d’exclure de ce groupe les personnes d’ascendance maghrébine, d’Afrique subsaharienne ou d’Asie. « Non-souchien » s’entendra aussi comme « les quartiers », « les banlieues » – entendez par là ceux qui y vivent, sachant que son contraire serait « la campagne », « la ruralité », par extension « le terroir » et ses habitants. Dans une autre acception, « souchien » s’emploiera comme synonyme de « Blanc ». Pour autant, tout « Blanc » ne sera pas « souchien » – songez au plombier polonais. Car, avant tout, est « souchien » celui ou celle qui se revendique comme tel. Ainsi, le terme change de désignation, avec de fines subtilités à peine intelligibles.

    Considérons ainsi cette phrase typique d’un académicien de la novlangue : « Le petit peuple blanc est descendu dans la rue pour dire adieu à Johnny. Il était nombreux et seul. Les non-souchiens brillaient par leur absence. ». Traduction : « Les Noirs, les Arabes et les Asiatiques ont-ils une âme, une âme rock’n’roll ? Wesh, ma gueule, qu’est ce qu’elle a ma gueule ? » Mais ce n’est pas une traduction exacte. Saisir dans son entier le sens de la phrase susmentionnée exige d’avoir une idée claire de ce que signifie « le petit peuple blanc ». De plus, seul un spécialiste de la novlangue appréciera la force du mot « souchien », qui implique une acceptation aveugle de la métaphore, un enthousiasme sans bornes pour l’affect et, enfin, le strict respect d’une règle élémentaire de la grammaire novlangue : « Moi parler français, parce que moi savoir faire des néologismes. »

    Mais la fonction spéciale de certains mots novlangue, comme « souchien », n’est pas tant d’exprimer des idées, des valeurs ou des sentiments, que d’en détruire. Quelques mots-couvertures en englobent d’autres et, en les englobant, les suppriment. Ainsi, tous les mots gravitant autour des concepts de liberté, d’égalité et de fraternité cessent d’exister dans « identité nationale ». En novlangue, la cacophonie domine toute autre considération. Attendu qu’un expert du vocabulaire R doit être capable de répandre des sophismes aussi automatiquement et aussi bruyamment qu’une mitraillette sème des balles, il est important de parler sans réflexion. Aussi, comparé au vocabulaire AR, le vocabulaire R est minuscule. Il s’appauvrit chaque année au lieu de s’enrichir, chaque réduction constituant un gain puisque moins le choix des mots est étendu, moindre est la tentation de réfléchir.

    Vocabulaire AR : le « racisé » revendiqué

    Les mots AR consistent en des termes scientifiques et techniques débarrassés de leurs significations indésirables et dont on prend soin d’oublier le sens premier.

    Prenons pour exemple le terme « racisé.e.s ». A l’origine, un concept sociologique, utile à l’étude du racisme structurel mais qui, une fois entré dans la novlangue ordinaire, brille de sa nouvelle indigence. Des « personnes racisées » aux « racisés », la novlangue substantive le lexique universitaire, essentialisant par là même le mot qui devait non seulement éviter ce piège mais rendre dicible la réalité sociale du racisme.

    De fait, dans sa nouvelle acception, le mot ne renvoie plus au processus de racisation mais réduit la personne à une identité fixe, à « l’être racisé.e ». Autrement dit, on ne se fait pas raciser, on est un ou une racisé.e. Grâce à la novlangue, d’innombrables victimes de discriminations, d’inégalités, de préjugés et de clichés ont ainsi intégré cette nouvelle catégorie homogénéisée et dont le principal avantage consiste à effacer la pluralité des trajectoires sociales. « Le racisé », proche du « non-souchien », lui aussi se dira donc d’abord en revendiquant. Sa place dans le duel « X versus non-X », sa position dans le rapport de forces social et économique, son camp dans la mécanique du racisme – en définitive, son potentiel de mobilisation.

    L’une des fonctions du jargon AR est en effet de masquer l’impuissance à créer le mouvement social autant que l’incapacité à mener des luttes catégorielles. Le vocabulaire R refuse de changer la société, le vocabulaire AR renonce au changement social. Pendant ce temps, le racisme au quotidien prospère.

    « Newspeak » des bas instincts

    « Vous est-il jamais arrivé de penser, Winston, qu’en l’année 2050 au plus tard, il n’y aura pas un seul être humain vivant capable de comprendre une conversation comme celle que nous tenons maintenant ? », demandait un des personnages de 1984 à Winston Smith, le protagoniste principal de l’œuvre de George Orwell. Nous sommes en 2017, et déjà nous ne comprenons plus rien au discours raciste ou sur le racisme.

    Et pour cause : le but de la novlangue est, d’une part, de fournir un mode d’expression aux idées des dévots de la race, d’autre part de rendre impossible tout autre mode de pensée. Cette langue complexe mais vide, ce newspeak des bas instincts, se destine non à étendre, mais à diminuer le domaine de la pensée en réduisant au minimum le choix des mots, et avec lui les personnes elles-mêmes. Lorsqu’il sera une fois pour toutes adopté, lorsque le français sera définitivement oublié, une idée hérétique sera littéralement impensable, dans la mesure où la pensée dépend des mots. Toute ressemblance avec l’appendice d’Orwell n’est pas fortuite.

    Sarah-Jane Fouda est consultante en communication, spécialiste du discours et de l’argumentation. Elle enseigne la logique informelle à l’Université Paris-III Sorbonne-Nouvelle.

    (en entier = moins de clics et moins de fric pour Le Monde)
    #race #langue

  • RDC : la faim, nouvelle menace pour les rescapés des violences au Kasaï
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/22/rdc-la-faim-nouvelle-menace-pour-les-rescapes-des-violences-au-kasai_5233285

    D’après le PAM, 3 millions de personnes sont en « #insécurité_alimentaire critique » dans les cinq provinces du Grand Kasaï. En octobre, l’urgence a été classée au « niveau 3 », c’est-à-dire celui de l’Irak, de la Syrie et du Yémen. La région avait déjà connu une malnutrition chronique, mais jamais une telle crise – même à la fin des années 2000, au moment de l’épuisement de la filière diamantifère.

    Coutumière, puis politique et sécuritaire, la « #guerre de Kamwina Nsapu » s’est muée en un vaste désastre agricole. « Quand elle a commencé, les champs n’ont pas pu être préparés, explique Alain Piko, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Les récoltes ont pourri, les semis n’ont pas été faits et le peu de semences ont été consommées ou pillées. »

    #RDC #faim #conflit

  • Enquête sur le mystérieux crash d’un DC-6 suédois

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/21/le-mystere-du-dc-6-suedois_5232751_3212.html

    En 1961, le secrétaire général de l’ONU, le Suédois Dag Hammarskjöld, meurt dans un crash aérien en Zambie. Accident ou attentat ? Cinquante-six ans plus tard, Stockholm veut relancer l’enquête.

    C’est une affaire d’un autre temps, une énigme de plus de cinquante ans : qu’est-il arrivé au DC-6 ­Albertina de la compagnie suédoise Transair, le 18 septembre 1961, en Zambie ? L’appareil, transportant seize passagers, aurait dû atterrir un peu après minuit à Ndola, une petite ville du nord du pays, mais il n’est jamais parvenu à destination. A 3 heures du matin, le ­directeur de l’aéroport a fini par éteindre les lumières de la piste d’atterrissage puis il est parti se coucher. Etrangement, il a fallu attendre 7 heures pour que les recherches soient lancées. Les secours ne sont arrivés sur les lieux du crash, à 18 km de là, qu’un peu après 15 heures. A côté de la carcasse de l’avion ­gisait le corps d’une personnalité majeure de la diplomatie mondiale : Dag Hammarskjöld, secrétaire général des Nations unies depuis 1953.

    De fait, l’hypothèse d’un attentat contre Dag Hammarskjöld a été évoquée dès l’automne 1961. « Il était sur le point d’accomplir quelque chose quand ils l’ont tué », lâchel’ex-président des Etats-Unis, Harry Truman, à des journalistes, le lendemain du drame.

    Des charbonniers zambiens, qui furent les premiers à donner l’alerte le 18 au matin, ainsi que Mama Chibesa Kankasa, figure de la lutte pour l’indépendance en Zambie, assurent avoir aperçu plusieurs avions dans le ciel cette nuit-là : l’Albertina, mais aussi un ou deux appareils plus petits. Ils se souviennent également d’un éclair frappant le DC-6 peu avant qu’il ne s’écrase. Ces descriptions concordent avec le récit du seul survivant : le sergent Harold Julien, un Américain, chef de la sécurité de l’ONU. Avant de mourir à l’hôpital six jours plus tard, il aurait évoqué, selon son infirmière, une « explosion » à bord.

  • Disparition de #Gilbert_Meynier, « passeur » de l’histoire algérienne
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/19/disparition-de-gilbert-meynier-passeur-de-l-histoire-algerienne_5231942_3212

    L’une des premières rencontres de Gilbert Meynier avec l’#Algérie date de 1961, lorsqu’il organise avec les étudiants de l’Unef une manifestation de soutien à l’indépendance. Il compte parmi ses professeurs l’historien Pierre Vidal-Naquet, très engagé contre la guerre d’Algérie et dans la dénonciation de la torture. En 1962, à l’indépendance du pays, il fait partie de ces « #pieds_rouges » venus aider à construire l’Algérie nouvelle. Il sera volontaire pour une campagne d’alphabétisation pendant plusieurs mois près d’Alger. Il reviendra en Algérie quelques années plus tard, pour enseigner au lycée français d’Oran (1967-1968) puis à l’université de Constantine (1967-1970).

  • أنباء شِبه مُؤكّدة عن احتجازِ السعوديّة لرَجل الأعمال صبيح المصري الذي يَحمل جنسيّتها.. ورجل أعمال مُقرّب مِنه يروي لـ”رأي اليوم” قِصّة مُغادرَتِه إلى الرياض رَغم التّحذيرات.. ودِفاعه عن نَفسه في مُواجهة التّهم بالفَساد | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=795806

    Un nouveau pensionnaire de marque dans la #prison_dorée du Ritz-Carlton de Riyad. Subayh al-Masri, jordanien d’origine palestinienne, grand banquier pour l’Arab Bank et très connu dans la région pour son engagement caritatif. Il avait été prévenu des risques de se rendre en Arabie saoudite, et il avait envoyé son fils aux nouvelles. Celui-ci était revenu sans problème, et le père croyait (naïvement) qu’il n’encourrait aucun risque puisqu’il n’avait rien à se reprocher. Depuis 48 heures, sa famille est sans nouvelles.

    Ca n’a rien à voir mais les Saoudiens et les Emiriens viennent de "contribuer" au G5Sahel pour 100 millions de dollars. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/13/l-arabie-saoudite-apporte-85-millions-d-euros-a-la-force-antidjihadiste-au-s
    Alors, souhaitons pour M. Al-Masri qu’il ait des amis aussi présents que l’ont été ceux de M. Hariri.

    • Al-Masri est le président du CA de l’Arab Bank, une des plus grosses banques de la région, tendance « nationaliste » (si !) Pour certains, c’est la Palestine, et la Jordanie, qui sont visées par cette arrestation qui doit ravir les Israéliens. M. Al-Masri a également la citoyenneté saoudienne (un « cadeau » dont bénéficient nombre de très très riches.) http://www.raialyoum.com/?p=796185

  • « Comme Michel Leeb, les racistes non racistes refusent de comprendre ce qu’est le racisme »
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/13/comme-michel-leeb-les-racistes-non-racistes-refusent-de-comprendre-ce-qu-est

    Le raciste non raciste a deux ou trois arguments qu’il répète à l’envi : « Je ne suis pas raciste, ma meilleure amie est noire (ou arabe) », « On ne peut plus rire de rien », « Mais ça fait rire des Noirs ! (des Arabes, des gays, des femmes…) ».


    Le raciste non raciste pense que des éléments de sa vie personnelle, la couleur de peau de quelques-uns de ses amis, ses voyages dans des pays où vivent des Noirs ou des Arabes, sa nièce ou sa belle-sœur noire ou maghrébine, ou même un chèque donné à une association antiraciste, sont des preuves qu’il aime tout le monde, ne fait pas de différence et n’est PAS raciste ! Il se sent mortifié d’être pris pour un raciste. Il proteste, gronde. Les racistes ? Ce sont les énervés qui frappent, insultent, pas ceux qui font des blagues !

    Michel Leeb est un raciste non raciste. Reprenant dans son dernier spectacle son sketch « L’Africain », il s’étonne qu’on puisse le trouver raciste. Il apporte la preuve de son innocence : il a joué le sketch devant des publics africains et ces derniers lui auraient simplement fait des remarques sur l’origine de son « accent africain ».

    Il révèle la même ignorance crasse que ces Français qui pensent que les Africains parlent africain et ont le même accent alors que le continent compte 54 pays et des milliers de langues. Bien que ce soit lui faire trop d’honneur de repérer les preuves de son ignorance, arrêtons-nous sur la plus extraordinaire, lorsqu’il évoque l’origine du blues, du jazz, du gospel. Selon Michel Leeb, « l’Africain part des tribus africaines qui étaient prises par les Américains à l’époque comme des esclaves et là, ils ont créé leur monde à eux ».

    Je savais pas que Michel Leeb bougeait encore...
    #racisme #humour #cocoricouille

    • Il révèle la même ignorance crasse que ces Français qui pensent que les Africains parlent africain et ont le même accent alors que le continent compte 54 pays et des milliers de langues. Bien que ce soit lui faire trop d’honneur de repérer les preuves de son ignorance, arrêtons-nous sur la plus extraordinaire, lorsqu’il évoque l’origine du blues, du jazz, du gospel. Selon Michel Leeb, « l’Africain part des tribus africaines qui étaient prises par les Américains à l’époque comme des esclaves et là, ils ont créé leur monde à eux ».
      La France esclavagiste

      Etre abstrait, « l’Africain » qui vit dans des « tribus », alors que des royaumes et des empires africains existaient avec des représentations diplomatiques et des institutions, une vie sociale, culturelle, religieuse, est « pris » par « les Américains » et non pas capturé, vendu, enfermé dans des baraquements comme ce fut le cas.

      En vérité, la France a été la deuxième puissance de la traite transatlantique, Nantes son premier port de traite. Elle a amplement participé à la déportation d’Africains et à l’état de guerre permanente nécessaire aux razzias. La France possédait de nombreuses colonies esclavagistes, dont Saint-Domingue, qui fournissait à l’Europe la moitié du sucre qu’elle consommait. La France a connu deux abolitions de l’esclavage, car, en 1802, Napoléon Bonaparte, une icône française, l’avait rétabli.

      #esclavage #déni #révisionnisme

  • #kako_phonie : Un cadre de la Francophonie suspendu après une tribune anti-CFA publiée sur « Le Monde Afrique »
    http://abonnes.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/08/un-cadre-de-la-francophonie-suspendu-apres-une-tribune-anti-cfa-publ

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/09/05/en-direct-franc-cfa-les-raisons-de-la-colere_5181166_3212.html

    #francophonie
    "Le départ de l’#économiste, qui fut aussi ministre de la prospective du Togo et perdit son poste pour les mêmes raisons en 2015, intervient dans un contexte qui a évolué : le débat sur le CFA a gagné en visibilité depuis quelques mois. Des manifestations d’ampleurs variables ont été organisées en France et sur le continent. « Il est surprenant qu’à un moment où le président Macron invite à avoir ce débat sans tabou l’institution dans laquelle il pourrait légitimement avoir lieu, cherche à l’étouffer », fait remarquer M. #kako_Nubukpo.
    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/08/un-cadre-de-la-francophonie-suspendu-apres-une-tribune-anti-cfa-publiee-sur-"

    macron au BF, la suite