Les jeunes Suisses boudent Facebook et préfèrent Instagram et Snapchat - rts.ch

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  • D’anciens cadres de Facebook expriment leurs remords d’avoir contribué à son succès
    http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/12/12/d-anciens-cadres-de-facebook-expriment-leur-culpabilite-d-avoir-contribue-a-

    « Je peux contrôler ce que font mes enfants, et ils ne sont pas autorisés à utiliser cette merde ! » C’est un discours sévère qu’a tenu, en novembre, un ancien cadre de Facebook à l’encontre des réseaux sociaux en général, et de l’entreprise de Mark Zuckerberg en particulier. Lors d’une conférence à la Stanford Graduate School of Business, dont la vidéo a été repérée lundi 11 décembre par le site spécialisé The Verge, Chamath Palihapitiya, qui fut chez Facebook vice-président chargé de la croissance de l’audience, exprime ses regrets d’avoir participé au succès de l’entreprise.
    […]
    « Chamath ne travaille plus chez Facebook depuis plus de six ans. (...) Facebook était alors une entreprise très différente, et en grandissant, nous avons pris conscience que nos responsabilités s’étaient elles aussi étendues », explique Facebook. « Nous prenons notre rôle très au sérieux et nous travaillons dur pour nous améliorer », ajoute l’entreprise, qui souligne avoir collaboré avec des chercheurs « pour comprendre les effets de notre service sur le bien-être ».

    • Facebook ça devient de plus en plus hasbeen.

      Le nombre d’utilisateurs de Facebook parmi les jeunes a fortement reculé pour s’établir à 55% contre 69% l’année précédente. C’est le résultat du digiMonitor 2017 du groupe d’intérêts médias électroniques (IGEM).

      Snapchat continue de progresser, alors qu’Instagram semble avoir atteint son zénith.

      http://www.rts.ch/info/sciences-tech/9163564-les-jeunes-suisses-boudent-facebook-et-preferent-instagram-et-snapchat.h

    • @BCE C’est drôle, ces statistiques, quand je regarde les gens autour de moi, dans le métro, dans la rue, dans les autos, dans les restos, dans les ascenseurs, dans leur lit le soir, le matin, au bureau... J’ai de la misère à donner du crédit aux études de ce genre.
      Est-on moins nombreux à l’utiliser ? Est-on moins nombreux à répondre « Yes I do » ? Est-on moins nombreux à nous intéresser à un sondage sur l’utilisation de Facebook quand les chifres disent que le nombre de comptes frôle le nombre d’êtres sachant lire (une langue proposée par la plateforme) ?
      C’est compliqué ces chiffres - et je deviens parano-anti-relativiste. Qu’en pensez vous ?

    • @Najort
      Comme pas mal de gens autour de moi, (de toutes origines sociales) je n’ai pas de compte facebook. Il y en a qui en ont un.

      Pour rappel, facebook paye les médias officiels pour que l’on parle de lui.
      +

      Le réseau social Facebook est peuplé de plus en plus de morts. Selon une étude de Entrustet, trois personnes inscrites sur Facebook meurent chaque minute dans le monde. Certains estiment que ces vies virtuelles doivent perdurer, d’autres veulent fermer les comptes ou les transformer en mémorial. Oui, mais comment faire ?

      Une notification sur l’ordinateur d’Anne un matin la fait frissonner. C’est le jour anniversaire de son papa, Henry Jacobs. Or, il est décédé quelques mois auparavant. Elle envoie un message à Facebook et ne reçoit jamais de réponse en retour. Elle demande à tous ses amis de se retirer de ce compte désormais inactif. Anne aussi. Seuls ses trois petits fils sont encore sur ce compte. En 2011, lors du décès de Henri, Facebook n’avait pas encore prévu cette option. Depuis, il y a plusieurs possibilités, on peut contacter Facebook avec le certificat de décès et normalement Facebook réagit et ferme le compte si on le demande ou on le transforme en compte « in memoriam » sauf si le nom du compte est un pseudonyme alors on ne peut rien faire. Malheureusement Facebook ne répond pas toujours.

      Le réseau qui rend immortel
      Certains tentent d’effacer les traces virtuelles de leurs défunts, d’autres préfèrent continuer à leur rendre hommage. François a perdu son jeune frère dans des circonstances tragiques il y a deux ans. Depuis son profil Facebook continue de vivre sans lui. ’’On garde ce profil actif, c’est comme une pierre tombale virtuelle, cela permet simplement de garder contact. On n’est pas administrateur de son profil, on n’a pas fait la demande à la société en question.’’

      Tous ces profils inactifs, des algorithmes de Facebook vous demandent sans cesse de les alimenter. Histoire de les faire vivre alors que ces personnes ne sont plus là. Ne vous étonnez pas de recevoir des notifications de ces personnes décédées.

      https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/detail_facebook-nos-profils-apres-la-mort?id=9505356