• Voila comment est présentée la première femme de Camus sur Wikipédia.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Camus#cite_ref-Onfray,_201273_33-0

    En juin 1934, il épouse Simone Hié (1914-1970), starlette algéroise enlevée à son ami Max-Pol Fouchet S 16. Toxicomane, elle le trompe souvent et leur mariage s’effrite rapidement S 17,S 18.

    Dis moi juste :
    – Est-ce que jamais un mari sera présenté ainsi sur la fiche de sa femme ?

    – Et quand une femme est séduite par un autre homme, elle serait enlevée au précédent ? Comme pour les viols des Sabines en fait ? Elle décide de rien ?

    – Et quand ça s’effrite, est-ce que le gâteau est pas bien cuit, ou que les morceaux de plâtre collent plus ensemble ?

    Ah ben, en ajoutant le lien je vois :/ Ref Onfray

    #sexisme #femme_de #wikipedia #voicipedia #morale_de_droite #morale_sexuelle #morale_toxicologique #morale_masculine

    • Apparemment pour faire le portrait dégradant de la punk à chien Simone Hié en 3 lignes, il faut relier toxico et salope.
      Dommage ; après 5 minutes de recherche sur le net, https://gw.geneanet.org/albonfil?lang=fr&n=hie&oc=0&p=simone

      On y apprend que les parents de Simone Hié vivent à Alger, sa mère est ophtalmo et son père contrôleur général des postes et qu’elle a 20 ans quand elle épouse Camus en 1934.

      Elle tomba malade durant son enfance, époque où l’on soigna ses douleurs avec de la morphine, dont elle restera dépendante toute sa vie.

      C’est un peu différent, non ?

    • oui mais comme c’est pas écrit dans un journal pipol, c’est pas une bonne référence ; et ça ressemble un peu trop à de l’ « original research » ; même sourcé, ça passe pas. Merci qui ?

      Tu as essayé de mettre à jour la page wikipédia ?

  • Dire les féminicides : Gilberte Chazottes, assassinée par son mari René Couzinet

    Aucune trace biographique de Gilberte Chazottes, elle se maria à Mermoz puis à René Couzinet qui fut son meurtrier, aussi j’ai corrigé sur Wikipédia les textes qui occultent son assassinat. (J’espère que ça restera …) d’autant qu’il a fallut que je tique sur le ils se suicident ensemble et fasse des recherches pour me rendre compte que Gilberte Chazottes ne s’était pas suicidée.

    Modification de Jean Mermoz — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mermoz

    En 1930, Jean Mermoz épouse Gilberte Chazottes, qui, après la mort de Jean, se remariera avec l’ingénieur René Couzinet. Tous les deux se suicideront le 16 décembre 1956[1].

    corrigé par

    (…) Le 16 décembre 1956 Gilberte est assassinée par son mari qui se suicide ensuite.

    –-------
    Modification de René Couzinet— Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/René_Couzinet

    Désespéré, il se suicide avec un revolver en entraînant dans la mort son épouse Gilberte née Chazottes, veuve de Jean Mermoz, le 16 décembre 1956.

    corrigé par

    Le 16 décembre 1956, il assassine sa femme Gilberte, née Chazottes et veuve de Jean Mermoz, avant de se suicider avec un revolver. Il est enterré au cimetière parisien de Bagneux.

    J’ai trouvé les traces de cet assassinat sur https://en.wikipedia.org/wiki/1956_in_aviation

    December 16 – French aeronautical engineer and aircraft manufacturer René Couzinet kills his wife Gilberte (née Chazottes) – the widow of aviator Jean Mermoz – and commits suicide.

    • éléments biographique de Gilberte Chazottes

      http://remb.free.fr/dossier/Biographiejm.htm

      A l’été 1928, son destin semble basculer quand il rencontre, à Bahia Blanca, Gilberte Chazottes, 18 ans, fille d’une famille française installée au Brésil. Gilberte, qu’il épouse le 23 août 1930 à Paris, qu’il aimera sans lui donner une vie de famille normale, pas même un enfant, et qu’il délaissera si souvent pour d’éphémères aventures féminines. Après la mort de Mermoz, Gilberte épousera en secondes noces René Couzinet, l’ingénieur aéronautique ami du pilote, qui avait conçu un de ses avions, le fameux Arc-en-Ciel.

      https://acheterunemaisonausoleil.wordpress.com/2013/09/29/jean-mermoz-et-laeropostale

      Juin 1928
      Jean Mermoz fait la connaissance à Bahia de Gilberte Chazottes, sa future épouse.

      23 Août 1930
      Jean Mermoz épouse Gilberte Henriette Rose Chazottes à la mairie du 15e arrondissement de Paris.

      7 décembre 1936
      Disparition de Mermoz

      https://www.myheritage.fr/names/jean_mermoz

      Gilberte est née le 2 août 1908, à Bahia Blanca Argentine

      confirmation sur
      http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/celebrations2001/mermoz.htm

      Bahia Blanca
      Cérémonie du souvenir dans la ville natale de Gilberte Chazottes, épouse de Mermoz.

      Le mensonge se poursuit ici
      https://gw.geneanet.org/garric?n=chazottes&p=gilberte
      F Gilberte CHAZOTTESImprimer son arbre
      Née le 2 août 1908 (dimanche) - BAHIA-BIANCA (Argentine)
      Décédée le 16 décembre 1956 (dimanche) - BOULOGNE-BILLANCOURT 92 , à l’âge de 48 ans
      .mit fin à ses jours et à ses nuits, avec son second époux

      Union(s)
      Mariée le 23 août 1930 (samedi) avec Jean l’Archange MERMOZ, Aviateur 1901-1936
      Mariée le 14 octobre 1939 (samedi) avec René COUZINET, Constructeur Aéronautique 1904-1956

      La source semble être http://remb.free.fr/dossier/jean.htm

    • Je suis d’ailleurs surpris que nos journaux désormais ne soient plus capables d’être aussi clairs. « On » dit qu’on a fait des progrès. Ce cas particulier tendrait à démontrer le contraire., Cela mériterait une enquête approfondie, mais il semblerait plutôt qu’on soit dans une époque de régression complète du point de vue du « parler clair » dans les médias. Il y aurait une tendance à l’euphémisation systématique... de peur de choquer les clients/lecteurs et de les faire fuir ? Ou parce que notre société est plus sexiste que jamais ?

    • Bonjour @curieux_de, je te souhaite la bienvenue si tu découvres seenthis.
      J’avoue que pour tes trois questions/propositions, je vais (me garder de te rentrer dans le lard) supposer que tu es sincère, mais passer mon tour car je n’ai pas aucune aptitude pédagogique quand on aborde ainsi le sujet du féminicide.
      Prends ton temps pour lire les messages liés à #culture_du_viol #féminisme et éventuellement #féminicide
      #good_luck #no_troll

    • @biggrizzly, j’ai cru aussi que le féminisme avait fait son œuvre et qu’il n’y aurait pas à recommencer à expliquer les choses, à faire de l’éducatif mais non, rien n’est acquis, il faut sans cesse recommencer, répéter, montrer, se battre pour ne pas se faire étouffer. Ça parait absurde toute cette énergie dépensé pour survivre.
      Et là, c’est quand même une histoire qui a plus de 60 ans, 1956, la révolution sexuelle et le féminisme faudra attendre encore 20 ans sauf que les journaux ne font pas de papiers cadeaux conciliatoires comme aujourd’hui : meurtre passionnel ou coup de folie, non, ils disent bien qu’il l’a tué avant de se suicider.
      Donc, il faut recommencer et montrer que cette culture est biaisée, que par les mots utilisés, elle donne le droit à un homme d’assassiner sa femme et de faire disparaitre ce meurtre dans le vocabulaire de Wikipedia.
      Alors tu vois, il faut persévérer, la preuve, on a des nouveaux venus qui arrivent la bouche en cœur pour demander à quoi ça sert de nommer les féminicides … et j’ai envie de sortir les couteaux.

    • En un seul message, il coche plusieurs cases du bingo tout de même. Et ses autres messages ailleurs sont du même type, sur d’autres sujets, du style, le racisme n’existe pas, et juste après, le féminisme est un racisme... et toute la palanquée du parfait crétin.

      1956, c’est aussi la période où le CNR a fait le nécessaire pour rendre les publications indépendantes du fric... et cette indépendance n’a pas encore été remise en cause.

    • Bonne idée @intempestive
      Désolée, mais c’est un peu fastidieux et long de faire des recherches sur Gilberte car il n’y a pas grand chose sur elle. Je n’ai pas été chercher dans des bibliothèques mais seulement sur internet, et je pense que là est la source des changements problématiques par rapport aux journaux d’époque. Je trouve quelque signes de cette femme sur l’histoire de l’aéronautique et les biographies de René Couzinet mais avec le plus souvent pour unique source … Wikipédia !

      Et sur Wikipédia, les sources c’est internet … l’article anglais https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Ren%C3%A9_Couzinet écrit depuis le 7 janvier 2014 cite en document la bio de Couzinet mis en ligne le 4 mai 2013 (d’après les infos du fichier pdf) par Claude FAIX
      http://www.hydroretro.net/etudegh/arc-en-ciel_atlantique_vol1.pdf qui réécrit le meurtre page 5 en ces termes

      Aigri par tous ces échecs et tentatives infructueuses, oublié par les Services Officiels français et industriels de
      l’aéronautique, le 16 décembre 1956 René Couzinet se donne la mort, accompagné de son épouse. Il avait 52 ans.

      On appréciera le sens dévoué, voire dévoyé, de l’accompagnement … mais qu’est-ce qu’une femme, épouse de héros, pour ces rewriters sinon une accompagnatrice ?

      La page 86 du 2em PDF citée signale les documents consultés :
      Archives Couzinet
      Journal Les Ailes
      Mes Vols (Flammarion)
      Revue Icare
      Revue Trait d’Union

      Il faudrait y chercher ce qui est écrit sur Gilberte pour comprendre à quel moment ça a basculé.
      Claude Faix est en 1966 passionné de modélisme et devint ami du frère de Couzinet http://nvsouffle-aec.asso.fr/crbst_8.html

      L’autre source de départ de l’article en anglais, et aussi en français de WP est plus ancienne, sur l’historique ça remonte à 2006
      http://aerostories.free.fr/constructeurs/couzinet

      Ces nouvelles désillusions expliquent au moins en partie sa fin de vie tragique, quand, le dimanche 16 décembre 1956, il mit fin à ses jours, entraînant dans la mort son épouse, Gilberte, l’ancienne femme de Jean Mermoz.

      Ici la pauvre Gilberte s’est fait entraîner, l’article anglais reprenait le texte mot à mot au début … mais ça a été encore amélioré … ça à l’air de leur faire mal aux doigts d’écrire qu’il l’a abattu !

      Les pages qui nous intéressent, en anglais et français, sont copyrightées Aérostories, 2001 et signées Emmanuel Caloyanni, rédacteur en chef du Courrier de l’Ouest jusqu’en 2013, date à laquelle il devient conseiller média au conseil général du Maine et Loire et auteur d’un livre paru en avril 2003 Rene couzinet de Lindbergh a Mermoz. Si c’est lui, il semble avoir servi à étouffer des affaires de racisme à l’époque du mariage pour tous https://municipales-angers-2014.blogspot.fr/2013/11/la-presse-angevine-est-elle-aux-ordres.html, un journaliste apparemment aux ordres.

      sur WP français c’est toujours repris de la même façon

      Désespéré, il se suicide avec un revolver en entraînant dans la mort son épouse Gilberte née Chazottes, veuve de Jean Mermoz, le 16 décembre 1956.

      Les différents stades sur le WP anglais

      In despair he committed suicide on 16 December 1956, which lead to the death of his wife Gilberte.

      In despair he and his wife committed suicide on 16 December 1956.

      In despair, on 16 December 1956 he killed both himself and his wife Gilberte.

      Le vrai problème est finalement de n’avoir que peu de sources au départ, car le Wikipédia français a diffusé des informations qui ne sont pas seulement mensongères, mais modifient notre représentation de ce féminicide en un accompagnement, voire un souhait personnel (le suicide), ces infos ont ensuite été reprises partout en étant diffusées dans toutes les langues des sites de WP. D’où la nécessité de veiller à la vérification de l’exactitude des sources pour faire cesser ce genre d’idéologie phallocrate.

    • Début de l’article du Monde du 19/12/1956

      LE CONSTRUCTEUR D’AVIONS RENÉ COUZINET met fin à ses jours et entraîne sa femme dans la mort
      http://www.lemonde.fr/archives/article/1956/12/19/le-constructeur-d-avions-rene-couzinet-met-fin-a-ses-jours-et-entraine-sa-fe

      Le célèbre constructeur d’avions René Couzinet a rais fin à ses jours après avoir donné la mort à sa femme, veuve de Jean Mermoz. Découvert hier, le drame s’est déroulé dimanche dans le living-room de l’appartement que le couple occupait dans un immeuble de la porte d’Auteuil, 24, rue Nungesser-et-Coli. Mme Couzinet gisait sur le tapis de la pièce. Elle avait été atteinte d’une balle au cœur alors qu’elle se trouvait dans un fauteuil, d’où elle glissa. Retournant le revolver contre lui et braquant le canon de l’arme contre son front, son mari se tua aussitôt.

      L’heure du drame a pu être précisée : 23 heures. C’est à ce moment-là, en effet, que des voisins, Mme Hornez, épouse du compositeur, et M. Krasniak, industriel, entendirent les coups de feu. Ils ne soupçonnèrent pas un instant qu’il pût s’agir d’un meurtre et d’un suicide, mais crurent à des jeux d’enfants s’exerçant à la carabine. M. René Couzinet et sa femme étaient un couple uni et paraissaient heureux. On les avait vus se promener ensemble la Teille.

      M. René Couzinet n’ayant laissé aucune lettre, les mobiles de son geste seraient difficiles à déterminer si M. Alexandre Couzinet, frère du constructeur, n’avait fourni aux policiers, dont l’enquête est désormais close, une explication parfaitement plausible. Il apparaît en effet que le constructeur d’avions a agi au cours d’une crise de dépression provoquée par les difficultés professionnelles auxquelles il se heurtait.

      la suite est sous #paywall mais retrace le contexte récent tandis qu’un deuxième article plus long retrace l’histoire du constructeur

      UN PRÉCURSEUR GÉNIAL mais un malchanceux homme d’affaires
      http://www.lemonde.fr/archives/article/1956/12/19/un-precurseur-genial-mais-un-malchanceux-homme-d-affaires_2242521_1819218.ht

    • On pourrait faire un parallèle avec les personnes qui tuent avant de se tuer à l’aide de fusils mitrailleurs ou de bombes. Je pense que ça pourrait faire tilt chez certaines personnes de voir une manchette factice de journal qui titre « Le terroriste se donne la mort, accompagné de XX personnes qui étaient venues YYYY ce soir là »

    • Bonjour @phil3, bienvenu, j’ai reçu votre témoignage par mail que vous avez publié brièvement sur un autre post de seenthis. Votre témoignage est très intéressant, pourriez-vous le reposter ici ou m’autorisez vous à le publier ? (en retirant votre numéro de tel)
      En vous remerciant.
      @touti

    • j’ai eu votre message je vous ai répondu mais mon mail est revenu j’ai du mal à correspondre avec ce site pouvez vous me donner un mail ? Je parle de René Couzinet dans le livre que je viens de publier

    • Lorsque vous souhaitez envoyer un mail à une personne sur seenthis, repérez son pseudo puis mettez un @ devant, comme ceci @phil3.
      Sinon mon mail est toutati suivi d’un arobase puis free.fr

    • Je republie ici le témoignage de @phil3

      Je connais bien toute l’histoire
      Elle était une grande amie de ma mère et la marraine de mon frère Jean Louis
      La seule façon de l’avoir pour Mermoz a été de l’épouser Elle avait 20 ans Ma mère et sa sœur furent demoiselles d’honneur

      Mermoz fiancé entretenait toujours une liaison à Paris décidant de rompre sa maîtresse se suicida pendant la Nuit dans leur lit à côté de Mermoz !
      Une fois marié il continua ses multiples liaisons Lorsque le frère de Gilberte que fascinait Mermoz se tua en voulant devenir pilote les relations avec Mermoz se tendirent
      Enceinte il la fit avorter et ensuite elle n’a pas plus avoir d’enfants

      Ma mère était avec Gilberte dans son appartement d’Auteuil lorsque lanouvelle arriva de la disparition de Mermoz La mère de Mermoz s’est très mal comportée alors vis à vis d’elle en l’occultant complètement

      J’ai connu le Couple Couzinet très lié avec mes parents mon père était aviateur pendant 14/18 Il était venu nous rendre visite aux Ponts de Cé en 1956 il testait un bateau à hélice sur la Loire

      Il m’a parlé de son projet de soucoupe volante

      Peu de temps après il tenta de se suicider il fut tiré d’affaire et pour lui donner l’envie de vivre Gilberte lui dit qu’elle l’aimait et qu’elle avait besoin de lui (conversation téléphonique avec ma mère) Et trois semaines après il l’a assassinée alors qu’elle lisait dans son fauteuil puis il s’est tué
      Jamais Gilberte ne se serait suicidée avec lui

      Philippe Grümmer

    • Bonjour, ma lointaine famille partie de France en Argentine au début du siècle fonder les hotels Nogaro (dont celui de Buenos Aires), a très bien connu Mermoz et était restée très amie avec Gilberte. J’ai un disque de Tango dédicacé à Gilberte que Dora Nogaro allait lui porter en 1956 le jour du drame. De ce que je sais, Gilberte était très dépressive, et Dora pensait que le couple s’était suicidé, mais je serais intéressé à mieux connaître vos connaissances Monsieur Grümmer qui nous relient peut-être ?

    • Merci à tout·es les participant·es de ce fil pour avoir rétabli la vérité sur la mort de Gilberte Chazottes.
      Ce fil a été ouvert le 3 février 2018.
      Cela a permis de ne pas occulter que Couzinet est un assassin, puisqu’il a tué sa femme Gilberte d’un coup de revolver.

      En france, les hommages à cet assassin continuent de faire de ce meurtrier un héros de l’aviation, comme si de rien n’était :

      L’Aérodrome de La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs
      Le collège public de Chantonnay
      Le lycée professionnel René Couzinet de Challans
      Un des bâtiments de l’ENAC [Toulouse]

      Cela permet aussi de découvrir le peu de traces de la vie de cette femme qui se termine horriblement.

      Du coup, voici une @bonne_nouvelle puisque Wikipédia a fini par changer son texte, je n’ai pas compris de quand cela date précisement.

      Sur la page de Mermoz https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mermoz

      En 1930, Jean Mermoz épouse Gilberte Chazottes, qui, après la mort de Jean, se remariera avec l’ingénieur René Couzinet. Celui-ci se suicidera le 16 décembre 1956 après avoir assassiné Gilberte Chazottes3,4.

      Et sur la page de Couzinet
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Couzinet#cite_ref-3

      Le 16 décembre 19563, il assassine sa femme Gilberte (née Chazottes, veuve de Jean Mermoz) avec un revolver avant de retourner l’arme contre lui. Il est enterré au cimetière parisien de Bagneux.

      #anthologie_seenthis

  • Les racines de Laurent Wauquiez
    Catégorie : Célébrités, Nord | le 11 Décembre 2017 par Jean-Louis Beaucarnot
    https://www.rfgenealogie.com/s-informer/infos/celebrites/les-racines-de-laurent-wauquiez

    Bien que né à Lyon et élu auvergnat, on peut dire que le nouveau président des Républicains est à 100 % du Nord, avec ses racines essentiellement concentrées dans le département du Nord, moyennant quelques branches partant vers le Pas-de-Calais et quelques autres vers la Belgique (Van Ham, Wyckhuyse…).


    Tant par son père, Philippe Wauquiez, que par sa mère, Éliane Motte, il est surtout un pur produit des vieilles familles patronales du Nord, cousinant notamment avec toutes celles de la vieille bourgeoise de la région lilloise, qui depuis des siècles, ne cessent de s’allier et de se serrer les coudes. Cela lui vaut pas mal de parentés, tant au sein du monde des affaires que du monde politique, avec autant de ministres, que de cardinaux et d’archevêques.

    Les Wauquiez, eux-mêmes, sont de bourgeoisie moins ancienne, avec leurs ancêtres laboureurs puis « censiers » (= gros fermiers) dans le village de Fretin, au sud-est de Lille, où l’on peut remonter jusqu’à un Guillebert Wauquier, né vers 1560. Des ancêtres qui viendront sous l’Empire à Roubaix, où ils seront voituriers, autrement dit transporteurs, avant de devenir filateurs de coton à Tourcoing et de créer une tannerie.

    C’est davantage dans la lignée maternelle, les Motte, que les parentés se multiplient, avec derrière les Motte, les Grimonprez, Delvoye, Mathon, Descamps, Flipo, Toutlemonde, Prouvost et bien d’autres encore…, à commencer par les Mulliez, qui le font cousiner avec les fondateurs de Phildar, de Saint-Maclou et d’Auchan, dont Gérard Mulliez, 2e fortune de France.

    Des parentés en tous sens, faisant notamment de Laurent Wauquiez un descendant, par une bâtarde des anciens comtes de Flandres, du roi Philippe V le long et donc ainsi un lointain cousin de François Hollande ... Faisant encore de lui par les Delepoulle le cousin de Bruno Le Maire et par les Desurmont celui de Frédéric Mitterrand, de Jean-Frédéric Poisson et de Fabrice Delloye, l’ex-mari d’Ingrid Betancourt, comme par les Waignon, il cousine avec Frédéric Nihous. Sans oublier une parenté par les Van Hallwin (d’Halluin), de Quesnoy-sur-Deule, avec Charles de Gaulle.

    On pourra voir son arbre disponible pour partie en ligne sur Geneastar. : https://gw.geneanet.org/gntstarwauquiezl?lang=fr&pz=laurent+thimotee+marie&nz=wauquiez&ocz=0&m=

    #Laurent-Wauquiez #généalogie #Républicain #familles-patronales-du-Nord #Fretin #Lille #Motte #Grimonprez #Delvoye #Mathon #Descamps #Flipo #Toutlemonde #Prouvost #Mulliez #François-Hollande #Bruno-Le-Maire #FrédéricMitterrand #Jean-Frédéric-Poisson #Fabrice-Delloye #Frédéric-Nihous #Charles-de-Gaulle #famille

    • Ascendants de « Laurent Thimotée Marie » WAUQUIEZ
      Jusqu’à la 18e génération. geneanet.org

      Génération 1
      1 - « Laurent Thimotée Marie » WAUQUIEZ 1975
      Génération 2
      2 - Philippe WAUQUIEZ
      3 - Éliane WAUQUIEZ-MOTTE 1938
      Génération 3
      4 - « Henri » WAUQUIEZ 1907-1996
      5 - « Marie Louise » LE MAN 1910-1997
      6 - Louis MOTTE 1915
      7 - Françoise DUMONT 1916-2014
      Génération 4
      8 - « Henri » WAUQUIEZ
      9 - « Henriette » WILLEM
      12 - Louis Edouard François Marie Joseph MOTTE 1888-1957
      13 - Marguerite Marie Louise VANDENBERGHE 1889-1975
      Génération 5
      16 - « Henri » WAUQUIEZ 1841-1914
      17 - « Flore » TURBELIN 1854-1927
      24 - « Louis » MOTTE 1860-1924
      25 - Irma Henriette Adolphine VAN HAM 1868-1945
      26 - « Paul Julien » van DEN BERGHE 1863-1934
      27 - « Marie Isabelle » LEPOUTRE 1867-1926
      Génération 6
      32 - « Casimir Joseph » WAUQUIEZ 1795-1865
      33 - « Fidéline » MALFAIT
      48 - « François » MOTTE 1836-1879
      49 - « Ludivine » DUVILLIERS 1836-1865
      50 - « Edouard » VAN HAM 1818-1889
      51 - « Henriette » CARLIER 1835-1904
      52 - « Polydore Victor Constant » VANDENBERGHE 1828-1898
      53 - « Juliette Louise » DESURMONT 1829-1920
      54 - « Auguste Louis » LEPOUTRE 1825-1903
      55 - « Euphrosine Marie Louise » BARBILLON 1835-1903
      Génération 7
      64 - « Louis François » WAUQUIEZ 1760-1809
      65 - « Augustine Françoise Joseph » WATTEL 1762-1811
      96 - "Jacques « Philippe » Pierre Joseph" MOTTE 1796-1879
      97 - « Stéphanie Julie Augustine » ROUSSEL 1800-1884
      100 - « Jacques Joseph » VAN HAM 1785-1873
      101 - « Françoise » DARQUENNE 1791-1876
      104 - « Philippe Albert » VANDENBERGHE 1797-1843
      105 - « Marie Julienne » BAUWENS 1802-1877
      106 - « Jean Baptiste Joseph » DESURMONT 1800-1855
      107 - « Angélique Louise Joseph » LEFEBVRE 1802-1835
      108 - « Augustin Joseph » LEPOUTRE 1791-1845
      109 - « Éléonore Flavie Joseph » LESAGE 1801-1886
      110 - « François Joseph » BARBILLON 1798-1872
      111 - « Victoire Hyacinthe » GARBE 1812-1895
      Génération 8
      128 - « Pierre François » WAUQUIEZ 1716-1788
      . . . . . . . . . . . . . . .
      https://gw.geneanet.org/gntstarwauquiezl?lang=fr&pz=laurent+thimotee+marie&nz=wauquiez&ocz=0&m=