/economie

  • Jeux Olympiques : Airbnb devient sponsor du CIO, Hidalgo contre-attaque
    https://www.latribune.fr/economie/france/jeux-olympiques-airbnb-devient-sponsor-du-cio-hidalgo-contre-attaque-83335

    Quand on vous disait que les JO à Paris était typiquement la fausse bonne idée, qui allait coûter et profondément modifier la ville...

    Le but de cette opération ? Redorer l’image d’Airbnb après plusieurs controverses, notamment à Paris. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, a immédiatement écrit au président du CIO pour l"’alerter sur les risques et les conséquences" d’un tel sponsoring.

    Le géant de la location de logements entre particuliers Airbnb a annoncé lundi qu’il devenait l’un des principaux sponsors du Comité international olympique (CIO) jusqu’en 2028, dans le but de redorer son image face à plusieurs controverses notamment à Paris.

    Ce partenariat, dévoilé à Londres par le co-fondateur de la plateforme Joe Gebbia, intervient au moment où la société veut se présenter sous son meilleur jour avant une possible introduction en Bourse en 2020.

    Contentieux avec Paris

    Plusieurs contentieux opposent d’ailleurs actuellement le géant américain à la Ville de Paris, à moins de cinq ans des JO dans la capitale française. En février, la mairie de Paris a ainsi assigné en justice la plateforme, passible d’une amende de 12,5 millions d’euros pour avoir mis en ligne 1.000 logements non enregistrés.

    La maire de Paris Anne Hidalgo, qui est en campagne pour sa réélection, a d’ailleurs immédiatement écrit au président du CIO Thomas Bach pour l"’alerter sur les risques et les conséquences" d’un sponsoring des JO par Airbnb, selon son courrier dont l’AFP a eu copie.

    « En soustrayant à Paris un nombre important de logements, Airbnb est un facteur d’augmentation du prix des loyers et d’aggravation de la pénurie de logements sur le marché locatif, pénalisant l’ensemble des Parisiennes et des Parisiens, et, en particulier, les classes moyennes », a rappelé l’élue dans sa lettre au président.

    #Airbnb #Paris #Villes_sans_peur #JO2024

  • Le gouvernement mise sur une appli pour faire décoller la formation professionnelle
    https://www.latribune.fr/economie/france/le-gouvernement-mise-sur-une-appli-pour-faire-decoller-la-formation-profes

    le gouvernement parie sur une « appli » mobile, lancée jeudi, pour faire décoller la formation professionnelle, un an après l’adoption d’une réforme du secteur.
    […]
    Cet outil, une application téléchargeable sur smartphone et tablette (mon compte formation) mais aussi un site internet, a pour objectif de simplifier le recours à une formation alors qu’il est souvent difficile de s’y retrouver, de savoir ce à quoi on a droit, et comment procéder. Elle permettra à chaque salarié de trouver, de réserver et de payer la formation de son choix. Développée par la Caisse des dépôts, qui gèrera le paiement aux organismes de formation, elle sera comme « le livret A de la formation », explique la ministre.
    […]
    Chez les DRH, tout en sachant que la réforme n’a pas enlevé aux entreprises son obligation de formation, la « désintermédiation » passe moins bien. « Nous, pilotes des services de formation, ne demanderions pas mieux que de participer, mais la ministre a dit ’c’est fait pour les salariés’ », avait réagi en septembre Jean-Paul Charlez, président de l’Association nationale des DRH. Ce CPF est « entièrement à la main des salariés », a aussi déploré le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, en s’interrogeant : « Comment faire en sorte que les formations soient en lien avec les besoins présents et à venir de l’entreprise ? »

  • Jeux Olympiques : Airbnb devient sponsor du CIO, Hidalgo contre-attaque
    https://www.latribune.fr/economie/france/jeux-olympiques-airbnb-devient-sponsor-du-cio-hidalgo-contre-attaque-83335

    Le but de cette opération ? Redorer l’image d’Airbnb après plusieurs controverses, notamment à Paris. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, a immédiatement écrit au président du CIO pour l"’alerter sur les risques et les conséquences" d’un tel sponsoring.
    […]
    Plusieurs contentieux opposent d’ailleurs actuellement le géant américain à la Ville de Paris, à moins de cinq ans des JO dans la capitale française. En février, la mairie de Paris a ainsi assigné en justice la plateforme, passible d’une amende de 12,5 millions d’euros pour avoir mis en ligne 1.000 logements non enregistrés.

    La maire de Paris Anne Hidalgo, qui est en campagne pour sa réélection, a d’ailleurs immédiatement écrit au président du CIO Thomas Bach pour l"’alerter sur les risques et les conséquences" d’un sponsoring des JO par Airbnb, selon son courrier dont l’AFP a eu copie.

    « En soustrayant à Paris un nombre important de logements, Airbnb est un facteur d’augmentation du prix des loyers et d’aggravation de la pénurie de logements sur le marché locatif, pénalisant l’ensemble des Parisiennes et des Parisiens, et, en particulier, les classes moyennes », a rappelé l’élue dans sa lettre au président.

    Le contrat noué avec le CIO portera notamment sur l’hébergement des visiteurs et des familles d’athlètes lors des prochains JO, en se voulant respectueux de l’environnement.

  • Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mercredi 2 octobre 2019
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/16608-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien. Veuillez trouver ci-dessous la Revue de presse de notre Contributeur anonyme, et bien sûr plus de titres dans la Defcon Room,

    Amitiés,

    L’Amourfou / Contributeur anonyme / Chalouette / Doudou

    La Revue de presse du jour comprenant les informations de ce qui fait l’actualité française et internationale du 30 Septembre au 2 Octobre 2019 vues par notre contributeur anonyme

    DON : https://www.paypal.me/revuedepresse ou https://www.paypal.com/pools/c/7ZGVkA4zY3

    SECURITE SOCIALE :..vers un modèle anglo-saxon

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/secu-vers-un-modele-a-l-anglo-saxonne-20190930

    https://www.latribune.fr/economie/france/pourquoi-les-comptes-de-la-secu-sont-dans-le-rouge-829375.html (...)

  • Pourquoi les comptes de la Sécu sont dans le rouge
    https://www.latribune.fr/economie/france/pourquoi-les-comptes-de-la-secu-sont-dans-le-rouge-829375.html


    Reuters

    Selon les chiffres du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2020 présentés par Bercy ce lundi à midi, le déficit de la sécurité sociale atteindra 5,4 milliards d’euros cette année et 5,1 milliards l’an prochain. Le ralentissement de la croissance économique et de moindres cotisations liées aux mesures d’urgence économiques et sociales ont contribué à plomber le modèle de financement de la protection sociale.

    Le retour à l’équilibre n’est pas pour demain. Selon les chiffres communiqués par le ministère de l’Economie ce lundi 30 septembre, le déficit des comptes de la Sécurité sociale atteindrait 5,4 milliards d’euros en 2019 et 5,1 milliards d’euros en 2020, un niveau similaire à celui enregistré lors de l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron.

    Outre le coup de frein de l’économie, les mesures d’urgence économiques et sociales comme la baisse de la contribution sociale générale (CSG) pour les retraités et la désocialisation des heures supplémentaires ont pu affaiblir les comptes de l’Etat-providence. Si le gouvernement a prévu de transférer une partie des recettes de la TVA pour compenser les pertes de la Sécurité sociale, c’est le modèle traditionnel de financement de la protection sociale par les cotisations qui est ébranlé.
    […]
    Quelques semaines après le début des « gilets jaunes », le chef de l’Etat avait annoncé une batterie de mesures pour tenter d’éteindre la colère sociale. Dans le détail, plusieurs dispositifs ont directement eu des conséquences sur la comptabilité budgétaire de la protection sociale. Emmanuel Macron avait entre autres, annoncé l’avancement au premier janvier 2019 (au lieu du premier septembre 2019) de l’exonération de cotisations sociales sur les heures supplémentaires, la réduction de la CSG pour les retraités ayant une pension inférieure à 2.000 euros et une exonération de cotisations et contributions sociales sur les primes exceptionnelles versées par les entreprises avec un plafond fixé à 1.000 euros. Rien que le coût des deux premières mesures est estimé respectivement à 1,3 milliard d’euros et 1,5 milliard d’euros. Les débats des prochaines semaines vont principalement se focaliser sur la compensation ou non de ces dépenses par l’Etat. Si le gouvernement décide de ne pas respecter le principe général de compensation imposé par la loi Veil de 1994, les comptes de la Sécurité sociale pourraient à nouveau se détériorer.
    […]
    Plusieurs syndicats ont immédiatement réagi à la publication de ces comptes. Dans un communiqué publié ce lundi, l’Unsa explique « le déficit attendu est identique à celui connu en 2017, soit -5,4 milliards d’euros. Pis encore, celui-ci devrait connaitre sensiblement la même trajectoire pour 2020 (-5,1 milliards d’euros). Ce coup d’arrêt brutal n’est pas dû aux comportements des assurés sociaux, mais bien aux choix budgétaires du gouvernement. En effet, suite à la crise des gilets jaunes, le gouvernement a pris différentes mesures en faveur du pouvoir d’achat (désocialisation des heures supplémentaires, baisse du taux de CSG pour une partie des retraités, ...) qui impactent les recettes de la Sécurité sociale ».

  • Brexit : la Cour suprême inflige une défaite historique à Boris Johnson l’obligeant à rétablir le Parlement
    https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-la-cour-supreme-inflige-une-defaite-historique-a-boris-johnson-l-ob


    Cette décision de la Cour suprême constitue une défaite majeure pour Boris Johnson qui, depuis son arrivée au pouvoir, a essuyé échec sur échec concernant sa stratégie de sortie du Royaume-Uni de l’UE à tout prix le 31 octobre.
    Crédits : Reuters

    Les onze juges de la plus haute juridiction britannique ont jugé à l’unanimité « illégal, nul et non avenu » l’avis de Boris Johnson demandant à la reine Elizabeth II de suspendre le Parlement pendant cinq semaines, jusqu’au 14 octobre, à deux semaines du Brexit. Sitôt connue la décision de la Cour, les députés de la Chambre basse ont repris leurs travaux mercredi dès la fin de matinée, tandis que la Chambre des Lords se réunissait dès ce début d’après-midi.

    Le Premier ministre britannique Boris Johnson s’est engagé à contrecoeur à respecter la décision de la Cour suprême, qui lui a infligé mardi une défaite historique en jugeant illégale sa décision de suspendre le Parlement à l’approche du Brexit, déclenchant de nombreux appels à la démission.

    « Je dois dire que je ne suis pas du tout d’accord avec ce que les juges ont établi. Je ne pense pas que ce soit juste mais nous irons de l’avant et bien sûr le Parlement va revenir », a déclaré Boris Johnson aux médias britanniques à New York, où il assiste l’assemblée générale de l’ONU.

    Sitôt connue la décision de la Cour, le président de la Chambre basse du Parlement, John Bercow, a annoncé que les députés reprendraient leurs travaux mercredi à 11h30 (10h30 GMT). La Chambre des Lords se réunira à partir de 15 heures (14 heures GMT).

    Les onze juges de la plus haute juridiction britannique ont jugé à l’unanimité « illégal, nul et non avenu » l’avis de Boris Johnson demandant à la reine Elizabeth II de suspendre le Parlement pendant cinq semaines, jusqu’au 14 octobre, à deux semaines du Brexit.

  • Attaque d’Aramco : Ryad présente des débris de drones et promet des preuves de l’implication de l’Iran
    https://www.latribune.fr/economie/international/attaque-d-aramco-l-arabie-presente-des-debris-de-drones-et-promet-des-preu


    Les restes de missiles et de drones qui, d’après le gouvernement saoudien, ont été utilisés pour attaquer une installation pétrolière Aramco, sont exposés lors d’une conférence de presse à Riyadh, en Arabie saoudite, le 18 septembre 2019.
    Crédits : Reuters

    Montrant à la presse les preuves présumées, un porte-parole du ministère saoudien de la Défense a parlé de 25 projectiles tirés depuis le « Nord », accusant nommément l’Iran. Mais la France, qui comme les États-Unis demande à voir, veut « établir soigneusement les faits » avant toute réaction, a expliqué mercredi la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

    L’Arabie saoudite a présenté mercredi des débris de drones et de missiles qui auraient été utilisés lors des attaques contre ses infrastructures pétrolières, estimant qu’ils démontraient « indéniablement » l’implication de Téhéran.

    Montrant à la presse les preuves présumées (photo ci-dessous, entre autres), un porte-parole du ministère saoudien de la Défense a parlé de 25 projectiles tirés depuis le « Nord ».

    « L’attaque a été lancée du Nord et était indéniablement commanditée par l’Iran. La preuve que vous avez sous les yeux le montre de façon indéniable », a conclu l’officier, écartant la piste de tirs venus du Yémen.

  • Enquête sur la publication des données de millions d’Équatoriens sur internet
    https://www.latribune.fr/economie/international/enquete-sur-la-publication-des-donnees-de-millions-d-equatoriens-sur-inter

    Le gouvernement équatorien enquête sur la publication des données de millions de personnes sur internet, situation qu’il a qualifiée de « très délicate » en expliquant que ces informations avaient été soustraites par une entreprise privée, du temps de l’ex-président Rafael Correa (2007-2017).

    L’entreprise de sécurité informatique VpnMentor a indiqué sur son site web avoir trouvé les données personnelles de plus de 20 millions de personnes, la majorité d’Équateur qui compte 17,3 millions d’habitants, sur un serveur non sécurisé localisé à Miami (États-Unis) et qui appartiendrait à la compagnie équatorienne Novaestrat.

    Ces informations proviendraient, entre autres, de registres du gouvernement d’Équateur - pays dépourvu d’une législation de protection des données personnelles - ainsi que d’une association d’entreprises automobiles et de deux banques.
    […]
    De son côté, le ministre des Télécommunications, Andrés Michelena, a déclaré aux médias qu’"une entreprise privée équatorienne a malheureusement soustrait de l’information possiblement à deux ou trois institutions publiques (...) durant le régime" de Rafael Correa, farouche opposant de son ex-allié et successeur Lenin Moreno.

    M. Michelena a ajouté que seraient impliqués des employés du Système national d’information, chargé d’ajuster les plans de développement et les finances publiques, des années Correa, qui vit en Belgique et fait l’objet dans son pays d’un mandat d’arrêt pour l’enlèvement d’un opposant.
    […]
    M. Michelena a affirmé lundi qu’il y a eu « fuite » des bases de données de « quelques Équatoriens », qui ont été protégées après une alerte lancée mercredi dernier.

    « Les informations de tous les Équatoriens sont protégées. Il n’y a pas eu de piratage, ni d’attaques à la cybersécurité du pays », a-t-il dit.

    Il a ajouté qu’"une enquête est en cours" et que le gouvernement espère « que les Équatoriens, qui ont négocié des bases de données publiques et les ont soustraites aux institutions, seront détenus ».
    Outre l’absence d’une loi de protection des données personnelles, l’Équateur manque de programmes de cybersécurité pour éviter la diffusion d’information considérée comme sensible.

    Le gouvernement doit présenter cette semaine à l’Assemblée nationale un projet de loi de protection des données.

  • Qatar, Arabie saoudite, Emirats arabes unis... La nouvelle guerre du Golfe
    https://www.latribune.fr/economie/international/qatar-arabie-saoudite-emirats-arabes-unis-la-nouvelle-guerre-du-golfe-8282
    https://www.youtube.com/watch?v=rzs1Pyg9o3s

    REPLAY [Arte]. Entre 2013 et 2015, trois princes ont pris la tête des principales monarchies pétrolières du Golfe : le Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Cette nouvelle génération de souverains, parmi les plus riches et les plus puissants de la planète, a imposé une nouvelle manière de gouverner, mélange de violence, de répression de toute opposition et de guerre d’ego.

    Le premier à être arrivé au pouvoir, l’émir du Qatar, Tamim al-Thani, 39 ans, a construit son soft power sur le sport, avec le contrôle de BeIN, principal réseau mondial de diffusion des événements sportifs, grâce auquel il a obtenu l’organisation de la Coupe du monde de football 2022, suscitant la jalousie de ses voisins. Pour asseoir son influence, il dispose aussi d’Al Jazeera, dont le rôle est considérable dans cette partie du monde. Ses voisins l’accusent de soutenir des groupes islamistes et d’être trop proche de l’Iran... Face à lui : Mohammed ben Salmane, 33 ans, dit MBS, l’ambitieux prince héritier d’Arabie saoudite, qui a engagé son pays dans une guerre meurtrière au Yémen.

    Dans son envie d’être le nouvel homme fort du Moyen-Orient, MBS s’est trouvé un allié et mentor : Mohammed ben Zayed, 58 ans, dit MBZ, prince héritier d’Abu Dhabi et régent des Émirats arabes unis, un stratège militaire qui a fait de son petit pays la principale puissance militaire de la péninsule arabique. Alors que leurs pères et grands-pères réglaient leurs différends dans la discrétion de tentes bédouines, les deux camps s’affrontent désormais à coups de cyberattaques, de blocus économique et de menaces d’invasion. De la péninsule arabique aux États-Unis, ce film raconte la rivalité entre ces trois princes et la crise sans précédent qu’elle a provoquée dans le Golfe, zone la plus militarisée du monde. Une division qui déstabilise aussi les autres pays du Moyen-Orient, poussés malgré eux à prendre parti...

  • Attaques contre Aramco : Trump autorise l’utilisation des réserves de pétrole, les cours flambent
    https://www.latribune.fr/economie/international/attaques-contre-aramco-trump-autorise-l-utilisation-des-reserves-de-petrol

    Donald Trump a autorisé dimanche l’utilisation des réserves stratégiques américaines de pétrole après des attaques de drones qui ont réduit de moitié la production de pétrole du royaume d’Arabie saoudite.

    Les rebelles yéménites Houthis, soutenus par l’Iran et qui font face depuis cinq ans à une coalition militaire menée par Ryad, ont revendiqué ces attaques contre les installations du géant public Aramco. Elles ont provoqué une réduction brutale de production de 5,7 millions de barils par jour, soit environ 6% de l’approvisionnement mondial.

     Quelque 5,7 millions de barils par jour sont concernés par l’interruption partielle, soit près de la moitié de la production saoudienne, ou 5% du commerce quotidien mondial du pétrole, a indiqué le ministre de l’Energie, le prince Abdelaziz ben Salman.
    […]
    Selon une source au fait du dossier, la production de pétrole saoudienne, réduite de moitié après des attaques de drones des Houthis yéménites samedi contre deux installations stratégiques de la compagnie Aramco, ne devrait pas revenir à la normale avant « des semaines plutôt que des jours ».

  • Le nuage de cendres du 11-Septembre continue à faire des victimes
    https://www.latribune.fr/economie/international/le-nuage-de-cendres-du-11-septembre-continue-a-faire-des-victimes-827491.h


    Reuters

    Bien au-delà des près de 3.000 personnes tuées et plus de 6.000 blessées, les new-yorkais continuent d’être touchés par l’effondrement du World Trade Center (WTC)

  • De moins en moins de demandeurs d’emploi indemnisés par l’assurance-chômage
    https://www.latribune.fr/economie/france/de-moins-en-moins-de-demandeurs-d-emploi-indemnises-par-l-assurance-chomag

    Les allocataires de l’assurance-chômage perçoivent en moyenne une indemnité de 905 euros par mois selon de récents chiffres du ministère du Travail.

    Voici des chiffres qui pourraient mettre fin à certaines idées reçues souvent exprimées dans les débats relatifs aux chômeurs. Selon la dernière étude du service de statistiques du ministère du Travail (Dares) publiée vendredi 6 septembre, sur les 6,7 millions de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en septembre 2016, seulement 37% toutes catégories confondues (A,B,C,D,E) étaient indemnisés par l’assurance-chômage alors que deux tiers peuvent percevoir des indemnités.

    Ce qui représente environ 2,4 millions de personnes sur le total. Des chiffres plus récents communiqués par l’Unedic font également le même constat. Sur les 6,3 millions d’inscrits, seulement 2,6 millions étaient allocataires d’une indemnité en 2018. Parfois accusés de mettre l’équilibre financier de l’Unédic dans le rouge, les chômeurs indemnisés ne représentent qu’une minorité des inscrits.

    La part des inscrits à l’opérateur public indemnisés par le système assurantiel ou par l’Etat a clairement diminué. D’après les chiffres communiqués par l’administration, la proportion de personnes indemnisées (sur le total des indemnisables) par l’assurance-chômage est passée de 78% à 75% entre 2011 et 2016.

    En parallèle, la proportion de ceux ayant reçu une indemnité par l’Etat est restée stable sur la période autour de 88%. Au total, le ratio des indemnisés a perdu plus de deux points passant de 79,4% à 77,2%.

    Au moment de l’étude, les personnes inscrites à Pôle emploi percevaient en moyenne une allocation journalière de 39 euros brut. Durant les 12 mois avant qu’ils s’inscrivent, ces personnes touchaient un salaire quotidien d’environ 65 euros en moyenne. Après leur inscription, les personnes perçoivent environ 965 euros brut.

    Mais derrière ce chiffre, des disparités subsistent selon les catégories. Dans le premier décile, les demandeurs d’emploi touchent en moyenne 245 euros contre 1.585 euros pour le neuvième décile. Au final, les allocataires consomment environ 68% de leurs droits au moment de leur sortie, soit 10 mois d’allocations en moyenne.

    Avec l’entrée en vigueur de la réforme de l’assurance-chômage depuis cet été, les règles d’indemnisation ont été clairement chamboulées. Il faudra, à partir du premier novembre prochain, travailler l’équivalent de six mois durant 24 mois pour pouvoir bénéficier des allocations chômage et non plus quatre mois pendant 28 mois. Le principe de dégressivité des allocations versées aux cadres a également été adopté au grand dam des syndicats. Cette dégressivité doit intervenir au bout du septième mois d’indemnisation pour les salariés qui ont revenu brut supérieur à 4.500 euros. Pour rappel, seulement 0,02 touchaient l’allocation maximum de 6.540 euros.

    Les règles de calcul ont également été modifiées. Actuellement, la durée d’indemnisation est calculée sur le nombre de jours travaillés pendant la période de référence. A partir de novembre, cette durée sera égale au nombre de jours calendaires, travaillés ou non, à partir du premier jour d’emploi pendant la période de référence jusqu’au terme de celle-ci. Conséquence, les personnes qui ont travaillé de manière fractionnée pendant leur période d’affiliation (en alternant CDD courts et inactivité) auront une indemnisation potentiellement plus longue mais aussi d’un montant mensuel plus faible.

  • Vers un retour de l’impôt sur la fortune en Allemagne ?
    https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/vers-un-retour-de-l-impot-sur-la-fortune-en-allemagne-826359.html

    Le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz, soutient l’impôt sur la fortune défendu par son parti, rapporte le Handelsblatt. Les conservateurs de la CDU-CSU sont contre.

    Le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz, soutient le projet d’impôt sur la fortune que sa formation politique, le Parti social-démocrate (SPD), propose de mettre en oeuvre, rapporte le quotidien économique Handelsblatt ce week-end dans son édition en ligne. Plusieurs dirigeants du SPD, partenaire minoritaire de la « Grande coalition » au pouvoir, doivent se réunir ce lundi 26 août pour discuter du projet développé par un groupe de travail dirigé par le député SPD de Hesse, Thorsten Schäfer-Gümbel.

    Cette taxe pourrait rapporter 10 milliards d’euros par an, selon ses promoteurs. L’ISF allemand a été suspendu par la Cour constitutionnelle de Karlsruhe par une décision de 1995. La haute juridiction allemande exigeait l’uniformisation des taux d’imposition appliqués aux biens immobiliers et mobiliers, au nom du principe d’égalité, ce que les gouvernements successifs n’ont jamais entrepris.

    « J’ai travaillé étroitement avec le groupe de travail SPD et je soutiens le résultat pour suivre le modèle suisse », a déclaré au journal Olaf Scholz, qui est candidat à la direction du SPD.

    La Suisse est l’un des rares pays développés à appliquer encore un impôt sur la fortune.

  • Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce jeudi 15 août 2019
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/16383-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien. Veuillez trouver ci-dessous la Revue de presse de notre Contributeur anonyme, et bien sûr plus de titres dans la Defcon Room,

    Amitiés,

    L’Amourfou / Contributeur anonyme / Chalouette / Doudou

    La Revue de presse du jour comprenant les informations de ce qui fait l’actualité française et internationale du 12 au 14 août 2019 vues par notre contributeur anonyme.

    DON : https://www.paypal.me/revuedepresse ou https://www.paypal.com/pools/c/7ZGVkA4zY3

    ALLEMAGNE :...inflation à cause de la sécheresse MDR

    https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/en-allemagne-l-inflation-confirmee-a-1-7-en-juillet-en-partie-a-cause-de-l

    TRUMP :...veut dévaluer le dollar = facile, faire faillite lol (...)

  • La Tribune relaie Arte
    (pas encore regardé)

    Hackers russes, les nouveaux mercenaires d’une cyberguerre mondiale
    https://www.latribune.fr/economie/international/hackers-russes-les-nouveaux-mercenaires-d-une-cyberguerre-mondiale-816749.
    https://www.youtube.com/watch?v=WJGKuspi0-Q

    REPLAY. Rencontres exclusives avec ces hackers russes qui font peur à l’Occident. Une investigation fouillée et concrète, qui dévoile la réalité derrière les fantasmes.

    Depuis l’élection de Donald Trump - qu’on les accuse d’avoir favorisée -, les hackers russes n’ont cessé de faire la une des médias occidentaux. Parce qu’ils n’ont pas de visage, que leurs modes d’action restent opaques et incompréhensibles pour le commun des mortels, et que les fake news venues de Russie servent sans ambiguïté les intérêts des droites extrêmes américaines et européennes, ils incarnent dans l’imaginaire collectif une effrayante armée de l’ombre au service d’une Russie agressive.

    En parvenant à rencontrer, en France et en Russie, mais aussi en Ukraine, nombre de ces hackers free-lance, qui dévoilent sur écran un pan du monde caché dans lequel ils évoluent, cette enquête palpitante et ludique fait apparaître aussi concrètement que possible la réalité méconnue qui nourrit les fantasmes.

    À quoi un hacker passe-t-il ses journées (et ses nuits) ? Combien cela rapporte-t-il ? Pourquoi la Russie possède-t-elle un riche vivier d’informaticiens virtuoses ? Quels liens entretiennent-ils avec le pouvoir et les services secrets ?

    En parallèle, Michael Hayden, ex-directeur de la CIA et de la NSA, Julian Assange, Yevhen Yakovenko, un responsable du SBU (le service de sécurité ukrainien) ou Igor Chtchegolev, conseiller du président Poutine croisé sur un salon moscovite du hacking, livrent leurs versions des cyberévénements récents. Les responsables d’une centrale nucléaire ukrainienne et de la chaîneTV5 Monde, eux, retracent les pannes spectaculaires provoquées en quelques minutes par des attaques informatiques. Différents spécialistes, journalistes et chercheurs, apportent leurs analyses.

    Jouant des codes de l’investigation télévisée, Étienne Huver (prix Albert-Londres 2016 pour son enquête sur les victimes du régime syrien) et Marina Ladous, sa coauteure et productrice, se mettent en scène en Candide du cybermonde pour dévoiler les rouages d’une guerre invisible. S’ils montrent que la Russie y avance ses pions avec détermination, ils font entrevoir un paysage complexe, entre cybercriminalité, contre-espionnage et émulation geek.

  • Climat : la déforestation s’emballe en Amazonie
    https://www.latribune.fr/economie/international/climat-la-deforestation-s-emballe-en-amazonie-825385.html


    La déforestation de l’Amazonie a bondi de 278% entre juillet 2018 et juillet 2019
    Crédits : POOL New

    Comme il avait promis durant sa campagne, le président brésilien Bolsonaro supprime les lois de protection de la forêt, avec des résultats stupéfiants : quatre fois plus de surfaces disparues en juillet 2019 qu’en juillet 2018. Une catastrophe, révélée la veille de la publication d’un rapport du GIEC sur les liens en climat et usage des terres.

    On l’appelle le "poumon de la terre", pour sa capacité notamment à absorber d’importantes quantités de gaz à effet de serre. D’ailleurs, les gouvernements qui se sont succédé à la tête du Brésil ces vingt dernières années se sont efforcés de la protéger, érigeant leur pays en exemple de politique environnementale. Mais l’Amazonie, ces quelque 5,5 millions de millions de kilomètres carrés de forêt primaire qui entoure le fleuve brésilien, mérite de moins en moins ce surnom.

    Le président Bolsonaro élu en octobre 2018, qui avait durant sa campagne qualifié les lois de protection de la forêt d’obstacles au développement économique du pays et donc promis de les faire tomber, met en effet ses menaces à exécution. Entre autres mesures, cela implique une diminution des zones allouées aux Indiens au profit des agriculteurs et des industriels.

    Les chiffres sont effrayants. Comme l’a révélé le New York Times, ce sont près de 3.500 km² de forêt qui ont disparu depuis le 1er janvier, soit une accélération de la déforestation de 39% comparée à la même période de l’année dernière. Au cours des 12 derniers mois, 6 833 kilomètres carrés ont ainsi disparu, soit 40% de plus qu’au cours des 12 mois précédents. Sur le seul mois de juin, cette accélération atteint 80%.

    Mais c’est en juillet que le phénomène s’est réellement emballé : l’organisme public brésilien chargé de le mesurer, l’Institut national de recherche spatiale (INPE), mentionne 2 254 kilomètres carrés de zones déforestées contre 596,6 kilomètres carrés en juillet 2018. C’est une augmentation de 278 % en un an.

    Mais il ne fait pas bon communiquer sur ces chiffres, et le directeur de l’INPE, accusé de fournir des chiffres « mensongers » pour « faire le jeu des ONG_ », vient d’être limogé.

    Il va devenir d’autant plus difficile de suivre l’évolution de cette déforestation que le gouvernement se montre aussi plus complaisant à l’égard de l’abattage forestier illégal. Le New York Times a calculé que les sanctions émises à l’encontre des contrevenants ont diminué de 20 % au cours du premier semestre.

    Voilà qui ne risque pas d’améliorer les choses, alors même que les observations de SMOS, un satellite d’observation de la terre en micro-ondes, lance en 2009 par le CNES/ESA, montrent que les forêts tropicales ne parviennent plus à jouer leur rôle de puits de carbone. Premiers responsables de cette situation qui menace l’équilibre climatique de la planète entière - quand bien même Bolsonaro martèle que « l’Amazonie appartient au Brésil » - les sécheresses et la déforestation...

  • Climat et usage des sols : la solution est dans votre assiette !
    https://www.latribune.fr/economie/international/climat-et-usage-des-sols-la-solution-est-dans-votre-assiette-825244.html

    Comment préserver d’un côté le rôle de puits de carbone que peuvent jouer les terres agricoles et, de l’autre, leur capacité à nourrir près de 10 milliards d’êtres humains en 2050 ? Alors que le GIEC consacre ces jours-ci une réunion aux liens entre changement climatique et utilisation durable des sols, une profonde mutation de nos régimes alimentaires et de nos modes d’agriculture s’impose de plus en plus clairement.
    Le potentiel conflit d’usage des sols entre forêts, prairies et zones humides, agriculture et élevage, énergie, accès à l’eau... ne date pas d’hier. Mais il prend un relief nouveau dans un contexte de réchauffement climatique. En effet, tout comme les océans, les sols absorbent environ 30% des gaz à effet de serre émis par les activités humaines. C’est dire le rôle essentiel qu’ils jouent dans l’atténuation du réchauffement climatique. Mais ils ont de plus en plus de mal à tenir ce rôle de puits de carbone à mesure qu’ils sont dégradés par l’agriculture intensive et réquisitionnés pour des usages notamment énergétiques. Ce sont pas moins de 2 milliards d’hectares de terres qui sont aujourd’hui dégradés, affectant le mode de vie de 3 milliards de personnes sur terre.
    Planter des arbres par milliards
    […]
    Nourrir 9,8 milliards d’êtres humains en 2050
    […]
    Demain, tous végétariens ?
    […]

  • Les ondes de choc d’Hiroshima n’ont pas encore disparu
    (film de 1h34mn dans l’article)
    https://www.latribune.fr/economie/international/les-ondes-de-choc-d-hiroshima-n-ont-pas-encore-disparu-825031.html

    REPLAY. Hiroshima le 6 août 1945, Nagasaki 3 jours plus tard. Cette enquête de grande ampleur éclaire aussi bien les motivations réelles des Américains que les conséquences sociales, sanitaires et environnementales du désastre. Un regard indispensable sur un événement qui a provoqué tant d’aveuglement.

    Les noms sont entrés dans la mémoire collective, et ils résonnent encore de manière macabre. Le projet atomique américain s’appelait « Manhattan Project », la bombe, « Little Boy », et l’avion qui a ouvert sa soute, Enola Gay. Le 6 août 1945, sur ordre du président Truman, un bombardier B-29 largue sur Hiroshima la première arme nucléaire jamais utilisée lors d’une guerre.

    « Il y eut un anneau de feu rouge et aveuglant, un scintillement de couleurs. Je ne devrais pas le dire, mais c’était magnifique », confie un des survivants.

    « L’aube d’une ère nouvelle », assurent certains scientifiques. Quatre-vingt mille Japonais paient de leur vie sur-le-champ ce basculement de l’histoire de l’humanité, au moins cent quarante mille au total trouveront la mort. Si, bien entendu, les suites immédiates et dantesques de l’explosion sont l’épicentre du documentaire, elles n’en constituent pas l’unique objet. Grâce à la révélation d’étonnants secrets, Hiroshima, la véritable histoire dissipe les écrans de fumée qui ont, en grand partie à cause de l’habile désinformation occidentale, détourné le monde de la réalité des faits.

    Cette investigation ambitieuse éclaire aussi bien les motivations réelles des Américains que les conséquences sociales, sanitaires et environnementales du désastre. Little Boy était-elle un « mal nécessaire » pour forcer les Japonais à capituler ? Le film démontre que le pays de l’empereur Hirohito avait de toute façon déjà perdu la guerre et s’apprêtait à négocier. Les objectifs de Truman étaient autres : tester in vivo l’efficacité de la bombe et devancer les Russes dans la course à l’armement.

    Même duplicité après la seconde explosion atomique, à Nagasaki, le 9 août : les Américains coupent du monde les zones japonaises dont ils ont pris le contrôle, mènent des études scientifiques mais ne soignent personne. Le quotidien des irradiés est occulté : considérés comme des pestiférés, ils doivent subir l’emprise rapace des mafias japonaises et la désagrégation des rapports humains. Dans le même temps, aux États-Unis, une propagande gouvernementale massive tente de légitimer les bombes et de rendre populaire le recours au nucléaire.

    Bénéficiant d’images d’archives inédites et de documents confidentiels, le film de Lucy van Beek met en avant de nombreux témoignages, notamment japonais (experts, agents secrets, survivants). Les souvenirs et les histoires individuelles qu’ils esquissent aboutissent tous au même constat : les ondes de choc d’Hiroshima n’ont pas encore disparu.

  • Cigarette électronique : pourquoi vapoter est-il dangereux pour la santé selon l’OMS
    https://www.latribune.fr/economie/international/cigarette-electronique-pourquoi-vapoter-est-il-dangereux-pour-la-sante-sel


    Crédits : © Mike Segar / Reuters

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a surpris vendredi avec un jugement très sévère sur les cigarettes électroniques dans son rapport mondial sur le tabac, affirmant qu’on ne pouvait pas les recommander comme aide au sevrage. Une position trop tranchée aux yeux de certains experts de la lutte anti-tabac.
    […]
    L’OMS se montre plus prudente, prenant pour référence son rapport datant de 2014 : « les SEAN (système électroniques d’administration de nicotine) sont probablement moins toxiques que les cigarettes mais il n’y a pas assez de preuves pour quantifier le niveau précis de risque », estime l’organisme international.

    Dans tous les cas, « les SEAN sont incontestablement nocifs et devront donc être régulés ».
    […]
    Pour toutes ces raisons, l’OMS ne fait pas figurer ce dispositif parmi l’arsenal recommandé pour arrêter le tabac et juge qu’il ne doit pas être promu comme tel tant qu’on ne dispose pas de plus de données. Cette position fait bondir les fabricants de e-cigarettes, qui parlent de « désinformation », mais aussi certains spécialistes de la lutte contre le tabac, qui défendent l’efficacité de la cigarette électronique.

    • #vape #SEAN #addiction #nicotine

      Le ministère de la Santé français, qui a fait de la lutte contre le tabac une priorité, s’est toujours montré prudent sur la question, attribuant plutôt la récente baisse du nombre de fumeurs à l’augmentation des prix, au remboursement des patchs et gommes et à l’opération Mois sans tabac.

      L’état français a également ouvert la voie à un trafic qui expose les fumeur·euses à des produits frelatés.

  • François de Rugy a démissionné, Emmanuel Macron dit « respecter (sa) décision personnelle »
    #décision_personnelle #ouaf_ouaf !
    https://www.latribune.fr/economie/france/francois-de-rugy-a-presente-sa-demission-du-gouvernement-823714.html

    [Articles publié le 16.07.2019 à 14:52, mis à jour à 16:55 avec acceptation de Macron]

    Le numéro deux du gouvernement a annoncé avoir présenté sa démission mardi matin au Premier ministre, s’estimant victime d’un « lynchage médiatique » et précisant avoir déposé une plainte en diffamation contre Mediapart.

    Le ministre de la Transition écologique François de Rugy, au centre d’une polémique sur des dépenses excessives, a annoncé avoir présenté sa démission mardi matin au Premier ministre, s’estimant victime d’un « lynchage médiatique » et précisant avoir déposé une plainte en diffamation contre Mediapart. Emmanuel Macron a dit respecter la « décision personnelle » du ministre « pour qu’il puisse se défendre pleinement et librement », a affirmé l’Élysée à l’AFP.