• Proche-Orient : Macron veut laisser sa chance à l’initiative de Trump
    Par Journaliste Figaro Cyrille Louis Journaliste Figaro Philippe Gélie Mis à jour le 28/01/2018
    http://www.lefigaro.fr/international/2018/01/28/01003-20180128ARTFIG00180-proche-orient-macron-veut-laisser-sa-chance-a-l-i

    Le plan américain consisterait à reconnaître un État palestinien avec pour capitale Abou Dis, un faubourg de Jérusalem.

    La Maison-Blanche, qui a récemment admis ne plus avoir de contact avec les dirigeants palestiniens depuis qu’elle a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël, verrait d’un bon œil que la France apporte son soutien à une initiative de paix désormais mal en point. C’est en tout cas ce qu’a fait savoir Jared Kushner à Jean-Yves Le Drian le 17 décembre dernier à Washington. Lors de cet échange, le gendre du président américain a présenté à son interlocuteur les grandes lignes du plan de paix sur lequel il travaille depuis près d’un an, sans cependant en dévoiler tous les détails. Dans la foulée, Emmanuel Macron a envoyé son conseiller diplomatique adjoint en mission à Ramallah afin de sonder les Palestiniens sur leur état d’esprit vis-à-vis de l’initiative américaine.

    on peut lire la suite de l’article, qui reprend les infos données par @alaingresh https://seenthis.net/messages/661590
    sur : http://elnetwork.fr/proche-orient-macron-veut-laisser-chance-a-linitiative-de-trump

    (...) Comme l’a révélé la dixième chaîne de télévision israélienne, le conseiller diplomatique adjoint d’Emmanuel Macron, Aurélien Lechevallier, s’est rendu il y a une dizaine de jours à Ramallah afin d’y rencontrer Saeb Erekat, le négociateur en chef de l’OLP, ainsi que Majed Faraj, le patron des services de sécurité. Que se sont-ils dit ? « Le diplomate français nous a demandé de calmer le jeu et d’examiner la proposition américaine avant de nous prononcer », confie, déçu et amer, un Palestinien qui a assisté à l’un de ces entretiens. « Faux », réfute une source française, qui évoque de simples consultations destinées à prendre le pouls de la direction palestinienne sur ses intentions après le coup de tonnerre du 6 décembre. (...)