En français, je suis nul : moi, c’est en maths que je suis bon !

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  • En français, je suis nul : moi, c’est en maths que je suis bon ! - Le blog de l’amie scolaire
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    On sait aussi que les savoir prétendument fondamentaux (français et maths) ont surtout pour particularité d’être abstraits. Cela signifie qu’ils sont le résultat d’une abstraction, mot désignant non une réalité, mais une action, celle de dégager de ce qui est concret, des propriétés dites « abstraites » (qui ne se voient pas immédiatement).
    Ce qui est abstrait n’a donc pas à être enseigné directement, mais doit être construit par les élèves à partir d’analyses portant sur du concret. Et ce « concret » peut être trouvé aussi bien en EPS qu’en musique, en activités artistiques, qu’en lecture ou en maths, dès l’instant qu’elles sont vécues et accompagnées de prises de conscience de ce qui s’y passe. Il y de nombreuses portes pour entrer dans les savoirs institutionnellement requis. Et cela n’a rien à voir avec le laxisme.