@monolecte je viens de lire ton brouhaha-Le Libre Arbitre et ça me donne envie de lire Maurice Sachs. C’est plutôt à ça que je pensais et aux quelques pages que je viens de finir de Jackie Berroyer. Il en parle brièvement à la fin de « Parlons peu, parlons de moi Ne dites à personne que j’en parle à tout le monde » ( page 278, 279 ) récemment sorti chez le dilettante.
►http://www.ledilettante.com/mobile/livre-9782842638924.htm
Un autre genre de maladie. La méchanceté. Elle peut être gratuite, elle peut être provoquée, elle peut même être saine quand elle s’en prend à plus pernicieux qu’elle. Je dis presque car il y en a quelques-uns qui se savent salauds, et qui s’en foutent. Les salauds ça existe, les cyniques, les fanatiques, les idolâtres, les individualistes qui ne doutent de rien, pour certains arrêter d’être un salaud, c’est encore plus difficile qu’arrêter de fumer. ...
ça continue sur 2 pages, qu’es-ce qu’il parle bien ce Jackie ou plutôt qu’es-ce qu’il écrit bien ce Berroyer. Il me donne envie d’être méchant avec les méchants, avec les bons aussi pour pas faire de jaloux. J’ai toujours pas lu alan-Jerusalem-Moore et y’a plein de livres dans ma bibliothèque que je n"ai pas encore lu. Ce doit être une forme d’anticipation du manque. Comme le drogué qui recherche plus le manque que sa came.
Je commence à me disperser. Berroyer parle d’une rumeur de négationnisme dans son bouquin. Suite à une itw de FR3 chez lui et jamais diffusé. La rumeur est parti à cause des bouquins dans sa bibliothèque. Il se justifie très bien en disant, en gros, qu’on peut s’intéresser aux salauds sans en être un soi même. Je suis d’accord avec lui, si on peut plus se moquer des salauds dans les livres, va falloir les buter ces fumiers de salauds.
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