James Woolsey on the Russians’ efforts to disrupt elections

?v=SpWai3kZ-gM

  • Pensée magique américaine : quand les Russes interfèrent avec des élections, c’est mal. Quand les Ricains trafiquent des élections, c’est bien. (C’est comme les civils tués par des bombardements aériens massifs : quand c’est les Russes qui tuent civils, c’est mal ; quand c’est le shithole country qui tue des civils, c’est bien - sans doute parce que dans ce cas, les civils ainsi zigouillés/libérés de la dictature auraient pu ensuite voter dans des élections libres tripatouillées par les magouilles américaines).

    Russia Isn’t the Only One Meddling in Elections. We Do It, Too.
    https://www.nytimes.com/2018/02/17/sunday-review/russia-isnt-the-only-one-meddling-in-elections-we-do-it-too.html

    It is easy to understand why Mr. Putin sees such American cash as a threat to his rule, which tolerates no real opposition. But American veterans of democracy promotion find abhorrent Mr. Putin’s insinuations that their work is equivalent to what the Russian government is accused of doing in the United States today.

    “It’s not just apples and oranges,” said Kenneth Wollack, president of the National Democratic Institute. “It’s comparing someone who delivers lifesaving medicine to someone who brings deadly poison.”

  • Le sourire de Woolsey
    http://www.dedefensa.org/article/le-sourire-de-woolsey

    Le sourire de Woolsey

    19 février 2018 – Présentant la vidéo de James Woolsey qu’on a reprise hier, où l’ancien directeur de la CIA ne cache pas une seconde que les USA (la CIA) continuent à intervenir dans les élections d’autres pays, comme ils reprochent hystériquement aux Russes de faire depuis deux ans, Alex Christoforou commente avec une sévérité indignée : « Leur hybris est stupéfiant », « Leur hypocrisie est si grossière que lorsque Laura Ingraham demande à Woolsey si les USA n’ont jamais interféré dans des élections [d’autres pays], la réponse (et les rires de tous) en dit énormément... »

    Je trouve bonne ici l’occasion de m’attarder à une question fondamentale, que j’hésite fortement à expédier, ou mieux encore à court-circuiter par des mots définitifs tels que “hybris” et “hypocrisie”. Sans nul doute, (...)