Un état Sioniste secrètement contrôlé par les Dönmeh, Erdogan y compris – Salimsellami’s Blog

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  • La Turquie Moderne : Un état Sioniste secrètement contrôlé par les Dönmeh, Erdogan y compris – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/03/04/la-turquie-moderne-un-etat-sioniste-secretement-controle-par

    (A gauche. Kemal Ataturk, faisant un signe maçonnique, et les crypto-juifs appelés Donmeh qui contrôlent la Turquie)
    Le support d’ISIS par la Turquie se comprend mieux si nous nous rappelons l’explication de Wayne Madsen de 2011. La Turquie est gouvernée en secret par des Juifs et sert les desseins sionistes du Grand Israël. Comme les Bolcheviques et les Sionistes, les Dönmeh sont des Illuminatis i.e. Satanistes, Franc-maçons. Assurez vous de lire également, Comment les Illuminati terrorisent et contrôlent la Turquie par un dissident Turc (lien ci-dessous)
    Par Wayne Madsen
    (Extrait par henrymakow.com)

    Bien qu’elle soit connue des historiens et des experts religieux, l’influence politique et économique vieille de plusieurs siècles d’un groupe connu en Turquie sous le nom de « Dönmeh » commence à peine à faire parler d’elle parmi les turques, arabes et israéliens. ils ont été réticents à discuter de la présence en Turquie et ailleurs d’une secte de Turques descendant d’un groupe de Juifs séfarades qui furent expulsés d’Espagne durant l’inquisition Espagnole des 16ème et 17ème siècles.
    Ces Juifs réfugiés d’Espagne furent invités à s’installer dans l’empire Ottoman et au fil des années se convertirent à une secte mystique de l’Islam qui à terme mélangea la cabale Juive et les croyances semi-mystiques Soufies Islamiques dans une secte qui finalement soutint le sécularisme dans la Turquie Post-Ottomane. Il est intéressant de noter que « Dönmeh » ne se réfère pas uniquement aux « douteux convertis » Juifs à l’Islam en Turquie mais est aussi un mot Turque désobligeant pour un travesti, ou de personnes se réclamant être quelqu’un qu’elles ne sont pas.
    La secte Dönmeh du judaïsme fut fondée au 17ème siècle par le rabbin Sabbatai Zevi, un cabaliste qui croyait être le Messie mais fut forcé à se convertir à l’Islam par le Sultan Mehmet IV, le gouvernant Ottoman. Beaucoup de ses fidèles, connus sous le nom de Sabbatéens, mais aussi « crypto-Juifs », proclamèrent publiquement leur foi Islamique mais pratiquaient secrètement leur forme hybride de judaïsme, qui n’était pas reconnue par les autorités des courants principaux du judaïsme rabbinique. Parce qu’il était contre leur croyances de se marier hors de leur secte, les Dönmeh créèrent un clan sous-sociétal assez secret.

    (Erdogan est probalement un Crypto Juif)
    Beaucoup de Dönmeh, de pair avec les Juifs traditionnels, devinrent de puissants dirigeant politiques et d’affaires en Salonique. C’était ce groupe fondamental de Dönmeh, qui organisèrent secrètement les Jeunes Turcs, aussi connus comme le Comité de l’Union et du Progrès, les sécularistes qui déchurent le Sultan Ottoman Abdulhamid II durant la révolution de 1908, proclamèrent la République de Turquie post-ottomane après la première guerre mondiale, et qui instituèrent une campagne qui dépouilla la Turquie d’une grande part de son identité Islamique après la chute des Ottomans.
    Abdulhamid II fut diabolisé par les Jeunes Turcs comme un tyran, mais son seul crime réel semble avoir été de refuser de rencontrer le dirigeant Sioniste Théodore Herzl durant une visite à Constantinople en 1901 et rejeta les offres Sionistes et Dönmeh d’argent en échange de quoi les Sionistes se verraient gratifiés du contrôle de Jérusalem.
    Comme d’autres dirigeants ayant croisé la route des Sionistes, le Sultan Abdulhamid II semble avoir scellé son sort avec les Dönmeh par cette déclaration à sa court Ottomane :
    « Informez le Dr Herzl de ne pas avancer d’un pas de plus dans son projet. Je ne peux céder ne serait ce qu’une poignée du sol de cette terre car ce n’est pas la mienne, elle appartient à la nation Islamique dans son ensemble. La nation Islamique a fait le Djihad pour le salut de cette terre et l’a trempée de son sang. Les Juifs peuvent garder leurs argent et leur millions. Si l’État du Califat Islamique est un jour détruit alors ils seront en mesure de prendre la Palestine sans aucun prix ! Mais tant que je suis vivant, je préfèrerai percer mon corps d’une lame que de voir la terre de Palestine coupée et éloignée de l’État Islamique. »
    Après son expulsion par le Jeune Turc Dönmeh Atatürk en 1908, Abdulhamid II fut emprisonné dans la citadelle Dönmeh de Salonique. Il mourut à Constantinople en 1918, trois ans après que Ibn Saud agréa à une nation Juive en Palestine et une année plus tard Lord Balfour céda la Palestine aux Sionistes dans sa lettre au Baron Rothschild.

    Un des dirigeants des Jeunes Turcs en Salonique était Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la République de Turquie.
    Certains textes suggèrent que les Dönmeh n’étaient pas plus de 150.000 et se trouvaient principalement dans l’armée, le gouvernement, et les affaires. Quoiqu’il en soit d’autres expert suggèrent que les Dönmeh pourraient avoir représenté 1.5 million de Turcs et étaient bien plus puissants que ce qui était cru par beaucoup et s’étendaient à toutes les facettes de la vie Turque.
    Ce furent les soutiens de Atatürk et des Jeunes Turcs au Sionisme, la création d’un foyer Juif en Palestine, après la première guerre mondiale et durant le gouvernement Nazi en Europe qui lièrent la Turquie à Israël et vice versa.

    LE GÉNOCIDE SIONISTE DES ARMÉNIENS

    Israël a toujours été réticent à l’idée de définir le massacre des Arméniens par les Turcs en 1915 comme un « génocide ». Il a toujours été cru que les raisons de la réticence d’Israël étaient de ne pas brouiller les liens diplomatiques et militaires avec la Turquie.
    Pourtant, de plus en plus de preuves sont mise à jour et le génocide Arménien a largement été le fait de la direction Dönmeh des Jeunes Turcs. Les historiens aiment Ahmed Refik, qui servit comme un officier de renseignement dans l’armée Ottomane, affirma que c’était le but des Jeunes Turcs de détruire les Arméniens, qui étaient principalement Chrétiens. Les Jeunes Turcs, sous la direction d’Atatürk, expulsèrent également les Chrétiens Grecs des cités Turques et tentèrent de commettre un génocide de plus petite échelle des Assyriens, qui étaient aussi Chrétiens pour la plupart.
    La direction Dönmeh des Jeunes Turcs n’assassinèrent pas seulement des centaines de milliers d’Arméniens et d’Assyriens mais aussi détruisirent les manières et coutumes musulmanes traditionnelles Turques. De la connaissance que ce furent les Dönmeh, dans une alliance naturelle avec les Sionistes d’Europe, qui furent responsables de la mort de chrétiens Arméniens et Assyriens, de l’expulsion de chrétiens orthodoxes grecs de Turquie, et de l’éradication culturelle et religieuse de la tradition Islamique Turque, découlera dans la région une nouvelle réalité. Plutôt que des Grecs et des Chypriotes Turcs vivant sur une île séparée, les Arméniens tenant une vendetta contre les Turcs, et Grecs et Turcs se querellant un territoire, tous les peuples attaqués par les Dönmeh réaliseraient qu’ils ont un ennemi commun qui est leur persécuteur actuel.
    Lié : Comment les Illuminatis terrorisent et contrôlent la Turquie 
    La Turquie et le Nouvel Ordre Mondial

    Traduit de l’anglais par Hydro Gen
    https://infomirroir.wordpress.com/2015/11/30/la-turquie-moderne-un-etat-sioniste-secret-controle-par-les-d

    Article original : http://henrymakow.com/2015/11/modern-turkey-a-secret-zionist.html

     

    https://m.alterinfo.net/La-Turquie-Moderne-Un-etat-Sioniste-secretement-controle-par-les-Donmeh