https://www.huffingtonpost.fr

  • Le premier radar sonore de France va entrer en vigueur, 135 euros d’amende à la clef | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/radar-sonore-yvelines-france-amende_fr_61d2a086e4b0bcd21954f6e9

    L’objectif de ce radar sonore, qui est une première mondiale, est de lutter contre la pollution sonore, en ciblant les propriétaires de deux-roues qui trafiquent leur engin et les amateurs de rodéos urbains. “Un seuil maximum de décibels sera fixé par décret pour déterminer à quel niveau il convient de sanctionner un conducteur qui fait trop de bruit”, expliquait en août au Parisien la directrice de Bruitparif Fanny Mietlicki. Selon une étude commandée par l’association, 87% des Franciliens sont favorables à un renforcement des contrôles et des sanctions des deux-roues motorisés trop bruyants.

  • Blair becomes ’Sir Tony’ and joins top royal order
    https://www.bbc.com/news/uk-59841419

    Tony Blair, the Duchess of Cornwall, and Baroness Amos are to be appointed as members of the Order of the Garter, England’s oldest and most senior order of chivalry.

    The former prime minister now becomes known as Sir Tony.
    The appointments are the personal choice of the Queen, with up to 24 “knight and lady companions”.

    […]

    The ceremonial order, founded in 1348, is a recognition of significant public service, made as the personal gift of the monarch.

    Agnès Buzyn dans la promotion de la Légion d’honneur du 1er janvier 2022
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/agnes-buzyn-dans-la-promotion-de-la-legion-dhonneur-du-1er-janvier-20

    Toujours dans le domaine sanitaire et social -un peu plus de 15% de la promotion- l’ancienne ministre Agnès Buzyn, directrice exécutive de l’Académie de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), est promue chevalier. L’ex-ministre de la Santé, qui avait démissionné en février 2020, a été mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour “mise en danger de la vie d’autrui” dans sa gestion de l’épidémie de Covid-19.

    Comme quoi…

  • « Pour aller aux urgences, il faudra désormais passer à la caisse à partir du 1er janvier 2022. Bizarrement, le gouvernement ne communique pas du tout sur le sujet jugé "trop techno". »
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/aux-urgences-vous-allez-devoir-passer-a-la-caisse-voici-dans-quels-ca

    Au lieu de la facture envoyée après un passage à l’hôpital, un nouveau dispositif entre en vigueur ce 1er janvier. Avec des conséquences directes pour les Français sans mutuelle et le personnel soignant.

    SANTÉ - La mesure a été officialisée il y a de longs mois, mais elle s’apprête à entrer en vigueur dans la discrétion la plus totale. À partir du 1er janvier, lors d’un passage aux urgences, chaque patient qui ne sera pas hospitalisé dans la foulée devra régler sur place une somme d’un peu moins de 20 euros.

    Un changement notable alors que jusqu’à présent, il fallait attendre plusieurs semaines pour recevoir une facture à son domicile, laquelle variait en fonction des actes pratiqués à l’hôpital (simple consultation, tel ou tel examen, une batterie de tests...) et était prise en charge par les complémentaires santé dont bénéficient 95% des Français.

    L’évolution contenue dans ce nouveau dispositif baptisé “forfait patient urgences” réside dans l’instauration d’un tarif unique et plafonné pour chaque passage aux urgences non suivi d’hospitalisation (19,61 euros pour 2022). Un montant minoré à 8,49 euros pour les femmes enceintes de plus de cinq mois et les personnes atteintes par une affection longue durée (formes graves d’épilepsie, AVC invalidant, infection au VIH pour donner quelques exemples). Et pour les enfants victimes de sévices, les victimes de terrorisme et les malades du Covid soignés dans le cadre de l’urgence sanitaire, ils sont même exemptés des frais.

    Des difficultés logistiques à l’hôpital

    Cette réforme n’est pas inattendue puisqu’elle découle des travaux menés en 2019 à la demande d’Édouard Philippe par le député LREM de la Charente et ancien urgentiste Thomas Mesnier avec le professeur spécialiste des urgences hospitalières Pierre Carli. D’ailleurs, ce dispositif, annoncé en octobre 2020 et voté dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2021, aurait dû entrer en vigueur dès septembre. Il a cependant été retardé à la demande de la Fédération hospitalière de France (FHF) du fait des complexités informatiques qu’il engendre pour les hôpitaux ainsi que d’un contexte budgétaire spécifique lié à la pandémie de coronavirus.

    Sauf que ce nouveau système interroge dans le milieu de la santé : “Très concrètement, le 31 décembre, si tu arrives aux urgences, tu es pris en charge et tu repars sans payer. Dès le 1er janvier, après t’avoir pris en charge, on te demande 19 euros”, résume après du HuffPost un employé d’hôpital.

    Dès lors, une première critique revient, de source hospitalière : celle de la difficulté de la mise en œuvre de ce nouveau fonctionnement pour les structures. “Les services d’urgence ne sont pas adaptés à l’encaissement de paiements : il faut des lecteurs de carte vitale, de la monnaie, des lecteurs de carte bleue...”, explique un connaisseur de ces problématiques.

    Le tiers payant simplifie la donne

    Aurélien Sourdille, de la Fédération hospitalière de France confirme cette difficulté logistique pour certains établissements. “La nuit par exemple, il n’y a pas toujours de secrétaires médicaux. Il y a des infirmiers et des aide-soignants, qui sont avant tout là pour les soins, et dont ce n’est pas la mission première de passer une carte bleue.” De la même manière, explique-t-il, les hôpitaux ne sont pas “des supermarchés où il faut passer à la caisse”, et il n’y a pas forcément de bureau de sortie suffisamment confidentiel dans lequel les patients pourront régler leur facture.

    Néanmoins, ce cadre de FHF nuance en expliquant que ce nouveau fonctionnement va permettre d’éviter une part de la déperdition de trésorerie liée aux factures non réglées par les patients passés aux urgences, à qui il est parfois impossible d’envoyer ce qu’ils doivent régler parce qu’ils sont partis trop vite, qu’ils sont étrangers, trop précaires... “Aujourd’hui, la plupart des impayés à l’hôpital sont liés aux urgences, là c’est terminé”, décrit-il. Le député Thomas Mesnier abonde : ”À l’heure actuelle, seuls 30% du reste à charge des passages aux urgences vont dans les caisses des hôpitaux tant la facturation est difficile à faire.”

    Surtout, 95% environ des Français disposent d’une complémentaire santé ou d’une aide équivalent (la complémentaire santé solidaire pour les petits revenus ou l’aide médicale d’État pour les plus précaires). Ce qui signifie que toute cette partie de la population pourra faire jouer le tiers payant au moment de régler ses 19,61 euros aux urgences et donc ne rien avoir à payer en dépit du nouveau système. Ils leur faudra présenter leur carte vitale et leur carte de mutuelle, ce qu’on n’a pas toujours sur soi lorsqu’on arrive aux urgences après une blessure sur un terrain de sport ou un accident de la circulation.

    Le public risque de découvrir cette nouveauté sur le fait

    Il reste aussi les 5% de la population, qui peuvent être des retraités ou des chômeurs par exemple (la complémentaire santé est obligatoire pour une vaste majorité de salariés), et qui ont fait le calcul suivant : payer une mutuelle leur reviendrait plus cher que ce qu’ils dépensent en frais médicaux. Et pour eux, à partir du 1er janvier 2022, il faudra effectivement passer à la caisse s’ils viennent aux urgences.

    Or dans ce cas, le personnel hospitalier pourrait avoir à avoir à gérer un public pas forcément au courant de cette évolution du fonctionnement des urgences. “Le 1er janvier, ce sont des agents des admissions, en première ligne donc, qui vont devoir expliquer qu’à partir de maintenant, c’est payant. Et gérer la grogne qui va avec”, anticipe une source en milieu hospitalier, évoquant de surcroît le contexte de sur-sollicitation des urgences et leur manque de moyens encore dénoncés jeudi 16 décembre au Sénat par le médecin François Escat.

    Or alors que le nouveau système va entrer en fonction dans quelques jours se pose la question de l’absence de communication de la part des autorités sur le sujet. Sollicités par Le HuffPost, ni le ministère de la Santé ni l’entourage du Premier ministre Jean Castex n’ont apporté de précision à ce propos. Le député Thomas Mesnier, lui, évoque pour expliquer cette non-communication une mesure essentiellement “techno” (comprendre technocratique, qui concernerait surtout le milieu médical et donc pas directement le grand public).

    Vers une communication locale

    Aurélien Sourdille apporte un élément d’analyse : “Je pense qu’il y a effectivement une sous-estimation de la part du gouvernement de ce que le nouveau forfait représente pour les établissements hospitaliers. Et en même temps, pour 95% des patients, cela ne change rien du tout.” Tant et si bien que pour le cadre de la FHF, le plus simple est que les établissements communiquent à leur niveau, avec leurs patients, en leur présentant les atouts du nouveau dispositif et notamment sa lisibilité évidente.

    Une source hospitalière se demande toutefois quelles conséquences pratiques le forfait patient urgences peut avoir sur la santé des Français. “Il y a sûrement des gens qui n’iront plus aux urgences par peur de devoir payer, alors qu’il le faudrait.” Et cette même source de rappeler qu’au cours de l’entretien accordé à LCI mercredi 15 décembre, le président de la République a insisté sur le fait “qu’il était vigilant à l’impact de ses décisions sur la vie des Français”.

    Mais pour Thomas Mesnier, le “forfait patient urgence” reste quand même une avancée majeure. “Honnêtement, je n’en fais même pas un objet politique : c’est une vraie réforme de simplification”, explique l’élu charentais. ”À l’heure actuelle, si l’on passe des examens en plus de la consultation lors d’un passage aux urgences, la facture peut monter. Et beaucoup. Alors que là, la facture va être plus juste, plus équitable, plus simple à comprendre.”

    Ce que confirme Aurélien Sourdille, de la Fédération hospitalière de France : “Avant, les services hospitaliers devaient attendre de connaître tous les actes pour savoir de combien serait la facture. Là, c’est simplifié à l’extrême et l’on sait immédiatement combien le patient doit régler. Et dans la plupart des cas, c’est sa mutuelle qui paiera.” Et pour ceux qui n’en ont pas, ce sera donc au personnel médical de gérer la transition d’un dispositif à l’autre.

    #santé_publique #économie #hôpital #forfait_hospitalier
    #forfait_patient_urgence

    • "pour 95% des patients, cela ne change rien du tout."
      Aurélien Sourdille, Fédération hospitalière de France
      (sauf si ils n’ont pas leur carte vitale et celle de mutuelle avec eux, mais bon)

      “Il y a sûrement des gens qui n’iront plus aux urgences par peur de devoir payer, alors qu’il le faudrait.” Une source hospitalière.

      Belle application du principe de précaution en milieu hospitalier : pour causer sur le fric et le patron (la loi budgétaire), on choisit l’anonymat.

      Il ne reste plus qu’à exiger que pour les diverses bricoles (membre cassé, examen clinique, radio éventuelle, plâtre, par exemple), cela puisse être facturé comme une hospitalisation de jour, pour laquelle le forfait hospitalier n’est pas (encore) exigible. C’est aussi comme ça que l’IHU pouvait (peut ?) (sur)facturer en hospitalisation de jour des tests et autres visites rapides, les patients n’y trouvant rien à y redire.

      Même pour de simples points de suture, je n’ai jamais trouvé un autre circuit que les urgences (qui dispatchent). J’ai déjà emmené des gens aux urgences qui n’avaient aucun justificatif sécu avec eux, et parfois 0 €. Si ça arrive à nouveau, faut désormais que je prévoie de raquer ?

  • https://www.youtube.com/watch?v=Cbl1tEb9ygs


    L’affaire BESSON : des manquements INCROYABLES de la part de la justice. Soutien à Sand Van Roy

    00:00 Introduction
    01:42 Sand Van Roy témoigne à visage découvert
    03:15 La réponse de Besson : l’effacer du film Anna
    04:45 Pédocriminalité et violences déjà dénoncées par Maïwenn
    07:17 De très nombreuses victimes
    10:37 Le silence complice de certains médias
    13:01 L’instruction totalement bâclée
    15:07 Conclusion sur le Twitter de Sand Van Roy

    Bonjour à toutes et à tous.

    L’actrice Sand Van Roy porte plainte pour faux contre la juge d’instruction chargée du dossier Besson. Qu’a-t-il pu se passer pour en arriver là ?

    Dans cet épisode je reviens sur le personnage de Luc Besson. Violences conjugales, perversion au point de renverser la culpabilité des victimes, nombreuses plaignantes, puissance médiatique suffisante pour écraser l’affaire, instruction du dossier à peine croyable, les éléments à charge ne cessent de pleuvoir.

    Mon soutien va tout entier à l’actrice Sand Van Roy, effacée du film Anna pour avoir dénoncé son agresseur sexuel, qui doit absolument obtenir justice.

    Comment agir quand on est un homme ?

    – En dénonçant systématiquement les agresseurs sexuels qui nous entourent
    – En témoignant systématiquement notre soutien aux victimes présumées d’agressions sexuelles
    – En débunkant sur les réseaux sociaux les propos mensongers des internautes (mythe des fausses accusations, concept mal compris de la présomption d’innocence, mythe de la plaignante qui porterait plainte pour conflit d’intérêts, etc.)
    – En refusant de faire la promotion des œuvres des agresseurs présumés
    – En s’abonnant aux pages radfems, sans y intervenir, pour poursuivre notre éducation et notre déconstruction

    Je compte sur vous.

    === SOURCES UTILISEES POUR CET EPISODE ===

    Sand Van Roy témoigne à visage découvert : https://www.huffingtonpost.fr/2019/01...

    Sand Van Roy est effacée du film Anna : https://www.francetvinfo.fr/culture/c...

    Maïwenn victime de violences conjugales : http://www.non-stop-people.com/actu/c...

    Tous les articles de l’affaire Besson par Mediapart : https://www.mediapart.fr/journal/fran...

    Telerama, Le Monde et Brut font l’impasse sur l’affaire : https://www.arretsurimages.net/articl...

    Luc Besson, actionnaire majoritaire de Brut : https://fr.wikipedia.org/wiki/Brut_(m...)

    Les manquements de l’instruction : https://www.mediapart.fr/journal/fran...

    Le Twitter de Sand Van Roy, pour lui témoigner tout notre soutien : https://twitter.com/sandvanroy

  • Le pass sanitaire maintenu et étendu aux marchés de Noël de Drôme et Ardèche - Gestion logistique des flux humains
    https://ricochets.cc/Pass-sanitaire-maintenu-et-etendu-aux-marches-de-Noel-de-Drome-et-Ardeche-

    Alors que des voix s’élèvent de plus en plus, même la CNIL est critique, contre le passe sanitaire et s’interrogent sur sa réelle « efficacité » ou utilisé, le gouvernement et les préfets étendent encore son utilisation. Plus bas, une analyse plus large de la situation : Les humains sont traités exactement comme les flux logistiques des marchandises + La sécurité et la santé des populations n’est pas du tout la véritable priorité des dirigeants économiques et politiques « Pass sanitaire » - Toujours plus de (...) #Les_Articles

    / #Drôme, Autoritarisme, régime policier, démocrature..., #Fichage_et_surveillance

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/pass-sanitaire-la-cnil-reclame-des-preuves-sur-son-efficacite-contre-
    http://www.drome.gouv.fr/IMG/pdf/raa_special_no_26-2021-214.pdf
    https://www.cheriefmvalleedurhone.fr/ardeche-le-passe-sanitaire-obligatoire-sur-les-marches-de-noel
    https://grundrissedotblog.wordpress.com/2021/11/30/les-raisons-de-la-vaccination-peut-on-encore-etre-perpl

  • Les rues sont propres et les déchets bien rangés, ...mais le carnage planétaire continue de plus belle, ici et partout ailleurs
    https://ricochets.cc/Les-rues-sont-propres-et-les-dechets-bien-ranges-mais-le-carnage-planetair

    Dans beaucoup de communes, élus et habitants sont très attachés à la propreté des rues. Sus aux mégots, aux crottes, canettes & papiers gras ! Des habitants se proposent même de ramasser bénévolement des déchets au bord des rivières ou dans certains quartiers. A Crest, des boitiers « ludiques » de collecte de mégots sont proposés actuellement dans le budget dit « participatif » chapeauté par la clique maritonienne. Certes, personne n’a franchement envie de déambuler dans les tas d’ordures, et c’est bien que (...) #Les_Articles

    / #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle, #Le_monde_de_L'Economie

    https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-jeudi-11-novembre-2021_4817185.html
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/ce-zone-interdite-sur-les-dechets-et-le-recyclage-a-indigne-les-teles

  • Guadeloupe : tout ce qui se cache derrière la grève générale | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/guadeloupe-greve-generale_fr_6194c506e4b0ae9a42991b5a

    GUADELOUPE - La situation est “tendue” en Guadeloupe. Depuis trois jours ce mercredi 17 novembre, l’île est à demi paralysée par une grève générale à l’appel d’associations syndicales et citoyennes. Lancée à l’origine contre l’obligation vaccinale des soignants, la mobilisation témoigne aussi de crispations anciennes et d’une colère latente, qui couve depuis bien plus longtemps.

    La grève générale a débuté lundi 15 novembre, avec le blocage d’axes routiers et des échauffourées entre des pompiers manifestants et les forces de l’ordre, avec des blessés légers des deux côtés, et autant d’interpellations. Le lendemain, une manifestation a rassemblé entre 300 et 400 personnes devant le CHU, dont les accès ont été bloqués, a rapporté une journaliste de l’AFP. Le CHU a d’ailleurs condamné des actes qui “perturbent le fonctionnement du principal établissement de soins” de l’île.

    Selon la direction du centre hospitalier, 566 suspensions ont été prononcées, alors que le taux de conformité avec l’obligation vaccinale est de 87%. Un seuil élevé, qui n’empêche pas la mobilisation de croître, portée par des associations syndicales et citoyennes, les pompiers et d’autres corps de métiers soumis ou non à l’obligation vaccinale.

    Mardi, des enseignants ont occupé le rectorat “en soutien aux collègues soignants de l’éducation nationale”, qui devront également recevoir leur vaccin pour continuer à exercer. La mobilisation a aussi reçu le soutien du syndicat de la branche des produits pétroliers de l’UGTG, qui a du poids dans un territoire où la voiture reste le moyen de transport principal.

    Ce mercredi, le président de la Région Guadeloupe Ary Chalus - vacciné, mais opposé à la vaccination obligatoire - a déclaré au micro de franceinfo être inquiet et avoir alerté de la situation “le président de la République”, et “les membres du gouvernement en charge de la Guadeloupe”. “Ce blocage n’est pas seulement dû à cette obligation vaccinale, mais aussi à tous les problèmes (économiques, NDLR) que nous rencontrons”, a-t-il souligné.

    36,01% de vaccinés

    “Quand on impose une telle violence (la suspension pour refus du vaccin, NDLR) à des gens qu’hier on applaudissait, il est facile de comprendre que nous ne puissions pas rester sans rien dire et que nous soyons en colère”, a expliqué à la radio locale RCI Gaby Clavier, délégué syndical de l’UTS-UGTG au CHU. “Nous subissons à mon sens beaucoup de mépris de l’hôpital, c’est pourquoi notre colère est en train de prendre de l’ampleur. Nous sommes encore plus déterminés”.

    Le pass sanitaire et surtout l’obligation vaccinale sont au cœur des revendications. Mais ces mots d’ordre ne sont que la manifestation d’un problème plus vaste : la perte de confiance dans la parole officielle publique.

    On se dit que dans le temps, faire confiance à la parole officielle, ça ne nous a pas rapporté grand chose

    À la date du 10 novembre, seulement 36,01% de la population guadeloupéenne de plus de 18 ans avait un schéma vaccinal complet. Le taux, particulièrement faible, vaut régulièrement à la Guadeloupe - et aux collectivités et territoires ultra-marins dans leur ensemble - les remontrances du gouvernement. En Martinique, une enquête a été lancée par l’ARS pour comprendre les réticences des Ultra-marins à la vaccination.
    Chlordécone et passé colonial français

    “Les causes sont diverses” pour le député LREM Olivier Serva, invité de BFMTV ce mercredi. “Globalement, l’affaiblissement de la parole de l’autorité publique. (...) En Guadeloupe, on a vécu la chlordécone, molécule terrible qui a empoisonné nos corps, nos chairs, nos mers, nos terres pour 700 ans. Et sur cela, l’État a dit qu’il n’y avait pas de problème que tout allait bien”,

    Depuis, Emmanuel Macron a reconnu que “l’État doit prendre sa part de responsabilité”, tout s’attirant les foudres des Ultra-marins et des scientifiques pour ses propos sur les conséquences terribles de ce pesticide sur la santé. Mais les longues années de silence, ainsi que les questions toujours pas réglées de la réparation, ont laissé des traces : “On a eu une dérogation pour la chlordécone (alors que le pesticide était interdit partout en France, les Antilles ont pu continuer à utiliser le produit quelques années supplémentaires, ndlr), c’est donc possible pour l’obligation vaccinale”, a fait valoir un syndicaliste guadeloupéen.

    Au-delà de ce scandale sanitaire longtemps passé sous silence, le passé esclavagiste français rôde encore : “Dès qu’on a l’impression qu’on veut nous contraindre, plus que nous convaincre, il y a une tension”, explique Olivier Serva. Jocelyn Sapotille, maire de la commune du Lamentin, parle lui sur France Inter de “plaies historiques toujours pas cicatrisées” : un véritable terreau pour les manifestants alors que la population est “sensible à ce genre d’arguments” du fait du passé. “On se dit que dans le temps, faire confiance à la parole officielle, ça ne nous a pas rapporté grand-chose”, analyse-t-il.

    Sur la même ligne, Ary Chalus évoque le dossier des sargasses -des algues toxiques envahissantes- sur lequel “on ne voit pas vraiment l’État bouger”.
    “Adapter pour renouer le dialogue”

    Cette même parole officielle se veut en tout cas “très ferme.” Mardi, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a mis en garde la “petite minorité qui essaye d’instrumentaliser” la situation. Dans la soirée sur la chaîne guadeloupéenne Canal10, le préfet de l’île Alexandre Rochatte a dénoncé une “récupération qui est plus politique que sociale” de la part de manifestants dans certains secteurs.

    Contrairement à la Martinique où les indicateurs épidémiologiques sont encore élevés, le report de l’obligation vaccinale est à ce stade exclu, a martelé le représentant de l’État en Guadeloupe.

    Cette fin de non-recevoir ulcère certains élus locaux, y compris au sein de la majorité LREM. Le député Olivier Serva a ainsi refusé de voter la loi du 5 août 2021 sur l’extension du pass sanitaire et l’obligation des soignants, faute d’une législation adaptée pour les Outremers où le taux de vaccination des soignants ne dépassait pas 20%, en pleine 5e vague et avec une saturation hospitalière. “La France est diverse. On doit adapter pour pouvoir permettre de renouer le dialogue”, insiste le député de la majorité.

    Cette position est partagée par Fabien Roussel, candidat PCF à la présidentielle. Dans un courrier adressé au Premier ministre le 15 novembre, il plaide pour un “plan d’urgence pour les territoires d’outre-mer” où le risque est immense d’un soulèvement populaire en outre-mer, synonyme de blocage économique et institutionnel”.

    Il ne croit pas si bien dire. En Polynésie française, un préavis de grève générale a été lancé pour le 24 novembre. Parmi les revendications : l’obligation vaccinale, mais aussi le pouvoir d’achat, entre autres. En Martinique, le report de l’obligation vaccinale n’a pas empêché l’organisation d’une opération escargot sur les routes dès le lendemain. Les participants réclament son abrogation pure et simple, mais la question du pouvoir d’achat a aussi (re)fait son apparition, rapporte Martinique La1ère. Comme un air de déjà-vu, douze ans après la mobilisation massive des Antilles en 2009.

  • Comment réagir en cas d’inceste dans sa famille ou chez des proches ?
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/comment-reagir-en-cas-dinceste-dans-sa-famille-ou-chez-des-proches_fr

    Dans les affaires d’inceste, il y a toujours une inconnue qui fait grincer des dents : pourquoi l’entourage n’a-t-il rien dit ? L’affaire impliquant le constitutionnaliste Olivier Duhamel, révélée par Le Monde et L’Obs, n’échappe pas à la règle.

    Le journal fait témoigner la sœur jumelle de la victime présumée d’Olivier Duhamel, qui s’appelle Camille Kouchner : “Je ne révèle rien dans ce livre, dit-elle. Tout le monde sait”. La journaliste corrige : ”‘Tout le monde’, non. Mais un bon nombre d’amis du couple, figures de la bourgeoisie intellectuelle parisienne.”
    “Leurs copains se sont terrés”

    Les faits se seraient déroulés en 1988. La mère a été mise au courant en 2008. Le père des jumeaux, Bernard Kouchner, l’a su en 2011. Il aura fallu attendre 2021 et la publication du livre de Camille Kouchner pour que les mots viennent rompre le silence.

    “Une fois informés, continue l’article, seuls quelques habitués de la maison de Sanary (Var) rompent avec le couple Duhamel ; rares sont ceux qui viennent réconforter les enfants d’Évelyne. Le cordon sanitaire est solide.”

    Camille Kouchner dénonce encore. Elle parle des amis de sa mère et son beau-père, qui n’ont rien fait : “Leurs copains se sont terrés. Ils nous avaient quasiment élevés, et ils ne sont pas venus (…) nous réconforter (...) C’est comme si on était radioactifs. On n’existait plus. Surtout, ils auraient pu aller trouver notre mère pour lui dire : ‘Non mais, ça va pas la tête, Évelyne ?’ Ils avaient peur de quoi ? De perdre Duhamel ?’”

    Déni, honte, culpabilité... Combien de temps encore cette trilogie régira-t-elle les rapports entre personnes victimes d’inceste, de violences sexuelles et leur entourage ? Et surtout, quelle est la bonne attitude à adopter devant la révélation d’abus sexuels sur mineurs ?
    Quelle est la meilleure attitude à adopter ?

    “Il faut d’abord croire l’enfant”, martèle Cathy Milard, présidente de SOS inceste et violences sexuelles, interviewée par Le HuffPost. L’association recueille 1.200 appels chaque année. “Il faut écouter sa parole. Souvent, l’enfant parle vers 8 ans ou 10 ans. Si on ne l’écoute pas, ou qu’on minimise ses propos, il se taira pendant des années, et ne parlera à nouveau que vers ses 30 ans.”

    La psychiatre Muriel Salmona affirme au HuffPost que les enfants mettent une dizaine d’années avant de réussir à parler des abus dont ils ont été victimes. “70% d’entre eux parlent, mais ils ne vont pas être entendus et il ne va rien se passer. Seuls 12% des enfants vont être réellement protégés.”
    La position de la mère est primordiale

    Ensuite ce qui importe, c’est la position de la mère. “Dans la majeure partie des cas, l’agresseur est un homme, un père, un beau-père, un frère..., assure Cathy Milard de SOS inceste, c’est alors à la mère de prendre des décisions. Elle sait leur impact. Beaucoup d’entre elles accueillent la parole de l’enfant, sans la remettre en cause, mais ne vont pas plus loin. C’est un tel tsunami émotionnel d’apprendre que l’homme qu’on aime puisse agresser son propre enfant. Le déni est souvent la protection la moins éprouvante, du moins au départ.”

    Certaines mères ne traversent pas cette période de dénégation. “Celles qui nous appellent ont des enfants âgés de 4 à 10 ans environ, continue la présidente de l’association d’aide aux victimes. Elles sont prêtes à porter plainte. Mais cela comporte des risques. Parce qu’une plainte auprès du procureur entraîne la séparation du couple devant le juge aux affaires familiales et souvent une guerre pour la garde des enfants. Un père abuseur peut se voir confier ses enfants une semaine sur deux, puisque les informations entre le procureur et le juge aux affaires familiales ne sont pas partagées. Et la mère peut être mise en examen pour non présentation d’enfant.”
    “L’enquête a des effets positifs”

    Mais tout cela ne doit jamais empêcher de déposer plainte, même en cas de prescription, insistent nos deux expertes interviewées, parce qu’une enquête peut être diligentée pour savoir si l’agresseur présumé a fait d’autres victimes, comme c’est le cas pour Olivier Duhamel.

    “Et l’enquête a des effets positifs comme la reconnaissance du traumatisme, précise la Dre Muriel Salmona. Elle permet aussi de porter plainte au civil pour obtenir des réparations. Les personnes violées pendant l’enfance sont souvent dans des situations précaires dues à leur traumatisme.”

    Et si l’on ne fait pas partie de la famille ? Qu’on gravite juste dans la galaxie des amis, qu’on fait partie de la “familia grande” et qu’on n’ose pas s’immiscer dans ces affaires, reste-t-il un levier d’action ?
    Le signalement est obligatoire

    Si l’enfant révèle des violences, souligne Muriel Salmona, le signalement auprès du procureur de la République est obligatoire. Si on a des doutes, si l’enfant nous semble bizarre, même s’il n’a rien dit, si on perçoit des signes comme des mises en danger de lui-même, des scarifications, des fugues, des troubles du comportement alimentaire, des tentatives de suicide, des conduites addictives, alors il faut leur poser la question : ‘Qu’est-ce qu’on t’a fait pour que tu sois aussi mal ?’ Il faut aller vers eux, ne pas attendre qu’ils parlent. Si l’on prend l’exemple du chirurgien Le Scouarnec, il a commencé avec sa famille, ses nièces. Alors, il faut écouter les enfants.”

    Ils sont 6,7 millions en France à avoir déclaré entre 2015 et 2020 avoir été victimes de violences sexuelles, soit une femme sur cinq et un homme sur huit. Si malgré les questions, l’enfant ne répond pas et que vos doutes persistent, vous pouvez appeler la plateforme 119 qui vous renseignera sur la meilleure attitude à adopter.

    “Quoi qu’il arrive, insiste Muriel Salmona, il faut réconforter l’enfant ou l’adulte, le rassurer, lui assurer qu’il n’est pas seul et surtout qu’il n’est pas fautif. Il faut savoir que l’univers familial incestueux est hyper hiérarchisé et ceux qui agressent sont les tyrans, les dictateurs. Ils imposent leur loi et ils impliquent le fait que la victime n’a aucune valeur. Le propre des violences sexuelles, c’est de dégrader l’autre, de n’en faire qu’un objet à disposition, à consommer et à détruire. Cette délégitimation va s’imposer à la victime qui va croire que sa vie et la justice envers elle ont bien moins de valeur que celles de son agresseur.”

  • Fermeture des services d’urgences : « la situation est catastrophique » | Le Huffington Post LIFE
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/fermeture-des-services-durgences-la-situation-est-catastrophique_fr_6

    Car cette épidémie de fermetures est un symptôme carabiné de la crise que subit l’hôpital public “depuis bien avant le Covid”, souligne Fabien Paris. Il dénonce une “situation extrêmement dégradée”, conséquence directe de “trente ans de politique et réformes destructrices de l’hôpital public”. “Il y a 15 ans, la France était le pays avec le meilleur système de santé. Aujourd’hui nous ne sommes même pas dans les dix premières places de ce classement”, annonce-t-il.

  • Présidentielle – Un premier sondage place Cthulhu au second tour
    https://www.legorafi.fr/2021/10/06/presidentielle-un-premier-sondage-place-cthulhu-au-second-tour

    C’est un coup de tonnerre pour tous les candidats avec la confirmation de la montée en puissance du Grand Ancien, même s’il ne s’est pas encore officiellement déclaré candidat.

    La première victime de la percée surprise du Grand Ancien est le Rassemblement national qui, bien que ayant fait campagne sur la diabolisation de l’immigration et des étrangers, doit désormais se renouveler. « Cthulhu est très malin car au lieu de parler simplement de diabolisation, il n’hésite pas à parler ouvertement de damnation éternelle, voire de possession démoniaque d’autrui, ce qui est complètement nouveau » souligne un expert qui affirme qu’on est loin d’avoir tout vu. « Peu à peu le Grand Ancien prend mentalement et psychiquement le contrôle des masses depuis R’lyeh, personne ne pourra résister à son Avènement et sa Toute-Puissance Cosmique ».

    Pour d’autres, c’est aussi le choix des Français qui lassés des promesses non-tenues sont désormais prêts à accepter d’être dirigés par une entité ouvertement démoniaque qui avalera leur âme et détruira leur santé mentale en les tourmentant de mille terreurs. « Bah franchement, par rapport à maintenant, je me dis, pourquoi pas, il n’y a que ça qu’on a pas encore essayé » constate laconiquement ainsi un jeune homme qui dit qu’il votera pour Cthulhu au premier tour.

    Face à lui, les autres candidats sont dépourvus. Ainsi, Xavier Bertrand en difficulté dans les sondages, pourrait annoncer le ralliement surprise du démon mésopotamien, Pazuzu. « Les discussions sont très avancées, un ticket Bertrand – Pazuzu peut changer la donne dans l’esprit des Français » estime les analyste. Quant au candidat écologiste, des pourparlers seraient engagés avec Gozer le Destructeur.

    J’ai rigolé. C’est tellement ça.

  • Les variants du Covid pourraient prendre le noms des constellations étoiles selon l’OMS | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/les-variants-du-covid-pourraient-prendre-le-noms-des-constellations-e

    Dans une entrevue publiée le mois dernier par The Telegraph, Maria Van Kerkhove, responsable technique à l’OMS de la lutte contre le Covid-19, annonçait être déjà à la recherche de nouvelles appellations du virus. En effet, face à la dynamique mutagène Sars-Cov2, les 24 lettres de l’alphabet grec semblent être bien limitées.

    “Nous allons peut-être manquer de lettres grecques, mais nous examinons déjà la prochaine série de noms, a déclaré Maria Van Kerkhove, nous envisageons en fait des constellations d’étoiles.” Les variants prochains pourraient ainsi prendre le nom de “Bélier”, “Gémeaux” ou “Orion”.

    D’autres alternatives étaient aussi sur la table, comme l’emploi du nom des dieux et déesses grecs, finalement évincé en partie en raison de problèmes de prononciation.

    Les mutations virales sont chose courante, et le Sars-Cov2 n’a pas fini d’évoluer. S’il est possible qu’il y ait plus de souches clés que de lettres disponibles, la combinaison de mutations qui va permettre à un variant de s’imposer est quant à elle très difficile à prévoir.

  • ♪ Buvons, buvons, buvons le sirop Typhon, Typhon, Typhon
    L’universelle panacée, eh ! Eh !
    A la cuillère ou bien dans un verre, rien ne pourra nous résister. ♫

    Israël proche d’un reconfinement ? Ce qu’il faut en comprendre | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/israel-proche-dun-reconfinement-ce-quil-faut-en-comprendre_fr_611a69e

    Le pays jadis envié pour sa campagne vaccinale, une des plus rapides au monde, n’exclut plus de reconfiner, “une mesure de dernier recours”, selon Bennett. Loin de remettre en cause les vaccins, la conjoncture en Israël illustre l’importance de vacciner le plus possible, à l’heure où la campagne vaccinale française ralentit.

  • Anti-pass sanitaire : a-t-on déjà vu un mouvement social perdurer l’été ? | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/anti-pass-sanitaire-a-t-on-deja-vu-un-mouvement-social-perdurer-lete_

    Sans doute par le caractère pressant d’un combat qui ne se joue pas uniquement sur le lieu de travail. Les opposants à la politique d’Emmanuel Macron face au Covid-19, comme les grévistes de l’été 1953, quand le gouvernement de centre-droit voulait réformer par décret-loi, luttent contre une disposition immédiate. Ajouté à cela que la question du pass sanitaire “crée une radicalisation que la France n’avait pas connue avec les autres épisodes de la crise sanitaire, comme le confinement”, constate Danielle Tartakowsky.

    Pour elle, la fronde actuelle -qui s’observe également à l’étranger- répond à une “conjonction” de plusieurs facteurs et colères. “En France, on voit à la fois un phénomène de rejet du vaccin ou du pass en lui-même qui se conjugue avec le rejet très fort des méthodes politiques d’Emmanuel Macron”, note l’historienne.

    Un mouvement qui s’inscrit dans une “grande instabilité politique et sociale au sens large”, selon ses mots. “Cela fait plus de deux ans qu’un mouvement en remplace un autre. On est sur des sables mouvants, avec des mobilisations qui se succèdent sans discontinuer sur plus de la moitié du quinquennat”, rappelle la spécialiste. Une situation, là encore, “jamais vue.”

  • Pass sanitaire : le médecin Jean-Paul Hamon explique pourquoi il a délivré des faux | Le HuffPost
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/pass-sanitaire-le-medecin-jean-paul-hamon-explique-pourquoi-il-a-deli

    Pour trois personnes qui n’arrivaient pas à générer un pass alors qu’elles y étaient éligibles, le généraliste assume clairement avoir produit des faux pour pallier les lacunes de l’administration.

    Par Paul Guyonnet

    Le président d’honneur de la Fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon s’est justifié d’avoir produit de faux pass sanitaires au motif qu’il l’a fait pour des individus qui auraient normalement dû pouvoir en bénéficier. Une manière aussi de dénoncer les lacunes de l’administration.

    CORONAVIRUS - La séquence a fait grand bruit mercredi 11 août. Interrogé dans l’après-midi sur BFMTV, le médecin généraliste et président d’honneur de la Fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon racontait avoir récemment produit de faux pass sanitaires, une manière de pallier les lenteurs et les lourdeurs administratives liées à l’obtention du document.

    Sur BFMTV, le médecin avait ainsi détaillé le profil des personnes pour lesquelles il avait produit ces pass sanitaires valides. Les deux premières arrivaient de Singapour, et Jean-Paul Hamon assure qu’il les savait vaccinées et qu’il avait même eu accès aux références des lots de vaccins qu’elles avaient reçues.
    “J’ai simplement repris la vaccination à mon compte”

    La troisième personne, elle, “sortait de réanimation” et ne parvenait pas à obtenir le précieux sésame, entre la difficulté d’obtenir un certificat de rétablissement et l’impossibilité de se faire vacciner suffisamment rapidement, comme le racontait encore le médecin. “Comme c’est quelqu’un en qui j’ai confiance et qui est tout à fait raisonnable, j’ai été obligé de lui faire un faux pass de vaccination terminée en lui prenant par ailleurs un rendez-vous pour le mois de septembre”, décrivait-il sur BFMTV.

    “Mais franchement, ce serait bien que la Sécu et le gouvernement simplifient l’obtention de ces pass”, terminait le généraliste . Des propos qu’il a explicités pour franceinfo ce jeudi 12 août.

    “Il s’agissait de trois personnes éligibles au pass sanitaire, qui ne parvenaient pas à le télécharger”, précise d’emblée le médecin. Concernant les deux arrivants de Singapour, il détaille leur situation : “Elles ont été vaccinées au Pfizer-BioNTech (à Singapour, ndlr). Après une demi-heure à m’écharper en essayant de débloquer leur pass sanitaire, j’ai abandonné et fait comme si je les avais vaccinées moi-même.” C’est ainsi que Jean-Paul Hamon a repris “les numéros de lot du vaccin, les dates exactes de vaccination... Toutes les informations étaient correctes, j’ai simplement repris la vaccination à mon compte.”
    “Qu’est-ce que j’aurais dû faire ?”

    Pour l’autre personne, c’est tout simplement la durée de conservation des données (qui était alors limitée à trois mois seulement alors que l’on est éligible au certificat de rétablissement et donc au pass sanitaire pendant six mois, comme nous l’expliquions ici) qui l’empêchait d’obtenir le document, la base de données n’étant pas à même de garder en mémoire sa contamination.

    Deux situations de blocage pouvant être rencontrées par une partie non négligeable de la population françaises et qui font dresser un amer constat à Jean-Paul Hamon. “Il faut expliquer que le gouvernement est dans l’incapacité de fournir des solutions claires, tant aux patients qu’aux médecins”, s’insurge-t-il ce jeudi, toujours pour franceinfo. “Ces systèmes défaillants, que ce soit SI-DEP ou le portail de l’Assurance-maladie, obligent les médecins traitants à prendre leurs responsabilités, uniquement parce que les sites ne sont pas fluides.” Et de lister les problèmes logistiques, les pharmacies et centres de vaccination fermés durant l’été etc.

    Autant de problèmes qui privent de nombreux Français de libertés dont ils devraient pourtant pouvoir jouir librement, avec un pass sanitaire qui fonctionne, poursuit le médecin. “Qu’est-ce que j’aurais dû faire ? Laisser les gens bloqués chez eux, sans pass sanitaire alors qu’ils y ont droit ?” Et de conclure avec un cri de colère poussé contre la situation actuelle, en particulier pour les médecins généralistes : ”Ça serait bien que l’Ordre des médecins protège ses docteurs. En ce moment, on a l’impression de n’être bons qu’à fournir des QR codes, alors qu’on a autre chose à faire.” Il termine en expliquant que “les généralistes en ont marre de faire de la paperasse, au détriment de leur travail de médecin.”

  • Dans la catégorie on vous avait prevenus

    Plébiscités pendant les confinements, les animaux de compagnie envahissent les refuges

    Depuis le début de la crise sanitaire, de nombreux Français ont fait le choix d’accueillir un animal de compagnie. Mais bon nombre de ces bêtes peuplent aujourd’hui les refuges des associations, qui sont à saturation depuis début juin.

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/28/plebiscites-pendant-les-confinements-les-animaux-de-compagnie-envahissent-le

  • Ces petits faits anecdotiques qui écrivent l’histoire d’un effondrement des institutions soit disant démocratiques :

    Les cinémas ne savent plus à quel passe se vouer
    https://www.telerama.fr/cinema/les-cinemas-ne-savent-plus-a-quelle-passe-se-vouer-6931905.php

    Depuis ce mercredi matin, il faut présenter un passe sanitaire si on veut aller au cinéma, au théâtre ou dans un musée, mais on peut tomber le masque… du moins si la capacité d’accueil de la salle ou du lieu d’exposition concerné dépasse les 50 personnes. Dans le cas contraire, le passe sanitaire n’est pas demandé, mais le masque, lui, est obligatoire. Tout le monde suit ?

    #pandémie #covid_19 #cinéma #culture #pass_sanitaire

    • Pass sanitaire : les cinémas et théâtres ne pourront pas abaisser leur jauge à 50 | Le HuffPost
      https://www.huffingtonpost.fr/entry/les-cinemas-et-theatres-ne-pourront-pas-abaisser-leur-jauge-pour-evit

      Face aux contournements annoncés par certains lieux de culture, la Direction générale de la santé (DGS) a précisé le seuil d’application du pass sanitaire.

      Pas un mot sur l’obligation ou non du port du masque. Juste la concentration sur le pass.
      Et donc, au-delà de forcer le pass, la DGS impose l’absence de port du masque.

    • J’avais encore pas compris les consignes et je suis encore plus perdue. Est-ce que le pass sanitaire c’est uniquement appliqué pour le lieux de moins de 50 personnes sauf les resto et bars ? Ou c’est l’inverse, il faut un passe pour le lieux de plus de 50 personnes sauf les resto et les bars et l’assemblée nationale et les commissariat et les centres commerciaux de plus de 50.000 personnes ?

    • le passe sanitaire est radicalement liberticide et inapplicable mais il propose une incitation à la vaccination comme on les aime : pouvoir se démasquer en lieux clos
      @gforestier
      https://twitter.com/gforestier/status/1417593740806561792

      Premier ciné depuis 18 mois, merci @AAstierOff pour #KaamelottPremierVolet qui a ravi le fan de votre oeuvre que je suis. Par contre gardez bien vos #masques au ciné, CO2 à 2227 en fin de séance Pour rappel il faut viser ~700/800 max #COVIDisAirborne

      à 10 des vaccinés covidés ; avec des PCR- qui sont des faux négatifs en période d’incubation et donc de très haute contagiosité, ça prolifère et ça tue. mais en presse, à l’AN, rien de précis sur l’incohérence radicale de cette disposition.

      pas plus que n’est signalé le fait que la courbe des hospits suit bien dès maintenant celle de la prévalence

      dans notre nuit, en attendant une éclaircie, on partage le rêve de voir le sars-cov2 devenir bénin au fil des mutations. le présent a disparu dans le présentisme de l’économie et des loisirs. chaque jour apporte sont lot d’infos sidérantes. sacré malaise.

    • Moi non plus, j’y comprends plus rien. Face aux #bullshit gouvernemental, j’ai décidé de faire la grève des « loisirs » et de boycotter tous les lieux où sera exigé le pass sanitaire. Pas de temps à perdre avec leurs salades.

      NB : je suis vacciné (deux doses Pfizer depuis le 11/06) mais je ne serai en aucun cas complice de toute cette merde. En outre, je n’avais pas abandonné le masque sauf à l’extérieur quand la distanciation est possible et aussi avec des proches mais là,au vu de la cadence de contamination qui s’accélère, je me rends compte que je prends des risques.

      Leurs usines à gaz qu’ils veulent faire passer pour « la loi » sont tellement #ingérables qu’ils sont en train de s’auto-hacker et leurs doctrines capital-friendly avec eux.
      En fait, ils sont tellement mauvais, nos « premiers de cordée », qu’ils sont en train de tresser la corde qui risque de les pendre... politiquement, cela s’entend :-)) Enfin, je rigole, mais y a pas vraiment de quoi.

    • À nouveau, la seule logique explicative est celle de la lubie macroniste pour le nudge :
      https://seenthis.net/messages/923043#message923200

      Pas d’obligation formelle, parce que c’est has been (et ça ferait du régalien en plus pour un État qui a décidé que l’État ne devait plus avoir, dans le genre régalien, que le rôle de décider comment les femmes musulmanes s’habillent). À la place, des méthodes de comm’ foireuses pour juste « inciter » les gens à se vacciner.

      Donc comme incitation, après une heure de brainstorming de markéteux facturée 50 000 euros, c’était soit offrir des sucettes à l’entrée des centres commerciaux aux gens vaccinés, soit les autoriser à enlever le masque au cinéma. Mais les sucettes dans les centres commerciaux, les petits commerces allaient encore gueuler à la concurrence déloyale, alors…

    • Merci pour ces précisions.
      Les hôpitaux vont devoir aussi payé du personnel pour vérifié ce pass, et là je me demande où vont pouvoir se faire soigner les malades qui n’ont pas de pass si il faut un pass pour entrer à l’hôpital publique ?

    • il me semble que ça va au-delà, et autrement. le nudge il semble que ce soit de la manip du désir, le comportementalisme y est plus subtil, un conditionnement sans décharges d’électricité ou susucre https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_du_nudge, bien que par construction les disciples trahissent le plus souvent leurs maîtres en appauvrissant et rigidifiant la doctrine.
      ces militants de l’économie n’ont trouvé aucune autre matière de mettre en place un apprentissage expérimenté que de nous traiter comme des bipèdes parlants de laboratoire à l’échelle de la population entière.
      dans peu de temps, l’efficacité du vaccin va enfin être démontrée en grand avec les hospitalisations, réas, décès en hausse et on exhibera de lourdes données françaises à l’appui (la part infime des vaccinés dans le circuit hospitalier et même leur nombre). à ce moment, cobayes pensant que nous sommes, il sera clair qu’il fallait être macronistes, suivre les premiers de cordée, imiter bourgeois du XVIe et bien diplômés (cf carte des taux de vaccination IDF), et pas des paumés de la loose. ça se fait alors que le droit de se faire vacciner a été contingenté, que la possibilité de l’être n’est toujours pas assurée, qu’il n’y a pas de politique d’"aller vers" à destination des plus distants que locales, minoritaires, pas encouragées.
      comme avec les masques, les tests, la politique vaccinale habille une pénurie qui n’est pas importante. Tant que les premiers restent les premiers, on peut bien aller à Lourdes et faire mine de prier. Les autres auront mérité leur sort car c’est pécher que de ne pas obéir, pécher que de ne pas savoir « réussir ».

      Vivre, vivre bien. Non. Mieux vaut fabriquer ce qu’il faut d’enfer sur terre. C’est la guerre avait-il dit.

    • La DGS confirme que les salles de cinéma peuvent adopter une jauge de 49 personnes
      https://www.bfmtv.com/people/cinema/la-dgs-confirme-que-les-salles-de-cinema-peuvent-adopter-une-jauge-de-49-pers

      Le ministère de la Santé rappelle jeudi que le pass sanitaire s’applique dans une salle de cinéma « à partir du moment où cette salle contient 50 places et plus, même si seulement dix sièges sont occupés lors d’une séance ». Les dix spectateurs doivent avoir présenté un pass sanitaire valide, souligne-t-il.
      Sur le même sujet

      Mais si le cinéma met en vente moins de 50 billets pour une séance - et prévoit donc d’accueillir moins de 50 spectateurs -, le pass sanitaire n’est plus nécessaire, précise le ministère.

      Tralalalalalala... le délire continue.

      Je rigole. Sur Twitter, ça tire dans tous les sens. Et dans mon fil, ça tire à boulet rouge sur LFI dès que possible. Hier, c’était parce qu’à cause de LFI qui a fait le nécessaire pour limiter la durée de rétention de certaines données de santé, parait-il (SIDEP), les covidés ne pourront pas faire valoir qu’ils l’ont été pour ne se faire vacciner qu’une seule fois au delà de 3 mois de délai depuis leur détection. Et donc, les LFI, ils sont contre tout, qu’il se dit, et que vraiment, ils sont trop nuls.
      Le chaos. Plus de principe directeur. Tout le monde est contre tout le monde. Tout peut être contredit dans l’instant suivant, plus aucun principe n’a d’importance.
      Et le pass sanitaire est donc incompréhensible pour la plupart.
      Autour de nous, ça durcit les positions. Les « qui hésitaient » n’hésitent plus à passer du côté des « qui ne veulent pas ». La piscine du coin est parfaitement vide désormais. Et les inscriptions aux activités de la rentrée sont au point mort.
      Le chaos, donc. Au lieu de « la liberté retrouvée » en terrasse d’un café...
      Assurément, ça va se tasser. Mais bon. Quelle galère dans l’immédiat.

    • Je ne sais pas trop ce qui se dit sur Twitter à propos de LFI, vu que, malgré le fait que j’ai de nombreux comptes LFI dans mes abonnés (suiveurs et suivis), je ne lis pas trop les propos polémiques. Juste vu les interventions de JLM et de Mathilde Panot à l’AN hier. Et leurs propos tenaient plutôt la route concernant la description du merdier engendré par le pass sanitaire et des mesures à géométries variables prises comme s’il fallait se rattraper aux branches après la nième bouffée délirante d’autoritarisme du chef de l’état. C’est le fait du prince et tu as tous les autres qui rament pour remonter le courant de la cote de popularité de la macronie. Nous en sommes là et c’est affolant de voir tous ces amateurs en rajouter dans l’idiocratie trumpienne. Je sais pas toi, mais j’ai l’impression, vu le niveau de déni et d’aveuglement rapport aux délires du Maître, qu’on a affaire à une secte.

    • A propos de LFI qui se fait tirer dessus, ce sont en général des propos plus ou moins sortis de leur contexte, avec un refus plus ou moins empreint de mauvaise foi de la complexité inhérente aux sujets débattus. Ils te mettent une citation, et t’expliquent que chez LFI, ils sont antivaxxx et que chez LFI, ils rendent la gestion de la crise encore plus complexe, parfois sans hésiter à les mettre dans le même sac que Raoult ou Fouché. Il y a pas mal de mauvaise foi à ce sujet. Mais je le vois aussi comme une forme de succès, ou de conséquence, du chaos engendré par le présipotent et ses sbires.

    • C’est la technique du clivage que Sarko faisait fonctionner à plein. Pendant qu’on discute/dispute de ce pass infaisable et qu’on durcit les position autour de ca, on se concentre pas sur la casse des retraite, l’application de la réforme du chaumage, la destruction de l’éducation nationale...
      Cliver ca veux dire briser en morceaux impossibles à réparer, scinder, séparer, et le pass sanitaire c’est parfait pour semer la discord dans toutes les couches de la société.

      Par exemple leur ministre de la maltraitance des enfants et des enseignant·es alias Blanquer, clive sur l’épidémie de « woke » cette semaine et va crée un « laboratoire idéologique » car la santé c’est surfait et on a pas plus important et urgent que les laboratoires anti-woke à organisé en ce moment ;

      Après l’« islamo-gauchisme », vous prendrez bien un peu de « wokisme »

      Jean-Michel Blanquer annonce la création d’un « laboratoire républicain » pour lutter l’idéologie « woke » et la « cancel culture ».

      https://www.liberation.fr/idees-et-debats/apres-lislamo-gauchisme-vous-prendrez-bien-un-peu-de-wokisme-20210722_VYP

      C’est quand qu’il est poursuivit pour haute trahison et mise en danger de la vie d’autrui ainsi qu’appel à la haine et à la discrimination celui là ?

    • Je reste sans voix ... C’est pas comme si y avait pas un protocole sanitaire à établir pour dans un gros mois ... Mais c’est juste qu’il doit se dire que ce genre de taf n’est pas assez « noble » pour lui qui se flatte d’être comparé à « la jambe gauche de Macron ».

      Pour compléter Libé (sous #paywall) :

      En pleine relance de la crise sanitaire et après une année scolaire catastrophique Jean Michel Blanquer lance une nouvelle offensive réactionnaire en annonçant la création d’un « laboratoire républicain » réunissant un panel de personnalités réactionnaires pour lutter contre le "wokisme" et l’ensemble des études portant sur le racisme, le colonialisme ou encore le sexisme.

      https://www.revolutionpermanente.fr/Le-laboratoire-republicain-la-nouvelle-offensive-reactionnaire-

    • On m’a fait suivre qu’on aura besoin de pass pour allé voté mais ici on me dit que non

      Pass sanitaire : Non, les bureaux de vote ne sont pas concernés

      FAKE OFF Le rejet d’un amendement visant à exclure « les lieux d’exercice de la démocratie » du champ d’action du pass sanitaire a semé un vent de panique (infodée) sur les réseaux sociaux

      https://www.20minutes.fr/societe/3089703-20210723-pass-sanitaire-non-bureaux-vote-concernes

      Illes sont culotté sur 20minutes de dire que la panique est infondée, comme si les amendements étaient là pour faire chier sans raison.

      –—

      On parle aussi des licenciements pour non vaccination j’ai pas encore lu mais j’ai trouvé ce lien qui semble faire le point
      https://www.ladepeche.fr/2021/07/23/covid-19-ces-professions-qui-pourraient-licencier-leurs-employes-sils-ne-s

  • L’IHU de Marseille de Didier Raoult visé par des « investigations » de l’ANSM pour ses études sur l’hydroxychloroquine
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/lihu-de-marseille-de-didier-raoult-vise-par-des-investigations-de-lan

    Un signalement de ces faits par “un professionnel de santé” a été classé sans suite en novembre 2020 par le parquet de Marseille qui a considéré les infractions dénoncées comme “insuffisamment caractérisées”, selon son communiqué.

    Or, de nouveaux éléments sont apparus depuis, tel qu’un correctif à la première étude, publié en janvier dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents. Mais pour relancer l’enquête, il faudrait soit que le parquet se saisisse d’office soit que l’ANSM effectue un nouveau signalement, précise l’hebdomadaire, qui souligne que l’IHU “n’a pas donné suite” à ses questions.

    “Ces manquements” aux règles encadrant la recherche médicale “apparaissent comme une pratique courante au sein de l’IHU, affirme L’Express qui cite de nombreuses études d’étudiants ou de chercheurs de l’institut ces dernières années qui se sont, selon lui, affranchies des règles encadrant les expériences impliquant des êtres humains, avant même l’épidémie de Covid.

  • Beach handball : Les Norvégiennes sanctionnées pour avoir porté un short jugé trop long - L’Équipe
    https://www.lequipe.fr/Handball/Actualites/Beach-handball-les-norvegiennes-sanctionnees-pour-avoir-porte-un-short-juge-trop-long/1271738

    Quatrièmes de l’Euro de beach handball qui s’est achevé ce week-end, les Norvégiennes étaient à la lutte avec l’Espagne pour une place sur le podium de la compétition. Durant ce match pour la médaille de bronze, elles ont arboré un short au lieu du bikini réglementaire, ce qui a valu à l’équipe une amende de 1 500 € (150 € par joueuse).

    La Fédération européenne de handball (EHF) a expliqué sa décision par un cas de « vêtement non conforme », ajoutant que les shorts n’étaient pas « en accord avec les termes définis par le règlement de beach handball ». Une décision jugée « complètement ridicule » par le ministre des sports norvégien, Abid Raja.

    La Fédération norvégienne s’est dite fière de ses joueuses. « Ensemble, nous allons continuer le combat pour faire changer les règles concernant les vêtements. Ainsi, les joueuses pourront être compétitives dans des vêtements dans lesquels elles se sentent à l’aise. »

    Le règlement du beach handball, lui, précise que les femmes doivent porter un bikini et les hommes un short, arguant que « les vêtements des athlètes contribuent à les aider à être encore plus performants, tout en restant cohérents avec l’image attractive que doit avoir le sport ».