Le personnage central de notre enquête s’appelle Christian Overbeek. Il est connu pour défendre dans les médias l’utilisation des pesticides et pour avoir critiqué le renforcement du contrôle des insecticides « tueurs d’abeilles », annoncé par le gouvernement provincial le 19 février.
Christian Overbeek est président des Producteurs de grains du Québec, qui représentent 11 000 producteurs. Il est également président du conseil d’administration du Centre de recherche sur les grains (CÉROM), une institution publique dont une partie des recherches vise à réduire l’utilisation des pesticides qui nuisent à l’environnement.
Le CÉROM est financé à 68 % par le ministère de l’Agriculture. Pourtant, son conseil d’administration est entièrement dominé par le privé.
Je profite de ce post pour demander à Monsieur Christian Overbeek si il dort bien la nuit et s’il arrive à regarder avec bienveillance des enfants dans les yeux en pensant à leur avenir ?
Je dis ça parce qu’en fait, je suis toujours perplexe du fonctionnement psychologique des responsables de l’effondrement de l’humanité. Quelle vengeance veut-il assouvir ? abandonné enfant ou interdit de masturbation dans sa chambre voire victime d’humiliation (moins de saumon fumé que les autres ou de moins bonne qualité comme sarko le racontait). Il doit bien y avoir une raison cachée pour devenir un #assassin à grande échelle ? Dans quelle petite roue son cerveau est-il resté coincé ?
Voici quelques propos menaçants et arriérés qu’il peut tenir malgré sa bonne bouille de gros bœuf
Les producteurs de grains à la rencontre des consommateurs | EnBeauce.com
▻https://www.enbeauce.com/actualites/opinions/301672/les-producteurs-de-grains-a-la-rencontre-des-consommateurs
Nous demandons aux consommateurs de prendre conscience de la nature hautement compétitive de la production de grains au Québec. En ce sens, toute nouvelle contrainte gouvernementale liée aux préférences des consommateurs, si elle n’est pas accompagnée des investissements nécessaires, aurait un impact négatif sur notre économie. Ultimement, c’est toute notre société qui y perdrait au change.
Après, j’avoue que j’aime bien lire ce genre d’aveu qui en d’autres termes sonnent plutôt comme « on a la trouille que les consommateurs ne ferment pas leur gueule »