• Gaza : le parkour, synonyme de liberté
    Victor Buu - franceinfo - Mis à jour le 26/01/2021
    https://www.francetvinfo.fr/monde/palestine/gaza/gaza-le-parkour-synonyme-de-liberte_4272511.html

    À Gaza, Mohamed Aliwa est un amateur de parkour pas comme les autres. Avec une seule jambe et des béquilles, le jeune de 18 ans pratique cette discipline acrobatique consistant à franchir des obstacles urbains ou naturels. Mohamed a été amputé en 2018 suite à un tir israélien. Il essaie depuis de se reconstruire et n’a pas abandonné sa passion. « Mon rêve est d’avoir une prothèse adaptée au sport pour pouvoir pratiquer correctement la gymnastique et le parkour », explique-t-il. (...)

    https://twitter.com/AFP/status/1353640000827568128
    #GAZA

  • Three Palestinians, including Child and Disabled Man, Killed and 148 Wounded as Israeli Forces Shoot at Unarmed Protesters in the Gaza Strip
    Al Mezan Center For Human Rights - 21-12-2018 21:03
    http://mezan.org/en/post/23339

    During the thirty-ninth week of the Great Return March demonstrations in Gaza, the Israeli military continued to use lethal and other forms of excessive force on Palestinian protesters. The documentation by Al Mezan Center for Human Rights shows that on Friday, 21 December 2018, Israeli forces killed three protesters, including one child and one disabled man, and injured 148 other protesters, including 20 children, three women, two journalists, and one paramedic. Of the injured, 70 were wounded by live fire, including nine children. Three suffered from serious wounds.

    The documentation indicates a trend of Israeli soldiers’ deliberate use of live ammunition, plastic-coated steel bullets, and tear gas canisters on unarmed protesters but journalists, and paramedics. Al Mezan’s documentation shows that on Friday:

    — At 4pm, Israeli forces shot Mohammed Al-Jahjouh , 16, with a live bullet in the neck at the demonstration in east Gaza City. Mohammed, a resident of Al-Shati’ refugee camp in west Gaza City,died of his injury at 4:25pm on the same day.

    — At 4:50pm, Israeli forces shot Maher Yasin , 40, with a live bullet in the head at the demonstration in east Al-Burij refugee camp in the Middle Gaza district. Maher, a resident of Al-Nuseirat refugee camp, also in the Middle Gaza district, was disabled since childhood. At 7:30pm on the same day, he succumbed to his wounds.

    — At 3:30pm, Israeli forces shot Abdul-Aziz Abu Sharee’a , 28, with a live bullet in the stomach at the demonstration in east Gaza City. Abdul-Aziz, a resident of Al-Sabra neighborhood in Gaza City, died of his injury at 8:50pm on the same day.

    — Sami Mosran, 34, a reporter for Al-Aqsa TV, was injured with a live bullet in his left leg at the demonstration in east Al-Burij refugee camp.

    — Ahmed Hamad, 20, a freelance photojournalist, was injured with a plastic-coated steel in both of his hands at the demonstration in east Gaza City.

    — Mohammed Muhaisen, 34, a photojournalist with Middle East Monitor, had his camera broken from shrapnel of live ammunition at the demonstration in east Gaza City.

    — Abdul-Aziz Al-Najar, 27, a paramedic with the Medical Relief Society, was injured in the right thigh by a tear gas canister at the demonstration in east Khan Younis. (...)

    #Palestine_assassinée #marcheduretour

  • Israël demande à France 2 d’annuler la diffusion d’un reportage sur Gaza – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/1078266

    « Quel avenir pour ces jeunes Gazaouis amputés d’une jambe par des tirs de soldats israéliens lors d’une « marche du retour » ? » C’est la question qu’a choisi de poser l’émission Envoyé Spécial diffusée ce 11 octobre au soir sur la chaîne France 2. Un sujet dont la bande-annonce, diffusée sur les réseaux sociaux, a déplu à l’ambassadeur d’Israël en France.

    Aliza bin Noun, a ainsi interpellé, dans un courrier, la présidente de France Télévisions Delphine Ernotte afin de réclamer l’annulation pure et simple de la diffusion du reportage Gaza, une jeunesse estropiée.

    Estimant que l’enquête présente un « point de vue déséquilibré », Aliza bin Noun s’inquiète que ce contenu puisse « inciter à la haine à l’encontre d’Israël et [qu’il puisse] ainsi avoir des répercussions directes, notamment physiques, sur les Français de confession juive ».

    Dans une position relativement similaire, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Francis Kalifat écrit sur Twitter : « J’ai alerté Delphine Ernotte […] Le service public ne doit pas participer à véhiculer la haine d’Israël dont on connaît les conséquences dramatiques sur les Français juifs. »

    Le média public israélien en français i24News rapporte enfin qu’une petite centaine de personnes ont manifesté le soir du 10 octobre devant le siège de France Télévisions à Paris pour protester contre la diffusion du reportage.

    • Le comble de l’obscénité. Le comble de la psychopathie : Ils détruisent les vie, démolissent les espoirs, ne ressentent aucune culpabilité, crient au loup et à l’injustice, accusent de déverser leur haine sur Israël celles et ceux qui veulent juste informer.

    • L’ambassadrice d’Israël a tenté de faire annuler un reportage de France 2 sur Gaza
      Romain Jeanticou Romain Jeanticou Publié le 12/10/2018.
      https://www.telerama.fr/medias/lambassadrice-disrael-a-tente-de-faire-annuler-un-reportage-de-france-2-sur

      (...) Pour l’ambassade d’Israël, ces quelques minutes accordées à I’Etat juif pour se défendre ne suffisent pas à faire du sujet un reportage « équilibré ». Joint par Télérama, Shimon Mercer-Wood, son porte-parole, accuse Envoyé spécial de « diffamation ». Mais pour quels propos ? Pour avoir « caché qu’il y avait aussi des Palestiniens armés qui venaient pour tuer des Israéliens ». Interrogé à son tour sur les images de manifestants blessés bien que non armés et éloignés de la frontière, il répond ne pas vouloir « entrer dans une analyse précise de tous les détails du reportage ». De son côté, Yvan Martinet, l’un des journalistes d’Envoyé spécial, ne souhaite pas faire de commentaire « pour ne pas alimenter le brasier d’un sujet aussi sensible » mais « ne retire pas une virgule du reportage ». La direction de l’information de France 2 n’en dira pas plus.

      Au sein de la rédaction d’Envoyé spécial, on évoque une réaction « prévisible » mais on déplore qu’Israël « s’abaisse aux méthodes de l’Azerbaïdjan ». L’Etat du Caucase était allé jusqu’à poursuivre France 2 en diffamation, à la suite d’un sujet de son magazine Cash investigation dans lequel le pays était qualifié de « dictature » – un procès remporté en première instance et en appel par la chaîne. En interne sur France 2, on compare la demande de l’ambassadrice israélienne, par ailleurs accompagnée d’une forte pression d’associations sionistes sur les réseaux sociaux, aux procédures-bâillons de Vincent Bolloré : « Ces gens savent très bien qu’ils ne feront pas annuler les reportages, mais cherchent à décourager les journalistes de s’emparer des sujets qui les gênent. » (...)

    • Gaza : l’ambassade d’Israël demande l’annulation d’un reportage d’« Envoyé spécial »

      Dans une lettre adressée à la présidente de France Télévisions, l’ambassadrice Aliza Bin Noun demande l’annulation d’un sujet sur les blessés dans l’enclave palestinienne.

      LE MONDE | 12.10.2018 à 21h04 • Mis à jour le 13.10.2018 à 06h27
      https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2018/10/12/gaza-l-ambassade-d-israel-demande-l-annulation-d-un-reportage-d-envoye-speci ?

    • Israël : quand l’ambassade d’Israël en France veut imposer la censure
      SNJ, le SNJ-CGT, CFDT-Journalistes | Article mis à jour le 12 octobre 2018
      https://snjcgt.fr/2018/10/12/israel-quand-lambassade-disrael-en-france-veut-imposer-la-censure

      (...) Dans une lettre adressée le 10 octobre à Mme Delphine Ernotte, PDG de FTV, l’ambassadrice somme « d’annuler la diffusion ce reportage » en raison selon l’ambassade « de nombreuses sollicitations inquiètes des responsables de la communauté juive française ».

      La diffusion du documentaire jeudi sur les antennes de France 2 dans le cadre de l’émission Envoyé spécial a constitué une fin de non-recevoir au diktat intolérable de la mission diplomatique israélienne qui agit au mépris de la liberté d’expression pour nier une seule vérité : celle des tirs de son armée contre les manifestants qui survivent dans la prison à ciel ouvert qu’est devenu Gaza du fait du blocus du gouvernement Netanhyaou.

      Mme l’ambassadrice, vous oubliez dans votre lettre de rappeler les chiffres de la répression contre les manifestants : 200 morts et plus de 5000 blessés, au nombre desquels plusieurs journalistes, qui malgré leur signe distinctif, sont visés intentionnellement par les balles israéliennes.(...)

  • Comme à chaque fois (et à titre d’exemple), France Info-avec-AFP voit de « violents affrontements » là où des snipers israéliens ont sommairement flingué à distance des manifestants qui marchaient : Gaza : au moins seize morts et 1 400 blessés dans de violents affrontements entre Palestiniens et soldats israéliens

    https://www.francetvinfo.fr/monde/palestine/gaza/gaza-vifs-affrontements-entre-palestiniens-et-soldats-israeliens-un-mor

    Et de manière spectaculaire, dans ce billet, le seul « témoin » qui est directement cité est « un porte-parole de l’armée israélienne ».