Tiangong-1 reentry updates | Rocket Science

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  • Un satellite océanographique sino-français sera lancé en septembre – french.xinhuanet.com
    http://french.xinhuanet.com/2018-03/31/c_137079111.htm

    Un satellite d’observation océanique développé par la Chine et la France sera lancé en septembre, selon l’Institut des technologies des véhicules de lancement de la Chine.

    Le satellite océanographique sino-français sera lancé à bord d’une fusée #Longue_Marche 2C, développée par l’institut.

    Il s’agit du premier satellite développé conjointement par la Chine et la France. Il surveillera les vents à la surface de la mer et les vagues, et les données seront partagées par les scientifiques des deux pays.

    Le satellite permettra de promouvoir davantage la coopération technologique entre la Chine et la France et de faciliter l’application de l’Accord de Paris sur le changement climatique, selon l’institut.

    • Et à propos de (lancement) de satellites chinois, cette info d’il y a 3 semaines

      La Chine veut lancer des satellites depuis la mer - Sciencesetavenir.fr
      https://www.sciencesetavenir.fr/espace/exploration/la-chine-veut-lancer-des-satellites-depuis-la-mer_121731

      Lancer un satellite depuis une base spatiale située près de l’équateur – à l’instar de la base spatiale européenne de Guyane – permet de bénéficier de l’effet de fronde de la rotation de la Terre : la fusée bénéficie d’emblée d’une vitesse initiale au lancement, ce qui permet d’économiser du carburant et de lancer des satellites plus lourds. Une aubaine géographique dont disposent peu de puissances spatiales. Pour s’en approcher, la Chine a construit l’une de ses quatre bases spatiales (Wenchang) à Hainan, la plus au sud du pays. Mais celle-ci est encore à 19 degrés de latitude nord par rapport à l’équateur. La Chine envisage donc de descendre plus au sud et d’effectuer des lancements depuis une barge installée en mer au plus près de l’équateur, a indiqué le 28 février l’agence de presse chinoise Xinhua.

      Le concept de « lanceur marin » avait d’abord été exploré par les Russes il y a plusieurs décennies, puis avait été concrétisé, au milieu des années 1990, par le consortium Sea-Launch, qui réunissait des sociétés norvégiennes, russes, américaines et ukrainiennes. Jusqu’à sa mise en faillite, en 2009, Sea-Launch a lancé 30 satellites depuis la plate-forme Odyssey située dans l’océan Pacifique. La Chine veut tester à son tour cette solution en 2018. Yang Yiqiang, responsable du programme Longue Marche-11, a indiqué que ce nouveau lanceur léger effectuerait cinq vols en 2018, quatre depuis la terre et un depuis la mer.

      Inaugurée en 2015, cette petite fusée de 20 mètres à propergols solides est capable d’emporter 700 kg en orbite basse. La lancer depuis l’équateur permettrait de la commercialiser à bas prix et de s’imposer sur un marché spatial en plein remaniement. Alors que Sea-Launch utilisait pour base une plate-forme pétrolière remaniée, les Chinois envisagent d’utiliser des cargos hauturiers spécialement aménagés. Reste à maîtriser le vol spatial depuis un milieu hautement instable…

    • http://blogs.esa.int/rocketscience/2018/04/02/splashed-down

      The US air force has confirmed the reentry of the Tiangong-1 spacecraft at about 02:16 CEST this morning over the southern Pacific Ocean. The location of the reentry was, by chance, not too far from the so-called South Pacific Ocean Unpopulated Area. The SPOUA has long been used by many space agencies including ESA, to dispose of end-of-life spacecraft through controlled reentries.

      [...]