• The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: Zionist war on freedom of expression
    http://angryarab.blogspot.com/2018/04/zionist-war-on-freedom-of-expression.html

    Something is going on. I have been receiving from #Google messages that I have violated their rules here on my blog. And today I received this warning from #Facebook that I used “abusive material” in a post. I looked below and found a post about the assassination of a Palestinian academic in Malaysia and a reference to the Mossad. Basically, I hurt the feelings of the #Mossad in the post. It is clear that the political sphere of expression for Arabs on social media is increasingly controlled and limited by the Israeli government.

    #censure #Israel

  • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: The new Guatemalan embassy in occupied Jerusalem
    http://angryarab.blogspot.com/2018/04/the-new-guatemalan-embassy-in-occupied.html

    This mansion in Hayy Talbiyyah in Jerusalem was stolen by Zionist gangs in 1948 from its owner Hanna Bisharat (he was the uncle of the mother of a very dear friend). It was donated this year by the occupation state to the Guatemalan embassy to establish its embassy there. The house was constructed in 1926 and was stolen by Zionist terrorist gangs on April 15th, 1948. Golda Meir lived in it.

    #sionistes #voleurs #Israel #Palestine

  • Attaque chimique du 7 avril 2018 (Douma, Ghouta orientale, Syrie) Programme chimique syrien clandestin – 14 avril 2018
    Ce document est constitué d’analyses techniques d’informations de source ouverte et de renseignements déclassifiés obtenus par les services français.
    https://www.defense.gouv.fr/content/download/528742/9123389/file/180414+-%20Syrie%20-%20Synthe%CC%80se%20-%20Les%20faits.pdf
    (je sélectionne les bonnes pages et le plan…)

    I. PLUSIEURS ATTAQUES CHIMIQUES LETALES ONT ETE CONDUITES SUR LE QUARTIER DE DOUMA LE SAMEDI 7 AVRIL 2018 EN FIN D’APRES-MIDI ET NOUS ESTIMONS AVEC UN HAUT NIVEAU DE CONFIANCE QU’ELLES SONT LE FAIT DU REGIME SYRIEN.
    […]
    1. – Plusieurs attaques chimiques ont eu lieu le 7 avril 2018 à Douma.
    […]
    Les experts français ont analysé les symptômes identifiables sur les images et vidéos rendues publiques, prises soit en espace clos dans un immeuble présentant une quinzaine de victimes décédées, soit dans les hôpitaux locaux ayant accueilli des patients contaminés.
    […]
    2. – En raison notamment de la situation opérationnelle dans la Ghouta orientale autour du 7 avril, nous estimons avec un haut degré de confiance que la responsabilité du régime syrien est engagée.
    […]
    L’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien fait sens dans ce contexte, d’un double point de vue militaire et stratégique :
    • tactiquement, l’utilisation de telles munitions permet de déloger des combattants ennemis abrités dans des habitations afin d’engager le combat urbain dans les conditions les plus avantageuses pour le régime ; cette utilisation constitue un accélérateur de conquête et un démultiplicateur d’effet visant à faire tomber au plus vite le dernier bastion des groupes armés ;
    • stratégiquement, l’utilisation d’armes chimiques, notamment au chlore, documentée depuis le début 2018 dans la Ghouta orientale, a notamment pour objectif de punir les populations civiles présentes dans les zones tenues par des combattants opposés au régime, et de provoquer sur elles un effet de terreur et de panique incitant à la reddition ; alors que la guerre n’est pas terminée pour le régime, il s’agit, par des frappes indiscriminées, de démontrer que toute résistance est inutile et de préparer la réduction des dernières poches.
    • Depuis 2012, les schémas tactiques des forces armées syriennes sont récurrents : les toxiques chimiques sont principalement utilisés dans le cadre d’offensives urbaines massives, comme cela a été le cas à la fin de l’année 2016 pour la reprise d’Alep, où des munitions au chlore étaient régulièrement associées à l’armement conventionnel ; les zones visées, telle la Ghouta orientale, sont en outre toutes des objectifs militaires importants de Damas.

    3. – Les services français ne disposent d’aucune information permettant d’étayer la thèse selon laquelle les groupes armés dans la Ghouta auraient cherché à se procurer ou auraient disposé d’armes chimiques.
    Ils estiment par ailleurs qu’une manipulation des images diffusées massivement à partir du samedi 7 avril n’est pas crédible, dans la mesure notamment où les groupes présents dans la Ghouta n’ont pas les moyens de mener une manœuvre de communication d’une telle ampleur.

    II. – DEPUIS AVRIL 2017, LE REGIME SYRIEN A MULTIPLIE LES CAS D’UTILISATION D’ARMES CHIMIQUES ET DE SUBSTANCES TOXIQUES DANS LE CADRE DE SES ACTIONS MILITAIRES.
    1. – Le régime syrien a préservé depuis 2013 un programme chimique clandestin.
    […]
    Depuis 2014, la mission d’établissement des faits de l’OIAC (Fact Finding Mission, FFM) a rendu publics plusieurs rapports confirmant l’emploi d’armes chimiques en Syrie contre des civils. Le mécanisme d’enquête et d’attribution ONU-OIAC sur les attaques chimiques (Joint Investigation Mechanism, JIM) a enquêté sur neuf allégations d’emploi. Dans ses rapports d’août et d’octobre 2016, le JIM attribue à Damas trois cas d’utilisation de chlore et un cas d’utilisation d’ypérite à Daech, aucune à un groupe armé syrien.

    2. – Une série d’attaques chimiques est intervenue en Syrie depuis le 4 avril 2017
    Une évaluation nationale française publiée le 26 avril 2017 à la suite de l’attaque de Khan Cheïkhoun recense l’ensemble des attaques chimiques en Syrie depuis 2012, et l’estimation par les services français de leur probabilité. Cette attaque menée en deux temps à Latamneh le 30 mars, puis à Khan Cheïkhoun avec du gaz sarin le 4 avril, avait occasionné la mort de plus de 80 civils. Les autorités françaises avaient estimé très probable la responsabilité des forces armées et de sécurité syriennes dans cette attaque.

    Les services français ont recensé 44 allégations de recours à des armes chimiques et substances toxiques en Syrie depuis le 4 avril 2017, date de l’attaque au sarin de Khan Cheïkhoun. Parmi ces 44 allégations, les services français estiment que les éléments rassemblés au sujet de 11 attaques permettent de présumer de leur nature chimique. Du chlore aurait été utilisé dans la majorité des cas ; les services soupçonnent également le recours à un neurotoxique le 18 novembre 2017 à Harasta.

    On notera dans ce contexte une recrudescence notable des cas d’emploi après le non renouvellement du mandat du mécanisme d’enquête conjoint OIAC-ONU (JIM) en novembre 2017, en raison du véto de la Russie au CSNU. Une multiplication des attaques au chlore depuis le début de l’offensive de la Ghouta orientale a été clairement constatée et établie.