Haytham Manna : « En Syrie, les groupes armés et le pouvoir ont éradiqué la résistance civile » | Humanite
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Mais c’est une structure qui n’est vraiment pas représentative de la société syrienne, des forces politiques de l’intérieur et qui est, en plus, dépendante de la volonté de trois États : la France, la Turquie et le Qatar.
Mais c’est laquelle de France ? Si celle de Sarkozy tient les mêmes propos que celle de Hollande , qui leur dicte ?
l’air du temps qui souffle sur la presse étriquée ?
On se dispute pourtant en ce moment sur LA France et ses valeurs , Laquelle ?
Georges Moréas
Mais j’ai déniché l’exception : le livre de Clovis Bienvenu qui, sous un titre rebattu « Le 36, quai des Orfèvres » (Éditions PUF), met carrément les pieds dans le plat. « Force est de constater, dit-il, qu’au titre de la collaboration d’État la police judiciaire du quai des Orfèvres a activement participé à la lutte contre le communiste et à la chasse aux Juifs. »
« Pourtant, nulle part, poursuit-il, il n’y a trace des compromissions, des trahisons, des enquêtes diligentées à la demande des autorités allemandes ». Comme de cette enquête menée par les policiers de la brigade spéciale de la PJ pour interpeller Pierre Georges. Ce jeune homme de 22 ans, auteur du meurtre d’un militaire allemand, le 21 août 1941, au métro Barbès, a sans doute, avec deux balles de calibre 6.35, modifié le cours de l’histoire, marquant le début de la révolte armée contre l’Occupant. Arrêté l’année suivante, il fut sérieusement passé à tabac avant d’être livré aux Allemands. Bizarrerie de l’histoire, lors de la libération de Paris, alors que les policiers tirent sur les Allemands, lui se trouve à la tête d’un commando FFI. Il établit la jonction avec la 2° DB et l’aide à reprendre à l’ennemi les quartiers proches de la préfecture de police. Une station de métro porte son nom de guerre : Colonel Fabien.
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