ONU Info | L’actualité mondiale de l’ONU

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  • Aucune preuve pour l’instant confirmant certaines allégations d’Israël contre l’#UNRWA (rapport Colonna) | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2024/04/1144986

    Les autorités israéliennes n’ont pour l’instant fourni aucune preuve après avoir affirmé il y a trois mois qu’un nombre important d’employés de l’agence des Nations Unies chargée des réfugiés palestiniens (UNRWA) étaient membres d’organisations terroristes, selon le rapport final du groupe d’examen indépendant dirigé par l’ancienne ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna.

  • Les Etats-Unis mettent leur veto à l’admission de la Palestine comme Etat membre de plein droit à l’ONU
    18 avril 2024 | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2024/04/1144941

    Le projet de résolution présenté par l’Algérie a reçu 12 voix pour, 1 voix contre (Etats-Unis) et 2 abstentions (Royaume-Uni et Suisse).

    Pour être adoptée, la résolution devait recueillir au moins 9 voix pour et il fallait qu’aucun membre permanent du Conseil n’utilise son veto. Les membres permanents sont la Chine, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, et la Russie.

    VOTES POUR Algérie, Chine, Corée du Sud, Equateur, France, Guyana, Japon, Malte, Mozambique, Russie, Sierra Léone, Slovénie.
    #ONU

  • United Nations Human Rights Council | #HRC55 sur X : https://twitter.com/UN_HRC/status/1772636445779300744

    “Following nearly 6 months of unrelenting Israeli assault on occupied #Gaza, it is my solemn duty to report on the worst of what humanity is capable of & to present my findings: ’the Anatomy of a Genocide’.” — Special Rapporteur FranceskAlbs at @UN Human Rights Council. #HRC55

    https://video.twimg.com/amplify_video/1772631868782882816/vid/avc1/1080x1080/bSVz_DiEIGsk8nBG.mp4?tag=16

    • Gaza : « motifs raisonnables » de croire qu’Israël a commis des « actes de génocide », selon une experte de l’ONU | ONU Info
      https://news.un.org/fr/story/2024/03/1144356

      Le rapport – intitulé « Anatomie d’un génocide » – conclut « qu’il existe des motifs raisonnables de croire que le seuil indiquant que des actes de génocide » ont été commis « contre les Palestiniens à Gaza a été atteint ».

      Devant le Conseil des droits des Nations Unies à Genève, la Rapporteure spéciale des Nations Unies pour les territoires palestiniens occupés a ainsi listé trois actes de génocide : « meurtre de membres du groupe ; atteintes graves à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; et soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ».

      Trois des cinq actes de génocide

      Il s’agit là de trois des cinq actes de génocide qui figurent dans la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. « La nature et l’ampleur écrasante de l’assaut israélien sur Gaza et les conditions de vie destructrices qu’il a causées révèlent une intention de détruire physiquement les Palestiniens en tant que groupe », a déclaré Francesca Albanese.

      L’experte indépendante, mandatée par le Conseil des droits de l’homme, mais qui ne s’exprime pas au nom de l’ONU, a souligné que ces « actes de génocide » ont été motivés par un discours anti-palestinien véhément, qui qualifie « l’ensemble du peuple palestinien de Gaza d’ennemi à éradiquer ou à éliminer par la force ». « Cette rhétorique est omniprésente dans tous les segments de la société israélienne », a-t-elle fait valoir.

      Et le fait que de hauts responsables israéliens ayant une autorité de commandement aient régulièrement appelé leurs soldats à anéantir la population de Gaza constitue « une preuve irréfutable de l’incitation explicite et publique à commettre un génocide ».

      Pas de distinction entre les civils et les combattants

      Dans ce climat, la puissante occupante ne fait pas de distinction entre les civils et les combattants ou entre les infrastructures civiles et les cibles militaires légitimes. Une façon de rappeler qu’Israël a qualifié l’ensemble de la population civile de Gaza de « boucliers humains » ou de « complices de terroristes ».

      Toutefois, ceux qui ont réussi à évacuer vers des zones qu’Israël a définies comme des « zones humanitaires sûres » ont été aussi la cible de nouvelles attaques, leurs morts et leurs blessés étant justifiés par Israël comme des « dommages collatéraux ».

      Derrière ce descriptif, l’experte onusienne entend aussi souligner que le génocide de Gaza est l’étape la plus extrême d’un processus de colonisation de longue date visant à effacer les Palestiniens de souche. « Le monde voit aujourd’hui les fruits amers de l’impunité accordée à Israël . Il s’agit d’une tragédie annoncée », a-t-elle fustigé.

      Alors que la Cour internationale de justice (CIJ) devra délibérer, que la Cour pénale internationale devra enquêter, elle estime qu’il est donc de sa responsabilité de rappeler au Conseil des droits de l’homme que le moment était venu pour les États d’agir. « Et comme ils ne l’ont pas fait, ce moment est venu ».

      Déni de la réalité et poursuite de l’impunité

      Outre plus de 30.000 Palestiniens tués, dont 13.000 enfants, les forces israéliennes ont utilisé un arsenal apocalyptique dans l’un des endroits les plus densément peuplés de la planète. Près de 25.000 tonnes d’explosifs (l’équivalent de deux bombes nucléaires), des munitions non guidées (ou "bombes muettes") et d’autres dispositifs ont été utilisés pour raser des quartiers entiers.

      Dans ces conditions, « le déni de la réalité et la poursuite de l’impunité et de l’exceptionnalisme d’Israël ne sont plus viables. À la lumière notamment de la résolution contraignante adoptée hier par le Conseil de sécurité, elle a donc imploré les États membres d’imposer un embargo sur les armes et de sanctionner Israël.

      « Il est stupéfiant de constater qu’au lieu d’enrayer cette dynamique, une minorité d’États membres puissants ont apporté un soutien militaire, économique et politique à cette atrocité , aggravant ainsi la dévastation qu’elle a provoquée chez les Palestiniens », a fait valoir la Rapporteure spéciale.

      NOTE

      Les Rapporteurs spéciaux et les groupes de travail font partie de ce que l’on appelle les procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme. Les titulaires de mandat des procédures spéciales sont des experts indépendants en matière de droits de l’homme nommés par le Conseil des droits de l’homme pour traiter soit de situations nationales spécifiques, soit de questions thématiques dans toutes les régions du monde. Ils ne font pas partie du personnel de l’ONU et sont indépendants de tout gouvernement ou organisation. Ils servent à titre individuel et ne reçoivent pas de salaire pour leur travail.

  • Gaza : Israël n’approuvera plus aucun convoi alimentaire de l’UNRWA vers le nord | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2024/03/1144301

    Les autorités israéliennes ont informé les Nations Unies dimanche qu’elles n’approuveraient plus aucun convoi alimentaire de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens, l’UNRWA, vers le nord de Gaza.

    Le Commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, a qualifié cette décision de scandaleuse précisant qu’elle vise à entraver intentionnellement l’aide à la survie lors d’une famine provoquée par l’homme dans le nord de l’enclave.

    Le chef de l’UNRWA a exhorté à lever ces restrictions, signalant que l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens est la plus grande agence humanitaire de la bande de Gaza et qu’elle a la plus grande capacité à joindre les communautés déplacées à Gaza.

    « À partir d’aujourd’hui, l’UNRWA, la principale planche de salut pour les réfugiés palestiniens, n’est plus en mesure de fournir une assistance vitale au nord de la bande de Gaza », a regretté M. Lazzarini sur son compte X.

    « Malgré la tragédie qui se déroule sous nos yeux, les autorités israéliennes ont informé l’ONU qu’elles n’approuveraient plus aucune opération de l’UNRWA ».
    La famine menace

    M. Lazzarini a averti qu’ « en empêchant l’UNRWA de remplir son mandat à Gaza », la trajectoire vers la famine s’accélérait « et de nombreuses personnes mourront de faim, de déshydratation et du manque d’abris ».

    « Cela ne peut pas arriver, cela ne ferait que ternir notre humanité collective », a-t-il regretté.

  • Les annonces préalables de l’#AFP quant au contenu de la résolution étasunienne étaient mensongères : il n’a jamais été question d’un « cessez-le-feu immédiat »

    La représentante de la Guyane à l’ONU explique l’#escroquerie étasunienne ;

    Explanation of position by Her Excellency Carolyn Rodrigues-Birkett, Permanent Representative of Guyana to the United Nations, delivered at the UNSC meeting on the situation in the Middle East, including the Palestinian question | Ministry of Foreign Affairs
    https://minfor.gov.gy/un-security-council/explanation-position-her-excellency-carolyn-rodrigues-birkett-permanent

    Guyana abstained on this draft resolution for a number of reasons which I will elaborate:

    First, contrary to media reports, this resolution does not call for an immediate ceasefire. Instead, we note that it “determines the imperative for a ceasefire” and calls for support for diplomatic efforts that are ongoing outside of the UN. While those efforts must be commended, given the responsibility and mandate of this Council, Guyana could not support a resolution that does not unequivocally call for an immediate ceasefire. Nearly 32,000 persons have been killed in Gaza since 7 October, the majority of whom are women and children. More than 74,000 have been maimed. Initial UN assessments have concluded that it would take years to clear the 23 million tons of rubble and unexploded weapons scattered across Gaza. The latest IPC report projects famine between now and May 2024. In summary, this man-made disaster cannot be halted without an immediate ceasefire, and it is this Council’s responsibility to unequivocally demand one, even as it acknowledges the efforts of Qatar, Egypt and the United States. 

    Second, the demand for a ceasefire should not be linked to or conditioned on the release of hostages. The taking of hostages is strictly prohibited under international law and their release must be unconditional. Guyana reiterates its call for the immediate and unconditional release of all hostages. Two wrongs cannot make a right and the Palestinian people should not be collectively punished and themselves held hostage for the crimes of others. 

    Third, in our view this text lacked attribution in a number of key areas. While the draft includes the condemnation of Hamas for the October 7th attacks and demands they immediately grant humanitarian access to the hostages, and rightfully so, there is no attribution or demands to the Israeli authorities for what is taking place in Gaza. 

    For example, who is responsible for 1.5 million Palestinians taking refuge in Rafah? And who has announced a planned military ground offensive there? To whom is the demand for compliance with obligations under international law regarding the protection of civilians and civilian objects, humanitarian access, and the protection of humanitarian relief and medical personnel, their assets and infrastructure applicable? Who has erected and maintained the existing barriers to the provision of humanitarian assistance at scale? Who is responsible for the forcible displacement of the civilian population in Gaza? Who is preventing the use of all available routes to and throughout the entire Gaza Strip? Who does not respect deconfliction and notification mechanisms? We know the answers to these questions. We have heard briefer after briefer both from the UN system and civil society describe the situation on the ground, explaining where the problems are and who is responsible for creating these problems. Why then were the relevant demands in the resolution not clearly addressed to the occupying power? Not even once was this done. 

    Indeed, if one were to read this resolution without background knowledge, it would be difficult to ascertain which party in this conflict is committing the atrocities in Gaza – atrocities which necessitated this draft resolution being put forward. In a resolution of 41 paragraphs, 2,036 words, the occupying power is mentioned once in the penultimate paragraph.

    Fourth, preambular paragraph 7 was of particular concern to Guyana. This Council is the organ with the Charter responsibility for addressing threats to peace, breaches of the peace and acts of aggression. How can we endorse the idea of “ongoing and future operations” in Gaza as long as measures are taken to “reduce significantly civilian harm?” This idea was rejected by several delegations during the course of the negotiations. In Guyana’s view, this is in direct contravention of the Council’s responsibility. It would set a dangerous precedent and make the Council complicit in the atrocities being committed in Gaza now and in the future. 

    Fifth and final, we took note of the four paragraphs treating with the mandate of the Senior Humanitarian and Reconstruction Coordinator for Gaza. While we applaud the Coordinator’s efforts, we are of the view that the scale of efforts that would be required in Gaza after the war would warrant a key role for UNRWA given its decades of experience in the Strip and its capacity vis-à-vis other agencies operating there. This Council has heard many times of the indispensability of UNRWA. It is the lifeline for Palestinians. We were, therefore, disappointed that the only mention of UNRWA in the draft pertained to the investigations into the allegations against a small number of its staff. Guyana, supported by several delegations, had requested an affirmation of UNRWA’s important mandate in the text but this was not taken onboard. 

    Mr. President,

    This Council still has an opportunity to take action to end the suffering of all parties. Civilians in Gaza need a respite. Palestinians need a respite. Israelis need a respite. Both need a respite from this continuous cycle of violence and pain. That is the real window of opportunity – the strong desire by the people of Palestine and Israel for peace. Guyana is prepared to work with other Council members to respond to their needs and legitimate aspirations, including the two-state solution. This must not be postponed.  

    I thank you.

  • Seul un quart de l’aide humanitaire autorisée au nord de Gaza, selon l’ONU | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2024/01/1142372

    Alors qu’après cent jours de guerre à Gaza, Israël poursuit ses bombardements massifs dans l’enclave palestinienne, seul un quart des missions humanitaires ont été menées à bien, entièrement ou partiellement au cours des deux premières semaines de janvier, ont souligné mardi les Nations Unies.

  • Guterres exhorte le Conseil de sécurité à agir pour éviter une catastrophe humanitaire à Gaza | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/12/1141337

    Dans une lettre adressée au Conseil, M. Guterres a invoqué l’article 99, contenu dans le Chapitre XV de la Charte.

    Celui-ci indique que le chef de l’ONU « peut attirer l’attention du Conseil de sécurité sur toute question qui, à son avis, pourrait menacer le maintien de la paix et de la sécurité internationales ».

    Dans une déclaration aux journalistes accompagnant la lettre, le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, a déclaré que c’était la première fois que M. Guterres se sentait obligé d’invoquer le Chapitre 99, depuis son entrée en fonction en 2017.

    M. Dujarric a expliqué que le chef de l’ONU prenait cette mesure « compte tenu de l’ampleur des pertes en vies humaines à Gaza et en Israël, en si peu de temps ».

    La lettre a été envoyée au Président du Conseil de sécurité à New York mercredi matin.

    #Zs

    • António Guterres
      @antonioguterres
      6:52 PM · 6 déc. 2023
      https://twitter.com/antonioguterres/status/1732457928496496793

      I’ve just invoked Art.99 of the UN Charter - for the 1st time in my tenure as Secretary-General.

      Facing a severe risk of collapse of the humanitarian system in Gaza, I urge the Council to help avert a humanitarian catastrophe & appeal for a humanitarian ceasefire to be declared.

      https://twitter.com/antonioguterres/status/1732457928496496793/photo/1
      https://twitter.com/antonioguterres/status/1732457928496496793/photo/2

    • Le chef de l’ONU met en garde contre un « effondrement total de l’ordre public bientôt » à Gaza

      Agence France-Presse
      6 décembre 2023 à 18h25
      https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/061223/le-chef-de-l-onu-met-en-garde-contre-un-effondrement-total-de-l-ordre-publ

      Le secrétaire général de l’ONU a mis en garde mercredi contre un « effondrement total de l’ordre public bientôt » à Gaza, pilonnée par Israël, dans une lettre inédite au Conseil de sécurité insistant pour un cessez-le-feu humanitaire.

      « Avec les bombardements constants des forces armées israéliennes, et en l’absence d’abris ou du minimum pour survivre, je m’attends à un effondrement total de l’ordre public bientôt en raison des conditions désespérées, ce qui rendrait impossible une aide humanitaire même limitée », écrit Antonio Guterres en invoquant pour la première fois depuis son arrivée à la tête des Nations unies en 2017 l’article 99 de la Charte qui lui permet d’« attirer l’attention du Conseil » sur un dossier qui « pourrait mettre en danger le maintien de la paix et de la sécurité internationale ».

      « Une situation encore pire pourrait se produire, y compris des épidémies et une pression accrue vers des déplacements de masse vers les pays voisins », ajoute-t-il.

      Alors que l’aide humanitaire transitant par le point de passage de Rafah, entre l’Egypte et la bande de Gaza, est « insuffisante », « nous sommes simplement incapables d’atteindre ceux qui ont besoin d’aide à l’intérieur de Gaza », constate-t-il.

      « Les capacités des Nations unies et de ses partenaires humanitaires ont été décimées par les pénuries de ravitaillement, le manque de carburant, l’interruption des communications, et l’insécurité grandissante ».

      « Nous faisons face à un grave risque d’effondrement du système humanitaire. La situation se détériore rapidement vers une catastrophe qui pourrait avoir des conséquences irréversibles pour les Palestiniens dans leur ensemble et pour la paix et la sécurité dans la région », alerte Antonio Guterres.

      « La communauté internationale a une responsabilité d’utiliser toute son influence pour empêcher une nouvelle escalade et mettre fin à cette crise », a-t-il plaidé, appelant les membres du Conseil de sécurité à « faire pression pour éviter une catastrophe humanitaire ».

      Mi-novembre, après quatre projets de texte rejetés, le Conseil de sécurité, divisé depuis très longtemps sur le dossier israélo-palestinien, avait fini par sortir de son silence, appelant dans une résolution se focalisant sur les enfants à des « pauses et couloirs humanitaires » dans la bande de Gaza.

      Selon des sources diplomatiques, des membres du Conseil travaillent sur un nouveau projet de résolution centrée sur l’aide humanitaire.

      Agence France-Presse

  • Résumé glaçant dans ce communiqué de l’ONU : Israël a tué plus de 115 enfants palestiniens chaque jour depuis un mois et demi, sept femmes toutes les deux heures.

    Two Thirds of Gaza War Dead Are Women and Children, Briefers Say, as Security Council Debates Their Plight
    https://press.un.org/en/2023/sc15503.doc.htm

    “That is two mothers killed every hour and seven women every two hours,” she said. “We mourn them all.”

    […]

    The Gaza Strip is the world’s most dangerous place to be a child, with more than 5,300 Palestinian children killed thus far — amounting to more than 115 a day — and more than 1,200 children under rubble or unaccounted for.

  • #Gaza : le manque de carburant menace d’arrêter « toute » l’opération humanitaire | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/11/1140722

    M. Lazzarini a souligné la dévastation totale causée par près de six semaines de conflit qui, selon lui, a déclenché le plus grand déplacement de Palestiniens depuis 1948 .

    Des milliers de personnes ont fui le nord de Gaza vers le sud de l’enclave, arrivant « déshydratées, affamées, épuisées et sous le choc ».

    Les écoles de l’UNRWA accueillent désormais plus de 800.000 personnes dans des conditions désastreuses et un manque de nourriture, d’eau et d’assainissement adéquat. Jusqu’à 40% des personnes hébergées dans les refuges présentent déjà des maladies de peau.

    Il a également abordé certaines des dernières préoccupations de l’UNRWA ainsi que les « malentendus » ou la « désinformation ».

    Bien que les gens aient été évacués du nord, un tiers de toutes les personnes tuées l’a été dans le sud, a-t-il expliqué. Il a souligné qu’« il n’y a aucun endroit sûr à Gaza », y compris dans les locaux de l’ONU .

    #sionisme #criminel

  • Le Conseil de sécurité adopte une résolution appelant à des pauses humanitaires urgentes et prolongées à Gaza
    15 novembre 2023 | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/11/1140677

    Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté mercredi une résolution appelant à des pauses humanitaires urgentes et prolongées à Gaza et à la libération immédiate des otages, plus de cinq semaines après les attaques meurtrières de militants du Hamas en Israël, suivies de bombardements et d’opérations terrestres de l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne.

    Ce texte présenté par Malte a reçu 12 votes pour, zéro vote contre, et 3 abstentions (Etats-Unis, Royaume-Uni et Russie).

    Avant ce vote, les membres du Conseil ont voté sur un amendement proposé par la Russie. Le résultat a été de 5 voix pour, une contre et neuf abstentions. Les États-Unis ont voté contre. L’amendement n’a pas été adopté car il n’a pas recueilli les voix requises.
    Cinquième tentative

    Il s’agit de la cinquième tentative d’adopter une résolution sur la crise à Gaza. Le Conseil avait rejeté quatre projets de résolution précédents en raison de divergences sur des dispositions telles que les références à un cessez-le-feu alors que la campagne terrestre d’Israël s’est intensifiée avec la perte de plus de 11.000 vies palestiniennes jusqu’à présent, selon le ministère de la Santé de Gaza, et les condamnations spécifiques des attaques du Hamas.

    La résolution adoptée mercredi appelle notamment à la libération immédiate de tous les otages détenus par le Hamas, qui gouverne la bande de Gaza, ainsi qu’à des pauses humanitaires urgentes et prolongées et à des couloirs à travers l’enclave assiégée pour permettre l’accès des travailleurs humanitaires.

    Le texte exige également que toutes les parties respectent le droit international, notamment en matière de protection des civils.

    Pour être adoptée, une résolution nécessite neuf voix pour et aucun veto – un privilège réservé à ses membres permanents (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni et Russie).

    Un veto américain fin octobre a incité l’Assemblée générale des Nations Unies à convoquer sa dixième session extraordinaire d’urgence sur la crise, qui a adopté le 27 octobre une résolution appelant à une trêve humanitaire et à la protection des civils.


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    Israel-Hamas war live : Israel raids Gaza’s al-Shifa Hospital | Israel-Palestine conflict News | Al Jazeera
    https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2023/11/15/israel-hamas-war-live-israel-says-it-plans-to-raid-al-shifa-ministry
    15 novembre é023
    22:15 GMT

    Palestinian UN envoy lays out Security Council resolution’s shortcomings

    Riyad Mansour says the resolution passed by the UNSC a short while ago – which Israel already rejected – failed to mention key issues.

    He told the council that the measure did not condemn:

    Israel’s killings of more than 11,000 Palestinians, including some 5,000 Palestinian children
    “indiscriminate attacks by Israel”.
    “the assault on hospitals and schools” in the Gaza Strip.
    the killing by Israel of UN staff, journalists, humanitarian personnel, doctors and rescue team members.
    the arbitrary imprisonment of thousands of Palestinians – men, women and children – “nor call for their immediate and unconditional release”.

    Mansour also accused the international community of displaying “selective outrage” – and directly asked Security Council members what they intended to do to get Israel to abide by the resolution they just passed.

    “What are you going to do?” he said. “You just adopted a resolution, they told you, ‘We are not going to implement it.’”

    #7oct

  • Israel-Hamas war live: Infant death toll rising at al-Shifa, says ministry 13 novembre 2023 | Al Jazeera
    https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2023/11/13/israel-hamas-war-live-gazas-two-largest-hospitals-shut-amid-nonstop-raids


    22:35 GMT

    Here’s a recap:

    Israeli air attacks killed at least 31 people in Jabalia refugee camp in northern Gaza, according to the Wafa news agency. Other air attacks have hit residential areas of the Nuseirat refugee camp and Deir el-Balah, both in central Gaza.
    Negotiations appear to be ongoing over a captive release deal, according to comments from Hamas officials and US President Biden. A Hamas spokesperson said that the Israelis were adding more conditions to the deal, which he said would see 50 captives released in exchange for 200 children and 75 women held in Israeli jails, among other details.
    Video released by the al-Qassam Brigades purports to show an Israeli military captive who was later killed in an Israeli air attack.
    Biden says that hospitals must be protected as Israeli forces continue to besiege medical structures in Gaza City. An MSF surgeon reported that patients had been shot by Israeli snipers at al-Shifa Hospital.
    The EU supports “immediate pauses” in the fighting in Gaza, the bloc’s top diplomat said.
    Israeli forces reportedly killed two Palestinians during a raid in Tulkarem, in the occupied West Bank.

    • Israel-Palestine live: Nearly all Gaza City hospitals out of service, Israel admits global pressure for ceasefire
      13 novembre 2023 | Middle East Eye
      https://www.middleeasteye.net/israel-palestine-hamas-war-gaza-live-invasion


      22h50 (heure française)

      Good evening Middle East Eye readers,

      The death toll from Israel’s assault on Gaza since 7 October has killed 11,240 Palestinians , including 4,630 children and 3,130 women, the government media office in Gaza said on Monday.

      Nearly all hospitals in Gaza City are out of service after bombardments, a siege, and a lack of fuel and electricity.

      US President Joe Biden said that the hospital, referring to al-Shifa Hospital in Gaza City, must be protected and that he hopes there will be “less intrusive” action there.

      Today Abu Ubaida, the spokesperson for Hamas’s armed wing, the Izz al-Din al-Qassam Brigades, said Israel requested 100 women and children be released from Hamas custody.

      In return, the al-Qassam Brigades offered the exchange of 200 Palestinian children and 75 women held in Israeli custody, a five-day ceasefire, and entry of humanitarian aid to the entire besieged Strip.

      The al-Qassam spokesperson said that Israel is stalling on a response to their offer and that Qatar is facilitating the talks. In other updates:

      At least 30 Palestinians were killed and scores injured during Israel’s bombardment of the Jabalia refugee camp, north of Gaza City.
      The UN agency in charge of looking after Palestinian refugees said its trucks in Gaza have officially run out of fuel.
      Israeli Foreign Minister Eli Cohen said on Monday that his country may have up to three weeks to continue its bombardment of Gaza before pressure for a ceasefire ratchets up.
      Egyptian security officials said around 500 foreigners and dual nationals, as well as wounded Palestinians, left the besieged enclave on Sunday.
      The Euro-Mediterranean Human Rights Monitor says it has documented reports of the execution of dozens of Palestinians by Israeli army forces during their displacement from northern Gaza

    • A l’hôpital Al Shifa à Gaza, des bébés meurent au milieu de scènes de dévastation et de désespoir | ONU Info
      https://news.un.org/fr/story/2023/11/1140562

      Al-Shifa est l’épicentre d’affrontements armés dans la ville de Gaza à la suite des affirmations de l’armée israélienne selon lesquelles le Hamas a construit un centre de commandement sous l’hôpital. Les allégations ont été démenties par les professionnels de la santé qui y travaillent.

  • En six ans, plus de 43 millions d’#enfants ont été déplacés à cause de #catastrophes_météorologiques

    Les catastrophes climatiques ont déraciné et traumatisé des dizaines de millions d’enfants dans le monde, a alerté vendredi le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).

    Selon ses estimations, les inondations fluviales pourraient, à elles seules, déplacer presque 96 millions d’enfants au cours des 30 prochaines années.

    Entre 2016 et 2021, quatre types de #catastrophes_climatiques (#inondations, #tempêtes, #sécheresses, #incendies), dont la fréquence et l’intensité augmentent avec le réchauffement de la planète, ont entraîné 43,1 millions de déplacements d’enfants à l’intérieur de 44 pays, dont 95% liés aux inondations et aux tempêtes, détaille le rapport. Et ce n’est là que « la partie émergée de l’iceberg », souligne l’UNICEF, déplorant le manque d’attention portée à ces « victimes invisibles ».

    Sur cette période de six ans, il s’agit d’environ 20.000 déplacements par jour. « Imaginez la terreur d’un enfant qui voit sa communauté ravagée par un feu incontrôlé, une tempête ou une inondation », a déclaré Catherine Russell, Directrice générale de l’UNICEF. « En plus d’affronter la peur, ceux qui sont contraints de fuir traversent des épreuves aux conséquences particulièrement dévastatrices, sans savoir s’ils pourront rentrer chez eux et retourner à l’école ou s’ils devront se déplacer à nouveau ».

    Inondations, tempêtes, sécheresses

    Les inondations et les tempêtes ont donné lieu à 40,9 millions de déplacements d’enfants entre 2016 et 2021, soit 95% du nombre total recensé. Dans le même temps, les sécheresses ont provoqué plus de 1,3 million de déplacements internes d’enfants, la Somalie comptant une fois encore parmi les pays les plus touchés, tandis que les feux incontrôlés en ont provoqué 810.000, dont plus d’un tiers au cours de la seule année 2020.

    Même si les impacts grandissants du changement climatique frappent partout, le rapport pointe du doigt des zones particulièrement vulnérables. Ainsi, les Philippines, l’Inde et la Chine sont les pays les plus touchés en nombre absolu (près 23 millions de déplacements d’enfants en 6 ans), en raison de leur très large population, de leur situation géographique, mais aussi de plans d’évacuation préventifs.

    Mais en examinant la proportion d’enfants déplacés, on constate que les enfants vivant dans de petits États insulaires, tels que la Dominique et le Vanuatu, ont été les plus affectés par les tempêtes, tandis que ceux de Somalie et du Soudan du Sud sont au premier rang des victimes d’inondations.

    Le risque de déplacement est particulièrement élevé pour les enfants vivant dans des pays déjà aux prises avec des crises simultanées, telles que les conflits et la pauvreté, et dont les capacités locales à faire face à d’éventuels déplacements d’enfants supplémentaires sont mises à rude épreuve. Haïti, par exemple, pays à haut risque de déplacements d’enfants liés à des catastrophes, est également en proie à la violence ainsi qu’à la pauvreté et pâtit d’un manque d’investissements dans des mesures d’atténuation des risques et de préparation.

    96 millions d’enfants déplacés dans les 30 prochaines années

    Par ailleurs, le rapport avance des projections. Par exemple, les inondations uniquement liées au débordement des rivières pourraient provoquer 96 millions de déplacements d’enfants dans les 30 prochaines années, les vents cycloniques 10,3 millions et les submersions marines liées aux tempêtes 7,2 millions. Des chiffres qui n’incluent pas les évacuations préventives.

    « À mesure que les effets des changements climatiques s’accentuent, les mouvements en lien avec le climat s’intensifient eux aussi, et force est de constater que nous n’agissons pas assez vite, alors même que nous disposons des outils et des connaissances nécessaires pour relever ce défi de plus en plus urgent », a ajouté Mme Russell.

    Alors que les dirigeants s’apprêtent à se réunir à Dubaï en novembre à l’occasion de la COP 28 pour aborder la question des changements climatiques, l’UNICEF appelle les décideurs à prendre des mesures pour protéger les enfants et les jeunes exposés à un risque de déplacement et les préparer, ainsi que leurs communautés. Il importe de veiller à ce que les services essentiels pour les enfants, notamment l’éducation, la santé, la nutrition, la protection sociale et la protection infantile, soient résilients aux chocs, mobiles et ouverts à tous, y compris aux enfants déjà déracinés.

    https://news.un.org/fr/story/2023/10/1139392
    #climat #changement_climatique #IDPs #déplacés_internes #réfugiés_climatiques #chiffres #statistiques #UNICEF #rapport #enfance #déplacés

    • Alerte UNICEF : impacts du réchauffement climatique et de la crise environnementale sur les enfants

      La crise climatique et environnementale est l’un des plus grands défis à relever pour nos sociétés, et la jeune génération est déjà la plus touchée. Face à cette vulnérabilité, l’Unicef lance à nouveau l’alerte …

      Avec #Dina_Ionesco Chef de la Division des migrations, de l’environnement et du changement climatique (MECC)

      La situation est critique et ces chiffres devraient malheureusement continuer d’augmenter dans les années à venir. Quels sont les impacts du changement climatique et des dégradations environnementales sur les enfants du monde ? Quelles initiatives et solutions existent et doivent être soutenues au plus haut niveau ?

      Avec Jodie Soret, responsable du service ‘Programmes, plaidoyer et affaires publiques’ chez UNICEF France et Dina Ionesco, spécialiste des questions de migrations climatiques qui a travaillé sur ces questions à l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) jusqu’en 2021 et travaille actuellement pour le Forum des Pays les Plus Vulnérables (Climate Vulnerable Forum, le CVF).

      https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/de-cause-a-effets-le-magazine-de-l-environnement/alerte-unicef-impacts-du-rechauffement-climatique-et-de-la-crise-environ
      #audio #podcast

  • Israël-Gaza : le Conseil de sécurité rejette un projet de résolution en raison du veto des Etats-Unis
    18 octobre 2023 | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/10/1139767

    Proposé par le Brésil, le texte, tout en condamnant sans équivoque les « attaques terroristes odieuses » perpétrées par le Hamas en Israël à partir du 7 octobre 2023, encourageait la mise en place de couloirs humanitaires et d’autres initiatives pour l’acheminement de l’aide humanitaire aux civils palestiniens.

    Il demandait également d’annuler l’ordre donné aux civils et au personnel de l’ONU d’évacuer le nord de l’enclave, ainsi qu’à fournir électricité, eau, carburant, nourriture et fournitures médicales en quantité suffisante à la population de Gaza.
    Explications de vote

    Les États-Unis ont justifié leur veto par le fait que le texte ne faisait nulle part mention du droit d’Israël à la légitime défense. « Israël a le droit inhérent de se défendre, comme le prévoit l’article 51 de la Charte des Nations Unies », a souligné l’Ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield. Elle a aussi noté que ce droit avait été réaffirmé par le Conseil dans des résolutions antérieures concernant des attaques terroristes, et que « cette résolution aurait dû faire de même ». (...)

  • Le Conseil de sécurité rejette un projet de résolution russe sur Gaza | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/10/1139707

    16 octobre 2023 Paix et sécurité

    Le Conseil de sécurité de l’ONU a rejeté lundi soir, lors d’un vote, un projet de résolution proposé par la Russie qui aurait appelé à un cessez-le-feu humanitaire dans la bande de Gaza, ravagée par près de dix jours de combats entre Israël et les militants palestiniens du Hamas.
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    Ce projet de résolution a reçu cinq voix pour (Chine, Gabon, Mozambique, Russie et Émirats arabes unis) et quatre contre (France, Japon, Royaume-Uni et États-Unis), avec six abstentions (Albanie, Brésil, Équateur, Ghana, Malte et Suisse).

    Pour que le Conseil puisse adopter une résolution, la proposition doit recueillir au moins neuf voix pour, sans qu’aucun de ses cinq membres permanents (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie) n’y oppose son veto.

    Découvrir que la Suisse et le Brésil s’abstiennent...

    Découvrir que les « contre » sont dans le campisme le plus terre à terre.

    C’était il y a déjà 2 jours. Peut-être y-aura-t-il du changement aujourd’hui ?

    On retrouve toujours le même jeu de rôle, vieux de plusieurs dizaines d’années. Les atrocités du gentil, niées et euphémisées, voire attribuées au méchant. Les atrocités du méchant, montées en épingle, c’est bien le moins qu’on puisse faire.

  • Le chef de l’ONU annonce des prochaines étapes pour la réforme des institutions multilatérales | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/10/1139322

    4 octobre 2023

    Présentant ce mercredi 4 octobre le bilan de la semaine de haut niveau de l’Assemblée générale, le chef de l’ONU s’est fait l’écho de l’appel retentissant des dirigeants mondiaux pour la réforme et le renouveau de la coopération multilatérale.

    La question à 10 euros : qui qui est à la manœuvre pour encadrer et diriger les débats ?

  • Frontière entre États-Unis et Mexique : la route la plus meurtrière au monde pour les #migrants | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/09/1138437

    Au moins 686 décès et disparitions de migrants ont été recensés à la frontière entre les #États-Unis et le #Mexique en 2022, a indiqué mardi l’Agence de l’ONU pour les migrations, relevant que cet itinéraire terrestre reste le plus meurtrier jamais enregistré pour les migrants dans le monde.

  • #Climat : « Le futur dystopique est déjà là », alerte le chef des droits de l’homme de l’ONU | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/09/1138402

    Dans son discours d’ouverture de la 54e session du Conseil des droits de l’homme, il s’est également dit « choqué par la nonchalance » face aux milliers de #migrants qui périssent chaque année dans le monde sur les routes migratoires. Alors que les changements climatiques renforcent les déplacements de populations, il a ainsi fustigé cette « l’indifférence ».

  • Paludisme : le Fonds mondial s’efforce d’améliorer l’accès à des moustiquaires plus efficaces | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/08/1137827

    Les moustiquaires imprégnées d’insecticide pyréthrinoïde sont largement utilisées depuis les années 1990 et sont à l’origine des progrès réalisés à ce jour dans la lutte contre le paludisme. Cependant, certaines populations de moustiques ont développé une résistance aux pyréthrinoïdes, en particulier en Afrique subsaharienne, où l’on observe la majorité des cas de paludisme. Cette résistance réduit l’efficacité des moustiquaires imprégnées d’insecticide et met en péril les gains durement acquis par les programmes de lutte contre le paludisme.

  • Le Président de l’Assemblée générale dénonce les « jeux géopolitiques » au détriment de vies vulnérables | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2023/07/1136972

    Le 11 juillet, une résolution du Conseil de sécurité sur le renouvellement d’un mécanisme d’acheminement d’aide transfrontalier de la Türkiye au nord-ouest de la #Syrie a échoué après que la Russie a opposé son veto au projet de texte. Treize des 15 membres du Conseil ont voté pour et la Chine s’est abstenue.

    Toujours le 11 juillet, une deuxième résolution pour une prolongation de six mois du mécanisme n’a pas non plus été adoptée car elle n’avait pas le nombre requis de votes en faveur. La résolution a été présentée par la Russie et soutenue par la Chine. Trois États membres (France, Royaume-Uni et États-Unis) ont voté contre et 10 se sont abstenus.

    L’échec de l’extension du mécanisme a pratiquement stoppé tous les convois d’aide, laissant plus de 4,1 millions de personnes, principalement des femmes et des enfants, coupées des fournitures essentielles.