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  • La baudruche des JO commence à se dégonfler

    Sa suffisance 1er vient de casser le morceau, y a un plan B et un plan C pour la cérémonie inaugurale, le Stade de France et le Troca, les flics ont mis la pression, ça a marché, voulaient pas porter le chapeau si ça foire...

    Voir aussi l’infâme Darmanin à la chasse au dahu lors d’un exercice anri-drône qui a lamentablement foiré...

    https://www.marianne.net/societe/terrorisme/apres-un-premier-echec-un-deuxieme-quand-le-systeme-antidrone-des-jo-est-d

    Coté baignades en Seine le couple de seconds couteaux d’Hidalgo, les cadors se planquent, une certaine Brigitte Légaré pour le Cojo et l’illustre Pierre Rabadan pour la mairie, aka « Les égarés du Ramadan » commencent à numéroter leurs abattis.

    Ca commence bien :-)

    • Après un premier échec, un deuxième… Quand le système anti-drone des JO est défaillant
      https://www.marianne.net/societe/terrorisme/apres-un-premier-echec-un-deuxieme-quand-le-systeme-antidrone-des-jo-est-d


      « Nous sommes face à un vrai problème : comment arrêter les drones potentiellement hostiles ? »
      J.E.E/SIPA

      Officiellement, le dispositif de lutte anti-drone est opérationnel pour les jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Telle est la conclusion de l’exercice « Coubertin LAD 2 », qui a regroupé une série de cinq tests effectués du 11 au 15 mars. L’enjeu : déployer le dispositif et éprouver son efficacité. Censé identifier, détecter et neutraliser les drones, le système Parade en est le produit phare. Problème : « Sur deux des sites où Parade a été testé, ça n’a pas fonctionné selon les performances attendues », confie à Marianne un observateur de l’exercice. « C’est-à-dire que Parade arrête les drones mais dans un périmètre bien plus restreint qu’attendu. »

      En clair, Parade n’a pas fait le boulot. C’est d’autant plus problématique que l’un de ces deux tests a eu lieu aux abords d’un ministère, en plein Paris. Réalisé à portée de vol de la place de la Concorde et du Champ-de-Mars, en plein cœur de la capitale, le déploiement du système Parade n’a pas fonctionné, nous assure une source proche du dossier. Ce que nous confirme une huile de l’armée de l’air.

      A LIRE AUSSI : JO de Paris 2024 : un test antidrones confidentiel réalisé au-dessus d’un ministère... a foiré

    • Le joujou dans les mains de Gégé, ce n’est pas Parade, c’est un SkyWall Patron.

      Parade, c’est ça (déc. 2022, quand ça marchait…)
      https://www.youtube.com/watch?v=v1UdZ6zkZmI

      et SkyWall, ça
      Drone explosif, attaque de la flamme : Gérald Darmanin inspecte la sécurité des Jeux olympiques | 78actu
      https://actu.fr/ile-de-france/beynes_78062/drone-explosif-attaque-de-la-flamme-gerald-darmanin-inspecte-la-securite-des-je


      À Beynes (Yvelines), Gérald Darmanin s’est essayé au maniement du Skywall, un engin capable de capturer un drone.
      ©François Desserre

      On chassait deux types de gibier sur le camp de la gendarmerie de Beynes (Yvelines), ce lundi 18 mars 2024. D’abord ceux qui pourraient s’en prendre à la flamme olympique. Ensuite ceux qui songeraient à utiliser un drone pour nuire à ce qui s’annonce comme l’événement sportif du siècle en France.
      […]
      Aucun drone ne devra voler, sinon…
      De ce côté-là, le commandant de la section de protection et d’appui drones (SPAD) ne semble pas démuni en solutions. Il dispose de plusieurs pistolets et fusils permettant de brouiller le signal des appareils en les maintenant sur place. Il peut même les renvoyer à leurs expéditeurs. Portée : 1000 mètres.

      En dernier recours il peut dégainer le Skywall ; 80 000 euros l’unité. « Il s’agit d’un engin qui lance un filet jusqu’à 100 mètres. Il capture le drone si le brouillage se révèle inefficace ou si le drone a été trafiqué. Un parachute se déploie pour une récupération sans danger. Nous l’aurons certainement avec nous pour la cérémonie d’ouverture. Rien ne sera autorisé à voler dans le ciel », prévient le lieutenant Nicolas Belec, le patron de la SPAD.

      en démo, il y a 2 ans
      https://www.youtube.com/watch?v=5DkEwVHI9zk

      Openworks Engineering est une société britannique

  • Désavoué par Amélie Oudéa-Castéra dans sa réforme des classes prépa, le recteur de Paris démissionne | Actu Paris
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/desavoue-par-amelie-oudea-castera-dans-sa-reforme-des-classes-prepa-le-recteur-

    « La reproduction sociale caractérise encore beaucoup trop notre système éducatif. Paris en est un exemple, certains diront un miroir grossissant. » Ces termes, forts, ne sont pas de Pierre Bourdieu, mais bien de Christophe Kerrero. Le recteur de l’académie de Paris vient d’annoncer sa démission dans une lettre adressée aux personnels enseignants de l’académie de Paris. Une crise de plus à gérer pour la ministre de l’Éducation Amélie Oudéa-Castéra.

    • Le recteur avait averti à l’automne 2023 de la fermeture de quatre #classes_préparatoires et l’ouverture de trois autres à la rentrée 2024, mais un moratoire sur ces fermetures a été annoncé au Conseil supérieur de l’éducation du 31 janvier par Amélie Oudéa-Castéra, sans que Christophe Kerrero en ait été informé. Le sujet était arbitré « en faveur » du recteur il y a plusieurs semaines. « Cela était clos et entendu avec Matignon. Le recteur de Paris a découvert la décision de la ministre via les réseaux sociaux des syndicats », assure-t-on dans son entourage.

      Dans son long courrier, le recteur semble regretter le choix de surseoir à cette évolution de la carte des formations parisiennes. Il revient sur le projet de prépa au concours de professeur des écoles, en évoquant un dispositif destiné à « aller chercher des bacheliers pour qui l’enseignement constitue une voie de promotion sociale et pour former des professeurs dont nous manquons cruellement ». Il assume également d’avoir choisi « pour cela [de] fermer, en effet, quelques classes au sein d’une carte parisienne dont l’offre dépasse largement les besoins ».

      Le recteur évoque également le grand chantier de ces dernières années : mettre fin aux « #lycées_de_niveau » et aux ghettos scolaires qui se renforçaient jusqu’alors dans les lycées publics parisiens. Pour réussir ce pari, le recteur d’académie avait lancé dès l’hiver 2020-2021 une réforme de la plate-forme d’Affectation des lycéens par le Net (Affelnet), entrée en application en 2008 et utilisée partout en France pour répartir les élèves de 3e dans les lycées – avec un paramétrage différent pour Paris.

      A l’issue de cette réforme, « en l’espace de deux ans, la ségrégation sociale des lycées publics de la capitale, qui était supérieure de 15 % à la moyenne des autres académies, est devenue inférieure de 26 % à cette moyenne », résumaient Julien Grenet et Pauline Charousset, chercheurs à l’Ecole d’économie de Paris, dans une note d’analyse diffusée le 8 février 2023. L’année suivante, le dispositif est élargi aux prestigieux lycées Louis-le-Grand et Henri-IV, non sans provoquer de polémiques.

      Dans sa lettre de démission, Christophe Kerrero rappelle qu’il a « été l’un de ces élèves en échec ». « Il s’en est fallu de peu que je ne rejoigne la cohorte des exclus si certains professeurs, dans un autre cadre, n’avaient cru à mes capacités révélées plus tardivement », poursuit-il.

      https://justpaste.it/2s9pi

      Le beau geste d’un libéral hostile aux rentes de situation
      https://seenthis.net/messages/852711

      #école #élèves #Paris #éducation_nationale #groupes_de_niveau #ségrégation_sociale #classes_préparatoires #démission

  • JO de Paris 2024 : non, Île-de-France Mobilités ne va pas demander la fermeture de Google Maps | Actu Paris
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/jo-de-paris-2024-non-ile-de-france-mobilites-ne-va-pas-demander-la-fermeture-de

    JO : la tentation autoritaire... bientôt on apprendra que les système de reconnaissance de visage permettront de mettre des amendes ou pire à ceux qui voudront se déplacer à leur guise plutôt que de suivre les itinéraires décidés par l’Etat olympien (pour ne pas dire jupitérien)

    Quelques jours plus tôt, chez nos confrères, Laurent Prosbt avait émis l’hypothèse d’appeler l’État à la rescousse si les applications d’aide aux déplacements (Google Maps, Citymapper et les autres) ne relayaient pas les itinéraires proposés par Île-de-France Mobilités.

    « On a demandé à Google Maps, Citymapper et les autres) de relayer nos plans de transports pour que le voyageur passe par le chemin qu’on lui a indiqué. « Nous avons confiance dans le fait qu’ils joueront le jeu. S’ils ne le font pas, il faudra que l’État prenne les décisions nécessaires. On leur demandera de fermer leur application. C’est un enjeu de sécurité publique », expliquait-il.

    Une nouvelle application créée par IDFM
    En parallèle, Île-de-France Mobilités proposera également son application pour se déplacer dans la capitale pendant les JO. Elle s’appellera « Transport Public Paris 2024 » et sera mise en service « au printemps 2024 », détaille Île-de-France Mobilités dans son communiqué.

    Quand on sait comment la police a si mal encadré les flux de spectateurs pour la finale européenne de foot il y a un an, leur autoritarisme fait peur...
    #carte #controle #déplacement #liberté #panoptisme numérique
    la France de #Macron

  • Maisons-Laffitte : par hasard, les policiers découvrent une ado de 14 ans livrée à la prostitution | 78actu
    https://actu.fr/ile-de-france/maisons-laffitte_78358/maisons-laffitte-par-hasard-les-policiers-decouvrent-une-ado-de-14-ans-livree-a

    Laura* n’a que 14 ans. Depuis quand se livre-t-elle à la prostitution ? Nul ne le sait. Toujours est-il que l’adolescente a été découverte par des policiers, dans une chambre sordide d’un hôtel de Maisons-Laffitte (Yvelines). Véritablement par hasard. Les fonctionnaires recherchaient une autre jeune fille, âgée de 13 ans. Ils se sont rendus dans l’établissement, sachant pertinemment qu’il est tout aussi fréquenté la nuit que le jour… Souvent par des hommes seuls et pour quelques heures.

    Vendredi 17 novembre 2023, deux jeunes hommes de 21 ans ont été jugés par le tribunal de Versailles pour proxénétisme. Deux jeunes qui n’ont pas pris la mesure de leurs actes.
    Protoxyde d’azote

    Retour à la journée du lundi 13 novembre 2023. Les policiers se rendent dans cet hôtel, espérant retrouver la trace d’une certaine Aline*. A l’accueil, on répond qu’il y a bien une jeune fille présente dans une chambre. Mais sans plus s’en soucier.

    Les agents s’y rendent. La porte s’ouvre sur une scène ignoble. « Il y avait une quantité délirante de préservatifs et de capsules de protoxyde d’azote », résume le rapport des policiers. Laura est complètement nue. Sur la table, il y a aussi 255 euros.

    Jordan est présent dans la pièce. Et dehors, on trouve Reda.

    Le trio est immédiatement arrêté.

    « Le gars est prêt… »

    Aux policiers, Laura raconte d’abord que Jordan est « son mec du moment et s’il y a un problème avec lui, je vais me jeter du pont de Normandie ».
    Vidéos : en ce moment sur Actu

    Des menaces, elle va passer aux explications. Aux véritables explications.

    Laura, c’est un parcours de vie compliqué. Sa mère n’avait que 17 ans lorsqu’elle est née. Elle a passé le plus clair de son enfance de foyer en foyer. Elle a subi des violences sexuelles étant petite. Là, elle se trouvait dans un centre éducatif fermé, à Beauvais (Oise — dép. 60). Elle a pris la fuite.

    À court d’argent, l’adolescente décide de vendre son corps. Elle rencontre Jordan dans un train. Lui, sans-domicile depuis 3 semaines, s’entiche d’elle.

    Jordan et son copain Reda voient rapidement leur intérêt. Ils décident de s’improviser proxénètes. Ils se partagent une partie des gains de Laura. Et ils se chargent aussi de mettre en ligne des petites annonces sur des sites dédiés, de réserver la chambre d’hôtel, de surveiller, d’alerter de l’arrivée des clients et de donner des directives. « Le gars est prêt. Il veut que tu rentres et que tu y ailles directement », prévient par exemple Reda.
    « Elle m’avait dit qu’elle avait 17 ans »

    Face aux juges, le duo prend la situation avec une certaine légèreté.

    « Elle m’avait dit qu’elle avait 17 ans. Et puis, c’est elle qui en a parlé à la base. C’est elle qui me donnait. Je ne prenais presque rien moi. Je ne me vois pas comme un proxénète. C’était juste pour vivre. »
    Jordan.

    Le président tente de lui ouvrir les yeux. « Vous ne prenez pas la conscience des choses. C’est vous qui avez géré les annonces, les clients… Pour prostituer une gamine de 14 ans ! »

    Avec son acolyte, la réponse n’est pas franchement meilleure. « Ben, Jordan, il m’a demandé ma carte d’identité pour réserver la chambre. Moi, je pensais que c’était sa petite copine », lance Reda, les mains dans la poche ventrale de son sweat vert.

    « Tous les deux, vous vivez dans un autre monde que le mien. Votre conscience et votre considération du corps d’une femme ne sont pas les miennes. »
    Le président du tribunal.

    La réponse a été cinglante

    Pour la procureure de la République, il n’y a pas à tergiverser. L’adolescente réalisait bien 10 à 20 passes par jour, pour gagner entre 50 et 80 euros par homme. « Et ces deux-là en ont tiré un bénéfice. »

    La magistrate réclame des peines de prison de 18 mois contre Jordan et de 12 mois contre Reda, avec incarcération.

    « Les faits sont très graves et la victime est extrêmement jeune », tance le juge en rendant sa décision.

    Pour Jordan, il prononce une peine de 2 ans ; pour Reda, 1 an. Tous les deux sont envoyés à la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy.

    À leur sortie, ils ne pourront plus se rendre dans les Yvelines pendant une durée de 5 ans.

    Pour sa part, Laura a été ramenée dans le centre de Beauvais. Les dernières informations à son sujet indiquent qu’à peine arrivée… Elle a de nouveau fugué.
    * Les prénoms ont été modifiés.

  • Le Crif très remonté contre Macron :
    https://twitter.com/Le_CRIF/status/1723405427403075786

    Le Crif a pris connaissance avec trouble des propos du Président de la République lors de son entretien avec la BBC.

    Le Crif rappelle la responsabilité du Hamas dans la mort des civils palestiniens, que le Hamas a entraînés dans cette guerre et qu’il utilise aujourd’hui comme boucliers humains.

    En laissant penser qu’Israël porte la responsabilité des morts civiles, qui sont bien entendu toutes à déplorer, cette déclaration ouvre la voie à une récupération par ceux qui comme LFI attisent les tensions et divisent la France.

    La responsabilité des morts civils à Gaza incombe au Hamas et non à Israël, comme celle des morts civils à Raqqa ou Mossoul incombait à l’Etat Islamique et non à la France.

    En appelant par ailleurs au cessez-le-feu sans référence à la libération des otages, parmi lesquels 8 Français, cette déclaration isole la voix de la France de celles des autres grands pays démocratiques dans le soutien au combat nécessaire d’Israël contre le Hamas.

    Le Crif demande une clarification de la position de la France.

  • Une manifestation de gauche contre l’antisémitisme et le racisme interdite a paris le 12 novembre !
    https://ricochets.cc/Une-manifestation-de-gauche-contre-l-antisemitisme-et-le-racisme-interdite

    UNE MANIFESTATION DE GAUCHE CONTRE L’ANTISÉMITISME ET LE RACISME INTERDITE A PARIS ! Nous vivons un moment d’une extraordinaire gravité en France. Tout est manipulé, détourné, perverti. En particulier la lutte contre l’antisémitisme. Ce dimanche 12 novembre, une « manifestation contre l’antisémitisme et les racismes et contre l’extrême droite » était organisée par la gauche à Paris, notamment à l’appel de la France Insoumise, de syndicats lycéens et étudiants. « Face aux discours et actes antisémites, (...) #Les_Articles

    / Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/la-prefecture-de-police-interdit-la-manifestation-contre-l-antisemitisme-de-la-
    https://ujfp.org/contre-lantisemitisme-contre-lislamophobie-contre-la-guerre-genocidaire-a-gaza

  • Publicité géante de Louis Vuitton : les écologistes de Paris montent au créneau
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/publicite-geante-de-louis-vuitton-les-ecologistes-de-paris-montent-au-creneau_6

    La future adresse du groupe #LVMH sur les Champs-Élysées à Paris a été recouverte d’une publicité géante. Les élus écologistes remettent en question la légalité de cet affichage.

    Comment Anne Hidalgo et LVMH veulent relancer les Champs-Elysées, 10.11.2921
    https://www.challenges.fr/entreprise/comment-anne-hidalgo-lvmh-et-les-marques-de-luxe-veulent-relancer-les-cha

    Attentats, gilets jaunes, pandémie. Après une série d’années noires, les #Champs-Elysées ont vu leur trafic fondre. Mais à la faveur de la nomination de Marc-Antoine Jamet, secrétaire général de LVMH, à la présidence du Comité Champs-Elysées, les enseignes de l’avenue sont bien décidées à redorer son blason. Avec l’aide d’#Anne_Hidalgo ?

    #Paris

  • Montreuil : les occupants d’un squat LGBT expulsés
    https://actu.fr/ile-de-france/montreuil_93048/montreuil-les-occupants-d-un-squat-lgbt-expulses_59990813.html


    Les occupants du squat ont refusé de quitter les lieux et déployé un drapeau arc-en-ciel sur le toit. (©Frédéric Olivier / actu Val-de-Marne)

    Les forces de l’ordre ont procédé, ce mardi 22 août 2023 au matin, à l’expulsion des occupants du squat LGBT La Baudrière, qui militent en faveur de la transition de genre.

    Vers 8 heures, ce mardi 22 août 2023, la police, sous la direction du ministère de l’Intérieur, a procédé à l’expulsion des occupants du #squat #LGBT La Baudrière, situé rue de la République, à #Montreuil.

    Des interpellations parmi les soutiens

    Fortes d’un dispositif important (une dizaine de cars pour ce genre d’opérations), les forces de l’ordre ont bloqué plusieurs rues depuis la place de la République jusqu’à la rue Voltaire. Le mouvement de soutien improvisé à quelques centaines de mètres n’a non seulement pas pu approcher du squat, mais une quinzaine de ses participants ont aussi été interpellés, a pu constater actu Seine-Saint-Denis. Pendant ce temps, les squatteurs réfugiés sur le toit ont déployé un drapeau arc-en-ciel en refusant de quitter les lieux. 

    De mauvaises relations avec le voisinage avancées

    Dans le collimateur de la #mairie, qui leur reprochait de mauvaises relations avec le voisinage, « les squatteurs étaient plutôt discrets », selon les riverains présents sur place et qui souhaitent rester anonymes. Se définissant comme « squat anarcha-féministe TransPdGouine (TPG) », les occupants de La Baudrière militent en faveur de la transition de genre, notamment transmasc, en organisant « des soirées d’injection de testostérone afin d’aider, indiquent-ils, des personnes qui pourraient avoir besoin d’assistance dans leur parcours de transition ».

    Des soirées qui semblent avoir heurté la sensibilité de certains habitants du quartier, si l’on en croit une réunion publique diligentée par la mairie, le 18 avril, avec l’appui du #commissariat de Montreuil. La Baudrière se savait menacée, et affichait sur la façade de l’immeuble qu’elle occupait sa défiance vis-à-vis de la municipalité.

    D’après nos informations [sic], l’affaire pourrait être plus complexe et entrer dans une politique antisquat plus globale de la ville dans le #bas_Montreuil, où le prix du foncier flambe. Une thèse réfutée par la mairie, qui précise à actu Seine-Saint-Denis « mener une politique exactement inverse » pour lutter contre la #gentrification.

    Pour compliquer la situation, deux personnes des Soulèvements de la Terre interpellées à Montreuil dans le cadre de l’enquête sur les dégradations d’un site de Lafarge avaient été hébergées à La Baudrière. Qui doit notamment participer à la logistique d’accueil du Convoi de l’eau, dont l’arrivée à Paris est prévue samedi dans un lieu encore indéfini.

    #expulsion #municipalité #bourgification #propriété_foncière

  • « Le plus vieux squat de Paris » : au cœur de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, bastion intégriste illégal | Actu Paris
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/le-plus-vieux-squat-de-paris-au-coeur-de-saint-nicolas-du-chardonnet-bastion-in

    C’est un édifice religieux parmi tant d’autres à Paris et, pourtant, il est occupé illégalement depuis bientôt plus de cinquante ans. L’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet est le temple des intégristes catholiques, sous l’égide de la Fraternité Saint-Pie-X, non reconnue par les autorités ecclésiastiques. Un groupuscule qui fait parler de lui ces derniers jours, puisque, depuis le 22 mai 2023, un ancien prêtre de cette fraternité est jugé à La Roche-sur-Yon (Vendée) pour 27 viols et agressions sexuelles sur mineurs.

    D’une invasion paroissiale rocambolesque à un statu quo jamais résolu, retour sur cette insolite histoire, qui a permis la création d’un quartier général conservateur chéri par l’extrême droite au milieu du 5e arrondissement de la capitale.

    Des réfractaires aux changements de l’Église

    Aux sources de ce drôle de putsch : l’évolution de l’Église catholique durant les années 1960. Le concile Vatican II va profondément changer la liturgie chrétienne. En guise d’exemples, la messe ne se fait plus en latin, mais en langue vernaculaire, et le prêtre est désormais face aux fidèles et non de dos.

    Toutes ces modifications ne vont pas se faire sans heurts. Un certain nombre de fidèles et d’ecclésiastiques vont refuser ces évolutions. En 1970, en Suisse, est fondée par Mgr Marcel Lefebvre la Fraternité saint-Pie-X. Excommuniée par le Vatican, elle va jouer un rôle clé dans la prise de Saint-Nicolas-du-Chardonnet.

    Nous sommes en 1977. Depuis quelque temps déjà, les curés frondeurs organisent des messes dites traditionnelles dans Paris. « Nous nous réunissions dans la salle Wagram, où les cérémonies étaient mises en place juste après les soirées nocturnes », se remémore le trésorier du Rassemblement national, Wallerand de Saint-Just, présent lors de l’invasion de Saint-Nicolas-du-Chardonnet.

    Une invasion prévue

    Il est alors décidé de voir plus grand et de frapper fort pour les traditionalistes. Une église sera réquisitionnée, par la force si nécessaire. « Saint-Nicolas-du-Chardonnet a été choisie, car il n’y avait pas grand monde qui assistait aux messes », glisse Wallerand de Saint-Just.

    Le 27 février, sous la direction de l’abbé François Ducaud-Bourget, 800 fidèles se réunissent place de la Mutualité, non loin de l’église : « On nous a fait comprendre que nous allions nous rendre à Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Nous sommes entrés alors que le curé célébrait la messe. Il a tout de suite compris que quelque chose n’allait pas », se souvient Wallerand de Saint-Just.

    Après cette intrusion massive de l’édifice, l’officiant est mis à la porte, et les traditionalistes s’installent dans l’église. Dès le lendemain, des échauffourées éclatent entre les nouveaux et anciens occupants du lieu : « Les prêtres nommés par l’archevêque s’étaient réfugiés dans l’immeuble situé juste à côté de l’église, ce qui ne facilitait pas les rapports », détaille l’ancien élu FN.

    Rapidement, de nouveaux fidèles intégristes viennent en renfort, poussant leur nombre jusqu’à 3 000. Une « garde » se met en place et des fidèles passent la nuit dans l’église pour éviter toute reprise. Au sein de cette foule, un cocktail composé des ingrédients les plus conservateurs du paysage national : partisans de l’Algérie Française, monarchistes, ou encore le tout jeune Front national.

    Une demande d’expulsion jamais appliquée

    Du côté de l’archevêché, l’invasion n’est pas en odeur de sainteté. Une demande d’intervention est faite au ministère de l’Intérieur et à la préfecture de Police. Les institutions temporisent. On évoque la séparation de l’Église et de l’État pour justifier que les képis ne s’interposent pas dans une querelle de soutanes. De plus, en cette année 1977 où Paris va se choisir un nouveau maire, l’heure n’est pas à l’esclandre.

    Une première action en justice va pourtant être menée. En juillet 1977, la cour d’appel de Paris ordonne l’expulsion des intégristes. La préfecture de Police n’agit pas, car, selon l’institution, « intervenir par la force risque de troubler gravement l’ordre public ».

    Obsèques polémiques et groupuscules d’ultradroite

    Après ce désaveu de l’État, le temps va passer, et la fraternité Saint-Pie-X va s’implanter dans l’église, devenant un temple ultraconservateur. Dans ce lieu, situé non loin du Panthéon, on y célèbre les obsèques de Maurice Bardèche, l’un des fondateurs du négationnisme, ou encore de Paul Touvier, chef de la milice lyonnaise sous l’Occupation. Entre ses murs, il n’y a pas que des enfants de chœur : le groupe Civitas y est très présent.

    Pour expliquer cette surprenante longévité, on parle de soutiens de poids. En 1997, la presse se fait l’écho d’une lettre de Bernadette Chirac envoyée au curé de la paroisse, s’excusant de ne pas avoir pu se rendre au dîner de commémoration des 20 ans de l’occupation de l’édifice religieux. En 1993, la Fraternité Saint-Pie-X va tenter de s’emparer de l’église Saint-Germain-l’Auxerrois, située en face du Louvre. Cette fois, la police dispersera les intrus.

    Tentative d’expulsion par la mairie

    Au début des années 2000, une tentative va être faite pour faire sortir les intégristes de la paroisse. Sylvain Garel, élu Europe Écologie les Verts (EELV) à l’époque, réussit à faire voter un vœu d’expulsion au Conseil de Paris. « C’est le plus vieux squat de Paris, et certaines des positions de la paroisse sont à la fois islamophobes et antisémites. Nous avions pu mettre [le maire] Bertrand Delanoë en minorité. Certains socialistes étaient partis aux toilettes pour ne pas avoir à voter », nous raconte l’ancien élu.

    Le vœu est un vœu pieux. La préfecture de Police n’interviendra pas. Contactée, l’institution nous a répondu que « plus de dix ans s’étant écoulés depuis l’avis d’expulsion de 1977, ce dernier n’est donc plus exécutoire. S’ils envisagent de demander l’expulsion des occupants, la Mairie de Paris ou l’affectataire des lieux doivent alors engager une nouvelle procédure judiciaire ».

    Un coup de force avorté

    Malgré cette fin de non-recevoir, Sylvain Garel va tenter un coup de force quelques années après. Sous son indication, des sans-papiers investissent l’église pour protester. « Qui, des sans-papiers ou des squatters intégristes, la police va-t-elle évacuer  ? », est-il inscrit sur un communiqué. Dans un certain calme, la tentative va échouer, les intrus en attente de régularisation étant sortis de l’église, sous le regard des fidèles.

    Aujourd’hui, la situation n’a toujours pas bougé. Dans la paroisse, la vie poursuit son cours comme dans celle de n’importe quelle église. Une plaque rend hommage à François Ducaud-Bourget. Sur la porte, on conseille fortement aux jeunes femmes de porter le voile pendant les messes. Du côté du diocèse de Paris, on fait avec et on s’étale peu sur la question. La paroisse Saint-Séverin est devenue Saint-Séverin-Saint-Nicolas, pour accueillir les fidèles chassés de leur église depuis bientôt cinquante ans.

    Contactée, la Ville de Paris n’a pas répondu à nos sollicitations.

    • UNE AFFAIRE D’EGLISE : LES DEBUTS DE L’OCCUPATION DE SAINT-NICOLAS-DU-CHARDONNET (27 Février- 4 Juillet 1977)
      https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01116760/document

      page 16

      L’occupation de Saint-Nicolas-du-Chardonnet n’est pas un phénomène sans précèdent. Le 13 Février 1971, un groupe de gauchistes conduit par J-P Sartre et J-L Godard avait occupé le Sacré-Coeur pour commémorer les fusillades de la Commune. Le Recteur de la Basilique avait alors demandé à la police d’intervenir.
      Devant passer en jugement, le Cardinal Marty avait demandé pour eux la clémence de leurs juges.
      Monseigneur Gilson se souvient qu’à l’époque, Michel Poniatowski avait violemment critiqué l’initiative du Cardinal Archevêque de Paris. Il avait déclaré dans une émission de télévision : "Je crois qu’il faut faire très attention (...)

      Quant aux sans-papiers qui en 2003, après que cet élu ait signalé la particularité juridique de St Nicolas ont occupé l’église, reprenant une forme d’action déjà employée avant l’occupation de Saint-Bernard en 1996, ils avaient obtenu non pas un point d’ancrage de la lutte qui aurait permis à d’autres de sortir au grand jour pour lutter mais, en contrepartie dune sortie rapide, un rdv en préfecture.
      https://www.nouvelobs.com/societe/social/20031208.OBS0942/les-sans-papiers-quittent-saint-nicolas-du-chardonnet.html

  • Paris : cet ancien lieu de torture est aujourd’hui une agréable place appréciée des touristes | Actu Paris
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/paris-cet-ancien-lieu-de-torture-est-aujourd-hui-une-agreable-place-appreciee-d

    Les touristes qui y font une halte après avoir visité le Panthéon ne savent peut-être pas qu’ils se rendent sur un lieu au passé bien noir. Dans le 5e arrondissement de Paris, la place de l’Estrapade est bien agréable avec sa fontaine et ses arbres. Personne n’imagine qu’elle fut un endroit où l’on torturait.

    Une torture des plus cruelles en plein Paris

    Car comme son nom l’indique, ici avait lieu, jusqu’en 1687, le supplice de l’estrapade. En matière de torture, l’ingéniosité a souvent été de mise. Ici, le bourreau attachait les bras de la victime à des cordes, le plus souvent dans le dos, puis la hissait jusqu’à la suspendre et la laissait tomber brusquement. Mais sans laisser le corps toucher terre…La pauvre se retrouvait ainsi avec les épaules disloquées.

    Pour rendre l’exercice encore plus cruel, des poids étaient parfois fixés aux pieds de la victime pouvant entraîner l’arrachement des membres. A Paris, ce supplice touchait particulièrement les soldats déserteurs et les protestants lors de leur persécution. Il fut aboli par Louis XVI en 1776.

    L’appartement d’Emily in Paris

    Mais aujourd’hui, les touristes viennent plutôt photographier le numéro 1 de la place où se trouve un bel immeuble : la maison Moreau. Moins attirés certainement par son architecture que par le fait que dans la série Emily in Paris, l’héroïne éponyme habite au cinquième étage.

  • Avec la fin de la trêve hivernale, les squats sous la menace des expulsions
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/04/24/avec-la-fin-de-la-treve-hivernale-les-squats-sous-la-menace-des-expulsions_6

    Alors qu’une proposition de loi « antisquat » a été votée en deuxième lecture à l’Assemblée nationale le 4 avril, les habitants et les associations s’inquiètent d’un durcissement concernant les mesures d’évacuation des lieux occupés illégalement.

    [...] Avec la fin de la trêve hivernale, le 31 mars, elles craignaient de se retrouver à la rue. Le 20 avril, le juge a tranché en leur faveur : elles pourront rester jusqu’en décembre. Si, à Montreuil, ces femmes ont obtenu un petit « répit », plusieurs squats ont été évacués, comme le Malaqueen – un squat et centre social autogéré implanté à Malakoff (Hauts-de-Seine) depuis 2021. « Les squats ne sont pas soumis à la trêve, mais il y a normalement une forme de tolérance durant l’hiver », explique Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, qui rappelle que le contexte de la proposition de loi portée par les députés Renaissance Guillaume Kasbarian (Eure-et-Loir) et Aurore Bergé (Yvelines) contre l’occupation illicite des logements contribue à détériorer la situation.

    Ce texte, déposé par les députés de la majorité et adopté en deuxième lecture par l’Assemblée nationale le 4 avril, est largement décrié, que ce soit par la Défenseure des droits, par la Commission nationale consultative des droits de l’homme ou encore par les rapporteurs spéciaux de l’ONU. Il prévoit de sanctionner le squat du domicile d’autrui de trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende, soit des peines trois fois plus lourdes qu’actuellement. Squatter des bâtiments vides ou désaffectés, y compris ceux destinés à un usage commercial, agricole ou professionnel, exposerait à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende, alors que cela ne constitue pas pour l’instant un délit.

    [...] La préfecture indique pour sa part avoir attendu la fin de la trêve hivernale pour appliquer la loi et affirme avoir proposé des hébergements pour deux ménages (dont une famille avec un enfant) qui ont été refusés.

    Les habitants du Malaqueen avaient reçu un premier ordre d’expulsion le 22 août 2022 mais avaient obtenu un délai. Le 1er avril, le second ordre d’expulsabilité était tombé : pour les occupants, ce n’était plus qu’une question de jours. Depuis cette date, les habitants s’étaient activés à vider les lieux, et, si quelques chambres restaient occupées, une partie d’entre eux avaient déjà quitté les lieux. « Ils ont trouvé refuge dans d’autres squats ou chez des amis, que du temporaire », regrette Maya (les personnes citées par leur prénom ont requis l’anonymat), l’une des soutiens du squat. [...]

    https://justpaste.it/da8nz

    https://paris-luttes.info/communique-du-malaqueen-menace-d-16889
    https://actu.fr/ile-de-france/malakoff_92046/malakoff-une-quarantaine-de-personnes-expulsees-du-squat-du-malaqueen_59023493.

    #squats

  • Réforme des retraites : la CGT Pétrole appelle à la grève, Borne demande de « ne pas pénaliser les Français »
    https://www.sudouest.fr/politique/reforme-des-retraites-la-cgt-petrole-appelle-a-la-greve-vers-un-arret-des-r

    Élisabeth Borne a appelé jeudi les syndicats à « ne pas pénaliser les Français » dans leur mobilisation. « Pour les syndicats, c’est un appel à la responsabilité », a déclaré la Première ministre en marge d’un déplacement à Disneyland Paris. « Il y a un droit de grève, il y a un droit à manifester », mais « c’est important aussi de ne pas pénaliser les Français », a-t-elle prévenu. « On est dans une période qui peut être compliquée, avec de l’inquiétude notamment sur l’inflation. Trouvons des modes d’action qui ne pénalisent pas nos concitoyens », a poursuivi Élisabeth Borne.

    On est reparti pour un tour sur l’air du "blocage irresponsable", comme s’il était possible d’imposer le retrait de cette "réforme" (et surtout les avancées sociales, de façon générale) sans perturber l’ordre des choses. Nous étions très nombreux dans la rue, en 2013, pour nous opposer à la précédente réforme des retraites. Cela n’a pas suffit. Seule la grève générale - nécessairement perturbatrice - pourra imposer un rapport de force à même d’obtenir le retrait. Il est temps de sortir de Disneyland.

  • #Sobriété, ça va faire mal ? | Alternatives Economiques
    https://www.alternatives-economiques.fr/sobriete-ca-va-faire-mal/00105241

    Longtemps, le mot fut synonyme de grand bond en arrière, d’austérité puritaine, de privations monacales. Seuls les défenseurs les plus inquiets de l’environnement la préconisaient, quitte à endurer les quolibets. Et puis, sous l’effet de la guerre en Ukraine et du chaos qu’elle a provoqué dans les circuits énergétiques, la sobriété est d’un seul coup devenue à la mode, provoquant une curieuse épidémie de cols roulés jusqu’aux sommets de l’Etat.

    A la mode, certes, mais toujours un peu inquiétante, car elle ne s’est pas défaite de sa réputation doloriste. Peut-on être sobre sans trop souffrir ? Faut-il se résigner à vivre dans le froid ? Jusqu’où devons-nous chambouler nos vies et nos modes d’organisation collective ? Que devons-nous cesser de fabriquer, de vendre et d’acheter ? Et comment répartir équitablement l’effort de sobriété pour que ceux qui ont déjà trop peu n’aient pas le sentiment qu’on leur demande de se priver davantage ?

  • Chaleur anormale à Paris et en Île-de-France : Météo France annonce un changement des températures
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/chaleur-anormale-a-paris-et-en-ile-de-france-meteo-france-annonce-un-changement

    Chaleur anormale à Paris et en Île-de-France : Météo France annonce un changement des températures

    Ils nous annoncent qu’on va faire comme pour l’heure, décaler les thermomètres d’un degré ? :-)

  • Emmanuel Macron sur France 2 : les délinquants sont-ils majoritairement des étrangers à Paris ? | Actu Paris
    https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/emmanuel-macron-sur-france-2-les-delinquants-sont-ils-majoritairement-des-etran

    « Je veux distinguer le principe et les faits. » À Paris, la mort de Lola, dont la meurtrière présumée est une Algérienne en situation irrégulière, a remis un coup de projecteur sur le lien controversé entre immigration et insécurité. Interrogé à ce sujet sur France 2, mercredi 26 octobre 2022, le président de la République, Emmanuel Macron, a soufflé le chaud et le froid. D’un côté, il a refusé d’établir un « lien existentiel entre l’immigration et l’insécurité ». De l’autre, le chef de l’État a avancé que la délinquance qui agit dans la capitale est en majorité le fait d’étrangers.

    La moitié de la délinquance à Paris serait le fait d’étrangers

    « À Paris, on ne peut pas ne pas voir que la moitié au moins des faits de délinquance que l’on observe viennent de personnes qui sont des étrangers, soit en situation irrégulière, soit en attente de titre », a-t-il lâché face à la journaliste Caroline Roux. Contacté par actu Paris, le ministère de l’Intérieur n’a pas donné suite à nos sollicitations pour confirmer cette donnée partagée par le locataire de l’Élysée.

    En tout état de cause, cette déclaration entretient la confusion. Le président convoque-t-il les condamnations en justice ou les interpellations pour des faits de délinquance ? En août 2022, lors d’une interview fleuve donnée au Journal du dimanche, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait lui évoqué les interpellations en usant de la même rhétorique qu’Emmanuel Macron.

    « Le petit-fils d’immigrés que je suis ne fait pas le lien entre immigration et délinquance », avait-il assuré avant d’indiquer que « 48 % des gens interpellés pour des actes de délinquance à Paris » sont des étrangers.
    En France, 16 % des condamnés sont étrangers

    Si aucune étude statistique n’a été réalisée à l’échelle de Paris, au niveau national, le ministère de la Justice indique en 2022 que 16 % des 426 147 condamnés sont des étrangers. Une proportion encore importante, quand ils représentent seulement 7,7 % de la population vivant sur le territoire hexagonal, selon l’Insee en 2022.

    Mais encore faut-il savoir de quelle délinquance parle-t-on. Une publication de l’Institut Convergences Migrations affilié au CNRS précisait en 2020 que la part des étrangers dans l’ensemble des condamnations varie sensiblement selon la nature des infractions.

    Ainsi, les étrangers sont surreprésentés dans le travail illégal (25 %), pour les faux en écriture publique ou privée (41 %), pour les infractions douanières (50 %) ou encore les infractions liées à la police des étrangers, comme la régularité des titres de séjours (50 %). Des manquements à la loi largement liés à l’instabilité de leurs statuts juridiques.

  • Seine-et-Marne. Une vingtaine d’élèves de Vert-Saint-Denis obligés de redoubler faute de place dans les lycées La République de Seine et Marne

    Une vingtaine d’élèves de 3e du collège Jean-Vilar de Vert-Saint-Denis ont été obligés de redoubler, faute d’avoir trouvé une place dans un lycée professionnel.

    En fin de troisième, la dernière année du collège, les élèves sont toujours soumis au même moment-clé, celui de l’orientation. Formation, lycées professionnels, filière générale, chaque élève formule des vœux pour intégrer le lycée qui lui permettra de poursuivre ses études. Sauf que cette année, tout ne s’est pas passé comme prévu pour une vingtaine d’élèves du collège Jean-Vilar de Vert-Saint-Denis, qui avaient choisi une orientation en seconde professionnelle, dont les lycées ne sont pas sectorisés. 

    « Comme le collège nous l’a bien expliqué, nous avons formulé des vœux au mois de juin pour notre fille, Lou, qui était en troisième, explique Aurélie Michel. On n’a eu que des refus. On a vite vu qu’on n’était pas les seuls dans ce cas, et le collège nous a demandé de revenir le 24 août, et d’être là physiquement, au collège, pour formuler de nouveaux vœux. Ce que nous avons fait. Nous avons remis trois nouveaux vœux, qui se sont encore soldés par des réponses négatives le 25 août. On a recommencé début septembre, avec quatre vœux cette fois, en choisissant des lycées pourtant loin de chez nous, comme Uruguay-France à Avon, Combs-la-Ville ou encore Dammarie-lès-Lys. Là encore, que des réponses négatives ! Le collège s’est alors engagé à nous rappeler le 14 septembre pour trouver une solution. Nous n’avons pas eu de nouvelles avant le 16, tout ça pour nous dire qu’il nous proposait finalement de faire redoubler notre fille. C’était hors de question d’accepter ça pour moi ! »
    . . . . . . .
    La suite : https://actu.fr/ile-de-france/vert-saint-denis_77495/seine-et-marne-une-vingtaine-deleves-de-vert-saint-denis-obliges-de-redoubler-f

    #france #école #éducation #inégalités #enfants #onisep #eduscol #parcoursup

    • La halle du marché d’Abbeville baptisée au nom de Jean-Pierre Pernaut Rédaction Le Journal d’Abbeville

      La plaque a été dévoilée par les enfants de l’ancien journaliste picard.
      La halle Jean-Pierre Pernaut a été inaugurée ce samedi 24 septembre à Abbeville (Somme) en présence de ses enfants Julia et Olivier Pernaut pour ce moment symbolique. Une halle accueillant le marché qui était si cher au cœur de l’ancien présentateur du JT de TF1.

      De nombreuses personnalités étaient également présentes, Célestine Dias de Olivera, Miss somme 2022 élue à Abbeville ainsi que Saïda Hadji présidente du Comité Miss Somme mais également l’ancien journaliste et maire d’Eaucourt-sur-Somme Henri Sannier qui était proche de l’ancien présentateur du JT de 13 h.
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      La suite : https://actu.fr/hauts-de-france/abbeville_80001/la-halle-du-marche-d-abbeville-baptisee-au-nom-de-jean-pierre-pernaut_54090209.

      #revue_de_presse #tf1 #jean-pierre_pernaut #pernaut

    • TRI SELECTIF – Didier Lallement à la mer : « halte à la pollution maritime » Malheurs Actuels

      La nomination de l’ancien préfet de police de Paris a suscité un torrent d’indignations de la part des différentes parties prenantes qui tentent de survivre dans l’océan ou de le défendre.

      Même si le gouvernement a commenté la nouvelle, en expliquant que l’arrivée de Didier Lallement à la mer servait simplement à « s’assurer de l’alimentation des canons à eaux qui participent au maintien de l’ordre », cette communication n’a pas calmé la vague d’indignations.


      Comme d’habitude, c’est la Fédération des Tortues de Mer qui a donné le là, à travers un communiqué particulièrement alarmant, dénonçant notamment « une aggravation manifeste de la pollution des océans, qui ne sont pas voués à accueillir tous les déchets de l’humanité ». Dans ce communiqué, les tortues de mer ont exigé la démission immédiate du secrétaire général.

      Même son de cloche du côté de Sea Shepherd, qui a assuré ne pas faiblir dans sa lutte contre la pollution des océans, en restant particulièrement en alerte face aux violences que subissent les populations maritimes. Greenpeace a également abondé dans ce sens, en condamnant « la gestion du tri des déchets du gouvernement français ».

      La suite : https://malheursactuels.com/didier-lallement-pollution-maritime

      #dauphins #didier lallement #greenpeace #mer #océan #requins #sea shepherd #tortues

  • Saint-Ouen : la police tire après un refus d’obtempérer, une balle finit dans un bus RATP
    https://actu.fr/ile-de-france/saint-ouen-sur-seine_93070/saint-ouen-la-police-tire-apres-un-refus-d-obtemperer-une-balle-finit-dans-un-b

    Tout commence dans la rue du Landy, quand le conducteur d’une voiture refuse de s’arrêter à la demande d’un équipage de police. Les policiers « se sentant en danger » sortent leur arme de service et tirent à deux reprises en direction du véhicule afin de mettre fin à sa course, précise une source policière.

    Une balle arrivera dans la voiture concernée, la seconde dans une vitre d’un bus de la RATP, précisément de la ligne 173 en direction de La Courneuve. Par chance, aucun occupant du bus qui était en service, n’a été blessé, confirme cette même source.

    #Police #armes_de_la_police #délit_de_fuite #refus_d'obtempérer #93

  • Essonne : retrouvé le sexe sectionné sur la voie publique, un individu affirme l’avoir avalé
    https://actu.fr/ile-de-france/chilly-mazarin_91161/essonne-retrouve-le-sexe-sectionne-sur-la-voie-publique-un-individu-affirme-l-a

    Pire, l’individu qui a « un comportement et un discours ambigus et délirants », selon une source policière qui confirme à actu Essonne une information d’Actu17, déclare s’être auto-émasculé et… avoir ingéré son pénis et ses testicules.

    Et ma première réaction a été : « hum, qui je connais dans l’Essonne ? ».