Frépillon : le coiffeur avait la main leste sur sa compagne

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  • « Avoir la main leste »

    Être enclin à frapper très rapidement.

    Locution signifiant qu’une personne est généralement très rapide pour infliger des gifles, des coups en guise de réprimandes . Se dit d’une mère qui gifle rapidement ses enfants, par exemple.

    via http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/14420/avoir-la-main-leste

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    http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/frepillon-le-coiffeur-avait-la-main-leste-sur-sa-compagne-19-04-2018-7673
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    http://www.dhnet.be/actu/faits/tribunal-charleroi-apres-54-ans-de-mariage-je-ne-l-aurais-jamais-frappee-5ab4d

    DH.be - 23/03/18 (soumis par Toxic Princess) :

    On ne sait pas où commencer tellement il y aurait de choses à dire sur cet article : le titre, qui ne prend en compte que la version de l’accusée, les euphémismes (” la main leste ”), les expression tire-larmes ( “une décision qui ne changera sans doute pas grand chose à la solitude du septuagénaire”) ou le ridicule de l’argumentaire repris tel quel par le journaliste ( “ vu la maladie de son épouse, s’est retrouvé avec toutes les tâches ménagères sur le dos “)

    via https://lesmotstuent.tumblr.com

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    Évreux. Ivre, elle frappe son concubin car elle ne trouve plus sa montre
    Dans la nuit de samedi 5 juillet 2017, vers 1h15 du matin à Evreux (Eure), les policiers sont intervenus car une femme a levé la main sur son compagnon.
    Publié le 8 Août 17 à 19:04
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    Samedi 5 juillet 2017, vers 1h15 du matin, les policiers ont été requis, rue du commandant Letellier, non loin du centre-ville d’Évreux (Eure).

    Sur place, les fonctionnaires ont trouvé deux concubins en train de se quereller. Mais en l’occasion, c’est la femme – une Pont-Audemérienne de 46 ans – qui a levé la main sur l’homme, un Ébroïcien âgé de 49 ans.
    Elle ne trouve plus sa montre

    Le prétexte ? La quadragénaire, à la main leste , ne retrouvait plus sa montre. Mais avec un taux d’alcoolémie de 1,08 gr./l., difficile d’avoir les idées claires.

    Conduite au commissariat d’Évreux, la femme a été entendue, puis remise en liberté, son « ami » refusant de porter plainte. Selon les policiers, elle serait coutumière du fait…

    https://actu.fr/normandie/evreux_27229/evreux-ivre-frappe-concubin-elle-ne-trouve-plus-montre_11476105.html
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    Manifestement ca peu servir aussi pour décrir des agressions sexuelles

    « Le beauf a eu la main leste »

    Publié le 09/03/2013 à 05:25 (ca date un peu mais comme c’est Mis à jour le 01/06/2017 à 18:47 c’est finallement toujours Ok pour lanouvellerépublique.fr

    https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/le-beauf-a-eu-la-main-leste

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    Ca sert aussi pour les pyromanne ...

    Il avait mis le feu à la minuterie jouxtant l’appartement d’une voisine. Ceci pour un différend qui les opposait. Il a été écroué vendredi et placé sous mandat de dépôt samedi.
    Le jeune homme de 22 ans à la main leste a reconnu cinq départs de feu dans des immeubles du grand Lyon et l’incendie d’une grange en Ardèche. D’après le Procureur, « la question qui se pose est le maintien en liberté ou pas ». Une analyse psychiatrique sera très certainement demandée.

    https://www.lyoncapitale.fr/actualite/faits-divers-du-jour-un-pyromane-devant-le-parquet

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    Et en cherchent « lever la main sur » je suis tombé sur ce bon graçon, trop gentil comme dit lanouvellerépublique.fr

    La nouvelle république je sais pas ce qu’est ce canard mais c’est vraiment grave la manière dont sont relaté les violences faites aux femmes.

    Le coup de folie d’un garçon ordinaire

    Un gars ben ordinaire, comme dans la chanson de Robert Charlebois : Gilles Guillou, 34 ans, est décrit par son entourage comme un garçon gentil, serviable, quoiqu’un peu réservé et introverti.
    Bref, le bon copain sympa qui ne vous fait pas d’ombre. Avec Amélie, il a formé, pendant trois ans, un couple ordinaire, aux rêves ordinaires : une petite maison et des enfants. Une histoire d’amour qui n’aurait sûrement pas trouvé sa place dans la rubrique judiciaire si…
    Si Gilles n’avait pas été, depuis l’adolescence, d’une jalousie amoureuse maladive. Jalousie qui s’exacerbait dès qu’il buvait. Et il s’alcoolisait depuis l’adolescence. « Quand il avait bu, ce n’était plus le même », a confié une ancienne petite amie.

    Plus le même, mais pas au point de lever la main sur Amélie : « C’était de la violence verbale. »Jusqu’au soir du 28 décembre 2012. Amélie avait signifié la rupture à Gilles quelques jours auparavant. Motif : il n’avait rien fait pour soigner son alcoolisme et sa jalousie.
    Ce soir-là, Gilles faisait ses cartons, opération douloureuse. Alors, il a bu : deux tiers d’une bouteille de whisky. Et, sous un prétexte futile, il a commencé à « dérouiller » celle qu’il aimait : coups de poings, coups de pieds ; puis il est parti dans la cuisine pour s’emparer d’un couteau et le placer sous la gorge d’Amélie. Dans la rixe, il a porté un coup au cou d’une profondeur de 1,5 cm.

    Ces faits, Gilles les a décrits dans le détail lors de sa garde à vue. Mais, hier, malgré les questions insistantes de la présidente Isabelle Rimbault, sa mémoire est lacunaire. Il préfère exprimer son repentir : « J’ai honte de ce que j’ai fait, ça ne me ressemble pas, j’ai d’immenses regrets envers Amélie et sa famille. »
    En prison, il a commencé des thérapies contre son alcoolisme et sur lui-même. Il n’empêche que le garçon ordinaire encourt la réclusion à perpétuité. Car, si, au début, on enquêtait en flagrance sur un délit de violence avec arme (sans intention de donner la mort), l’instruction a été ouverte pour un crime de tentative d’homicide.
    Parce que la victime dit avoir vu sa dernière heure arriver, parce que le coup de couteau aurait pu toucher une fonction vitale. Mais Gilles soutient depuis le début qu’il ne s’agissait que d’effrayer Amélie.
    On est là sur le fil du rasoir, ou plutôt du couteau que Gilles est allé chercher : pour faire peur ou pour tuer ?