lit un truc sur la fonte du pergélisol. C’est grave ? Bah, on n’a qu’à faire comme avec Stephan Eicher et le laisser dégeler en paix.
lit un truc sur la fonte du pergélisol. C’est grave ? Bah, on n’a qu’à faire comme avec Stephan Eicher et le laisser dégeler en paix.
La fonte du pergélisol c’est juste pour décongeler la viande de mammouth et s’adonner à quelques expériences amusantes de géoingénierie.
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2021/07/le-mammouth-pourrait-etre-ressuscite-pour-lutter-contre-le-rechau
Mayotte traverse une grave crise qui prive ses habitants d’eau deux jours sur trois | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/crise-eau-outre-mer-france-mayotte-traverse-une-grave-crise-qui-p
Ces derniers mois, de nombreux doutes se sont installés quant à la salubrité et à la potabilité de l’eau disponible, alors que l’ARS, chargée des contrôles de la qualité de l’eau et la SMAE (Société Mahoraise des Eaux), réseau de distribution de l’eau, assurent que l’eau ne présente pas de signes de contamination pour le moment. Olivier Brahic indique qu’un travail collaboratif est fait avec le Ministère de la Santé pour mener des campagnes de vaccination préventives, notamment contre la typhoïde et le choléra.
Les informations communiquées aux populations sont principalement préventives. « La pénurie d’eau peut engendrer des risques sanitaires, d’autant plus qu’avec les coupures d’eau, les tuyaux ne sont plus en pression, augmentant le risque d’infiltrations de germes ». Le directeur de l’ARS ajoute que trois préconisations majeures sont diffusées pour « éviter que cette crise de l’eau ne se transforme en crise sanitaire ».
Dans un premier temps, il est recommandé de « faire bouillir l’eau après sa remise au robinet ». Mesure qui est accompagnée de recommandations de plages horaires à respecter. « Pour les personnes qui vont être coupées pendant plus de 48 heures, il y a une plage de sécurité de 12 heures pendant laquelle l’eau est réputée non potable », ajoute-t-il. Ce qui laisse peu de temps pour constituer des réserves. Dans un deuxième temps, il est « demandé à la population de faire très attention au stockage de l’eau », ajoute Olivier Brahic. Un stockage dans des grosses cuves est approprié pour une eau à usage sanitaire, qui peut être conservée plus longtemps qu’une eau destinée à la consommation, laquelle ne peut pas être conservée plus de 48 heures dans des jerricans. « Après 48 heures, il n’y a plus de chlore. Le risque bactériologique est donc plus élevé ». Enfin, l’hygiène, notamment des mains, est également à respecter, car elle permet selon l’OMS de diminuer de moitié le risque de contamination.
Tandis qu’une vague de gastro-entérite vide les stocks anti-diarrhéiques de l’île, aucun lien n’a été établi avec la qualité de l’eau à ce jour selon les services publics. Parallèlement, de nombreux habitants rapportent que l’eau des canalisations est boueuse. « L’eau ne peut pas être bue le matin. Elle a une texture très blanchâtre et une odeur vraiment particulière. […] J’ai déjà fait une intoxication alimentaire parce que j’ai bu de l’eau une heure ou deux après la fin de la coupure », témoigne Esteban. « Est-ce qu’il y a des bactéries dans l’eau ? Je ne sais pas. Après, ce qui est sûr, c’est que la crise de l’eau a des conséquences sanitaires ».
Les habitants peinent à maintenir des mesures d’entretien de l’espace privé comme public. Les déchets s’accumulent dans les canalisations et dans les poubelles. « Vu qu’il n’y a plus de sanitaires, les gens font leurs besoins dehors devant chez eux. Ça attire des rats », mais pas seulement. En raison de la déforestation de plus en plus d’espèces sont en contact avec l’Homme. « Les animaux affamés viennent se nourrir dans les poubelles. Et c’est un cercle vicieux, parce que certaines de ces espèces sont consommées à Mayotte ».
De plus, une autre problématique à prévoir est « l’effet de débordement ». Les réseaux vont se retrouver subitement submergés de quantités d’eaux supérieures à leur capacité initiale. « Et comme il pleut énormément sur l’île, cela entraînera tous les déchets, qui vont par la suite se déverser dans les cours d’eau, voieries, canalisations, etc. » souffle l’urbaniste. Il n’est pas recommandé de se baigner après les deux premières semaines de pluie, car d’énormes quantités de déchets sont ainsi charriées.
Crise de l’eau en Europe : la situation est plus grave que ce que l’on pensait | National Geographic
►https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2022/12/crise-de-leau-en-europe-la-situation-est-plus-grave-que-ce-que-lo
Les chercheurs estiment que l’ #Europe perd en moyenne près de 84 gigatonnes d’ #eau par an depuis le début du 21e siècle. C’est un taux alarmant, selon Famiglietti. Il correspond approximativement à la quantité d’eau contenue dans le lac Ontario, ou à 5 fois le débit annuel moyen du fleuve Colorado dans le Grand Canyon. Une telle ampleur (1 gigatonne correspond à 1 milliard de tonnes d’eau) nous est presque impossible à appréhender. C’est pourtant bel et bien à cette échelle qu’agit actuellement le changement climatique.
La cause sous-jacente est évidente, explique-t-il. Il y a trop d’eau à certains endroits, et pas assez à d’autres. « L’eau est le messager qui délivre les mauvaises nouvelles du changement climatique » au monde entier. Or ces pertes sont pour beaucoup le résultat de l’extraction excessive des eaux souterraines.
Le changement climatique et la surexploitation des aquifères sont étroitement liés. Alors que les sécheresses sévères se multiplient, les agriculteurs, les industriels et les villes pompent de plus en plus d’eau, de plus en plus profondément, afin de compenser le manque de précipitations et les records de chaleur. Après les sécheresses historiques de cette année, comme celle immortalisée sur la pierre de la faim de l’ancienne Bohème, les aquifères ne parviennent plus à se renflouer, et ce malgré le retour de la pluie.
Pourtant, tout comme le déni du réchauffement climatique, le mythe de l’abondance des eaux souterraines reste ancré malgré l’accumulation des preuves. En Europe, il suffit de regarder le premier site de production de Tesla sur le continent : la Gigafactory Berlin-Brandenburg est implantée au sud-est de Berlin, dans une région où le niveau des eaux souterraines est en diminution. L’automne dernier, lorsqu’une journaliste a interrogé le PDG de Tesla, Elon Musk, au sujet des craintes que l’usine n’usurpe l’eau des populations locales et des écosystèmes, il a ri à gorge déployée et lui a rétorqué qu’elle avait « tout faux ».
« Il y a de l’eau partout ici », a-t-il répondu. « Vous trouvez que ça ressemble à un désert ? C’est ridicule. Il pleut beaucoup. »
(¡Joder !)
Crise de l’eau en Europe
La sécheresse historique de cette année ne constitue en réalité que la partie émergée de l’iceberg : de nouvelles études révèlent le déclin alarmant du niveau de l’eau dans les aquifères du continent.
►https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2022/12/crise-de-leau-en-europe-la-situation-est-plus-grave-que-ce-que-lo
Crise de l’eau en Europe : la situation est plus grave que ce que l’on pensait | National Geographic
►https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2022/12/crise-de-leau-en-europe-la-situation-est-plus-grave-que-ce-que-lo
Les chercheurs estiment que l’Europe perd en moyenne près de 84 gigatonnes d’eau par an depuis le début du 21e siècle. C’est un taux alarmant, selon Famiglietti. Il correspond approximativement à la quantité d’eau contenue dans le lac Ontario, ou à 5 fois le débit annuel moyen du fleuve Colorado dans le Grand Canyon. Une telle ampleur (1 gigatonne correspond à 1 milliard de tonnes d’eau) nous est presque impossible à appréhender. C’est pourtant bel et bien à cette échelle qu’agit actuellement le changement climatique.
La cause sous-jacente est évidente, explique-t-il. Il y a trop d’eau à certains endroits, et pas assez à d’autres. « L’eau est le messager qui délivre les mauvaises nouvelles du changement climatique » au monde entier. Or ces pertes sont pour beaucoup le résultat de l’extraction excessive des eaux souterraines.
La compensation écologique, une voie assurée vers la poursuite des désastres
▻https://ricochets.cc/La-compensation-ecologique-une-voie-vers-la-poursuite-des-desastres-ecolog
Le système techno-industriel ayant à présent quelques difficultés à nier l’énormité des désastres qu’il provoque en chaîne, il essaie de trouver des dérivatifs, des parades grossières pour tromper les personnes toutes disposées à se laisser faire. Le système bidon et vain de la « compensation écologique » est l’une de ces manoeuvres sournoises qui servent à justifier la poursuite des mêmes pratiques suicidaires, mais relookées ou renommées, et lucratives pour certains en terme de pouvoir et de fric engrangés. (...) #Les_Articles
/ #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #Le_monde_de_L'Economie
▻https://lundi.am/La-compensation-ecologique-contre-la-planete
▻https://reporterre.net/Compensation-carbone-le-gouvernement-rend-obligatoire-une-fausse-solutio
▻https://reporterre.net/La-compensation-carbone-ne-reduira-pas-les-emissions-du-secteur-aerien
▻https://www.notre-planete.info/actualites/4612-compensation-carbone-fausse-solution-changement-climatique
▻https://www.rtflash.fr/forets-mondiales-emettrices-co2-ou-puits-carbone/article
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/09/non-lamazonie-ne-produit-pas-20-de-loxygene-de-la-planete
▻https://reporterre.net/La-nature-nouvelle-frontiere-du
À cause des humains, l’#Amazonie émet plus de #gaz_à_effet_de_serre qu’elle n’en absorbe
▻https://www.numerama.com/sciences/696775-a-cause-des-activites-humaines-lamazonie-contribue-au-changement-cl
Jusqu’à maintenant, les recherches se concentraient surtout sur les émissions de dioxyde de #carbone (#CO2) et, en la matière, l’Amazonie semblait toujours absorber davantage qu’elle n’en rejetait. Mais ce nouveau travail publié mi-mars étend la recherche à d’autres gaz que le carbone, et plus particulièrement le #méthane (CH₄), ainsi que du protoxyde d’azote (N₂O). Résultat, l’équilibre actuel apparait bien plus fragile que ne le montraient de précédentes études.
« Nous concluons que le réchauffement actuel dû aux agents non-CCO2 (en particulier le CH₄ et le N₂O) dans le bassin de l’Amazone contrebalance largement — et dépasse très probablement — le service climatique fourni par l’absorption du CO2 atmosphérique », estiment les auteurs de l’étude. Ce déséquilibre signifie non seulement que l’Amazonie ne peut plus aider à contrebalancer les émissions de gaz à effet de serre émises par les êtres humains ; mais qu’elle s’inscrit alors dans un cycle nourrissant le changement climatique.
Qui plus est, le réchauffement du #climat accentue la boucle : « Des projections récentes suggèrent qu’une augmentation de la température de 4°C dans les zones humides tropicales d’Amérique du Sud pourrait doubler les émissions régionales de [méthane], déjà importantes », écrivent les auteurs. À mesure que le climat se réchauffe, l’Amazonie libère des gaz à effet de serre, qui contribuent à au réchauffement.
LES ACTIVITÉS HUMAINES AU CŒUR DU PROBLÈME
Le constat n’est pas vraiment une surprise, mais il se trouve les raisons de ce déséquilibre sont à trouver dans les activités humaines et comment elles dérèglent l’écosystème du bassin de l’Amazonie.
Les auteurs citent de nombreux exemples, comme l’#inondation consécutive à la construction de #barrages : cela diminue les niveaux d’oxygène aquatique et augmente la décomposition anoxique de la matière organique, libérant des quantités importantes de méthane dans l’atmosphère. « Cet effet est potentiellement 10 fois plus fort dans les systèmes tropicaux que pour les barrages en milieux tempérés », écrivent les scientifiques.
À cet exemple il faut ajouter les incendies causés par la #déforestation effrénée et souvent illégale : les feux libèrent des gaz à effet de serre ; mais toute cette surface qui part en fumée représente aussi au long terme de la biomasse en moins pour absorber le dioxyde de carbone contenu dans l’atmosphère. En résumé, à cause de l’impact humain, l’Amazonie génère toujours plus de gaz à effet de serre, mais peut de moins en moins en absorber.
Victime de l’Homme, la forêt amazonienne aggraverait désormais le réchauffement climatique | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/victime-de-lhomme-la-foret-amazonienne-aggraverait-desormais-le-r
Frontiers | Carbon and Beyond : The Biogeochemistry of Climate in a Rapidly Changing Amazon | Forests and Global Change
▻https://www.frontiersin.org/article/10.3389/ffgc.2021.618401/full
Le vortex polaire arrive dans l’hémisphère nord : l’hiver sera glacial | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/vortex-polaire-arrive-dans-hemisphere-nord-hiver-sera-glacial
Chaque année, les passionnés de météorologie guettent avec impatience le moindre signe d’un déplacement vers le sud du vortex polaire. Cette masse d’air froid, qui tourne autour de l’Arctique, apporte alors températures glaciales et neige sous les latitudes moyennes.
Leur attente pourrait bientôt prendre fin. Si vous n’êtes pas météorologue, sachez que ce phénomène est causé par une hausse récente et fulgurante des températures dans l’Arctique. Surprenant, non ?
Pour être plus précis, les températures sont élevées dans la stratosphère au-dessus de la Sibérie. Au cours de la première semaine de janvier, elles ont augmenté, passant de -69°C à -13°C. Bien que ces « réchauffements stratosphériques soudains » se produisent dans une certaine mesure chaque année, celui-ci est considéré comme un phénomène majeur et est moins fréquent.
La masse d’air extrêmement chaud a déséquilibré le vortex polaire glacial, l’écartant de son axe pôle Nord avec une telle force qu’il s’est coupé en deux et semble désormais doté de deux jambes : l’une se trouve sur l’Amérique du Nord, l’autre sur l’Europe.
Cette perturbation pourrait avoir pour conséquence des températures glaciales s’abattant sur le Nord-Est et le Midwest des États-Unis, ainsi que les régions de moyenne latitude en Europe. La vague de froid est attendue pour la semaine prochaine ou celle d’après. Elle devrait durer, par intermittence, jusqu’en février.
[...]
Au cours des 30 dernières années, l’Arctique s’est réchauffé deux fois plus vite que le reste du monde.(...)
#Climat #vortex_polaire le #marronnier qui vient de l’hiver qui vient #réchauffement_climatique
Le plus grand lac du Cambodge est en train de se dessécher, menaçant forêts et poissons | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2020/08/le-plus-grand-lac-du-cambodge-est-en-train-de-se-dessecher-menaca
#Tonlé_Sap, le plus grand lac d’Asie du Sud-Est et l’une des réserves de ressources halieutiques les plus riches du monde, connaît à peu près le même sort. Des terres agricoles ternes, sèches et dépourvues d’arbres s’étendent désormais à perte de vue. Les incendies, souvent provoqués intentionnellement pour défricher les terres, ont réduit encore plus l’étendue de la forêt.
Nombre d’écologistes tirent la sonnette d’alarme : la survie de Tonlé Sap, qui fait partie des réserves de biosphère de l’UNESCO, est menacée. La #déforestation et la #dégradation_de_l’environnement pourraient avoir des conséquences économiques dramatiques sur le million de Cambodgiens qui habitent aux alentours du lac et les millions d’autres qui dépendent de la région pour se nourrir, le poisson étant la principale source de protéines du pays.
#forêt #forêts_marécageuses #ressources_halieutiques #hévéas #Cambodge
Alerte.Face aux #barrages, la mort annoncée du lac Tonlé Sap au Cambodge
Pour la deuxième année consécutive, le débit du #Mékong est trop faible pour remplir la rivière et le lac Tonlé Sap, au Cambodge. Un désastre écologique et économique qui met en péril les ressources piscicoles dont dépendent des millions de riverains.
Le miracle du Mékong ne s’est pas réalisé, s’inquiète le site The Diplomat. Chaque année, habituellement, “la force du débit du fleuve gonflé par la mousson entraîne le reflux du cours du Tonlé Sap, un de ses affluents, dans le lac éponyme au Cambodge”.
Mais, le débit du Mékong est désormais affaibli par les barrages, par la sécheresse et le changement climatique, explique le site internet. Pour l’universitaire thaïlandais Chainarong Setthachua :
C’est un désastre terrible pour la région du Mékong. Si nous perdons le Tonlé Sap, nous perdons le cœur de la plus grande pêcherie du monde.”
Le lac Tonlé Sap est le centre névralgique de la pêche au Cambodge et un lieu de migrations des poissons dans le bassin du Mékong, poursuit le site. “Pour la deuxième année, les eaux tumultueuses du Mékong n’ont pas permis l’incroyable renversement du cours du Tonlé Sap qui permet au lac de s’étendre sur cinq fois la surface qu’il occupe durant la saison sèche.”
Un cycle séculaire
Le reflux du cours de la rivière Tonlé Sap par la force du débit du Mékong gonflé par les eaux de la mousson a permis, depuis des siècles, l’inondation annuelle de la forêt située dans le lac.
▻https://www.courrierinternational.com/article/alerte-face-aux-barrages-la-mort-annoncee-du-lac-tonle-sap-au
En Alaska, les glaciers fondent 100 fois plus vite que prévu | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/07/en-alaska-la-partie-submergee-des-glaciers-fond-100-fois-plus-vit
Une nouvelle méthode de mesure de la fonte des glaciers sous le niveau de la mer a permis d’aboutir à une découverte surprenante : certains glaciers fondent cent fois plus vite que ne l’avaient prévu les scientifiques.
marronniers #plus_vite_que_prévu #plus_tôt_que_prévu et #plus_important_que_prévu
L’article original, avec la date:
Alaskan glaciers melting 100 times faster than previously thought
Jenny Howard, National Geographic, le 25 juillet 2019
▻https://www.nationalgeographic.com/environment/2019/07/alaskan-glaciers-melting-faster-than-previously-thought
à rajouter à la quatrième compilation :
►https://seenthis.net/messages/818991
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #anthropocène #capitalocène
Menacée par la sécheresse, la Camargue risque de finir sous l’eau | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2020/01/menacee-par-la-secheresse-la-camargue-risque-de-finir-sous-leau
Paradoxe causé par les bouleversements climatiques, la #Camargue, région marécageuse du sud de la France, connaît des épisodes de #sécheresse inédits alors qu’elle pourrait finir submergée par les eaux d’ici 2100.
La submersion est plutôt une certitude et pour assez rapidement.
On l’ajoute à la quatrième compilation :
►https://seenthis.net/messages/818991
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #anthropocène #capitalocène
Forêts : 37 % des arbres européens sont menacés d’extinction
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/10/forets-37-des-arbres-europeens-sont-menaces-dextinction
Tigres, baleines, orangs-outans... Tous sont connus pour être menacés d’#extinction. Mais qui s’inquiète pour le sorbier, le marronnier ou l’orme ? Ces arbres, qui peuplent les #forêts européennes, courent pourtant le même danger que les espèces animales médiatisées : au moins 37 % des 454 espèces originaires d’Europe sont menacées. En septembre 2019, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a tiré la sonnette d’alarme, en publiant la première liste rouge des #arbres européens. Le but ? Sensibiliser le public et les autorités à cette problématique.
▻https://portals.iucn.org/library/sites/library/files/documents/RL-4-026-En.pdf
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
With Greenland’s Extreme Melting, a New Risk Grows : Ice Slabs That Worsen Runoff | InsideClimate News
▻https://insideclimatenews.org/news/18092019/greenland-ice-sheet-melting-sea-level-rise-climate-change-heat-wa
▻https://insideclimatenews.org/sites/default/files/styles/opengraph_large/public/article_images/greenland-melt-river-900_dave-walsh-vw-pics-universal-images-grou
La calotte du Groenland est victime d’un inquiétant phénomène
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/09/la-calotte-du-groenland-est-victime-dun-inquietant-phenomene
De neige légère à plaque compacte, cette transformation de la glace amplifie le phénomène de ruissellement en provenance de l’inlandsis du #Groenland.
[...]
Il est facile de considérer le Groenland comme un énorme morceau de #glace solide et impénétrable. Pourtant, la réalité est tout autre, environ 80 % de la surface de l’inlandsis ressemble un peu à un granita : un tas de #neige fraîche recouverte d’une épaisse couche de neige plus ancienne, appelée #névé, lentement comprimée pour former le glacier mais qui contient encore de nombreuses poches d’air. Lorsqu’en hiver, le sommet de ce granite fond, l’eau liquide s’infiltre et descend jusqu’au névé qui l’absorbe comme une éponge épaisse d’une trentaine de mètres.
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
Aux #États-Unis, les #insectes décimés par des #pesticides toujours plus #toxiques
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/08/aux-etats-unis-les-insectes-decimes-par-des-pesticides-toujours-p
▻https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0220029
Selon une nouvelle étude parue mardi 6 août dans la revue PLOS One, le paysage agricole américain est aujourd’hui 48 fois plus toxique qu’il ne l’était il y a 25 ans pour les #abeilles et probablement d’autres insectes. Cette toxicité accrue est presque entièrement due à l’utilisation massive des fameux pesticides #néonicotinoïdes.
[...]
« La bonne nouvelle, c’est que nous n’avons pas besoin des néonicotinoïdes, » ajoute-t-elle. « Les recherches menées ces 40 dernières années montrent qu’il est possible de cultiver nos aliments sans décimer les pollinisateurs grâce aux méthodes agroécologiques. »
America’s #agriculture is 48 times more toxic than 25 years ago. Blame neonics | Kendra Klein and Anna Lappe | Opinion | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/aug/07/americas-dependence-on-pesticides-especially-neonics-is-a-war-on-nature
All this risk without reward has led some regulators to take action. The European Union voted to ban the worst neonics in 2018. But the US government has so far failed to act. Chemical company #lobbying can explain much of this inaction. #Bayer, maker of the most widely used neonics, spent an estimated $4.3m lobbying in the US on behalf of its agricultural division in 2017.
La #biodiversité marine menacée par des vagues de chaleur océaniques
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/la-biodiversite-marine-menacee-par-des-vagues-de-chaleur-oceaniqu
►https://www.nature.com/articles/s41558-019-0412-1
L’expression #vague_de_chaleur_marine fait référence aux périodes pendant lesquelles la température de l’eau d’une région donnée est anormalement élevée. Au cours des trente dernières années, l’augmentation du nombre de jours de vague de chaleur marine dépasse légèrement les 54 %. Les auteurs de l’étude estiment que cette tendance est cohérente avec le déclin qu’a connu la vie océanique.
Plus récemment :
Marine heatwaves in a changing climate
►http://www.nature.com/articles/d41586-019-02196-1
►https://www.nature.com/articles/s41467-019-10206-z
Heatwaves that occur over land are well known for having adverse impacts on human health, infrastructure and agriculture. Less attention has been paid to analogous episodes in the ocean, dubbed marine heatwaves (MHWs), but interest in these transient events is growing as their potentially dramatic ecological and economic impacts1 have become clear. This enhanced awareness of the importance of MHWs has fostered a desire to understand their causes and whether they can be predicted. Writing in Nature Communications, Holbrook et al.2 present the first comprehensive analysis of MHWs across the globe. They identify specific drivers of these events, as well as associations between MHWs and known climate oscillations.
On les ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
Climate change: Marine heatwaves kill coral instantly - BBC News
▻https://www.bbc.com/news/science-environment-49255642
Référence :
Rapid Coral Decay Is Associated with Marine Heatwave Mortality Events on Reefs: Current Biology
▻https://www.cell.com/current-biology/abstract/S0960-9822(19)30804-8
Example of ’Unknown Unknowns,’ Study Detailing ’Almost Instant Mortality of Corals’ Suggests Crisis Worse Than Previously Understood | naked capitalism
▻https://www.nakedcapitalism.com/2019/08/example-of-unknown-unknowns-study-detailing-almost-instant-mortalit
“Climate scientists talk about ‘unknown unknowns’ – impacts that we haven’t anticipated from existing knowledge and experience,” said study co-author Scott Heron of Australia’s James Cook University. “This discovery fits into this category.”
“As we begin now to understand this impact,” Heron added, “the question is how many more of these ‘unknown unknowns’ might there still be that could bring faster and greater damage to coral reefs from climate change.”
En Arctique, la banquise fond et de nouvelles espèces apparaissent | National Geographic
►http://www.nationalgeographic.fr/environnement/en-arctique-la-banquise-fond-et-de-nouvelles-especes-apparaissent
►http://www.nationalgeographic.fr/sites/france/files/styles/desktop/public/glace.gif?itok=ZadMOzz3
En Arctique, la banquise fond et de nouvelles espèces apparaissent | National Geographic
►https://www.nationalgeographic.fr/environnement/en-arctique-la-banquise-fond-et-de-nouvelles-especes-apparaissent
►http://www.nationalgeographic.fr/sites/france/files/styles/desktop/public/glace.gif?itok=ZadMOzz3
Avec le réchauffement climatique, les espèces végétales et animales du sud de l’Arctique ont commencé à se déplacer vers le nord, rencontrant d’autres espèces. Résultat : elles se reproduisent entre elles, créant ainsi de nouvelles espèces. [...]
Le pizzly – croisement entre l’ours blanc et l’ours brun – parcourt déjà l’Arctique. Des études génétiques montrent que les ours blancs ont commencé à diverger des bruns au cours des 500 000 dernières années. Le réchauffement climatique menace de réunir les deux espèces.
« Il ne s’agit pas simplement d’un changement écologique, affirme Kelly. Il s’agit d’un changement évolutionniste – profondément accéléré. »
#climat #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
On l’ajoute donc à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
Si des espèces disparaissent et que d’autres apparaissent, est-ce que ça s’équilibre ? Malheureusement, non, ça va trop vite...
Le dernier glacier du Venezuela est en train de disparaître | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/le-dernier-glacier-du-venezuela-est-en-train-de-disparaitre
▻http://www.nationalgeographic.fr/sites/france/files/styles/desktop/public/01_glacier_rtr20jgc.jpg?itok=rRh9A-4D
Tout fout l’camp au #Venezuela, même les #glaciers ! #climat
Le #glacier_de_Humboldt est le dernier des cinq principaux glaciers tropicaux du Venezuela. Il se trouve dans l’Ouest du pays, au sein de la #Sierra_Nevada_de_Mérida. Avec le changement climatique, le Venezuela est en passe de devenir le premier pays à perdre tous ses glaciers. D’autres pays, comme la Tanzanie et la Chine, font face à la même situation. Pour Carsten Braun, ce que nous voyons en ce moment « pourrait bien être le dernier souffle du glacier du pic Humboldt. »
Lui qui a été largement oublié en raison du soulèvement contre l’autorité politique et des problèmes de financement, devrait disparaître d’ici 10 à 20 ans, sans que les scientifiques aient eu l’occasion d’étudier le dernier glacier du Venezuela dans son intégralité. [...]
« Une fois qu’il a fondu, c’est pour toujours. »
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
De mystérieux microbes teintent le Groenland de rose, accélérant la fonte des glaces | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/de-mysterieux-microbes-teintent-le-groenland-de-rose-accelerant-l
▻http://www.nationalgeographic.fr/sites/france/files/styles/desktop/public/01_antarctic_snow_algae_acaciajohnson_16.adapt_.1900.1.jpg?itok=G
« Ces algues sont des organismes photosynthétiques qui produisent des molécules qui les protègent du soleil. En été, en #Arctique, elles restent au-dessus de l’horizon jusqu’à 24 heures par jour », explique M. Tranter.
La surface plus foncée abaisse son « albédo » ou sa capacité à refléter la lumière du soleil dans l’espace, ce qui entraîne une plus grande absorption de lumière et une plus grande fonte des glaces.
Comme les algues se propagent sur de plus grandes surfaces de la calotte glaciaire, leurs effets ne devraient être que plus étendus, ce qui entraînera une fonte encore plus importante. Une étude récente a révélé que la prolifération des algues pouvait contribuer à faire fondre jusqu’à 13 % de glace en plus au cours d’une saison.
« C’est un cercle vicieux, comme cela arrive souvent avec le changement climatique », explique Joseph Cook, chercheur sur les glaciers à l’Université de Sheffield au Royaume-Uni et membre de l’équipe Black and Bloom. « Plus de chaleur signifie plus d’eau de fonte et une plus grande surface dans laquelle les algues peuvent se développer, ce qui rend la glace plus foncée et plus encline à fondre. »
#climat #fonte–des–glaces (pas seulement arctique) #algues
Septembre 2018 ?
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
This Refuge May Be the Most Contested Land in the U.S.
▻https://www.nationalgeographic.com/magazine/2018/06/arctic-national-wildlife-refuge-america-oil-risk
Congress voted to open the Arctic National Wildlife Refuge to oil drilling. Here’s what’s at stake for America’s wild frontier.
#Arctique : les #États-Unis ouvrent une réserve naturelle à l’exploration pétrolière | National Geographic
▻https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2018/06/arctique-les-etats-unis-ouvrent-une-reserve-naturelle-lexploratio