[Infographie] Découvrez le classement des aliments les plus mauvais pour la planète
▻https://www.novethic.fr/actualite/infographies/isr-rse/infographie-le-classement-des-aliments-les-plus-mauvais-pour-la-planete-149
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[Infographie] Découvrez le classement des aliments les plus mauvais pour la planète
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Même si l’écologie ne doit pas se limiter au bilan carbone, et la mondialisation des échanges capitalistes cause bien d’autres problèmes aussi. Je saisis par exemple pas trop l’intérêt de comparer le bilan « par kilomètre parcouru » entre mille milliers de bateaux porte-conteneurs monstrueux, et 3 camionnettes locales… À aucun moment il ne s’agit de transporter la même quantité de produits avec les mêmes distances, si on parle de « manger local », c’est pas pour transporter tout autant.
Mais oui faut manger moins (ou pas) de viande. (Le fromage ça va être plus dur, arg.)
#circuit-court #transport #écologie #pollution #CO2 #bilan_carbone #végétarisme #viande #produits_laitiers #gaz_à_effet_de_serre
Comment les super-riches payent pour échapper à la crise climatique
▻https://www.novethic.fr/actualite/economie/isr-rse/comment-les-super-riches-payent-pour-echapper-a-la-crise-climatique-149206.
« Quelle que soit la menace, nos abris sont construits et conçus pour résister ou atténuer à peu près tout, du changement de pôles aux éruptions de volcans, en passant par les tremblements de terre, les tsunamis, les pandémies, les explosions nucléaires, les catastrophes biologiques ou chimiques, le terrorisme et même une anarchie généralisée », lit-on sur le site. Vivos a également équipé ses bunkers de filtres pour contrer les fumées des incendies aux alentours. « Dehors, mec, tu pouvais sentir la fumée. Mais à l’intérieur de leurs bunkers, les gens ont dit qu’ils ne la sentaient pas », explique au Financial Times Dantes Vicino, directeur exécutif de la société qui a testé les filtres lors d’incendies dans le Wyoming. D’autres sociétés proposent aussi des systèmes de refroidissement, calqués sur les gilets pare-balles, qui se portent sous les vêtements.
Ces pratiques permettant d’échapper aux impacts de la crise climatique ont un coût très élevé, accessible seulement à une partie de la population. Pour Abdul El-Sayed, épidémiologiste et ancien commissaire à la santé de la ville de Détroit, si les riches « quittent un système » c’est qu’il est cassé pour l’ensemble de la population. « C’est juste que tout le monde n’a pas les moyens de sortir du système », dénonce-t-il dans le FT.
après eux... des luges !
►https://seenthis.net/messages/715011
▻https://terravivos.com
ping @sinehebdo
Merci de l’avoir rajouté à la liste des solutions #survivalistes d’#après-catastrophe, j’allais le faire !
Je l’ajouterai plus tard à la quatrième compilation #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène :
►https://seenthis.net/messages/818991
Covid-19 : entre 88 et 115 millions de personnes tombent dans l’extrême pauvreté
▻https://www.novethic.fr/actualite/social/droits-humains/isr-rse/covid-19-entre-88-et-115-millions-de-personnes-tombent-dans-l-extreme-pauvr
"La réduction de la pauvreté a subi son pire revers depuis des décennies, après près d’un quart de siècle de déclin constant de l’extrême pauvreté …
Projet pétrolier en Ouganda : les Nations-Unies demandent des comptes à Total
►https://www.novethic.fr/actualite/social/droits-humains/isr-rse/projet-petrolier-en-ouganda-les-nations-unies-demandent-des-comptes-a-total
Les animaux susceptibles de transmettre des maladies aux humains sont ceux qui résistent le mieux au déclin de la biodiversité
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/biodiversite/isr-rse/elevage-intensif-perte-de-biodiversite-et-virus-le-cercle-infernal-148881.h
Des chercheurs viennent de découvrir que les #animaux_sauvages qui résistaient le mieux à la perte de biodiversité, sont ceux qui sont connus comme porteurs de #pathogènes, à l’instar de la chauve-souris. Une preuve de plus que la destruction de la #biodiversité est une mauvaise nouvelle pour la #santé humaine. D’autant que l’#élevage, qui contribue à son déclin, est lui aussi un facteur de #risque_nfectieux.
Quels sont les liens entre l’émergence d’épidémies, la perte accélérée de biodiversité et l’augmentation de l’élevage intensif ? C’est la question à laquelle Serge Morand, chercheur à l’Institut des sciences de l’évolution de Montpellier et du laboratoire Astre du Cirad a tenté de répondre dans une étude parue le 22 juillet dans la revue Biological Conservation. Le chercheur, qui a croisé des données factuelles sur une période de 1960 à 2019, a analysé les 16 994 épidémies enregistrées sur cette durée pour 245 maladies infectieuses. Il a ainsi découvert que le nombre d’épidémies répertoriées chez les humains dans chaque pays, augmente en corrélation avec la perte locale de biodiversité.
Surtout, le chercheur affirme qu’un pic a été atteint entre 2009 et 2012 mais que depuis, le nombre d’espèces en danger, donc la faune sauvage, contribue de moins en moins aux nouvelles épidémies humaines. « La biodiversité commence à être tellement en danger et à disparaître qu’elle va finalement être de moins en moins à l’origine des épidémies », explique Serge Morand dans Techniques de l’ingénieur. Cela ne signifie pas pour autant que les épidémies vont disparaître. Au contraire.
Emerging diseases, livestock expansion and biodiversity loss are positively related at global scale
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0006320720307655
Coronavirus : associations, parlementaires et entreprises appellent les citoyens à construire le monde d’après
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/coronavirus-associations-parlementaires-entreprises-appellent-les-citoyens-
C’est une consultation citoyenne massive que viennent de lancer le WWF et la Croix Rouge en partenariat avec le Groupe SOS et Make.org notamment. La …
Coronavirus : le maigre salaire de celles et ceux qui se battent pour nous
▻https://www.novethic.fr/actualite/social/conditions-de-travail/isr-rse/coronavirus-le-maigre-salaire-de-ceux-qui-se-battent-pour-nous-148391.html
Voir compile des effets délétères indirects de la pandémie :
►https://seenthis.net/messages/832147
[Édito] Le #Coronavirus impose au monde de relocaliser ses usines
Le coronavirus est en train de prouver que les grandes chaînes de production mondialisées, en particulier entre la Chine et les pays occidentaux, ne sont absolument pas fiables. Le Covid-19 a réussi à les mettre à genoux en quelques semaines. En France, les voix qui appellent à relocaliser les #usines sur le territoire se font de mieux en mieux entendre.
Quand j’étais plus jeune, dans les années 90, on m’apprenait à l’école que le monde occidental entrait dans une ère post-industrielle, faite de services, de cerveaux et de valeur ajoutée. La grossière production de biens, les chaînes de productions, avaient pour vocation à être mises dans les mains des pays en voie de développement, la Chine en particulier, qui, à l’époque, commençait à peine à s’"éveiller", comme le disaient les économistes alors. Elle était la future usine du monde.
Déjà à l’époque, l’idée me semblait absurde. Et cela fait maintenant plusieurs années que l’extrême dépendance des sociétés occidentales, européennes en particulier, aux chaînes de production délocalisées en Asie, est comprise comme un danger. Mais le retour en arrière est difficile ; tant de milliards ont été investis au loin et le coût du travail est si faible ! Le Coronavirus, qui est en train de rendre malade notre économie, va peut-être enfin réussir à défaire ce que plusieurs décennies de mauvaises doctrines économiques ont fait.
Une industrie poids faible
La mondialisation n’est pas mauvaise par essence, mais incontrôlée, elle est néfaste. La France le paie cher. L’industrie y représentait 25 % du PIB à la fin des années 70, elle représente maintenant à peine 10 %. La moyenne européenne est à 20 %, l’Allemagne est à 27 %... La promotion récente du Made In France, outre son succès de communication, ne parvient pas à réellement changer la donne. Surfant sur la crise du Coronavirus, Bruno le Maire en profite pour insister sur la nécessité de « relocaliser l’industrie ».
Il évoque une vraie réorientation stratégique afin de limiter la dépendance française et européenne. Il cite trois secteurs sensibles : les médicaments (dont 90 % des principes actifs sont produits hors de l’Union européenne), l’automobile électrique (pour laquelle l’Europe commence à peine à déployer des usines), ou encore l’aéronautique (dont l’essentiel des fournisseurs est en Chine)… À cela on pourrait rajouter l’électronique et l’informatique.
La souveraineté technologique et industrielle est un prérequis à la souveraineté politique, assure le ministre français. Alors que cette relocalisation était une question de choix jusqu’alors, le coronavirus en fait une obligation. Le risque épidémique, qui va s’accentuer à l’avenir, tout comme le risque climatique, devient un risque physique pour la survie des entreprises trop dépendantes de chaines d’approvisionnement lointaines qu’en réalité elles ne maîtrisent plus vraiment.
▻https://www.novethic.fr/actualite/politique/isr-rse/edito-relocalisation-industrielle-le-coronavirus-abat-des-decennies-de-mauv
#industrie #relocalisation #mondialisation #globalisation #production_industrielle
A mettre en lien avec cela :
En 2018, on pouvait fabriquer 200 millions de masques par an en France
►https://seenthis.net/messages/836075
Incendies : en Australie, le « monstre » est hors de contrôle
3 janvier 2020 / Gaspard d’Allens (Reporterre)
▻https://reporterre.net/Incendies-en-Australie-le-monstre-est-hors-de-controle
Depuis quatre mois, l’Australie lutte contre les pires incendies de son histoire, accentués par le dérèglement climatique. Près de 55.000 kilomètres carrés de terres ont brûlé. Les dommages humains et écologiques sont colossaux. Pourtant, le Premier ministre n’envisage nullement de renoncer au charbon, dont le pays est un gros producteur.
(...)
Interrogé par la chaîne australienne ABC, Rob Rogers, le commissionnaire adjoint au Rural Fire Service (RFS), a reconnu une forme d’impuissance : « Même 10.000 pompiers sur le terrain ne pourraient pas éteindre ces feux. Nous ne sommes plus capables de les contenir. Nous devons juste nous assurer qu’il n’y ait plus personne sur leur chemin. »
(...)
Alors que le mécontentement grandit dans l’opinion publique, Scott Morisson a dû écourter ses vacances de Noël à Honolulu, à Hawaï. Son inaction climatique est vilipendée. Le 19 décembre, à Sydney, des milliers de manifestants ont défilé sous les nuages de l’incendie pour réclamer l’arrêt de l’utilisation du charbon. En septembre, dans tout le pays, ils étaient plus de 250.000 à manifester.
La fronde monte mais Scott Morisson ne bouge pas d’un iota. Si cet évangéliste bénit l’action des pompiers, à majorité volontaire, il continue de favoriser l’implantation d’industries minières, très polluantes et émettrices de CO2, près de la barrière de corail. « Nous n’allons pas nous engager dans des objectifs irresponsables, destructeurs d’emploi et nuisibles pour l’économie », a-t-il répété sur les chaînes d’info nationales. « Je ne vais pas rayer de la carte l’emploi de milliers d’Australiens en m’éloignant des secteurs traditionnels. »(...)
Petite traduction rapide de ce fil, terrible mais nécessaire pour comprendre la réalité des incendies en #Australie.
À dérouler 👇
▻https://twitter.com/Anargondin/status/1213392618777960451?s=19
#AustraliaBurning #AustralianFires #rechauffementclimatique #écologie
Méga feux : « Nous ne vivons pas seulement dans l’Anthropocène mais dans le Pyrocène »
4 janvier 2020 / Entretien avec Joëlle Zask
►https://reporterre.net/Mega-feux-Nous-ne-vivons-pas-seulement-dans-l-Anthropocene-mais-dans-le-
(...) Quels liens faites-vous entre ces multiples incendies à travers le monde ?
Dans mon livre, je les ai rassemblé autour du terme de « méga feux ». Ces dernières années, le régime du feu a évolué. Les incendies sont devenus, selon les commentateurs, « extrêmes », « very large », « inextinguibles ». On parle de « monstre » en Australie, de « bête » en Californie. Ils sont incontrôlables. Quel que soit le nombre de personnes qu’on met sur le terrain, on ne peut plus les éteindre. On n’arrive même plus à protéger les logements. On fait simplement fuir les gens. La stratégie militaire qui déclare « la guerre au feu », à grand renfort de techno science, est impuissante.
Les incendies éclatent partout. Même le Groenland a brûlé en 2017. Des plaines enneigées ont pris feu. À l’été 2018, c’était au tour de la Lettonie et de la Suède jusqu’au cercle polaire. On ne peut pas les arrêter. En Sibérie, il a fallu attendre le changement de saison et la pluie pour que les feux s’éteignent. En Corse, on a des saisons du feu qui durent cinq mois.
Certains scénarios de la Nasa envisagent un embrassement des terres émergées. Quand on regarde le planisphère des feux, on se rend compte que leurs foyers se rapprochent de plus en plus les uns des autres. On estime qu’en 2050, 50 % des municipalités françaises seront exposés aux méga feux. (...)
Pardonnez-moi si je m’excuse mais je me permets de relayer cet article d’une officine incubatrice de « jeunes pousses » qui ont pris le parti de capitaliser sur la #catastrophe_durable, lequel article explique le phénomène des « dragons cracheur de feu » ou pyro-cumulonimbus :
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/les-incendies-en-australie-creent-des-nuages-cracheurs-de-feu-qui-aggravent
Une autre source avec un petit croquis qui va bien (mais en accès abonné·es « only ») :
▻https://www.thetimes.co.uk/article/australia-wildfires-pyrocumulonimbus-the-fire-breathing-dragon-of-clouds
Et cet autre article du Guardian où des experts confirment que ces « méga-feux » sont bien des conséquences du réchauffement climatique avec une carte interactive qui permet de rapporter à un territoire connu l’étendue des ravages :
▻https://www.theguardian.com/environment/2019/dec/20/scientists-fear-surge-in-supersized-bushfires-that-create-their-own-vio
▻https://www.theguardian.com/australia-news/datablog/ng-interactive/2019/dec/07/how-big-are-the-fires-burning-on-the-east-coast-of-australia-interactiv
Encore d’autres données sur les incendies en Australie :
▻http://www.keraunos.org/actualites/fil-infos/2020/janvier/australie-incendies-fumees-pyrocumulonimbus-orages
Par curiosité, quelques infos sur Cabramurra, la ville mentionnée par l’article ci-avant. En fait une cité-dortoir pour les employé·es de la centrale hydro-électrique.
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Cabramurra
Et sur le massif montagneux des Snowy Mountains, zone montagneuse la plus élevée de l’Australie et la mieux enneigée pendant l’hiver austral, laquelle zone a fait l’objet d’une surexploitation de la ressource en eau (barrages, déviations de cours d’eau) pour irriguer les terres arides. L’Australie : un pays qui donne l’ampleur du fiasco de la #géoingénierie à l’arrache et de l’#extractivisme propulsé par la rentabilité des #privatisations
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Cabramurra
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Snowy_Mountains
Et un reportage qui relate l’exil contraint des résidents permanents pour laisser la place à une main d’œuvre mobile :
▻https://www.abc.net.au/news/2017-08-28/snowy-hydro-moving-out-cabramurra-community/8848458
j’avais oublié celui-ci @sombre
▻https://seenthis.net/messages/816662
J’ai vu quelque part une comparaison des feux en Californie (petit point), Amazonie (petite tache) et Australie (grosse tache) pour aider à prendre la mesure du truc. Mais avec un certain site web qui fait écran sur le nom des recherches sur l’Amazonie, je ne retrouve pas cette infographie.
ça ? (tu remplaces Amazon par Brazil,…)
(ce n’est pas l’original puisqu’issu d’un site de compils)
apparemment issu de Reddit le 31/12/19
▻https://www.reddit.com/r/australia/comments/ei02l9/the_scale_of_australias_fires
au passage, en juillet 2019, les incendies en Sibérie couvraient 5,1 millions d’hectares soit 12,6 millions d’acres (un poil plus grand que pour l’Australie et le double de ce qui est indiqué pour la Sibérie, mais ce n’est pas fini en Australie)
▻https://reporterre.net/Feux-geants-en-Siberie-un-ete-devastateur-pour-l-environnement
Merci @simplicissimus ! J’ai pensé à essayer avec Brazil mais je me démoralise très vite et je multitaske trop pour creuser comme beaucoup ici en sont capables. Plutôt le genre à faire plein de petits trous !
Feux en Australie : 24 morts, 100.000 personnes évacuées, un demi-milliard d’animaux morts
6 janvier 2020 / Gaspard d’Allens (Reporterre)
▻https://reporterre.net/Feux-en-Australie-24-morts-100-000-personnes-evacuees-un-demi-milliard-d
2019, année de la colère
▻https://www.novethic.fr/actualite/social/droits-humains/isr-rse/2019-annee-de-la-colere-148033.html
C’est une insurrection mondiale qui a marqué l’année 2019. Depuis des mois à Hong Kong, au Chili, au Liban, en France, en Algérie, au Soudan… des …
« Désastreux », « angoissant », « du jamais vu » : l’échec de la COP25 après deux semaines de (vaines) négociations
▻https://www.franceinter.fr/environnement/desastreux-angoissant-du-jamais-vu-l-echec-de-la-cop25-apres-deux-semain
... la #France, qui se veut pourtant championne de l’environnement, « n’a pas joué de rôle fort pendant ces négociations », estime sur franceinfo Armelle Le Comte, responsable plaidoyer à l’association Oxfam France. « Ces derniers jours, il n’y avait aucun ministre. Le Premier ministre et la ministre de la Transition écologique et solidaire ne sont passés qu’en coup de vent. » La militante dénonce, selon elle, le "#double_discours d’Emmanuel #Macron, qui passe son temps à nous dire à quel point le climat est le défi de notre avenir et #en_même_temps quand les négociations les plus importantes de l’année ont lieu, il n’y a personne."
Cela n’a pas empêché le ministère de la Transition écologique de regretter, dans un communiqué envoyé ce dimanche, « un manque d’ambition climatique malgré certaines avancées obtenues dans l’accord ». « Au vu de l’urgence climatique et des attentes des citoyens, la France regrette que les gouvernements ne soient pas allés assez loin dans leurs engagements », indique le ministère, tout en rappelant que « durant toutes les négociations, la France s’est mobilisée pour appeler à l’ambition et ne pas accepter de recul de nos engagements ».
auprès de ma brune
▻https://seenthis.net/messages/815906
▻https://twitter.com/enmarchefr/status/1208431940623200256
Après Révolution de Jupiter, Brune Poirson nous annonce une révolution dans la salle be bain, la cuisine, les placards, les entreprises des français dans les deux ans à venir !
Rassure moi, Brune, la république en marche elle est jetable aussi ! hein !
#auprès_de_ma_brune #twittoland
« La transition écologique nécessite 32 000 milliards d’euros par an, rappelle Brune Poirson, la secrétaire d’État à la Transition écologique. L’argent est disponible, mais au mauvais endroit. Tout l’enjeu c’est de le réorienter. »
▻https://www.novethic.fr/actualite/finance-durable/isr-rse/huit-gerants-d-actifs-internationaux-s-associent-aux-fonds-souverains-pour-
#mille_milliards
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
Directeurs d’école, policiers, médecins, pompiers... Un mal-être au travail hors des radars
▻https://www.novethic.fr/actualite/social/conditions-de-travail/isr-rse/directeurs-d-ecole-policiers-medecins-pompiers-un-mal-etre-hors-des-radars-
Le suicide de Christine Renon, cette directrice d’école de Pantin à bout, a ému toute la France et mis des milliers d’enseignants dans la rue. Ils …
Horizontalité, démocratie et action non-violente... les secrets du succès d’Extinction Rebellion
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/dans-les-coulisses-d-extinction-rebellion-horizontalite-democratie-et-actio
Pas de bureau élu, ni de bulletin d’adhésion, une coordination décentralisée, un porte-parolat tournant, un financement sur fonds propres, une charte …
Sans Astrid, le nucléaire français ne tourne pas rond
Appliquer l’économie circulaire au nucléaire, telle était l’ambition du réacteur nucléaire Astrid. Créer un vrai cycle fermé, où les déchets sont un combustible, était même l’ambition originelle des pères du nucléaire civil dans les années 70. Mais l’officialisation de l’abandon du réacteur de quatrième génération met fin à cette idée et pose in fine la question de la poursuite du développement de l’atome dans l’Hexagone.
▻https://www.novethic.fr/actualite/energie/energie-nucleaire/isr-rse/edito-video-sans-astrid-le-nucleaire-francais-ne-tourne-pas-rond-147661.htm
« les déchets des uns étant le combustible des autres » en voila une idée boiteuse.
#nucléaire
[Vidéo] Green Blood : l’enquête hors norme sur les scandales environnementaux dans les mines
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/pollution/isr-rse/video-green-blood-l-enquete-hors-normes-sur-les-scandales-environnementaux-
Ils ont été censurés, menacés et même tués pour avoir fait leur travail. La répression envers les journalistes environnementaux est de plus en plus forte, principalement dans le secteur minier. C’est pourquoi le réseau de journalisme d’investigation Forbidden Stories a décidé de poursuivre le travail de ces reporteurs. Pendant huit mois, 40 journalistes de 15 médias différents dont Le Monde, The Guardian ou encore Süddeutsche Zeitung ont enquêté dans trois pays où trois compagnies minières sont accusées d’exactions.
source : ►http://alternatives-projetsminiers.org
#extractivisme #enquête
Artificialisation des sols : en France, on bétonne même quand ce n’est pas nécessaire Marina Fabre - 8 Avril 2019 - Novethic
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/agriculture/isr-rse/l-artificialisation-des-sols-progresse-plus-vite-que-la-croissance-demograp
L’artificialisation des terres progresse plus vite que la croissance démographie et économique. Autrement dit, en France, même quand il n’y a pas de besoin spécifique, les sols sont bétonnés. À ce rythme d’ici la fin du siècle, 18 % du territoire sera artificialisé, prévient l’Iddri. Une situation qui pose question quand à la souveraineté alimentaire de la France et sa capacité à résister au changement climatique.
L’artificialisation des sols consiste à convertir des terres agricoles, forestières ou naturelles pour l’urbanisation ou le développement d’infrastructures. ©CC0 C’est un phénomène que les politiques publiques ont dû mal à endiguer malgré les promesses. En 2015, l’artificialisation de sols représentait 9,4 % du territoire métropolitain contre 8,3 % en 2006. "La France a perdu un quart de sa surface agricole sur les 50 dernières années", a ainsi rappelé Emmanuel Macron lors de sa visite au Salon de l’Agriculture. Aujourd’hui, c’est l’équivalent de la superficie d’un département moyen qui est bétonné tous les 7 à 10 ans.
Or selon une nouvelle étude menée par l’Institut du développement durable et des relations internationales (#Iddri), « un nombre préoccupant de territoires connaissent une forte artificialisation malgré une faible croissance démographique et économique ». Autrement dit l’artificialisation progresse même quand elle n’est pas nécessaire. « En dix ans, la superficie des terres artificialisées a augmenté de 13 % alors que la croissance du produit intérieur brut est de 6 % et celle de la démographie de 5 % », détaille Alice Colsaet, doctorante à l’Iddri et autrice de l’étude.
L’habitat et les zones d’activité responsables de l’artificialisation
Plusieurs facteurs sont évoqués, notamment l’évolution de nos modes de vie. Les Français vivent de plus en plus seuls, les familles sont moins nombreuses et ont besoin de plus d’espace. Ils privilégient les maisons individuelles pourtant responsables d’un hectare sur deux artificialisé et achètent de plus en plus de maisons secondaires. Mais les collectivités sont également pointées du doigt.
« Il y a une tendance à consommer de l’espace pour essayer de créer un dynamisme », décrypte Alice Colsaet, « certaines collectivités vont construire des zones d’activité même s’il n’y a pas de demande et qu’elles sont en concurrence avec la zone d’activité de la collectivité voisine. C’est une offre surabondante qui est déconnectée des besoins et qui créé des zones vides ». Il n’y a pas un responsable, c’est le cumul entre les nouveaux logements, les complexes commerciaux, les réseaux routiers… qui favorise cette artificialisation galopante.
Moins de terres agricoles, un enjeu de sécurité alimentaire
Selon les estimations de l’Iddri, si la France continue à ce rythme, d’ici la fin du siècle, 18 % de son territoire sera artificialisé contre 9,7 % aujourd’hui. Cela paraît peu mais les conséquences pourraient être terribles. « D’abord cela signifierait une perte d’autonomie alimentaire dans l’Hexagone alors qu’il y a une croissance démographique », alerte Emmanuel Hyest, président des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (#Safer), « ensuite les terres agricoles participent à la lutte contre le changement climatique. Elles permettent de capter le carbone mais également l’eau qui recharge les nappes phréatiques ».
Pour Emmanuel Hyest, pas de doute, il faut considérer les terres agricoles comme des surfaces intouchables, à l’instar des forêts. Emmanuel Macron, lui, vise l’objectif de zéro artificialisation nette. Cette ambition, introduite dans le Plan biodiversité de 2018, « suppose que toute nouvelle construction devrait être compensée par une déconstruction équivalente, par exemple dans des zones d’activités devenues vacantes ou des parkings surdimensionnés », rappelle l’Iddri. Reste à voir, dans le temps, les effets de cette nouvelle réforme.
#artificialisation #agriculture #écologie #sols #urbanisme #bétonnage #artificialisation_des_terres #terres_agricoles #bétonnage #changement_climatique
▻https://www.novethic.fr/actualite/environnement/agriculture/isr-rse/les-frites-sont-de-plus-en-plus-courtes-a-cause-du-rechauffement-climatique
Marina Fabre - 2019-03-15
Les frites sont de plus en plus courtes à cause du réchauffement climatique
Non ce n’est pas une technique commerciale des géants des fast-food. Selon une étude publiée par 130 ONG, au Royaume-Uni, les frites auraient perdu trois centimètres en 2018 à cause du réchauffement climatique et de la période de sécheresse de cet été. La France, deuxième producteur européen, n’est pas épargnée par le phénomène.
C’est une information insolite, mais qui n’est pourtant pas si anodine. Selon un rapport publié par The Climate Coalition qui regroupe 130 ONG travaillant sur l’environnement, les frites britanniques ont perdu en moyenne trois centimètres en 2018. En cause : le réchauffement climatique.
Les pommes de terre sont plus petites et difformes
Les Britanniques ont enregistré des records de températures durant l’été 2018 avec, à certains endroits, une absence de pluie pendant près de deux mois. Ce manque d’eau a provoqué la quatrième plus mauvaise récolte de pommes de terre depuis les 60 dernières années.
« Le réchauffement climatique pourrait rendre trois quarts des terres agricoles britanniques impropres à la culture d’ici à 2050 », alertent même les ONG. « Les rendements ont baissé de 20 à 25 % », témoigne au Guardian Richard Thompson un producteur de pommes de terre dans le Staffordshire, « Nous avons également eu des problèmes de qualité avec beaucoup de pommes de terre difformes et petites. Je vais réduire ma superficie l’année prochaine parce que je ne peux pas me permettre de prendre le risque ».
En France, les cornets de frites perdent 30 grammes
Et les Britanniques ne sont pas les seuls concernés. En France et en Belgique, respectivement les deuxième et quatrième pays producteurs d’Europe, les chaînes de fast-food et les industriels de la pomme de terre ont prévenu les consommateurs dès cet été. « Avec des pommes de terre de plus petit calibre, les frites seront légèrement plus courtes », admet dans le Parisien Nicolas Schmitt, responsable marketing retail France de McCain. McDonald’s pourrait même alléger son cornet de frites, le faisant passer de 150 grammes à 120 grammes.
Et les récoltes ne risquent pas de s’améliorer en 2019. Selon plusieurs scientifiques, l’année en cours pourrait devenir la plus chaude depuis que les températures sont enregistrées. En cause, un problème phénomène El Nino associé au réchauffement climatique. Un record qui pourrait multiplier et intensifier les évènements extrêmes comme les sécheresses et canicules. Dans l’Hexagone, 2018 a déjà été classée par Météo France comme année la plus chaude depuis le début des mesures en 1900.
Marina Fabre
2019-03-15
Guerre des prix : la grande distribution fait vaciller la filière bio _ Marina Fabre - 11 Février 2019 - Novethic *
▻https://www.novethic.fr/actualite/social/consommation/isr-rse/guerre-des-prix-la-grande-distribution-fait-vaciller-la-filiere-bio-146858.
L’appétit des géants de la grande distribution pour le bio rime aussi avec guerre des prix. C’est ce que constatent de plus en plus de fabricants et producteurs de produits bio à qui les distributeurs ont demandé de baisser leur prix lors des négociations commerciales. Une pression qui pourrait freiner le développement d’une filière encore fragile et reproduire les failles du secteur conventionnel.
La grande distribution a demandé à près de la moitié des fabricants et producteurs bio de baisser leur prix. ©CC0 Le bio en plein boom. Le marché des produits alimentaires issus de l’agriculture bio, a représenté, en 2017, 8,4 milliards d’euros, une croissance de 17 % par rapport à 2016. Une manne à côté de laquelle la grande distribution ne veut pas passer. Carrefour, Leclerc, Auchan, System U… Les enseignes généralistes se sont engouffrées dans la brèche. Le chiffre d’affaires de la grande distribution dans la bio dépasserait même 4,5 milliards d’euros, selon les dernières estimations du syndicat national des entreprises bio (Synabio).
À première vue, cet attrait des mastodontes de la grande distribution est une bonne nouvelle… sauf quand il participe à la guerre des prix. « Avec l’arrivée de la grande distribution et de nouveaux fabricants, le secteur est de plus en plus concurrentiel », explique Charles Pernin, délégué général du Synabio. "Les négociations commerciales sont de plus en plus difficiles. On constate une vraie guerre des prix".
La pression sur les prix freine le développement du bio
28 % des entreprises bio se sont vues réclamer une baisse de tarif « avant toute discussion », rapporte l’observatoire des négociations commerciales du Synabio. Au premier round des négociations, ce sont 40 % des producteurs et fabricants bio à qui la grande distribution a demandé un effort. Et ce, malgré les avertissements émis par le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume mardi 15 janvier.
« J’ai rencontré tout le monde (…) et je leur ai dit : si les négociations commerciales cette année se passent comme l’année dernière, c’est la fin pour beaucoup d’exploitations agricoles et pour certaines filières », a-t-il prévenu. « Quand il y a des promos où le bio est moins cher que le conventionnel, ça ne peut pas durer ».
La loi alimentation obligeait pourtant la grande distribution à définir le prix de vente en fonction du prix de production. Mais peu de distributeurs semblent aujourd’hui appliquer cette mesure. Or cette pression sur les prix est d’autant plus néfaste sur la filière bio qu’elle freine son développement. « Le fournisseur peut encaisser un certain temps mais à un moment, il va devoir répercuter cette baisse des prix sur le producteur. C’est ce qui s’est passé avec le conventionnel », explique Charles Pernin.
Les enseignes historiques maintenaient en bonne santé la filière
Jusqu’ici, la filière bio était épargnée par ces pratiques commerciales abusives. Les enseignes historiques comme Biocoop, longtemps premier distributeur français de produits bio, avaient tout intérêt à ce que la filière soit en bonne santé. « La grande distribution s’intéresse à la bio parce que c’est une filière à forte croissance », glisse un spécialiste, "mais son avenir n’en dépend pas, contrairement aux enseignes spécialisées".
Face à la concurrence, pas question pour ces enseignes de baisser les prix. Au contraire, elle mise sur la qualité. « Notre rôle est de maintenir une agriculture bio paysanne et de proximité basée sur le commerce équitable. Nous défendons une bio de cohérence, c’est notre valeur ajoutée », expliquait à Novethic Claude Gruffat, président de Biocoop, en avril dernier. C’est maintenant au consommateur de trancher.
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On l’ajoute à la troisième compilation :
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