MASQUES CHIRURGICAUX TOXIQUES
Fabriqués à partir de plastique non-recyclable, certains modèles contiendraient des substances potentiellement dangereuses pour la santé. On peut y trouver aussi des nanoparticules" démarre Christelle Pangrazzi, rédactrice en chef du nouveau magazine conso Kali. « La particularité des nanoparticules, c’est que ce sont des particules extrêmement fines. Elles sont tellement petites qu’elles vont passer toutes les barrières physiologiques de votre organisme pour se loger au cœur des cellules. Et par exemple, les nanoparticules de dioxyde de titane qu’on retrouve dans nos masques. En fait, elles sont considérées comme cancérogènes à l’inhalation », poursuit-elle.
« Rien que le 28 octobre dernier, par exemple, l’Institut de Santé Belge a détecté des nanoparticules de dioxyde de titane dans de nombreux masques, à tel point qu’ils ont été retirés du marché de par leur dangerosité », précise Christelle Pangrazzi.
Si vous voyez des allégations telles que ’virucide, bactéricide, cinq fois plus efficace’... Si on vous promet des allégations technologiques, là, il faut fuir", détaille la rédactrice en chef de Kali. Plus encore, « il vaut mieux éviter tous les masques colorés », car ils contiennent "des colorants azoïques qui sont potentiellement dangereux, voire cancérogènes.
« Les masques en tissu, c’est une bonne chose », répond Christelle Pangrazzi, mais elle précise que ceux que vous achetez en supermarché ou en pharmacie peuvent aussi contenir des particules qui peuvent être problématiques. Elle recommande donc de laver les masques en tissu avant de les utiliser, « parce que ça permet quand même d’éliminer un certain nombre de toxiques ».
▻https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/coronavirus-les-masques-chirurgicaux-et-en-tissu-nous-empoisonnent-ils-790009354
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DIOXYDE DE TITANE INTERDIT DANS L’ALIMENTATION
L’Autorité européenne de sécurité des aliments a jugé ne pas pouvoir exclure la « génotoxicité » du composant, c’est-à-dire sa capacité à endommager l’ADN, le matériel génétique des cellules.
Le dioxyde de titane, un additif controversé, ne fera pas de retour dans les assiettes françaises, le gouvernement ayant décidé de reconduire en 2022 son interdiction, selon un arrêté publié vendredi 31 décembre au Journal officiel. Plus tard dans l’année, une interdiction au niveau européen prendra le relais de l’interdiction française.
Signalé sur les étiquettes par TiO2 ou E171, cette poudre blanche est utilisée principalement comme colorant pour blanchir ou intensifier la brillance des produits alimentaires (confiseries, pâtisseries, plats cuisinés).
Elle avait été bannie une première fois en janvier 2020 car elle contient des nanoparticules, dont la taille inférieure à 100 nanomètres permet une pénétration aisée dans l’organisme.
Capacité à endommager l’ADN
Cette interdiction doit devenir pérenne courant 2022. Début octobre, les Vingt-Sept ont donné leur feu vert pour interdire le dioxyde de titane dans l’alimentation à l’échelle de l’UE, après une remise en cause de sa sécurité par le régulateur européen.
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) considère que l’E171 ne peut plus être considéré comme « sûr » en tant qu’additif alimentaire. L’EFSA a jugé ne pas pouvoir exclure la « génotoxicité » du composant , c’est-à-dire sa capacité à endommager l’ADN, le matériel génétique des cellules.
▻https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/alimentation-le-dioxyde-de-titane-definitivement-banni-des-assiettes-fra
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HYSTÉRIE COLLECTIVE SUR LE PORT DU MASQUE
Rappelons que le coronavirus est une nanoparticule et qu’il n’est pas arrêté par le maillage du masque. Pour la pénétration dans les tissus, il a un comportement de type nanoparticule. Il est possible que le port de masque de qualité, bien porté, puisse être utile. Cependant aucune étude scientifique (il n’y en a pas beaucoup) n’est concluante à ce sujet.
Les masques en tissu qui deviennent d’ailleurs dangereux s’ils ne sont pas nettoyés extrêmement fréquemment. Ces masques peuvent devenir des nids à virus dangereux d’autant que celui-ci survit plusieurs jours sur ces masques humides.
Quant aux masques chirurgicaux, ils sont capables de protéger partiellement, non pas celui qui le porte, mais le patient opéré. Ils arrêtent les nanoparticules à l’expiration dans une proportion d’environ 80 % et en laissent passer cependant environ 20 %. Ils doivent être changés régulièrement, la norme serait que leur utilisation n’excède pas une heure.
▻https://www.contrepoints.org/2020/07/11/375554-port-du-masque-une-hysterie-collective
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MASQUES AU GRAPHÈNE INTERDIT
L’Anses recommande de ne pas utiliser les masques FFP2 au graphène. Des millions de masques FFP2 contenant du graphène sont retirés.
Le graphène est une petite substance résistante et imperméable aux propriétés virucides, qui est potentiellement toxique. En avril dernier, le gouvernement canadien avait rappelé les masques qui en contenaient. « L’organisme canadien de réglementation de la santé, Health Canada, a rendu un avis urgent le 2 avril 2021, avertissant que les masques contenant des nanoparticules sont potentiellement toxiques et peuvent présenter un risque pour la santé, en particulier pour la santé pulmonaire, puisque les porteurs peuvent inhaler les particules », pouvait-on lire dans une lettre envoyée par des ONG spécialisées dans la santé environnementale aux dirigeants de la Commission européenne et du Parlement pour lancer l’alerte.
Deux mois plus tard, c’est la France qui avait décidé de rappeler à son tour les masques FFP2 contenant du graphène. Dans une note publiée le 25 mai sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), Santé publique France demandait de ne plus utiliser certains masques FFP2 « dans l’attente de l’évaluation de l’éventuel risque lié à la présence de graphène ».
Dans son communiqué du 14 décembre, l’Agence rappelle que l’utilisation du graphène en tant que substance biocide est interdite en Europe. « Lorsque des boîtes de masques mentionnent la présence de graphène pour une activité biocide, celles-ci sont donc retirées du marché par la DGCCRF pour non-respect de la réglementation ».
▻https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/rappel-de-produits-des-millions-de-masques-ffp2-potentiellement-danger
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